Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 2) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 2) -
Les 12 servitudes d'Hélène (2) - l'esclave du pêcheur –
Encore un jour... Le soleil se levait à peine mais déjà, l'humble cabane du pêcheur bruissait de multiples activités. Cela faisait plus d'une semaine que êta était captive de ce lieu sordide... Depuis qu'il s'était saisi d'elle, le pêcheur n'avait pas ménagé la belle jeune femme. Dès le premier jour, il l'avait contrainte à s'allonger à plat ventre sur la table grasse et collante, écartant ses cuisses pour s'enfoncer en elle et la baiser avec brutalité... Elle avait senti le sexe dur et épais s'enfoncer entre ses cuisses, la fourrer violemment et très longuement... Tout en la possédant, affirmant ainsi son pouvoir sur la belle amnésique, il lui avait fessé la croupe de sa main épaisse et rugueuse. Le visage contre le bois malodorant de la table, son épaisse chevelure dorée répandue tout autour d'elle, êta avait subi cet assaut sans un mot, laissant seulement quelques gémissements lesquelles on ne savait si c’était de plaisirs ou de plaintes.
Une fois son plaisir répandu en elle, le pêcheur lui avait ordonné de demeurer là, dans la même position... Il avait ouvert la porte branlante de la pauvre demeure et avait appelé son fils. Le jeune homme adulte mais à peine sorti de l'adolescence s'était hâté de rejoindre son père...
- Elle est à toi maintenant... prends là, qu'elle comprenne tout de suite ce que sera sa destinée, avait dit le père en quittant la cabane...
Son fils s'était approché, presque timidement, admirant le corps laissé à l'abandon. êta frémissait à peine, son corps était d'une pâleur parfaite, tout à l'opposée de la peau burinée par le soleil et l'eau de mer de cette famille de pêcheurs... Et la chair ainsi offerte, d'une douceur ! Le jeune homme était intimidé par tant de beauté... Il s'approchait à pas lents. Enfin il tendit la main, caressant du bout des doigts la croupe fragile que son père avait marquée de la trace rougissante de ses doigts épais. Lorsqu'il posa sa main, êta eut un léger mouvement qui le fit reculer. Il demeura encore un moment à l'observer. Elle ne bougeait pas, son corps seulement agité par sa respiration parfois saccadée par un gémissement. Il était fasciné par ce cul rond et ferme, ces fesses lisses et tellement désirables... Il n'avait connu qu'une femme, une fois, lorsqu'après une pêche miraculeuse, son père avait sacrifié une obole pour l'amener voir les pornai (prostituées) du port voisin. Il avait ainsi été déniaisé par une vieille esclave aux chairs flasques sous le maquillage blanc mal appliqué... Il n'en avait retiré aucun plaisir, à peine était-il parvenu à la baiser...
Mais aujourd'hui ! Jamais il n'aurait imaginé un corps aussi parfait, des courbes aussi élégantes... Il était fasciné par l'abondante chevelure aux reflets dorés, qui paraissait si fluide et soyeuse malgré le séjour de cette femelle dans l'eau de mer ! Il émanait d'elle quelque chose de surnaturel. Le jeune homme était soudain intimidé par ce corps à l'abandon... Pourtant, son désir était plus fort que ses hésitations. Il sentait sa queue gonfler, durcir... il s'approcha enfin, passa sa main entre les cuisses encore dégoulinantes du plaisir qu'y avait pris son père... d'une main, il saisit la merveilleuse chevelure et tira dessus, provoquant un petit cri... et d'un bref coup de reins, il s'enfonça dans le sexe offert de l'esclave... Pour la deuxième fois, êta fut donc baisée. Elle ressentait chaque coup de boutoir, elle sentait le sexe tendu du jeune homme qui allait et venait en elle, mais son esprit était ailleurs…
Qui était-elle ? D'où venait-elle ? Etait-elle une esclave ayant échappé au massacre de Troie ? Comme l'avait affirmé le pêcheur ? Ou la victime d'un naufrage ? Depuis son réveil, elle était tombée entre les mains de cette famille qui faisait d'elle une esclave, destinée à satisfaire ces hommes rustres et brutaux... Mais au fond, si tel était son destin choisi par les Dieux, qui était-elle pour ne pas s'y résoudre ? Elle n'avait même pas de nom, à part cette lettre "êta" ... Une douleur cinglante mit soudainement fin à ses pensées... Elle ne put retenir un cri ! Emporté par son plaisir, le fils du pêcheur venait de s'enfoncer dans son cul ! Toute à ses pensées, elle ne l'avait même pas senti se retirer d'elle... il limait maintenant son cul et ahanait bruyamment tout en l'enculant de sa verge dressée... elle gémissait de douleur, tandis qu'il découvrait un plaisir nouveau et se réjouissait à l'idée qu'aussi longtemps que cette esclave demeurait au service de leur famille, il pourrait ainsi jouir de son cul, chaque fois que son père lui permettrait d'utiliser la blonde esclave. Il se répandit enfin en elle et puis se retira, épuisé, vidé, chancelant... Justement le père entrait dans la cabane, accompagné de sa fille déjà devenue femme adulte au visage ingrat et aux cheveux noirs et filasses. Tandis que le fils s'asseyait essoufflé sur un tabouret de bois, le pêcheur força êta à se lever.
- "Voilà, maintenant tu sais qui sont tes Maîtres ! Tu devras ouvrir tes cuisses chaque fois que nous l'ordonnerons ! Pour le reste, c'est à ma grande fille que je te confie. C'est elle qui te dressera pour toutes les tâches domestiques
êta leva timidement la tête et vit le regard aigu et pervers de la fille qui souriait avec perversité, tout en tapotant l'intérieur de sa main avec une fine branche de bois vert... êta comprit que la fille prendrait un malin plaisir à user de cet instrument. Résignée, elle baissa la tête... Et tout au long de la semaine qui suivit, êta dut subir l'autorité vicieuse de la fille qui lui apprit à laver, vider et cuisiner les poissons, chercher des racines et des baies comestibles dans les bois alentour, puis ravauder les filets abîmés, faire le ménage dans la sordide demeure où père et fils répandaient à leur retour de pêche une odeur fétide de marée et dégoulinaient sur le sol fraîchement nettoyé... La fille était pire encore que père et frère. Ces derniers se souciaient peu d'êta, sauf, tous les deux ou trois jours, lorsqu'ils la saisissaient par les chevaux pour l'entraîner derrière la cabane et la baiser ou lui ordonner de sucer leurs sexes malodorants... La fille n'abusait certes pas d'elle, bien sur, mais elle prenait un malin plaisir à l'humilier. Elle la fouettait régulièrement d'autant plus que si êta ressentait douloureusement dans sa chair, les coups qui lui étaient si cruellement infligés, son corps en guérissait très vite, laissant sa peau et son corps aussi lisses et parfaits qu'auparavant ! Cette capacité, manifestement surnaturelle, à ne pas garder trace de tout ce qu'elle subissait, irritait par dessus tout la fille du pêcheur qui s'appliquait à se montrer toujours plus brutale et cruelle avec l'esclave livrée à toutes ses turpitudes.
Entre les travaux et les tourments imposés par la fille et les moments où elle était livrée aux désirs des deux hommes, êta était enchaînée dans un coin de la cabane du pêcheur. Une lourde et courte chaîne reliant sa cheville à un épais poteau profondément planté dans le sol. Il s'agissait plus de faire ressentir à l'esclave son état, que de vraiment la maintenir prisonnière. Car privée de toute mémoire, dans la plus totale méconnaissance du monde qui l'entourait, êta ne songeait pas à s'évader. Seulement à vivre cette destinée que les Dieux semblaient lui avoir choisie...
Ce matin là n'était qu'un matin comme tant d'autres. L'esclave ne comptait pas les jours, laissait les heures s'écouler comme le sable glissait entre ses doigts lorsqu'elle en saisissait une poignée... Après avoir dévoré leur pauvre pitance, les pêcheurs avaient jeté à l'esclave les reliefs de leur matinal repas. Il restait peu de chair autour des arêtes de poissons et le petit bout de pain était dur comme un caillou. Bien d'autres auraient sans doute dépéri avec si peu de nourriture ! Mais comme par un miracle des Dieux, êta restait la même. Les privations, les tourments, rien ne semblait pouvoir atténuer la merveilleuse beauté de cette esclave sans mémoire dont tous, y compris elle-même, ignoraient qu'elle n'était autre que la si Belle Hélène pour laquelle la plus puissante des cités venait de disparaître dans le feu et le sang…
(à suivre)
Encore un jour... Le soleil se levait à peine mais déjà, l'humble cabane du pêcheur bruissait de multiples activités. Cela faisait plus d'une semaine que êta était captive de ce lieu sordide... Depuis qu'il s'était saisi d'elle, le pêcheur n'avait pas ménagé la belle jeune femme. Dès le premier jour, il l'avait contrainte à s'allonger à plat ventre sur la table grasse et collante, écartant ses cuisses pour s'enfoncer en elle et la baiser avec brutalité... Elle avait senti le sexe dur et épais s'enfoncer entre ses cuisses, la fourrer violemment et très longuement... Tout en la possédant, affirmant ainsi son pouvoir sur la belle amnésique, il lui avait fessé la croupe de sa main épaisse et rugueuse. Le visage contre le bois malodorant de la table, son épaisse chevelure dorée répandue tout autour d'elle, êta avait subi cet assaut sans un mot, laissant seulement quelques gémissements lesquelles on ne savait si c’était de plaisirs ou de plaintes.
Une fois son plaisir répandu en elle, le pêcheur lui avait ordonné de demeurer là, dans la même position... Il avait ouvert la porte branlante de la pauvre demeure et avait appelé son fils. Le jeune homme adulte mais à peine sorti de l'adolescence s'était hâté de rejoindre son père...
- Elle est à toi maintenant... prends là, qu'elle comprenne tout de suite ce que sera sa destinée, avait dit le père en quittant la cabane...
Son fils s'était approché, presque timidement, admirant le corps laissé à l'abandon. êta frémissait à peine, son corps était d'une pâleur parfaite, tout à l'opposée de la peau burinée par le soleil et l'eau de mer de cette famille de pêcheurs... Et la chair ainsi offerte, d'une douceur ! Le jeune homme était intimidé par tant de beauté... Il s'approchait à pas lents. Enfin il tendit la main, caressant du bout des doigts la croupe fragile que son père avait marquée de la trace rougissante de ses doigts épais. Lorsqu'il posa sa main, êta eut un léger mouvement qui le fit reculer. Il demeura encore un moment à l'observer. Elle ne bougeait pas, son corps seulement agité par sa respiration parfois saccadée par un gémissement. Il était fasciné par ce cul rond et ferme, ces fesses lisses et tellement désirables... Il n'avait connu qu'une femme, une fois, lorsqu'après une pêche miraculeuse, son père avait sacrifié une obole pour l'amener voir les pornai (prostituées) du port voisin. Il avait ainsi été déniaisé par une vieille esclave aux chairs flasques sous le maquillage blanc mal appliqué... Il n'en avait retiré aucun plaisir, à peine était-il parvenu à la baiser...
Mais aujourd'hui ! Jamais il n'aurait imaginé un corps aussi parfait, des courbes aussi élégantes... Il était fasciné par l'abondante chevelure aux reflets dorés, qui paraissait si fluide et soyeuse malgré le séjour de cette femelle dans l'eau de mer ! Il émanait d'elle quelque chose de surnaturel. Le jeune homme était soudain intimidé par ce corps à l'abandon... Pourtant, son désir était plus fort que ses hésitations. Il sentait sa queue gonfler, durcir... il s'approcha enfin, passa sa main entre les cuisses encore dégoulinantes du plaisir qu'y avait pris son père... d'une main, il saisit la merveilleuse chevelure et tira dessus, provoquant un petit cri... et d'un bref coup de reins, il s'enfonça dans le sexe offert de l'esclave... Pour la deuxième fois, êta fut donc baisée. Elle ressentait chaque coup de boutoir, elle sentait le sexe tendu du jeune homme qui allait et venait en elle, mais son esprit était ailleurs…
Qui était-elle ? D'où venait-elle ? Etait-elle une esclave ayant échappé au massacre de Troie ? Comme l'avait affirmé le pêcheur ? Ou la victime d'un naufrage ? Depuis son réveil, elle était tombée entre les mains de cette famille qui faisait d'elle une esclave, destinée à satisfaire ces hommes rustres et brutaux... Mais au fond, si tel était son destin choisi par les Dieux, qui était-elle pour ne pas s'y résoudre ? Elle n'avait même pas de nom, à part cette lettre "êta" ... Une douleur cinglante mit soudainement fin à ses pensées... Elle ne put retenir un cri ! Emporté par son plaisir, le fils du pêcheur venait de s'enfoncer dans son cul ! Toute à ses pensées, elle ne l'avait même pas senti se retirer d'elle... il limait maintenant son cul et ahanait bruyamment tout en l'enculant de sa verge dressée... elle gémissait de douleur, tandis qu'il découvrait un plaisir nouveau et se réjouissait à l'idée qu'aussi longtemps que cette esclave demeurait au service de leur famille, il pourrait ainsi jouir de son cul, chaque fois que son père lui permettrait d'utiliser la blonde esclave. Il se répandit enfin en elle et puis se retira, épuisé, vidé, chancelant... Justement le père entrait dans la cabane, accompagné de sa fille déjà devenue femme adulte au visage ingrat et aux cheveux noirs et filasses. Tandis que le fils s'asseyait essoufflé sur un tabouret de bois, le pêcheur força êta à se lever.
- "Voilà, maintenant tu sais qui sont tes Maîtres ! Tu devras ouvrir tes cuisses chaque fois que nous l'ordonnerons ! Pour le reste, c'est à ma grande fille que je te confie. C'est elle qui te dressera pour toutes les tâches domestiques
êta leva timidement la tête et vit le regard aigu et pervers de la fille qui souriait avec perversité, tout en tapotant l'intérieur de sa main avec une fine branche de bois vert... êta comprit que la fille prendrait un malin plaisir à user de cet instrument. Résignée, elle baissa la tête... Et tout au long de la semaine qui suivit, êta dut subir l'autorité vicieuse de la fille qui lui apprit à laver, vider et cuisiner les poissons, chercher des racines et des baies comestibles dans les bois alentour, puis ravauder les filets abîmés, faire le ménage dans la sordide demeure où père et fils répandaient à leur retour de pêche une odeur fétide de marée et dégoulinaient sur le sol fraîchement nettoyé... La fille était pire encore que père et frère. Ces derniers se souciaient peu d'êta, sauf, tous les deux ou trois jours, lorsqu'ils la saisissaient par les chevaux pour l'entraîner derrière la cabane et la baiser ou lui ordonner de sucer leurs sexes malodorants... La fille n'abusait certes pas d'elle, bien sur, mais elle prenait un malin plaisir à l'humilier. Elle la fouettait régulièrement d'autant plus que si êta ressentait douloureusement dans sa chair, les coups qui lui étaient si cruellement infligés, son corps en guérissait très vite, laissant sa peau et son corps aussi lisses et parfaits qu'auparavant ! Cette capacité, manifestement surnaturelle, à ne pas garder trace de tout ce qu'elle subissait, irritait par dessus tout la fille du pêcheur qui s'appliquait à se montrer toujours plus brutale et cruelle avec l'esclave livrée à toutes ses turpitudes.
Entre les travaux et les tourments imposés par la fille et les moments où elle était livrée aux désirs des deux hommes, êta était enchaînée dans un coin de la cabane du pêcheur. Une lourde et courte chaîne reliant sa cheville à un épais poteau profondément planté dans le sol. Il s'agissait plus de faire ressentir à l'esclave son état, que de vraiment la maintenir prisonnière. Car privée de toute mémoire, dans la plus totale méconnaissance du monde qui l'entourait, êta ne songeait pas à s'évader. Seulement à vivre cette destinée que les Dieux semblaient lui avoir choisie...
Ce matin là n'était qu'un matin comme tant d'autres. L'esclave ne comptait pas les jours, laissait les heures s'écouler comme le sable glissait entre ses doigts lorsqu'elle en saisissait une poignée... Après avoir dévoré leur pauvre pitance, les pêcheurs avaient jeté à l'esclave les reliefs de leur matinal repas. Il restait peu de chair autour des arêtes de poissons et le petit bout de pain était dur comme un caillou. Bien d'autres auraient sans doute dépéri avec si peu de nourriture ! Mais comme par un miracle des Dieux, êta restait la même. Les privations, les tourments, rien ne semblait pouvoir atténuer la merveilleuse beauté de cette esclave sans mémoire dont tous, y compris elle-même, ignoraient qu'elle n'était autre que la si Belle Hélène pour laquelle la plus puissante des cités venait de disparaître dans le feu et le sang…
(à suivre)
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci beaucoup !!! La suite sera pour très très bientôt , elle est en cours d'écriture ...
Amicalement
MDE
Amicalement
MDE
Magnifique écrit comme toujours. J'ai prit plaisir à lire cette nouvelle qui change de ton travail habituel. Une version de la fin de l’Iliade assez inattendu mais au combien plaisante.
amitié Lholo
amitié Lholo
Vivement la suite !:)