Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 41)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 41)
Les 12 servitudes d'Hélène : La destinée d’êta bascule à Thèbes -
êta et Sémélé restèrent bien longtemps au lit, avec pour musique de fond les gémissements de Sophoclès contraint de combler les désirs ardents des deux esclaves musiciens qui ne se privèrent pas de sodomiser maintes fois le commerçant grec si attiré par la soumission masculine... Au matin, êta se leva tôt, tandis que Sémélé demeurait alanguie entre les draps froissés qui avait abrité leurs innombrables ébats saphiques qui avaient duré presque jusqu’au petit matin avant qu’elles ne s’assoupissent toutes les deux de fatigue. êta, toujours aussi belle, se recoiffait devant un miroir de métal poli, assise nue sur un tabouret tournant le dos au lit. Sémélé se réveillait doucement, encore toute assoupie et repue de plaisirs... les deux femmes avaient échangé maintes caresses, mêlés leurs corps et leurs fluides, s'offrant l'une à l'autre des mains, de la bouche... leurs sexes dégoulinants de jouissance, sans la moindre retenue. Sémélé admirait les formes parfaites de cette jeune femelle qui l'avait faite gémir et même rugir de plaisir tout au long de la nuit écoulée. La femme mûre se leva, se dandinant jusqu'à la tablette devant laquelle êta se préparait. Elle déposa ses mains dominatrices sur les épaules de la jeune esclave blonde, et caressant la nuque, le cou, et la poitrine de la femelle, tout en poussant son propre visage dans l'épaisse toison dorée de la chevelure blonde, afin de humer une fois encore le doux parfum naturel de son amante. Puis descendant ses mains sur les tétons d’êta, tétons qu’elle pinçait vicieusement en faisant rouler ses doigts tout en serrant doucement, elle lui murmurait à l’oreille tout en mordillant le lobe :
- Que fais-tu ? … Reviens au lit, je t'en prie, dit Sémélé d'une voix doucereuse
- La nuit fut délicieuse, vraiment, souffla êta, mais je dois découvrir la ville. Merci pour l'hospitalité que tu m'as accordée, mais il est temps...
Sémélé se raidit comme si on l'avait souffletée
- Quoi !? Partir, déjà ? mais non, NON ! C'est hors de question ! Tu ne peux pas, cria-t-elle
êta se redressa et lui fit face avec un doux sourire. Elle embrassa Sémélé après avoir maintenu un regard égal à celui qu’elle recevait de la riche bourgeoise. Pour êta c’était la première fois qu’elle se sentait capable de maintenir, sans baisser un seul instant les yeux, un regard dominant. Leurs langues se trouvant comme une évidence dans de fougueux échanges buccaux...
- Je ne puis rester... j'ai encore tout un monde à découvrir, dit êta avec tendresse,
Une tendresse sincère qui ne voulait pas blesser celle dont elle avait partagé la nuit et le désir. Elle se méfiait aussi et savait que si la maîtresse de maison voulait la contraindre à rester en sa demeure, elle disposait des esclaves mâles nécessaires à réduire toute velléité d'évasion... Et quelle ne fut pas une incroyable surprise pour êta lorsque Sémélé s'effondra à ses pieds... sanglotant, elle qui paraissait jusque-là une femme à poigne, froide, rigide, envers les esclaves … Saisissant les chevilles d’êta entre ses mains et lui baisant les pieds, elle pleurait désormais abondement, pour lui confesser :
- Reste, je t'en supplie, implora-t-elle, reste, tu m'as fait connaître un plaisir jusque-là inaccessible, reste entre ces murs, encore un peu, suppliait-elle.., jamais une femme m’avait donné autant de jouissances…
êta contemplait cette femme aux habitudes hautaines, à l'autorité affirmée, qui avait su mener son mari à la baguette, diriger une maisonnée d'esclaves, maîtresse incontestée en son Oïkos et soudainement soumise et implorante alors qu'elle n'aurait eu qu'un ordre à lancer... La femme nue restait accroupie aux pieds d'êta et cela plut à êta... et continuant à pleurer, la bourgeoise continua :
- … S'il te plait... je t'en supplie, reste... tu auras tout ce que tu voudras, mais ne me prive pas de toi, par pitié, suppliait Sémélé, je …. Je suis et je parais autoritaire aux yeux de tous, mais saches combien sous ma carapace de fer, je suis en réalité si fragile, car je ressens très souvent un besoin que je ne peux expliquer, un besoin similaire à celui de mon mari avec les hommes, mais moi c’est surtout avec les femmes que l’attirance à la soumission s’empare très souvent de moi, dans mon esprit, dans mon corps...
êta ressentait comme un feu nouveau brûlant en elle, faisant battre son coeur et faisant naître entre ses cuisses une forme de désir nouveau. Depuis si longtemps, depuis son réveil nue et amnésique sur une plage, elle avait été docile et soumise, exploitée et possédée da tant de façons ! Elle avait été abusée, avait subi tous les assauts possibles, donné du plaisir à tant de femmes et d'hommes, offert chacun de ses orifices, que ce soit séparément ou en même temps... elle avait été prise, pénétrée, investie, façonnée comme le réceptacle de tant de plaisirs et de jouissances. Elle en était devenue une forme d'incarnation, dressée à satisfaire les désirs les plus inimaginables ! Mais voilà que ce qu'elle avait jusque-là subi, devenait une arme et faisait d'elle celle qui décide... Elle regardait Sémélé rampant à ses pieds et un sourire gagna son si fin et beau visage... Une sensation nouvelle envahissait êta, une sensation qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant, une sensation de Domination... Ainsi, celle qui avait été esclave se trouvait maintenant en position de Supériorité. Devant elle, une noble dame rampait et suppliait, tandis que son mari, un citoyen respecté de la fameuse et puissante Cité de Thèbes était encore affalé sur le sol, nu, après avoir été la chose, la lopette de deux esclaves aux verges dures... Quel étrange contexte s'offrait là... êta contempla encore la femme, mûre mais encore belle, qui posait humblement ses lèvres sur ses pieds en attendant sa décision...
- Je ne sais.. commenta êta, je veux découvrir la Cité. Sans doute me faudra-t-il plusieurs jours pour cela... (Sémélé léchait maintenant les orteils d'êta) …Mais … si je disposais d'un pied à terre... Pourquoi pas...
Sémélé se redressa, demeurant à genoux et contemplant êta au-dessus d'elle :
- Oh oui ! Oh par pitié, reste ! reste céans, je t'en supplie, tu y seras chez toi je te l'assures !
êta se pencha et saisit le menton de Sémélé, plongeant son regard d'un bleu profond dans ceux de Sémélé
- Chez moi... Vraiment ?
- Oui, oh oui, chez toi... Maîtresse entre ces murs, affirma la femme d'une voix tremblante…
êta était fascinée par la facilité avec laquelle cette femme était devenue si humble et soumise... Une nuit de jouissance suffisait donc à enchaîner un être humain. Elle comprit mieux les événements qui avaient jalonné ses aventures et ressentit qu'elle prenait beaucoup de plaisir à ne plus subir, mais à imposer... La tenant toujours par le menton, elle força son hôte à se relever et la saisit par la taille, accolant leurs corps nus et encore chauds de leur intense nuit, elle se frotta contre elle, poitrine contre poitrine, tétons dressés, contre tétons dressés. Puis êta la gifla brusquement. Sémélé, surprise, la regarda intensément.
- Tu l'as dit, Maîtresse entre ces murs. Et il ne peut y avoir qu'une Maîtresse, n'est-ce pas ?
- Oui, murmura Sémélé et c'est toi désormais, mais reste pour cela, je t’en supplie, poursuivit-elle d'un ton humble.
êta l'embrassa à nouveau, goulûment...
- Eh bien d'accord, à ta supplication, j'accepte de demeurer ici, et de diriger ce foyer et tout ce qui s'y rapporte
- Tout ce que tu voudras, lui glissa Sémélé, tremblante, tandis que la main d'êta se glissait doucement entre ses cuisses...
- Je déciderai de tout, tu te plieras à toutes mes volontés, ainsi que tous ceux et celles qui y vivent
- Oui, oh oui... prononça Sémélé avec une servile reconnaissance
- Bien, d'abord montre-moi tes robes, ordonna êta. (Sémélé lui présenta toutes ses tenues et la jeune femme choisit une tunique courte, fermée sur une épaule par une fibule d'or) - Toi tu resteras toujours nue désormais, jamais plus tu ne porteras un quelconque habit, à partir de cet instant, ordonna-t-elle à Sémélé, je ne t'impose pas de porter un collier d'esclave, mais dans cette demeure, tu devras toujours te tenir à un pas derrière moi lors de mes déplacements et tu t'agenouilleras à mes pieds lorsque je stopperai… Maintenant nous allons exposer les nouvelles règles à ton Oïkos, il est nécessaire que mes décisions soient annoncées par tes propres lèvres à toute la maisonnée...
Elles sortirent dans la cour et êta claqua dans ses mains, voyant accourir tous les esclaves appartenant à l'Oïkos de Sophoclès, esclaves habitués à venir au plus vite à la moindre frappe des mains. Quatre femelles et trois mâles, dont celui qui lui avait prodigué tant de plaisir lors de son arrivée... Devant ses esclaves, la femme bourgeoise si autoritaire d’habitude mais devenue soumise à êta compris de suite qu’elle position elle devait prendre et donc c’est face à son petit cheptel qu’elle s’agenouilla auprès d'êta sans aucune hésitation, la tête inclinée, Sémélé, d’une voix claire afin que tous entendent, qu’elle fit le point précis des nouvelles règles qui régiraient désormais le fonctionnement de la demeure, sous l'autorité exclusive et absolue de la blonde jeune femme qui toisait l'assistance avec satisfaction…
(A suivre...)
êta et Sémélé restèrent bien longtemps au lit, avec pour musique de fond les gémissements de Sophoclès contraint de combler les désirs ardents des deux esclaves musiciens qui ne se privèrent pas de sodomiser maintes fois le commerçant grec si attiré par la soumission masculine... Au matin, êta se leva tôt, tandis que Sémélé demeurait alanguie entre les draps froissés qui avait abrité leurs innombrables ébats saphiques qui avaient duré presque jusqu’au petit matin avant qu’elles ne s’assoupissent toutes les deux de fatigue. êta, toujours aussi belle, se recoiffait devant un miroir de métal poli, assise nue sur un tabouret tournant le dos au lit. Sémélé se réveillait doucement, encore toute assoupie et repue de plaisirs... les deux femmes avaient échangé maintes caresses, mêlés leurs corps et leurs fluides, s'offrant l'une à l'autre des mains, de la bouche... leurs sexes dégoulinants de jouissance, sans la moindre retenue. Sémélé admirait les formes parfaites de cette jeune femelle qui l'avait faite gémir et même rugir de plaisir tout au long de la nuit écoulée. La femme mûre se leva, se dandinant jusqu'à la tablette devant laquelle êta se préparait. Elle déposa ses mains dominatrices sur les épaules de la jeune esclave blonde, et caressant la nuque, le cou, et la poitrine de la femelle, tout en poussant son propre visage dans l'épaisse toison dorée de la chevelure blonde, afin de humer une fois encore le doux parfum naturel de son amante. Puis descendant ses mains sur les tétons d’êta, tétons qu’elle pinçait vicieusement en faisant rouler ses doigts tout en serrant doucement, elle lui murmurait à l’oreille tout en mordillant le lobe :
- Que fais-tu ? … Reviens au lit, je t'en prie, dit Sémélé d'une voix doucereuse
- La nuit fut délicieuse, vraiment, souffla êta, mais je dois découvrir la ville. Merci pour l'hospitalité que tu m'as accordée, mais il est temps...
Sémélé se raidit comme si on l'avait souffletée
- Quoi !? Partir, déjà ? mais non, NON ! C'est hors de question ! Tu ne peux pas, cria-t-elle
êta se redressa et lui fit face avec un doux sourire. Elle embrassa Sémélé après avoir maintenu un regard égal à celui qu’elle recevait de la riche bourgeoise. Pour êta c’était la première fois qu’elle se sentait capable de maintenir, sans baisser un seul instant les yeux, un regard dominant. Leurs langues se trouvant comme une évidence dans de fougueux échanges buccaux...
- Je ne puis rester... j'ai encore tout un monde à découvrir, dit êta avec tendresse,
Une tendresse sincère qui ne voulait pas blesser celle dont elle avait partagé la nuit et le désir. Elle se méfiait aussi et savait que si la maîtresse de maison voulait la contraindre à rester en sa demeure, elle disposait des esclaves mâles nécessaires à réduire toute velléité d'évasion... Et quelle ne fut pas une incroyable surprise pour êta lorsque Sémélé s'effondra à ses pieds... sanglotant, elle qui paraissait jusque-là une femme à poigne, froide, rigide, envers les esclaves … Saisissant les chevilles d’êta entre ses mains et lui baisant les pieds, elle pleurait désormais abondement, pour lui confesser :
- Reste, je t'en supplie, implora-t-elle, reste, tu m'as fait connaître un plaisir jusque-là inaccessible, reste entre ces murs, encore un peu, suppliait-elle.., jamais une femme m’avait donné autant de jouissances…
êta contemplait cette femme aux habitudes hautaines, à l'autorité affirmée, qui avait su mener son mari à la baguette, diriger une maisonnée d'esclaves, maîtresse incontestée en son Oïkos et soudainement soumise et implorante alors qu'elle n'aurait eu qu'un ordre à lancer... La femme nue restait accroupie aux pieds d'êta et cela plut à êta... et continuant à pleurer, la bourgeoise continua :
- … S'il te plait... je t'en supplie, reste... tu auras tout ce que tu voudras, mais ne me prive pas de toi, par pitié, suppliait Sémélé, je …. Je suis et je parais autoritaire aux yeux de tous, mais saches combien sous ma carapace de fer, je suis en réalité si fragile, car je ressens très souvent un besoin que je ne peux expliquer, un besoin similaire à celui de mon mari avec les hommes, mais moi c’est surtout avec les femmes que l’attirance à la soumission s’empare très souvent de moi, dans mon esprit, dans mon corps...
êta ressentait comme un feu nouveau brûlant en elle, faisant battre son coeur et faisant naître entre ses cuisses une forme de désir nouveau. Depuis si longtemps, depuis son réveil nue et amnésique sur une plage, elle avait été docile et soumise, exploitée et possédée da tant de façons ! Elle avait été abusée, avait subi tous les assauts possibles, donné du plaisir à tant de femmes et d'hommes, offert chacun de ses orifices, que ce soit séparément ou en même temps... elle avait été prise, pénétrée, investie, façonnée comme le réceptacle de tant de plaisirs et de jouissances. Elle en était devenue une forme d'incarnation, dressée à satisfaire les désirs les plus inimaginables ! Mais voilà que ce qu'elle avait jusque-là subi, devenait une arme et faisait d'elle celle qui décide... Elle regardait Sémélé rampant à ses pieds et un sourire gagna son si fin et beau visage... Une sensation nouvelle envahissait êta, une sensation qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant, une sensation de Domination... Ainsi, celle qui avait été esclave se trouvait maintenant en position de Supériorité. Devant elle, une noble dame rampait et suppliait, tandis que son mari, un citoyen respecté de la fameuse et puissante Cité de Thèbes était encore affalé sur le sol, nu, après avoir été la chose, la lopette de deux esclaves aux verges dures... Quel étrange contexte s'offrait là... êta contempla encore la femme, mûre mais encore belle, qui posait humblement ses lèvres sur ses pieds en attendant sa décision...
- Je ne sais.. commenta êta, je veux découvrir la Cité. Sans doute me faudra-t-il plusieurs jours pour cela... (Sémélé léchait maintenant les orteils d'êta) …Mais … si je disposais d'un pied à terre... Pourquoi pas...
Sémélé se redressa, demeurant à genoux et contemplant êta au-dessus d'elle :
- Oh oui ! Oh par pitié, reste ! reste céans, je t'en supplie, tu y seras chez toi je te l'assures !
êta se pencha et saisit le menton de Sémélé, plongeant son regard d'un bleu profond dans ceux de Sémélé
- Chez moi... Vraiment ?
- Oui, oh oui, chez toi... Maîtresse entre ces murs, affirma la femme d'une voix tremblante…
êta était fascinée par la facilité avec laquelle cette femme était devenue si humble et soumise... Une nuit de jouissance suffisait donc à enchaîner un être humain. Elle comprit mieux les événements qui avaient jalonné ses aventures et ressentit qu'elle prenait beaucoup de plaisir à ne plus subir, mais à imposer... La tenant toujours par le menton, elle força son hôte à se relever et la saisit par la taille, accolant leurs corps nus et encore chauds de leur intense nuit, elle se frotta contre elle, poitrine contre poitrine, tétons dressés, contre tétons dressés. Puis êta la gifla brusquement. Sémélé, surprise, la regarda intensément.
- Tu l'as dit, Maîtresse entre ces murs. Et il ne peut y avoir qu'une Maîtresse, n'est-ce pas ?
- Oui, murmura Sémélé et c'est toi désormais, mais reste pour cela, je t’en supplie, poursuivit-elle d'un ton humble.
êta l'embrassa à nouveau, goulûment...
- Eh bien d'accord, à ta supplication, j'accepte de demeurer ici, et de diriger ce foyer et tout ce qui s'y rapporte
- Tout ce que tu voudras, lui glissa Sémélé, tremblante, tandis que la main d'êta se glissait doucement entre ses cuisses...
- Je déciderai de tout, tu te plieras à toutes mes volontés, ainsi que tous ceux et celles qui y vivent
- Oui, oh oui... prononça Sémélé avec une servile reconnaissance
- Bien, d'abord montre-moi tes robes, ordonna êta. (Sémélé lui présenta toutes ses tenues et la jeune femme choisit une tunique courte, fermée sur une épaule par une fibule d'or) - Toi tu resteras toujours nue désormais, jamais plus tu ne porteras un quelconque habit, à partir de cet instant, ordonna-t-elle à Sémélé, je ne t'impose pas de porter un collier d'esclave, mais dans cette demeure, tu devras toujours te tenir à un pas derrière moi lors de mes déplacements et tu t'agenouilleras à mes pieds lorsque je stopperai… Maintenant nous allons exposer les nouvelles règles à ton Oïkos, il est nécessaire que mes décisions soient annoncées par tes propres lèvres à toute la maisonnée...
Elles sortirent dans la cour et êta claqua dans ses mains, voyant accourir tous les esclaves appartenant à l'Oïkos de Sophoclès, esclaves habitués à venir au plus vite à la moindre frappe des mains. Quatre femelles et trois mâles, dont celui qui lui avait prodigué tant de plaisir lors de son arrivée... Devant ses esclaves, la femme bourgeoise si autoritaire d’habitude mais devenue soumise à êta compris de suite qu’elle position elle devait prendre et donc c’est face à son petit cheptel qu’elle s’agenouilla auprès d'êta sans aucune hésitation, la tête inclinée, Sémélé, d’une voix claire afin que tous entendent, qu’elle fit le point précis des nouvelles règles qui régiraient désormais le fonctionnement de la demeure, sous l'autorité exclusive et absolue de la blonde jeune femme qui toisait l'assistance avec satisfaction…
(A suivre...)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
voici un rebondissement qui me ravit... Je vais adorer la suite
Lholo
Lholo