Les chiens ne font pas des chats

- Par l'auteur HDS Laetitia sapho -
Auteur femme.
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Récit libertin : Les chiens ne font pas des chats Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.7 / 10)
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Couleur du fond :
Les chiens ne font pas des chats
Valérie, grande femme blonde et distinguée, un look d’héroïne de la série Desperate Housewifes !! C’est-ce qui me faisait craquer chez elle. 45 ans divorcée depuis de longues années, gérante d’un magasin de fleurs.

Elle me faisait envie, je multipliais les allusions de plus en plus appuyées. Elle ne pouvait plus ignorer mes avances, même si ce n’était que des allusions discrètes et non directes, mais elle faisait comme si.

C’est dans le cadre professionnel que je l’avais rencontrée. Je lui donnais régulièrement des rendez-vous pour faire un point sur l’avancée de son dossier. Je suis avocate dans un cabinet de droit des sociétés et contentieux.

J’avais attendu pour l’avoir et enfin je l’avais eue.

Elle avait cédé alors que nous partagions une coupe de champagne dans son salon, pour fêter la fin heureuse de l’affaire qui l’avait amenée dans mon bureau. Elle m’avait invité à passer chez elle après la fermeture de son commerce, pour fêter ça ! Dans un premier, ça n’avait pas fait tilt dans ma tête. C’est assez courant, après une procédure longue que les clients souhaitent fêter ça avec ceux qui ont marné sur leur dossier.

Elle portait une robe noire très classe, assez près du corps, ses jambes relevées et mises en valeur par un voile noir.
Sa tenue prouvait que pour une femme de 45 ans elle avait un corps superbe.

Je me faisais mon cinéma, me disant que cette tenue n’était pas anodine, que son invitation n’était finalement pas anodine non plus. Je me disais que tout cela n’était pas un hasard et qu’elle allait me céder ce soir, que cette invitation était seulement un prétexte.

Mes allusions étaient encore plus marquées que d’habitude.

Je lui avais apporté une rose rouge. Etant fleuriste elle ne pouvait ignorer le langage des fleurs. Je la complimentais sur sa tenue, sur sa beauté aussi (si, si, je vous jure que si !!). Je m’arrangeais pour lui toucher l’avant-bras, comme par inadvertance.

Le grand jeu quoi !

Jusqu’au moment, où c’est moi qui ai craqué, j’ai posé ma main sur son genou. Elle ne m’a pas repoussée, j’ai approché ma bouche de la sienne, pour un baiser tendre d’abord, puis plus torride ensuite. La chaleur venait de monter de 10 degré dans la pièce. De tempéré nous étions passé à chaud, puis à chaud-bouillant.

J’ai eu le droit à des « humm Maitre, vous êtes folle, que faites-vous ? » Ou a des « Qu’est-ce que vous me faites faire Maitre, je perds la tête ? », quand ma langue lui laissait le temps de reprendre sa respiration. Cette femme m’excitait tant, que je me maitrisais difficilement, refusant de lâcher sa bouche, malaxant sa poitrine et ses cuisses à travers sa robe noire.

Je l’ai, déshabillée sur le canapé ne lui laissant que ses bas noirs. J’adore caresser une cuisse gainée, et sentir ma paume passer du voile à la peau. Je trouve que c’est un moment d’un érotisme fou.. Chacune ses petites lubies !! Moi je suis une tactile .Une cérébro-tactile.

J’allais m’attaquer à sa petite culotte qui restait aussi (provisoirement), quand elle a arrêté mon geste en posant sa main sur mon bras :
- C’est juste pour ce soir, on ne recommencera pas, me dit-elle tout d’un coup gênée.

Elle était craquante quasiment nue sur son canapé, les cheveux décoiffés, son rouge à lèvre étalé autour de sa bouche, par la pression de la mienne de bouche et par la quasi sauvagerie de nos baisers, à se poser ce genre de questions !!

- Pas de problème, je suis en couple, c’est juste pour une fois, mais j’ai tellement eu envie de toi.

J’ai fait « chuuuttt » en mettant mon doigt sur sa bouche.

Je l’ai repoussée sur le canapé, me suis allongée près elle, et j’ai entrepris de lui retirer sa culotte avec mes dents.

Nous avons fait l’amour dans le salon plutôt sauvagement (il y a eu un 69 sur le tapis entre le canapé et la table de salon, à un moment), puis dans sa chambre ensuite, plutôt tendrement.

Maelenn étant au Canada, Valérie vivant seule, nous avions la nuit pour nous, elle m’a proposé de dormir chez elle, une fois qu‘épuisées, nous avons relâché notre étreinte.

Au matin, elle s’était levée de bonne heure, pour aller chercher une livraison d’iris et de tulipes au marché de Rungis. Elle m’avait dit de rester au lit, de claquer la porte en partant, de ne m’occuper de rien.

J’étais dans la salle de bain, je sortais de la douche, le peignoir de Valérie sur moi, quand j’ai entendu un bruit de clé dans la porte d’entrée.

Valérie rentrait déjà ? Super, nous allions peut être pouvoir remettre ça avant de nous quitter !

Je suis sortie de la salle de bain, pour aller à sa rencontre, et je tombe nez à nez avec une jeune fille dans le salon.

- Euh bonjour
- Salut, me dit-elle avec une moue boudeuse, Vous êtes ?

- Laetitia
- Léa, la fille de Valérie, Vous faites quoi ici ?

- Euh, j’ai passé la soirée ici, et comme il était tard et que je n’avais pas de moyen de locomotion, ta maman m’a proposé de dormir ici …
Je me rendais compte en le disant que ça sonnait faux. Rien ne plaidait pour moi dans cette affaire. La bouteille de champagne à moitié vide sur la table de salon, les deux coupes avec des marques de rouge à lèvre sur le bord, moi nue dans le peignoir de Valérie et surtout … la petite culotte de Valérie qui trainait encore sur le canapé.

- Ben voyons, me dit Léa en me tournant le dos pour se diriger vers la cuisine.

Alors que j’allais rassembler mes affaire pour partir (je comptais emmener la petite culotte de Valérie en souvenir), j’entends la voix de Léa dans la cuisine :
- Un café tout de même ?

- Euh, oui avec plaisir
- Venez pendant qu’il est chaud, dit-elle en déposant deux mugs sur la table de salon, repoussant les coupes de champagne, puis en prenant la culotte de sa mère sur le canapé entre le pouce et l’index pour la déposer sur le sol.

Ma gène était manifeste, je devais être rouge pivoine, toujours nue sous le peignoir et vu les circonstances …
Nous sirotions notre café, je me remettais doucement de mes émotions, quand Léa a enfoncé le clou.

- Je suppose que ma mère vous a fait le coup de l’oie blanche qui cède pour la première fois de sa vie à une autre femme ? Me dit-elle légèrement narquoise …
- Pardon, lui répondis-je interloquée
- Oui, elle fait le coup de temps en temps pour se taper une fille !!! Elle les aime un peu plus jeune d’habitude …
Je passais sur la pique à peine masquée sur mon âge… La gamine avait peut-être ses raisons d’être froissée. (Je ne suis pas si vieille tout de même, j’attaque ma quatrième décennie, mais je n’ai pas encore dépassé les 35 !!)
Je n’en revenais pas Valérie à qui j’avais fait la cour pendant si longtemps, pour qui j’avais déployé des tonnes de séduction, m’avait manipulé depuis le début ? Comment je m’étais faite avoir …Un sourire me vint aux lèvres. Maintenant que j’y repensais, Valérie était plutôt douée hier soir, pour une débutante ! Elle savait y faire !!

La petite continua :
- Oh, je peux vous comprendre, ma mère est pas mal foutue
- Bien, je crois que je vais y aller
- Moi aussi je suis bien foutue, je tiens de ma mère non ?

La question m’a cueillie.

J’avoue que je n’avais vraiment pas fait attention à ses formes, vu les circonstances et vu ma gêne.

En effet, maintenant qu’elle en parlait, elle était toute mimi, blonde comme sa mère, un jean moulant qui ne cachait rien de ses jolies fesses, un débardeur qui laissait voir les bretelles de son soutien- gorge rose, l’une tombée sur son bras, des petits seins, un joli minois …
- Moi aussi, je peux me taper des filles si je veux, me dit-elle
- Euh …
Je ne l‘ai pas vu venir. Elle a agrippé le peignoir et l’a ouvert en grand, son regard fixé sur mon corps nu.

- Eh, tu fais quoi ?

- A ton avis, me dit-elle en me caressant un sein, on va baiser
- Oui, mais tu as quel âge ?

- 18 ans depuis 6 mois, tu veux voir ma carte d’identité avant ?

Sa bouche s’empara d’un de mes tétons pour le sucer, sa main se glissa entre mes cuisses. Mes jambes machinalement s’ouvrir pour accueillir la caresse.

Non, je n’allais pas lui demander ses papiers, j’allais lui faire confiance.

Je m’allongeais sur le dos sur le canapé, l’attirant sur moi pour prendre sa bouche, y glisser ma langue.

Ma main passa sous son débardeur pour lui caresser le dos, puis avec peine dans la ceinture de son jean taille basse à la recherche de ses fesses. Malgré que son jean soit très serré, la cambrure de ses reins laissait une espace suffisant pour que j’y glisse ma main. Qu’est-ce qu’il était ferme son petit cul. Il faut vite que je la déshabille pour en profiter un peu plus de ce petit cul fier, le voir, le toucher, l’embrasser, si ça ne l’effarouche pas trop.

Et effarouchée Léa ne l’était pas. D’ailleurs, c’est elle qui a provoqué cette situation, on peut dire qu’elle n’a pas froid aux yeux. Tout comme moi elle avait dû commencé très jeune à se toucher avec ses copines de classe. Ses gestes et ses caresses manquaient de douceur et de sensualité, elle était assez directe, voir brusque, mais tout ça viendrait avec l’expérience.

Nous avons fait l’amour sur le canapé, là où je l’avais fait avec sa mère quelques heures avant. Heureusement, elle ne m’a pas demandé « Alors, je suis un meilleur coup que ma mère ? », j’aurais été bien embêtée pour répondre.

Voilà, en résumé, j’avais couché avec la mère hier soir, je couchais avec la fille ce matin, puis j’allais m’éclipser, disparaitre, m’effacer de la surface de la terre pour éviter les histoires de famille. La situation avait l’air assez tendue comme ça entre elles deux.

J’ai réussi à partir avec deux trophées tout de même : la culotte de Valérie (tanga en dentelle noire) et la culotte de Léa (string rose), que j’ai glissé discrètement dans mon sac à main, l’air de rien. J’avoue les avoir ressortis et les avoir reniflé toutes les deux, une fois dans ma voiture, derrière les vitres fumées.

Les avis des lecteurs

Si je puis me permettre, Laetitia, tu es infernale...
Mais c'est si agréable à lire... ca coule tout seul, on arrive trop vite à la fin...



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