Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 48)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 48)
Les 12 servitudes d'Hélène : La valse des vétérans –
Ménélas et sa jeune concubine étaient partis... Hélène demeurait seule sur sa paillasse, enchaînée à la grille de sa cage. Toute autre se serait désespérée, mais Hélène sous l'apparence d'êta l'esclave amnésique n'avait jamais cédé au désespoir, et redevenue elle-même, il n'était pas question de se montrer faible. Elle s'était laissée conduire jusqu'ici avec docilité, elle avait subi humiliations et tourments dans un seul but : Venir à bout de son époux, Ménélas le Roi de Sparte et ainsi au final soit de repartir d'ici enfin totalement libre, soit de reconquérir son statut de Reine de Sparte quitte à passer par mille épreuves. Car au fil du temps et des servitudes subies aux quatre coins du monde connu, elle avait beaucoup appris et savait au moins une chose : Elle voulait dominer son destin et pour le dominer, elle devait tirer un trait définitif sur sa vie passée en tant qu’esclave, pour devenir une autre, plus forte, plus déterminée, devenir tout simplement Dominatrice ! Mais avant cela, la Belle Hélène savait qu'il y aurait, donc, bien des épreuves à subir. Ménélas n'en avait pas fini avec sa soif de vengeance et de perversité. En le quittant pour suivre le jeune et beau prince troyen Pâris, elle avait bafoué l'honneur de l'un des plus puissants monarques du Péloponnèse et mobilisé toutes les forces de la Grèce. Elle devait payer pour cela, quitte à subir les pires affronts, les plus avilissantes des situations, faire croire à son abandon, sa docilité, pour mieux reprendre la situation en mains. En savourant le plaisir qu'elle avait offert à la jeune femme qui accompagnait désormais Ménélas, elle savait déjà comment accomplir ses desseins...
Plus haut dans le palais, dans les appartements royaux, Ménélas tirait un plaisir bestial et instinctif de sa jeune favorite. Elle s'abandonnait à lui docilement, consciente que l'avenir de sa noble famille dépendait du bon vouloir du Roi. Et ce que voulait le Roi, c'était qu'elle satisfasse toutes ses fantaisies, qu'elle se donne à lui sans jamais rechigner, ouvrant ses cuisses, ses lèvres ou son cul chaque fois qu'il l'ordonnait et qu'elle gémisse, râle, crie pour bien montrer à son souverain combien sa virilité était affirmée. Par chance, le Roi était le plus souvent sous l'effet du vin et ne se rendait pas vraiment compte du manque de raideur de ses attributs. Aussi la jeune femme pouvait-elle simuler facilement le plaisir, se contentant de lui affirmer le lendemain combien il avait su la combler. Hélas, ce matin il était sobre et la lourde masse de son corps pesait sur la frêle jeune femme qui gémissait au rythme des coups de boutoir royaux. Ménélas cependant ne parvenait pas à bander comme il l'aurait voulu. Il se sentait nauséeux, préoccupé... Tout en baisant sa favorite, choisie pour sa beauté si proche bien que plus banale et sans éclat à celle de son épouse officielle et infidèle, il ne pensait qu'à Hélène, aux années écoulées, à la guerre, à la destruction de Troie et au désir qu'il avait de cette femelle qui l'avait bafoué et dont il voulait tirer vengeance, tout en brûlant de désir pour elle... Bref sa pensée pour Hélène l’obsédait pleinement. Seule cette pensée d'Hélène lui permit de durcir suffisamment afin de satisfaire celle qui gémissait sous lui... Alors il la baisa jusqu’à qu’il jouisse dans son con s’imaginant copuler avec son épouse royale, puis lui intima l'ordre de le laisser seul.
Tandis que la jeune femme s'éloignait totalement dénudée, il contempla la fine silhouette, les courbes si harmonieuses, les longs cheveux blonds qu'il ordonnait que l'on décolora plus encore afin que leur teinte s'approche de celle de cette si merveilleuse toison qui tombait en cascade sur les épaules d'Hélène. Cette fille, Clytia, était belle, très belle, certes... Mais nulle beauté ne pouvait rivaliser avec celle que même les Dieux avaient désignée du nom de Belle Hélène. Une guerre sanglante avait opposé les deux plus grandes puissances du monde connu au nom de cette beauté. Des milliers d'hommes étaient morts, une Cité avait été rasée, et pas n’importe laquelle en l’occurrence celle de la si prestigieuse Cité de Troie, une dynastie effacée pour cette beauté ! Et lui Ménélas avait été, du début à la fin, le dindon de la farce ! La colère montait donc en lui... Le désir fou pour cette beauté d’Hélène quasi demi-déesse demeurait mais la haine le dépassait. Ménélas devait se venger en infligeant à son épouse les pires tourments pervers, il voulait l'humilier, l'avilir, la livrer aux yeux de son peuple définitivement brisée et soumise ! Le Roi ne manquait pas d'idées pour cela et justement, il en avait une qui venait de germer dans son esprit......Tandis que Ménélas ruminait de sombres projets contre Hélène, sa jeune favorite, s'étant lavée des assauts qu'elle venait de subir dans la couche royale, avait revêtu un fort banal chiton et avait couvert ses cheveux d'un voile aussi gris que toute sa tenue. Seule, elle avait parcouru avec discrétion les couloirs, jusqu'à l'escalier étroit qui menait aux sous-sols où avait été placée la cage qui servait de geôle à la reine Hélène. Avec souplesse et légèreté, elle parvint jusqu'à la grande salle souterraine taillée dans la roche, munie d'une simple torche. Aussitôt qu'elle parvint, Hélène sut que l'on approchait et aux pas elle devina une présence pas forcément hostile à sa personne... Une présence laquelle elle savait déjà pourquoi elle parvenait jusqu’à elle. Alors elle se redressa et s'approcha de la porte de sa cage, guettant l'arrivée de sa visiteuse. Celle-ci ne tarda pas, stoppant net à un mètre de la cage... semblant ne plus savoir ce qu'elle venait faire là... Un long silence s'instaura, puis...
- Approche, dit Hélène d'une voix douce avec un sourire angélique, tendant la main à travers les barreaux de sa cage.
La jeune femme demeure immobile, comme subjuguée, impressionnée autant par l’extrême beauté naturelle et sans artifice de la Belle Hélène que par tout ce qu’elle a entrainé comme conséquences dans l’Histoire de la Grèce, justement à cause de cette beauté Divine hors norme.
- Allons, approche... tu n'es pas venue jusqu'ici sans raison...
La jeune femme hésitait encore, alors Hélène recula d'un pas
- Tu vois, tu n'as rien à craindre, je suis enchaînée et en cage... Quel mal pourrais-je te faire ? Jusqu'ici, ne t'ai-je pas plutôt fait du bien ?
La jeune visiteuse aspira un grand bol d'air, avant de murmurer
- Oui... mais vous étiez obligée, le Roi l'avait ordonné...
- Certes, mais as-tu senti en moi quelque réticence ? Ou plutôt une sorte de communion entre nos corps ?
La jeune femme hésitait encore, mais elle avançait imperceptiblement sa jambe
- Si ! oh... si... c'est vrai, dit-elle enfin, franchissant le court espace qui la tenait à distance des grilles.
Elle regardait maintenant Hélène, avec un regard profond... Hélène ne bougeait pas, demeurant immobile dans une attitude aussi neutre que possible sous ce regard à la fois scrutateur et innocent...
- C'est vrai que je vous ressemble me dit-on, mais pourtant vous êtes tellement plus belle, prononça doucement la jeune femme, Hélène sourit encore
- Tu es belle aussi
- Oui on me le dit, même sa Majesté le dit parfois, mais maintenant je sais qu'il ne m'a choisie que pour vous ressembler. Et d'ailleurs, il a exigé de moi que j'éclaircisse mes cheveux, que j'apprenne à marcher, à me comporter à votre façon...
Hélène regardait avec tendresse la jeune femme
- Comment t'appelles-tu ?
- Clytia
- Tu aimes Ménélas ?
Clytia hésita longuement à avouer la vérité... sa lèvre inférieure tremblait... c'est presque dans un sanglot qu'elle dit finalement pour se libérer de son oppression
- Il me dégoute. C’est un porc… un sale porc. Son corps épais et lourd, ses poils, sa barbe sale, l'odeur de transpiration qui l'environne en permanence... Mais lorsqu'il m'a choisie, parmi une centaine de jeunes femmes de nobles familles, il m'a dit que je pourrai jouir de tous les plaisirs d'une Reine, mais que si je n'étais pas parfaitement docile, ma famille en paierait le prix fort. Depuis il a fait de moi sa concubine et je lui obéis en tout, toujours. Je suis devenu sa catin, c’est terrible et j'en ai assez... Enfin ! Je ne sais pas pourquoi je suis là...
- Moi je sais, dit Hélène d'un ton maternel, je peux t'approcher ?
Clytia hocha la tête et Hélène vint à son tour contre la grille, séparée de la jeune femme seulement par les épais barreaux. Elle passa une main sur la joue de Clytia, caressa ses cheveux et sécha ses larmes avec une infinie douceur
- Oui, je sais pourquoi tu es là... il te faudra un peu de temps, mais tu le comprendras aussi et alors, nous agirons
- Nous ? interrogea Clytia
- Tu comprendras lorsque le moment sera venu, maintenant retourne à tes appartements, ne prenons aucun risque dit Hélène
Et la jeune femme consolée s'éclipsa en un clin d'oeil, sous le regard amusé d'Hélène
- Joli petite... Bientôt tu seras à moi, murmura la captive sans aucune méchanceté mais avec un soupçon de désir
Hélène avait eu du flair en conseillant à Clytia de disparaître. En effet, dans un fort cliquetis de cuirasses, Ménélas venait d'un pas martial rendre visite à son épouse, entouré d'une groupe de gardes en tenues de guerre. Le Roi ouvrit la porte de la cage où il maintenait captive son épouse infidèle et la saisit par les cheveux, lui imposant de ses mains épaisses un pelotage intime qui fit sourire les soldats présents.
- Voyez ! criait Ménélas, voyez la royale putain ! La salope qui s'est offerte à cet éphèbe imberbe de Pâris dont nous avons percé le corps de flèches ! (Il gifla Hélène et la jeta sur la paillasse malodorante...) Puisque les Troyens ont fait de toi une putain, c'est en putain que je vais te traiter ! Je fais parcourir la Cité par des crieurs, qui annoncent que tous les Vétérans rescapés ayant combattu sous les murs de Troie sont invités à venir au palais, tous ! Là, pour la modique somme d'une seule pièce de fer, chacun pourra se payer les services de la plus célèbre catin de Grèce... Toi ! Durant des jours, aussi longtemps qu'il le faudra pour que tous reçoivent leur dû, tu seras la putain, leur putain ! de tous ces hommes qui ont quitté leur Cité, leur famille, pour aller combattre contre Troie par ta faute. Beaucoup trop ne sont pas revenus, mais pour tous les autres, tu vas ouvrir les cuisses, les fesses, et les lèvres... Chacun pourra te fourrer comme bon lui semblera, pour un prix qui fait de toi la moins précieuse des pornaïs de tout le Péloponnèse !
Ménélas éclata de rire, invitant ses gardes à l'imiter... Les rires gras emplirent tout l'espace... Puis, Ménélas s'approcha d'Hélène et la saisit au cou
- Alors, qu'en penses-tu, putain ?
- Il est juste que ces courageux spartiates obtiennent plaisir de leurs sacrifices articula-t-elle
Ménélas éclata encore de rire
- Aaaaaaah ! Te voilà moins fière, sale chienne ! Mais c'est vrai, ce n'est là que le juste salaire de leur valeureux courage et quoi de plus naturel que tu t'acquittes de leur dû avec ce corps pour lequel ils ont tant souffert... Cette fois, c'est du plaisir qu'ils vont tirer de toi et je veux qu'ils soient tous comblés ! est-ce bien compris ?
- Oui mon Roi, répondit Hélène les yeux baissés, faisant naître par son humble obéissance un sourire satisfait sur le visage du Roi.
Il posa son pied lourd sur l’épaule Hélène toujours sur la paillasse et se tournant vers les gardes...
- Puisque vous êtes là, soyez les premiers, lança-t-il aux membres de sa garde d'honneur, qui tous avaient pris une part active à la guerre contre Troie.
Souriant à belles dents, les gardes commençaient à se défaire de leurs cuirasses, s'organisant en file indienne pour prendre chacun leur tour leur part de plaisir entre les cuisses largement ouvertes de leur Reine... Sous le regard de Ménélas, l'officier le plus haut gradé entre dans la cage et se laissa tomber sur le corps offert d'Hélène. La saisissant par les hanches il lui souleva le bassin et enfonça en elle une verge raide et épaisse, commençant à baiser la Belle Hélène en ahanant bruyamment, tandis que pour satisfaire aux ordres de Ménélas, Hélène gémissait et exprimait son plaisir à se livrer ainsi aux assauts intime de ces farouches guerriers...
(A suivre…)
Ménélas et sa jeune concubine étaient partis... Hélène demeurait seule sur sa paillasse, enchaînée à la grille de sa cage. Toute autre se serait désespérée, mais Hélène sous l'apparence d'êta l'esclave amnésique n'avait jamais cédé au désespoir, et redevenue elle-même, il n'était pas question de se montrer faible. Elle s'était laissée conduire jusqu'ici avec docilité, elle avait subi humiliations et tourments dans un seul but : Venir à bout de son époux, Ménélas le Roi de Sparte et ainsi au final soit de repartir d'ici enfin totalement libre, soit de reconquérir son statut de Reine de Sparte quitte à passer par mille épreuves. Car au fil du temps et des servitudes subies aux quatre coins du monde connu, elle avait beaucoup appris et savait au moins une chose : Elle voulait dominer son destin et pour le dominer, elle devait tirer un trait définitif sur sa vie passée en tant qu’esclave, pour devenir une autre, plus forte, plus déterminée, devenir tout simplement Dominatrice ! Mais avant cela, la Belle Hélène savait qu'il y aurait, donc, bien des épreuves à subir. Ménélas n'en avait pas fini avec sa soif de vengeance et de perversité. En le quittant pour suivre le jeune et beau prince troyen Pâris, elle avait bafoué l'honneur de l'un des plus puissants monarques du Péloponnèse et mobilisé toutes les forces de la Grèce. Elle devait payer pour cela, quitte à subir les pires affronts, les plus avilissantes des situations, faire croire à son abandon, sa docilité, pour mieux reprendre la situation en mains. En savourant le plaisir qu'elle avait offert à la jeune femme qui accompagnait désormais Ménélas, elle savait déjà comment accomplir ses desseins...
Plus haut dans le palais, dans les appartements royaux, Ménélas tirait un plaisir bestial et instinctif de sa jeune favorite. Elle s'abandonnait à lui docilement, consciente que l'avenir de sa noble famille dépendait du bon vouloir du Roi. Et ce que voulait le Roi, c'était qu'elle satisfasse toutes ses fantaisies, qu'elle se donne à lui sans jamais rechigner, ouvrant ses cuisses, ses lèvres ou son cul chaque fois qu'il l'ordonnait et qu'elle gémisse, râle, crie pour bien montrer à son souverain combien sa virilité était affirmée. Par chance, le Roi était le plus souvent sous l'effet du vin et ne se rendait pas vraiment compte du manque de raideur de ses attributs. Aussi la jeune femme pouvait-elle simuler facilement le plaisir, se contentant de lui affirmer le lendemain combien il avait su la combler. Hélas, ce matin il était sobre et la lourde masse de son corps pesait sur la frêle jeune femme qui gémissait au rythme des coups de boutoir royaux. Ménélas cependant ne parvenait pas à bander comme il l'aurait voulu. Il se sentait nauséeux, préoccupé... Tout en baisant sa favorite, choisie pour sa beauté si proche bien que plus banale et sans éclat à celle de son épouse officielle et infidèle, il ne pensait qu'à Hélène, aux années écoulées, à la guerre, à la destruction de Troie et au désir qu'il avait de cette femelle qui l'avait bafoué et dont il voulait tirer vengeance, tout en brûlant de désir pour elle... Bref sa pensée pour Hélène l’obsédait pleinement. Seule cette pensée d'Hélène lui permit de durcir suffisamment afin de satisfaire celle qui gémissait sous lui... Alors il la baisa jusqu’à qu’il jouisse dans son con s’imaginant copuler avec son épouse royale, puis lui intima l'ordre de le laisser seul.
Tandis que la jeune femme s'éloignait totalement dénudée, il contempla la fine silhouette, les courbes si harmonieuses, les longs cheveux blonds qu'il ordonnait que l'on décolora plus encore afin que leur teinte s'approche de celle de cette si merveilleuse toison qui tombait en cascade sur les épaules d'Hélène. Cette fille, Clytia, était belle, très belle, certes... Mais nulle beauté ne pouvait rivaliser avec celle que même les Dieux avaient désignée du nom de Belle Hélène. Une guerre sanglante avait opposé les deux plus grandes puissances du monde connu au nom de cette beauté. Des milliers d'hommes étaient morts, une Cité avait été rasée, et pas n’importe laquelle en l’occurrence celle de la si prestigieuse Cité de Troie, une dynastie effacée pour cette beauté ! Et lui Ménélas avait été, du début à la fin, le dindon de la farce ! La colère montait donc en lui... Le désir fou pour cette beauté d’Hélène quasi demi-déesse demeurait mais la haine le dépassait. Ménélas devait se venger en infligeant à son épouse les pires tourments pervers, il voulait l'humilier, l'avilir, la livrer aux yeux de son peuple définitivement brisée et soumise ! Le Roi ne manquait pas d'idées pour cela et justement, il en avait une qui venait de germer dans son esprit......Tandis que Ménélas ruminait de sombres projets contre Hélène, sa jeune favorite, s'étant lavée des assauts qu'elle venait de subir dans la couche royale, avait revêtu un fort banal chiton et avait couvert ses cheveux d'un voile aussi gris que toute sa tenue. Seule, elle avait parcouru avec discrétion les couloirs, jusqu'à l'escalier étroit qui menait aux sous-sols où avait été placée la cage qui servait de geôle à la reine Hélène. Avec souplesse et légèreté, elle parvint jusqu'à la grande salle souterraine taillée dans la roche, munie d'une simple torche. Aussitôt qu'elle parvint, Hélène sut que l'on approchait et aux pas elle devina une présence pas forcément hostile à sa personne... Une présence laquelle elle savait déjà pourquoi elle parvenait jusqu’à elle. Alors elle se redressa et s'approcha de la porte de sa cage, guettant l'arrivée de sa visiteuse. Celle-ci ne tarda pas, stoppant net à un mètre de la cage... semblant ne plus savoir ce qu'elle venait faire là... Un long silence s'instaura, puis...
- Approche, dit Hélène d'une voix douce avec un sourire angélique, tendant la main à travers les barreaux de sa cage.
La jeune femme demeure immobile, comme subjuguée, impressionnée autant par l’extrême beauté naturelle et sans artifice de la Belle Hélène que par tout ce qu’elle a entrainé comme conséquences dans l’Histoire de la Grèce, justement à cause de cette beauté Divine hors norme.
- Allons, approche... tu n'es pas venue jusqu'ici sans raison...
La jeune femme hésitait encore, alors Hélène recula d'un pas
- Tu vois, tu n'as rien à craindre, je suis enchaînée et en cage... Quel mal pourrais-je te faire ? Jusqu'ici, ne t'ai-je pas plutôt fait du bien ?
La jeune visiteuse aspira un grand bol d'air, avant de murmurer
- Oui... mais vous étiez obligée, le Roi l'avait ordonné...
- Certes, mais as-tu senti en moi quelque réticence ? Ou plutôt une sorte de communion entre nos corps ?
La jeune femme hésitait encore, mais elle avançait imperceptiblement sa jambe
- Si ! oh... si... c'est vrai, dit-elle enfin, franchissant le court espace qui la tenait à distance des grilles.
Elle regardait maintenant Hélène, avec un regard profond... Hélène ne bougeait pas, demeurant immobile dans une attitude aussi neutre que possible sous ce regard à la fois scrutateur et innocent...
- C'est vrai que je vous ressemble me dit-on, mais pourtant vous êtes tellement plus belle, prononça doucement la jeune femme, Hélène sourit encore
- Tu es belle aussi
- Oui on me le dit, même sa Majesté le dit parfois, mais maintenant je sais qu'il ne m'a choisie que pour vous ressembler. Et d'ailleurs, il a exigé de moi que j'éclaircisse mes cheveux, que j'apprenne à marcher, à me comporter à votre façon...
Hélène regardait avec tendresse la jeune femme
- Comment t'appelles-tu ?
- Clytia
- Tu aimes Ménélas ?
Clytia hésita longuement à avouer la vérité... sa lèvre inférieure tremblait... c'est presque dans un sanglot qu'elle dit finalement pour se libérer de son oppression
- Il me dégoute. C’est un porc… un sale porc. Son corps épais et lourd, ses poils, sa barbe sale, l'odeur de transpiration qui l'environne en permanence... Mais lorsqu'il m'a choisie, parmi une centaine de jeunes femmes de nobles familles, il m'a dit que je pourrai jouir de tous les plaisirs d'une Reine, mais que si je n'étais pas parfaitement docile, ma famille en paierait le prix fort. Depuis il a fait de moi sa concubine et je lui obéis en tout, toujours. Je suis devenu sa catin, c’est terrible et j'en ai assez... Enfin ! Je ne sais pas pourquoi je suis là...
- Moi je sais, dit Hélène d'un ton maternel, je peux t'approcher ?
Clytia hocha la tête et Hélène vint à son tour contre la grille, séparée de la jeune femme seulement par les épais barreaux. Elle passa une main sur la joue de Clytia, caressa ses cheveux et sécha ses larmes avec une infinie douceur
- Oui, je sais pourquoi tu es là... il te faudra un peu de temps, mais tu le comprendras aussi et alors, nous agirons
- Nous ? interrogea Clytia
- Tu comprendras lorsque le moment sera venu, maintenant retourne à tes appartements, ne prenons aucun risque dit Hélène
Et la jeune femme consolée s'éclipsa en un clin d'oeil, sous le regard amusé d'Hélène
- Joli petite... Bientôt tu seras à moi, murmura la captive sans aucune méchanceté mais avec un soupçon de désir
Hélène avait eu du flair en conseillant à Clytia de disparaître. En effet, dans un fort cliquetis de cuirasses, Ménélas venait d'un pas martial rendre visite à son épouse, entouré d'une groupe de gardes en tenues de guerre. Le Roi ouvrit la porte de la cage où il maintenait captive son épouse infidèle et la saisit par les cheveux, lui imposant de ses mains épaisses un pelotage intime qui fit sourire les soldats présents.
- Voyez ! criait Ménélas, voyez la royale putain ! La salope qui s'est offerte à cet éphèbe imberbe de Pâris dont nous avons percé le corps de flèches ! (Il gifla Hélène et la jeta sur la paillasse malodorante...) Puisque les Troyens ont fait de toi une putain, c'est en putain que je vais te traiter ! Je fais parcourir la Cité par des crieurs, qui annoncent que tous les Vétérans rescapés ayant combattu sous les murs de Troie sont invités à venir au palais, tous ! Là, pour la modique somme d'une seule pièce de fer, chacun pourra se payer les services de la plus célèbre catin de Grèce... Toi ! Durant des jours, aussi longtemps qu'il le faudra pour que tous reçoivent leur dû, tu seras la putain, leur putain ! de tous ces hommes qui ont quitté leur Cité, leur famille, pour aller combattre contre Troie par ta faute. Beaucoup trop ne sont pas revenus, mais pour tous les autres, tu vas ouvrir les cuisses, les fesses, et les lèvres... Chacun pourra te fourrer comme bon lui semblera, pour un prix qui fait de toi la moins précieuse des pornaïs de tout le Péloponnèse !
Ménélas éclata de rire, invitant ses gardes à l'imiter... Les rires gras emplirent tout l'espace... Puis, Ménélas s'approcha d'Hélène et la saisit au cou
- Alors, qu'en penses-tu, putain ?
- Il est juste que ces courageux spartiates obtiennent plaisir de leurs sacrifices articula-t-elle
Ménélas éclata encore de rire
- Aaaaaaah ! Te voilà moins fière, sale chienne ! Mais c'est vrai, ce n'est là que le juste salaire de leur valeureux courage et quoi de plus naturel que tu t'acquittes de leur dû avec ce corps pour lequel ils ont tant souffert... Cette fois, c'est du plaisir qu'ils vont tirer de toi et je veux qu'ils soient tous comblés ! est-ce bien compris ?
- Oui mon Roi, répondit Hélène les yeux baissés, faisant naître par son humble obéissance un sourire satisfait sur le visage du Roi.
Il posa son pied lourd sur l’épaule Hélène toujours sur la paillasse et se tournant vers les gardes...
- Puisque vous êtes là, soyez les premiers, lança-t-il aux membres de sa garde d'honneur, qui tous avaient pris une part active à la guerre contre Troie.
Souriant à belles dents, les gardes commençaient à se défaire de leurs cuirasses, s'organisant en file indienne pour prendre chacun leur tour leur part de plaisir entre les cuisses largement ouvertes de leur Reine... Sous le regard de Ménélas, l'officier le plus haut gradé entre dans la cage et se laissa tomber sur le corps offert d'Hélène. La saisissant par les hanches il lui souleva le bassin et enfonça en elle une verge raide et épaisse, commençant à baiser la Belle Hélène en ahanant bruyamment, tandis que pour satisfaire aux ordres de Ménélas, Hélène gémissait et exprimait son plaisir à se livrer ainsi aux assauts intime de ces farouches guerriers...
(A suivre…)
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