Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 30)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 30)
Les 12 servitudes d'Hélène : L'enlèvement d'êta...
Dans l'amphithéâtre, un silence absolu s'était fait... Sur la scène, seule êta demeurait, nue, épuisée, son corps couvert d'une gangue de l'épaisse semence répandue par les monstrueux frères Amphisbène d’une laideur répugnante... Elle se tenait debout, sentant la substance glaireuse qui coulait lentement et se desséchait doucement sur son corps souillé. Les jurés se consultaient sur la conclusion à donner à ces Jeux d'Apollon qui venaient de désigner l'ultime compétitrice, la future épouse du Dieu de la Beauté ! C'est encore une fois le plus âgé qui s'avança et leva les bras toujours dans ce silence de mort :
- La décision Divine est tombée ! C'est donc êta la sans Cité qui a été choisie ! Que la honte et l'opprobre couvre les Cités déchues puisque nulle n'a su désigner une épouse digne Du Dieu... C'est donc êta, qui gagnera ce soir la couche sacrée d'Apollon et recevra l'Honneur Du Sexe Divin. Elle et Elle seule a su faire jouir ces monstres d’un autre âge qui jamais, je dis bien jamais, lors des éditions précédentes, n'avaient pu vider leurs légendaires couilles !
Une salve d'applaudissements saluèrent cet exploit en effet inédit, puisque même lors des précédents jeux, jamais femelle n'avait pu obtenir l'éjaculation des frères monstrueux... êta demeurait immobile, silencieuse, épuisée... Dans les gradins, la tension était palpable, tous savaient combien le moment était solennel, le moment où l'épouse de l'année serait couronnée et préparée afin d'être enfin offerte à Apollon...
Mais soudain un cri venant des coulisses... C’est tout juste si le sol ne tremblait pas… deux gardes reculaient l'air effrayés, un autre s'écroulait à leurs pieds... Dans un rugissement bestial, les frères Amphisbène en furie dévastatrice pénétraient dans l'enceinte sacrée, oublieux des plus élémentaires règles de respect. Tandis que l'un d'eux écrasait les derniers gardes, les autres fonçaient vers êta. La foule huait, insultait les monstres qui foulaient ainsi aux pieds l'enceinte sacrée... Mais si quelques hommes osaient quitter les tribunes, rares étaient ceux qui allaient affronter les terribles créatures. Et la peur se propageait dans la foule, lorsqu'une poignée d'entre eux termina gisant au sol, les reins ou le cou brisé, les autres reculèrent sans plus tenter le moindre geste... Les frères étaient comme pris d'une rage incontrôlable. L'un d'entre eux, tout en grognant, se saisit sans ménagement d'êta qui n'avait pas bougé, sous le coup d'une ineffable fatigue. Dans le plus grand désordre, les frères Amphisbène semaient la terreur, écrasant de leurs énormes poings démesurés tous ceux qui tentaient de s'opposer à leur folle initiative. On aurait cru qu’ils étaient pris de folie. Ainsi le doyen des juges qui très vite était sorti du haut de sa tribune pour les raisonner, s'avançait déjà à grands pas pour tenter de les apaiser. Il fut saisi et eut les reins brisés comme un fétu de paille, puis jeté au sol tel un débris sans vie. C'était un sanglant carnage qui se déroulait dans l'amphithéâtre... La foule dans les gradins terrorisée, commençait à fuir dans tous les sens, vidant l’amphithéâtre assez rapidement tant la panique avait gagné les spectateurs… Puis le calme et le silence retombèrent, en cette nuit, lorsque les frères prirent la fuite en emportant êta, indifférente... Elle ne se débattait même pas tant l’épuisement avait gagné son corps, conséquence de toutes ses épreuves physiquement éreintantes.
Le lendemain matin, dès les premières lueurs de l'aube, la Cité Sacrée se réveilla dans une ambiance épouvantable. On pleurait les morts de la veille, en particulier le doyen des prêtres d'Apollon, brisé par l'un des frères maudits. Des bûchers funéraires avaient été érigés et les pleureuses payées par les familles des victimes parcouraient la ville en faisant entendre leur funèbre musique. L'excitation était générale, ceux qui ne pleuraient pas réclamant vengeance ! Déjà, les gardes de la Cité avaient été répartis en patrouilles qui sillonnaient l'île à la recherche des frères et de leur captive... Jamais un tel sacrilège n'avait frappé l'île et chacun craignait que Le Dieu Apollon n'abandonne ceux qui n'avaient pas pu lui préserver Sa Promise... Les femmes coupaient leurs cheveux en signe de deuil et de désespoir et les hommes se couvraient la tête de cendres.
Tandis que la Cité s'embrasait, les frères Amphisbène avaient mené leur prisonnière jusqu'à une plage, où une embarcation les attendait. Tous embarquèrent, jetant êta sur un tas de filets de pêche… L'embarcation qui n'avait ni voile ni rames s'éloigna pourtant du rivage à vive allure, comme par magie, malgré l'absence de vent. La grande barque brisait les vagues, secouait ses occupants dont certains déjà se penchaient par-dessus bord afin de vider leurs entrailles dans la mer. La rage des frères Amphisbène semblait retombée et ils se tenaient tous face à êta, l'observant avec une curiosité mêlée de crainte. Ils ne savaient que penser de cette femelle qui pour la première fois de toute leur existence, avait su les faire éjaculer ! êta les regardait, analysait leurs regards de brutes stupides, se disant qu'il n'était pas possible que de telles créatures aient pu organiser son enlèvement. Ils étaient trop stupides pour faire une chose pareille. Il y avait forcément quelqu'un derrière tout cela ! Peu importait à êta les éventuelles épreuves qu'elle devrait encore affronter, mais la blonde esclave amnésique se demandait qui pouvait bien s'intéresser à elle au point d'offenser un Dieu tel que Apollon ! Cette pensée rendait êta curieuse. Elle sentait bien que son esprit s'éveillait d'un long sommeil... trop longtemps simple victime docile, elle commençait à mieux analyser les situations, tentant de comprendre qui elle était et pourquoi elle vivait un si étrange destin… Jamais elle n'avait vu une embarcation couvrir une telle distance en si peu de temps et surtout sans voiles ni rames, faut-il le rappeler ! Cela relevait à ses yeux de la pure sorcellerie ou de la Volonté Divine ! C’est ce qu’elle pensait en levant la tête longuement pour scruter le ciel d’un bleu pur sans nuage.
Déjà les Cyclades étaient loin derrière et le navire s'approchait des côtes de Béotie. C'est par là, que leur navire magique vint s'amarrer, sans que personne eu besoin de manœuvrer le gouvernail, le bateau ralentissant et se dirigeant tout seul jusqu’au point d’ancrage dans la petite crique d'une île minuscule cachée dans un épais et soudain nuage de brume qui voilait subitement le ciel azur. Les frères Amphisbène saisirent êta et la portèrent jusqu'à la plage, là, ils la forcèrent à s'agenouiller, puis l'entourèrent de leur corps en posant à leur tour leurs énormes genoux dans le sable... en attente, êta se retrouvant au centre de ce cercle improvisé.
Soudain, un tambour lancinant annonçait quelque chose... êta leva discrètement les yeux et elle la vit ! Une femme belle au regard sévère, une silhouette majestueuse et d'une profonde froideur était installée sur un trône porté par quatre hommes nus, enchaînés... derrière elle, menés par des laisses que La Femme tenait en mains, une dizaine d'autres hommes, également nus qui La suivaient à quatre pattes, tels des chiens de compagnie. Telles des autruches, les frères Amphisbène avaient plongé leurs visages dans le sable en signe de totale soumission. Les porteurs posèrent le siège sur lequel trônait Cette Femme qui en imposait de son regard à faire trembler le plus vaillant des hommes. Elle demeurait immobile, mais claqua finalement dans ses mains. Un des frères se redressa alors et força êta à le suivre, il se jeta aux pieds de La Femme qui fixait êta droit dans les yeux, l'air toujours aussi sévère...
- Ainsi tu es celle qui a vaincu les Amphisbène ? La femelle qui a pu faire jaillir leur immonde semence dont je vois encore les coulures sur ton corps... Je ne pensais pas qu'il existe dans le Monde Grec une femelle assez lubrique pour y parvenir... Cela relève de l’impossible … tu m'impressionnerais presque, chienne !
êta soutenait son regard... silencieuse, La Femme, la tête haute, un regard de dédain, poursuivit :
- Je suis Scyllaë, la noire magicienne, fille d'Hécate Déesse de la Nuit. Ici tous les hommes me sont esclaves dont Je dispose selon Mes volontés… Les Amphisbène m'appartiennent, ils font partie de mon cheptel de mâles, et ils m'ont déçue… Voit donc ce qu'il en coûte de décevoir Scyllaë ! lança La magicienne …
Cette Femme brune posa alors simplement la main sur l'épaule du frère Amphisbène prosterné à Ses Pieds. Instantanément, la créature se figea, se changeant … en pierre ! La magicienne qui avait fait mouvoir le navire jusqu’à elle par simple magie noire, était capable de tout, même de par son simple touché, de changer un homme en statue de pierre. êta était stupéfaite de ce sortilège...
- Tu vas m'accompagner jusqu'en Ma demeure. En chemin, tu pourras constater que bon nombre de mâles m'ont déçue. Pour eux, il n'y a qu'un destin, finir en statue sur Mon île. Ainsi ils deviennent décoratifs parsemés un peu de partout et terrorisent les paysans et villageois de l’île, croyant que ces statues portent malheur et surtout craignant Ma magie plus que tout autre chose… Le supplice est d'autant plus cruel qu'ils ne sont pas morts, mais seulement changés en pierre, leur esprit demeure prisonnier de ce corps immobile. J'imagine qu'ils doivent devenir fous dans cette prison de pierre... Mais ce ne sont que des mâles, de viles créatures ! Je les ai asservis, et tu les a vaincus... Nous aurons sans aucun doute des choses à nous dire. Si tu m'intéresses, tu vivras et peut-être même, tu seras libre. Si tu me déçois, point de pétrification pour toi, mais une mort lente et très douloureuse... Allons ! En avant bétail infâme ! ordonna-t-elle aux porteurs esclaves
Le petit cortège quitta ainsi la plage, êta marchant au côté des porteurs du trône de Scyllaë, vers un destin, toujours aussi aventureux, parsemé des pires perversions à venir...
(A suivre…)
Dans l'amphithéâtre, un silence absolu s'était fait... Sur la scène, seule êta demeurait, nue, épuisée, son corps couvert d'une gangue de l'épaisse semence répandue par les monstrueux frères Amphisbène d’une laideur répugnante... Elle se tenait debout, sentant la substance glaireuse qui coulait lentement et se desséchait doucement sur son corps souillé. Les jurés se consultaient sur la conclusion à donner à ces Jeux d'Apollon qui venaient de désigner l'ultime compétitrice, la future épouse du Dieu de la Beauté ! C'est encore une fois le plus âgé qui s'avança et leva les bras toujours dans ce silence de mort :
- La décision Divine est tombée ! C'est donc êta la sans Cité qui a été choisie ! Que la honte et l'opprobre couvre les Cités déchues puisque nulle n'a su désigner une épouse digne Du Dieu... C'est donc êta, qui gagnera ce soir la couche sacrée d'Apollon et recevra l'Honneur Du Sexe Divin. Elle et Elle seule a su faire jouir ces monstres d’un autre âge qui jamais, je dis bien jamais, lors des éditions précédentes, n'avaient pu vider leurs légendaires couilles !
Une salve d'applaudissements saluèrent cet exploit en effet inédit, puisque même lors des précédents jeux, jamais femelle n'avait pu obtenir l'éjaculation des frères monstrueux... êta demeurait immobile, silencieuse, épuisée... Dans les gradins, la tension était palpable, tous savaient combien le moment était solennel, le moment où l'épouse de l'année serait couronnée et préparée afin d'être enfin offerte à Apollon...
Mais soudain un cri venant des coulisses... C’est tout juste si le sol ne tremblait pas… deux gardes reculaient l'air effrayés, un autre s'écroulait à leurs pieds... Dans un rugissement bestial, les frères Amphisbène en furie dévastatrice pénétraient dans l'enceinte sacrée, oublieux des plus élémentaires règles de respect. Tandis que l'un d'eux écrasait les derniers gardes, les autres fonçaient vers êta. La foule huait, insultait les monstres qui foulaient ainsi aux pieds l'enceinte sacrée... Mais si quelques hommes osaient quitter les tribunes, rares étaient ceux qui allaient affronter les terribles créatures. Et la peur se propageait dans la foule, lorsqu'une poignée d'entre eux termina gisant au sol, les reins ou le cou brisé, les autres reculèrent sans plus tenter le moindre geste... Les frères étaient comme pris d'une rage incontrôlable. L'un d'entre eux, tout en grognant, se saisit sans ménagement d'êta qui n'avait pas bougé, sous le coup d'une ineffable fatigue. Dans le plus grand désordre, les frères Amphisbène semaient la terreur, écrasant de leurs énormes poings démesurés tous ceux qui tentaient de s'opposer à leur folle initiative. On aurait cru qu’ils étaient pris de folie. Ainsi le doyen des juges qui très vite était sorti du haut de sa tribune pour les raisonner, s'avançait déjà à grands pas pour tenter de les apaiser. Il fut saisi et eut les reins brisés comme un fétu de paille, puis jeté au sol tel un débris sans vie. C'était un sanglant carnage qui se déroulait dans l'amphithéâtre... La foule dans les gradins terrorisée, commençait à fuir dans tous les sens, vidant l’amphithéâtre assez rapidement tant la panique avait gagné les spectateurs… Puis le calme et le silence retombèrent, en cette nuit, lorsque les frères prirent la fuite en emportant êta, indifférente... Elle ne se débattait même pas tant l’épuisement avait gagné son corps, conséquence de toutes ses épreuves physiquement éreintantes.
Le lendemain matin, dès les premières lueurs de l'aube, la Cité Sacrée se réveilla dans une ambiance épouvantable. On pleurait les morts de la veille, en particulier le doyen des prêtres d'Apollon, brisé par l'un des frères maudits. Des bûchers funéraires avaient été érigés et les pleureuses payées par les familles des victimes parcouraient la ville en faisant entendre leur funèbre musique. L'excitation était générale, ceux qui ne pleuraient pas réclamant vengeance ! Déjà, les gardes de la Cité avaient été répartis en patrouilles qui sillonnaient l'île à la recherche des frères et de leur captive... Jamais un tel sacrilège n'avait frappé l'île et chacun craignait que Le Dieu Apollon n'abandonne ceux qui n'avaient pas pu lui préserver Sa Promise... Les femmes coupaient leurs cheveux en signe de deuil et de désespoir et les hommes se couvraient la tête de cendres.
Tandis que la Cité s'embrasait, les frères Amphisbène avaient mené leur prisonnière jusqu'à une plage, où une embarcation les attendait. Tous embarquèrent, jetant êta sur un tas de filets de pêche… L'embarcation qui n'avait ni voile ni rames s'éloigna pourtant du rivage à vive allure, comme par magie, malgré l'absence de vent. La grande barque brisait les vagues, secouait ses occupants dont certains déjà se penchaient par-dessus bord afin de vider leurs entrailles dans la mer. La rage des frères Amphisbène semblait retombée et ils se tenaient tous face à êta, l'observant avec une curiosité mêlée de crainte. Ils ne savaient que penser de cette femelle qui pour la première fois de toute leur existence, avait su les faire éjaculer ! êta les regardait, analysait leurs regards de brutes stupides, se disant qu'il n'était pas possible que de telles créatures aient pu organiser son enlèvement. Ils étaient trop stupides pour faire une chose pareille. Il y avait forcément quelqu'un derrière tout cela ! Peu importait à êta les éventuelles épreuves qu'elle devrait encore affronter, mais la blonde esclave amnésique se demandait qui pouvait bien s'intéresser à elle au point d'offenser un Dieu tel que Apollon ! Cette pensée rendait êta curieuse. Elle sentait bien que son esprit s'éveillait d'un long sommeil... trop longtemps simple victime docile, elle commençait à mieux analyser les situations, tentant de comprendre qui elle était et pourquoi elle vivait un si étrange destin… Jamais elle n'avait vu une embarcation couvrir une telle distance en si peu de temps et surtout sans voiles ni rames, faut-il le rappeler ! Cela relevait à ses yeux de la pure sorcellerie ou de la Volonté Divine ! C’est ce qu’elle pensait en levant la tête longuement pour scruter le ciel d’un bleu pur sans nuage.
Déjà les Cyclades étaient loin derrière et le navire s'approchait des côtes de Béotie. C'est par là, que leur navire magique vint s'amarrer, sans que personne eu besoin de manœuvrer le gouvernail, le bateau ralentissant et se dirigeant tout seul jusqu’au point d’ancrage dans la petite crique d'une île minuscule cachée dans un épais et soudain nuage de brume qui voilait subitement le ciel azur. Les frères Amphisbène saisirent êta et la portèrent jusqu'à la plage, là, ils la forcèrent à s'agenouiller, puis l'entourèrent de leur corps en posant à leur tour leurs énormes genoux dans le sable... en attente, êta se retrouvant au centre de ce cercle improvisé.
Soudain, un tambour lancinant annonçait quelque chose... êta leva discrètement les yeux et elle la vit ! Une femme belle au regard sévère, une silhouette majestueuse et d'une profonde froideur était installée sur un trône porté par quatre hommes nus, enchaînés... derrière elle, menés par des laisses que La Femme tenait en mains, une dizaine d'autres hommes, également nus qui La suivaient à quatre pattes, tels des chiens de compagnie. Telles des autruches, les frères Amphisbène avaient plongé leurs visages dans le sable en signe de totale soumission. Les porteurs posèrent le siège sur lequel trônait Cette Femme qui en imposait de son regard à faire trembler le plus vaillant des hommes. Elle demeurait immobile, mais claqua finalement dans ses mains. Un des frères se redressa alors et força êta à le suivre, il se jeta aux pieds de La Femme qui fixait êta droit dans les yeux, l'air toujours aussi sévère...
- Ainsi tu es celle qui a vaincu les Amphisbène ? La femelle qui a pu faire jaillir leur immonde semence dont je vois encore les coulures sur ton corps... Je ne pensais pas qu'il existe dans le Monde Grec une femelle assez lubrique pour y parvenir... Cela relève de l’impossible … tu m'impressionnerais presque, chienne !
êta soutenait son regard... silencieuse, La Femme, la tête haute, un regard de dédain, poursuivit :
- Je suis Scyllaë, la noire magicienne, fille d'Hécate Déesse de la Nuit. Ici tous les hommes me sont esclaves dont Je dispose selon Mes volontés… Les Amphisbène m'appartiennent, ils font partie de mon cheptel de mâles, et ils m'ont déçue… Voit donc ce qu'il en coûte de décevoir Scyllaë ! lança La magicienne …
Cette Femme brune posa alors simplement la main sur l'épaule du frère Amphisbène prosterné à Ses Pieds. Instantanément, la créature se figea, se changeant … en pierre ! La magicienne qui avait fait mouvoir le navire jusqu’à elle par simple magie noire, était capable de tout, même de par son simple touché, de changer un homme en statue de pierre. êta était stupéfaite de ce sortilège...
- Tu vas m'accompagner jusqu'en Ma demeure. En chemin, tu pourras constater que bon nombre de mâles m'ont déçue. Pour eux, il n'y a qu'un destin, finir en statue sur Mon île. Ainsi ils deviennent décoratifs parsemés un peu de partout et terrorisent les paysans et villageois de l’île, croyant que ces statues portent malheur et surtout craignant Ma magie plus que tout autre chose… Le supplice est d'autant plus cruel qu'ils ne sont pas morts, mais seulement changés en pierre, leur esprit demeure prisonnier de ce corps immobile. J'imagine qu'ils doivent devenir fous dans cette prison de pierre... Mais ce ne sont que des mâles, de viles créatures ! Je les ai asservis, et tu les a vaincus... Nous aurons sans aucun doute des choses à nous dire. Si tu m'intéresses, tu vivras et peut-être même, tu seras libre. Si tu me déçois, point de pétrification pour toi, mais une mort lente et très douloureuse... Allons ! En avant bétail infâme ! ordonna-t-elle aux porteurs esclaves
Le petit cortège quitta ainsi la plage, êta marchant au côté des porteurs du trône de Scyllaë, vers un destin, toujours aussi aventureux, parsemé des pires perversions à venir...
(A suivre…)
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