Les changements de rôles. Coté homme et femelle. - histoire érotique

J'étais dans un bar du port, un endroit connu pour ses "filles à marins", perso, c'est pas mon genre.

Mais quand l'une d'elle est jolie, et qu'elle s'intéresse à moi, j'en profite ! Je ne sais pas dire non !

Ce soir là, C'est une certaine Adeline qui me fait du charme.
Ca me surprend un peu, la fille est très jolie, mais surtout, elle est plus grande que moi !
J'ai du mal, dans ces cas là.

Elle a jeté son dévolu sur moi, c'est clair, je n'ai donc rien à faire pour la séduire.
Au point que c'est elle qui fait le premier pas, alors que nous sommes appuyés contre la vitre du bar, à l'extérieur.

Elle se tourne d'un coup, pour m'embrasser.
Je suis encore surpris, mais je répond vite à son baiser.
On sépare nos lèvres.

"Eh ben, tu m'as pas laissé le choix !".
"Non ! Tu m'plais trop ! On t'a déjà dit que tu embrassais bien ?".
"Oui ! Mais, merci quand même !".
"Ca ne m'étonnes pas ! On recommence ?".

La suite est un enchainement de mélanges de langues, langoureux et très agréable.
Elle me lâche:

"j'suis contente ! Je te voulais, et je t'ai eu !".
"Tant que ça ?".
"Oui".

Elle m'offre encore sa bouche.
Inévitablement, mes mains cherchent à découvrir ses formes.
J'adore deviner sa taille fine, puis la courbure de ses fesses, sous mes doigts.
Je commence à bander fermement.

Ses seins se mettent à raffermir, sous les paumes de mes deux mains.

"Orhhh ! Pascal, Tu m'excites ! Arrêtes !".
"Le bar va fermer, tu veux rentrer chez toi ? Je peux t'accompagner !".

"On peut pas aller chez toi ? Plutôt !".
"T'es sure de ton choix, tu sais ce qui va se passer ?".

"Oui ! J'ai 18 ans, et je fais ce que je veux ! J'en ai envie !".

Elle prend mon visage à deux mains, pour me donner un nouveau baiser, bien plus fougueux que les précédents.

Je sens en elle, un désir puissant pour moi, ce qui me touche.
Je me dois de lui faire plaisir ! En étant au moins, à la hauteur de ses attentes.

Je me sens illégitime à ses cotés, plus petit qu'elle, pendant qu'elle me tient par la main.
J'ai hâte que l'on soit à l'horizontale, pour annuler ce sentiment gênant.

A présent, nous sommes l'un face à l'autre, dans mon appartement.
Je l'assois sur mon lit, puis me penche pour lui embrasser le cou, ensuite pour lui mordiller.
Elle gémit en se cambrant de plaisir.

"Orhhh ! Oui ! T'es doué avec ta bouche ! J'adore tes mains aussi ! On m'a pas menti ! C'est vrai ce qu'on dit sur toi !".
"Ah bon ? Qu'est ce qu'on dit, de si spécial ?".
"Que tu fais bien l'amour ! Et elles ont raison, les filles ! Prends-moi, j'ai envie !".

Je mets cette information dans un recoin de mon esprit, c'est pas le moment, je ne veux pas gâcher cet instant très agréable.
Je la couche sous moi, pour lui défaire son chemisier, afin d'accéder à ses seins généreux.
Je m'en saisi à pleines mains, pour les malaxer, et les dévorer à pleine bouche.

"Orhhhh ! Ouiii ! Pascal ! C'est trop bon ! Encorrrrrrrrrrrrre ! Arhhhhhhhhhhhh !".

J'insiste longuement, conforté par ses réactions.
Son corps se cambre sous le mien, chaque râle m'encourage à aller plus loin.

"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Encoooorrre ! Arghhhhhhhhhhhh...".

Elle vient d'atteindre un orgasme mammaire, avec étonnement.

"Orhhh ! Bon dieu ! C'était trop fort ! On m'a jamais fait jouir comme ça, avant toi !".

Je replonge sur ses seins, j'en suis addict !

Ensuite, je commence à la dénuder entièrement, elle m'aide, comme si elle voulait s'offrir à moi, sans retenue.
Je m'ôte le bouton de braguette, pendant qu'elle me soulève le Tee-Shirt.
Puis, fait glisser ses doigts sur mes fesses pour me dénuder le bas du corps.

Quand je reviens vers elle, elle ouvre ses cuisses, en me saisissant la verge.

"Orhhh ! J'ai envie de toi, Pascal ! Prends moi ! Fais moi jouir !".

Tout se bouscule dans mon esprit, je dois bien me contrôler !
J'ai toujours peur de jouir trop vite ! Mon truc, c'est de me mettre dans le rôle de l'amoureux passionné.
C'est ce qui marche le mieux pour mon cas ! Si je la baise, je vais éjaculer en quelques minutes !
Et en plus, la baise, c'est pas mon plaisir préféré, avec une fille.
Il faut dire qu'Adeline a tout pour me motiver, son corps est magnifique.

Je m'insère en elle, sans cesser de l'embrasser, lui dévorer les seins.
Lui caresser, frotter fermement toutes parties accessibles.
Je m'arrête de la prendre parfois, pour lui sucer la chatte, ou les nichons, comme un affamé.
Je me retiens de lui dévorer l'anus, c'est trop tôt !

Elle prend plusieurs orgasmes, j'ai atteint mon but !
Je pivote au dessus d'elle, puis plonge entre ses cuisses pour un nouveau cunnilingus.
Elle me prend dans sa bouche.

Putain, elle me suce comme une reine !
On pivote sur le coté, jusqu'au moment où elle convulse, en collant sa chatte contre ma bouche, avec sa main.
Elle devient folle et me dévore la queue avec trop de gourmandise !
Je peux plus me retenir !

"Arghhhhh ! Adeline ! Stop ! Je vais jouir ! C'est trop bon !".
"Mmmmmm ! MMMMMMMMmmmmmmm ! Viens, j'en ai envie ! Je le veux !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhhhh ! Oui, comme çaaaaaaaaaaaaaa !".

Elle m'avale goulument, je ressens toute sa passion pour moi.
Mon plaisir en est augmenté, j'ai l'impression que ma verge éclate dans sa gorge.

Puis, je me relâche dans un bonheur extrême, alors qu'elle continue de me lécher la queue avec tendresse.

"Hummmm ! C'était trop bon, Pascal ! On m'a jamais fait l'amour comme ça ! Je comprend les autres filles, maintenant !".
"Orghhh ! Putain, j'adore ta bouche, Adeline ! Ne t'arrêtes pas, j'aime trop ça !".

C'est moi qui lui donne l'impulsion, pour qu'elle se place face à moi.
Après quelques baisers tendres, elle me propose une vraie relation.

"Ca va pas être possible Adeline, je suis pas libre ! J'ai quelqu'un, déjà !".
"Ne me dis pas que tu l'aimes ?".

"Ben si ! Pourquoi ? N'oublies pas que c'est toi, qui t'es jeté sur moi ! J'ai pas eu le choix !".
"T'as pas beaucoup résisté ! Elle a quoi de plus, cette salope ?".

"Ne parles pas d'elle comme ça ! S'il te plait ! Elle n'y est pour rien !".
"Pardon ! Mais moi, j'ai envie de te revoir !".

"Alors, il faut accepter que j'ai quelqu'un d'autre ! C'est comme ça !".
"Bon, je vais essayer ! J'ai trop besoin de faire l'amour avec toi, et je sais que tu vas m'aimer plus fort qu'elle, toi aussi !".
"On verra !".

Pour moi, c'était tout vu, même si Adeline était très jolie, j'étais trop amoureux de ma copine.

Elle s'est endormie dans mes bras, jusqu'au petit matin.
Elle s'étire à mes cotés.

"Hummmmmm ! J'ai trop bien dormi ! Hummmmm ! C'était trop bon, hier soir !".

Je lui souris, elle se blottit contre moi.

"Mmmm... Pascal ! Je suis bien avec toi !".

A ces mots, elle glisse ses doigts vers ma verge, tendue par mon érection matinale.

"Orhh ! Elle est toujours comme ça le matin ?".
"Oui ! Toujours ! Comme tous les hommes !".

Je la vois disparaitre sous le drap, puis ressens sa bouche chaude, qui coulisse sur ma verge.

"Orhhhh ! Oui ! C'est bon ! Continues ! Arhhhhhh !...".

Je prend un plaisir énorme à me faire sucer, tout en caressant ses cheveux blonds.
Puis je la stoppe, pour la calmer.

Elle monte sur mon visage, pour se faire jouir en cunnilingus.
Après son premier orgasme, elle s'empale sur moi, pendant que je m'occupe de lui donner un plaisir mammaire.
Je deviens encore plus fou, de ses gros seins fermes, et sensibles.

Elle atteint les deux plaisirs simultanément, en me donnant de grands coups de vagin sur la queue.
Je m'imprègne de ce double orgasme, putain, ce que j'aime faire jouir une belle fille !

Ca me met dans un état de folie sexuelle boulimique.
Je la tourne pour la prendre avec une fougue passionnée.

Puis, je la place sur le ventre sous moi, et la pénètre en retournant mon corps sur elle.

"Arghhhhhhhhh ! Qu'est-ce que tu fais ? Arghhhhhhh ! C'est trop fort !".

Elle a mes pieds de chaque coté du visage, pendant que je m'accroche aux siens pour lui assener mes assauts dans la chatte.

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhh ! C'est trop fort ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhh !".

Je n'ai aucune pitié, je m'acharne dans son vagin longuement, elle atteint un deuxième, puis un troisième orgasme, encore plus puissant, qui la vide de toute énergie.

""Arghhhhhhhhh ! Stop, Pascal ! C'est trop fort ! J'en peux plus ! Tu ... Arrêtes, tu me tues !".

Je me retire doucement, ma verge sort en étant trempée de sa mouille vaginale, si fort qu'elle tache le drap en s'éjectant.
Ce qui me fait remarquer qu'elle a inondé le matelas entre ses cuisses.

"T'es le premier mec qui me fait ça ! Désolée, je voulais pas tacher tes draps ! Putain ! Tu m'as fait trop jouir !".

Je la vois se couvrir la vulve avec ses mains.

"C'est la première fois que ça t'arrives ?".
"Euh... Je sais pas, si je peux le dire ! J'ai peur de ce que tu vas penser de moi !".
"Même après ce qu'on a fait ?".

"Bon, ok ! En fait, ça m'arrive que quand je me... Tu sais bien ?".
"Ah ! Tu te branles ! Ou tu te masturbes, si tu préfères !".
"Oui, voilà !".

"Ben, merci de m'offrir ça, j'adore !".
"C'est vrai, tu m'en veux pas ?".
"Pas du tout, au contraire !".

Elle saisit ma verge, encore humide de sa chatte.

"Je peux te faire jouir comme hier ?".
"Bien sur ! Je ne demande pas mieux ! De toute façon, je peux pas autrement, je sais pas, si tu prends la pilule ! Sauf si...!".

"Sauf si, quoi ?".
"Ben, tu devines bien ? Ton petit cul !".

"Ahhh ! Non ! J'ai jamais fait ! Je suis pas prête !".
"Y a pas de souci ! Fais toi plaisir, alors ! J'ai adoré ta bouche, hier soir !".

Je reçois donc, les dividendes du plaisir que je lui ai donné, en me laissant aller dans sa bouche chaude.
Je ressens toute sa passion pour moi, ses bruits buccaux sont excitants à entendre.

Le plaisir monte inexorablement, je le laisse me gagner, sans me soucier de la prévenir au moment fatidique.
Je ne peux m'empêcher de râler mon bonheur, en me secouant le bassin dans sa gorge, quand j'explose en elle.

Elle gémit de tout son corps, en m'avalant.
Chaque enfoncement de ma verge, dans son palais, la comble du bonheur de me faire gicler mon sperme.

L'instant dure longtemps, bien plus long que mon éjaculation.
Elle a avalé ma semence depuis un moment, mais ne veux plus quitter ma verge.

Puis, elle remonte vers moi, pour mélanger ses lèvres aux miennes.

"Tu vas finir par m'aimer ! Tu verras ! Je vais t'obliger à la quitter pour moi ! Je gagnerai ! J'obtiens toujours ce que je veux ! J'aime trop faire l'amour avec toi !".
"T'es une folle !".

"Oui ! Mais, c'est toi qui me rend folle, je suis folle de toi ! Je t'aime déjà ! C'est comme ça ! Faudra t'y faire ! On se revoit quand ?".
"Euh, ...je ...je sais pas ! Je la vois cet après midi ! Donc, ce soir, à partir de 19 h !".

"Bon Ok ! Tu vas la baiser ?".
"Ben, je vais lui faire l'amour ! Oui, peut-être !".
"Bon ! Stop ! Dis plus rien ! Il faut pas que je pense à ça ! Je...".

Je la prend dans mes bras, malgré son coté adorable et touchant, je ne ressens rien pour elle, mis à part un fort besoin de la protéger.
Je ne veux pas lui faire du mal.

Je me lève ensuite, pour prendre soin d'elle, en lui confectionnant un petit déjeuner.
Notre relation va durer quelques semaines, puis devant l'accumulation de problèmes, qu'elle me cause avec ma copine, je la quitterai.
Mais ce jour là, le premier, elle m'a laissé avec une tristesse dans le regard.

J'ai vu ma copine, dans l'après-midi. Ma culpabilité m'a rendu encore plus passionné, quand je lui ai fait l'amour.

Puis, deux semaines plus tard, un soir, vers 18h 45, alors qu'il était convenu qu'elle me rejoigne vers 20 h, j'entend ma sonnerie de porte.

Tiens ? Elle est déjà là ?
J'ouvre, et là ! Stupéfaction !
C'est Ahmed !

"Ahmed ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
"Je passais dans le coin ! Ca te fait pas plaisir ? T'aimes plus ma bite ? Petite salope !".

"Euh... Si... mais c'était pas prévu, et j'attend une fille, on doit se voir dans plus d'une heure !".
"Et ben ! C'est bon, je te baise ! Et tu te débrouilles avec elle, après ! T'as pas le choix, mon chéri !".

Il m'enserre contre lui, en me palpant les fesses.
Il guide ma main vers sa queue, qui commence à bander.

"Ahmed... Je... Je... Mmmmmm ! Mmmmmm !".

Il vient de m'attraper la bouche, sa grosse langue me fouille la gorge.
Sa bite est dure entre mes petits doigts.
Il ouvre sa braguette, sans quitter mes lèvres.

Je me retrouve coincé contre le mur, entrain de lui branler la bite, et en gémissant dans sa bouche.

Il me dénude le bas du corps. Puis me pivote devant lui, en me couvrant l'anus de salive.
Je ressens sa puissante poussée contre mon orifice anal.

"Putain, tu m'as manqué, ma p'tite salope ! Je pense souvent à toi, tu le sais ?".
"Arghhhhhh ! Doucement ! Orghhhhhh ! Salaud ! Tu vas trop vite ! Non, je savais pas ! Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Pourquoi, tu me la mets d'un coup, comme ça ? Arghhhhhhhhhhhh ... T'es trop gros !...".

"Parce que tu m'excites trop ! J'ai trop envie de ta chatte ! Maintenant, j'vais te la démonter, salope ! T'auras plus rien pour ta gonzesse !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! C'est pas ma gonzesse ! C'est une autre !".

"Ben, c'est pareil, pour moi ! Tu pourras pas la baiser ! j'vais te faire gicler ton foutre, en t'éclatant la chatte ! Tu veux ?".
"Orhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui, défonces moi, c'est trop booonn !".

Il s'acharne à me faire vivre mon premier orgasme anal, debout contre le mur, puis m'entraine dans mon salon, pour m'enculer comme une pute, en levrette.

Ce qu'il ignore, c'est que j'ai éjaculé avec ma copine.
Donc, en me sollicitant la prostate, il stimule un besoin de vider ma vessie.
Je gicle entre mes cuisses, pendant qu'il me secoue les hanches.

"Putain, ça aussi, c'est trop bon ! Ca m'a manqué de te faire ça ! Mon chéri ! Allez ! Pisses, sale chienne !".

De toute façon, je ne peux pas faire autrement, ce truc est incontrôlable !
Mais, c'est tellement puissant, que je le supplie d'arrêter !
Il s'en moque, et me vide, sans cesser de me détruire la chatte.
Je vis mes orgasmes depuis le début, en me plongeant la bouche dans un coussin.

"Putain, y a que toi pour me faire bander comme ça ! Ca me manquait de te baiser ! Mon p'tit Pascal ! Et toi, je t'ai manqué ?".
"Mmmmuuuuuuuuuuuuuuhhhhhh ! Mmuuuuuuuuuuhhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii ! Muhhhhhhmmmmmmmmm !".

Je suis obligé de couvrir mes râles, les murs peuvent avoir des oreilles !

Il me retourne pour me saillir comme une femelle, en me saisissant par les chevilles.

Puis, il agrémente la position, en posant mes pieds sur ses épaules, afin de me pilonner l'anus, en me voutant davantage à chaque enfoncement.
Il me masturbe un peu la verge, en m'enculant, puis m'impose:

"Branles toi, salope !".

J'essaie de me faire bander, mais le plaisir anal prend trop de place.
Parfois, il sort pour me masturber l'anus avec son gros gland.
Mon sphincter palpite à chaque fois qu'il fait ça, c'est tellement bon !
Il replonge en moi, une énième fois.

"Arghhhhhhhh ! Putain ! J'aime ta façon de m'enculer ! Elle est géniale, ta grosse bite !".

Petit à petit, et longuement après, je parviens à avoir un semblant d'érection.
Je suis épuisé d'orgasmes anaux continus.
Les plaisirs se mélangent, et je gicle mon peu de sperme, avec une verge qui n'a pas encore atteint sa taille maximale.

Il est content de lui, je lui dit que j'ai joui comme un fou.

"Arghhhhhhh ! Ahmed ! Tu me fais trop bien jouir ! Tu m'as tout pris ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".

Il me lâche d'un coup pour m'aplatir, avec le ventre contre le sol froid.

Il me transperce de nouveau, et me déplace à chaque enfoncement profond et puissant.
J'en peux plus, j'ai hâte qu'il en finisse.

Mais quand je reconnais ses premiers signes de jouissance, je retrouve de la vigueur, et je me secoue le bassin pour recevoir toute sa semence en moi.

On entre dans un chœur de râles de plaisirs intenses.
Ca faisait longtemps que j'avais pas joui aussi fort avec un homme.

Il prend plaisir à rester allongé sur moi, en bougeant sa grosse verge, quand il en ressent le besoin.

"Hummmm ! Tu m'appartiens ! Tu le sais ça ? T'es ma p'tite salope ! J'te baise quand je veux ! On est d'accord ?".
"Orhhhhh! Oui, on est d'accord ! Orhhh ! C'est bon ! J'aime avoir ta queue dans le cul ! Euh... Pardon... Dans la chatte !".

"C'est bien, salope ! Tu vois que tu t'y habitues !".

"Driiinnnnnnnng ! Driiinnnnnnnng !".

"Putain, ça doit être Adeline ! J'peux pas lui répondre ! C'est pas possible !".
"Tu fais comme tu veux ! Mec !".

Je me dégage son corps, et sa bite, pour répondre.
Il me suit.

"Oui ?".
"C'est moi ! Tu m'ouvres ?".

"Euh... je peux pas, je suis pas... seul !...".

J'ai failli lâcher un râle, ce vicieux d'Ahmed m'a remis sa grosse verge, dans la chatte !

"Pourquoi, tu parles doucement ? C'est elle ? C'est ça ?".
"Euh... Mmmm... Oui ! Désolé ! C'est ça ! Mmmm...".
"Je t'aime plus qu'elle ! Je reviendrai ! Et je t'aurai pour moi toute seule ! Tu verras ! Tant pis pour cette salope !".

Je l'entend partir en pleurant, je repose mon interphone pour éviter qu'elle m'entende gémir à cause de la grosse bite d'Ahmed.

"Tu lui as dit que t'étais avec ta copine ! Alors que c'est toi ! La salope, qui se fait baiser !".

Il m'entraine dans ma chambre, pour se faire laver la queue, en m'humiliant verbalement, avant de converser longuement avec moi, sur le lit.

Il repartira comme à chacune de ses visites, le lendemain vers 11h30
Il m'a rebaisé plusieurs fois, entre temps.

J'ai trouvé un prétexte avec ma copine, pour éviter une nouvelle relation sexuelle, j'étais vidé !
C'est Adeline qui a pu profiter d'un retour d'énergie.
Mais quand j'ai éjaculé, j'ai presque ressenti une douleur dans les testicules ! Il faut que je me calme décidément!