Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 135)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 135)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
- Année 1784 : Concours canin à Versailles -
Ce jour là, la "gueuse" emeline toujours crucifiée et philippe "le gueux", empalé comme chaque jour sur son tabouret, poursuivaient leur travail de rédaction, la nouvelle esclave Du Marquis d'Evans poursuivant son récit de la façon dont une jeune montagnarde des Alpes Suisses avait pu devenir la chienne et esclave D'un Grand Seigneur du Royaume de France. Mais soudain, la porte du cachot d'écriture claque et des valets à la carrure imposante entrent et les défont de leurs chaînes et les entraînent hors de la pièce... Sans un mot d'explication, les deux esclaves s'inquiètent. On les traîne et les entraîne sans un mot d'explication... Femelle et mâle se retrouvent ainsi dans une vaste salle envahie de vapeur d'eau... leurs yeux ont été bandés, ils ignorent tout de leur sort. Des mains puissantes se saisissent d'eux et les immobilisent...
Puis, tandis qu'ils restent ainsi maintenus de force, des mains plus douces et habiles s'occupent de leurs corps. Ils sont d'abord lavés, sans qu'aucune parcelle externe ou interne de leurs corps soient négligés... Puis ils sont intégralement rasés, en particulier le "gueux" dont le corps a été négligé tandis qu'il remplissait ses fonctions de scribe... en quelques minutes, rasoirs et onguents se chargent de faire de son corps une chose parfaitement lisse, de ses joues jusqu'à ses jambes, sans oublier l'anus qui fait d'ailleurs l'objet d'une attention spécifique... Puis, les deux esclaves sont manucurés, massés, leurs corps enduits d'huiles parfumées et de crèmes odorantes... Ils ne comprennent pas à quoi les destine de tels soins. Habitués depuis de longs jours à se voir réduits à leur stricte utilité "littéraire", ils s'interrogent sur ce que leur promettent de tels soins...
La chevelure d'émeline, grasse et emmêlée après des jours de totale négligence, fait également l'objet d'un traitement minutieux. La toilette intégrale d'émeline et philippe dure ainsi quelques heures... Tous deux sont étonnés, abasourdis de telles attentions, se doutant cependant qu'il s'agit sans doute de les préparer à une prochaine présentation. Le toilettage achevé, les yeux toujours bandés, on ceint leurs cous d'épais colliers de cuir avant que de les retourner et d'insérer dans leurs fondements de relativement fins mais fort longs olisbos... Puis ils sont à nouveau emportés par des bras puissants et installés, côte à côte, dans un réduit. En plus de leurs yeux bandés, on insère dans leurs bouches des mors de bois retenus à la nuque par des liens de cuir, afin de les bâillonner. Puis on les enchaîne, mains dans le dos... Plongés dans le noir, dans un espace confiné, dans l'impossibilité d'échanger de quelque façon que ce fut, la "gueuse" et le "gueux" demeurent prostrés... et attendent de découvrir le destin, celui écrit par Leur Maître, Le Marquis d'Evans...
Le carrosse noir aux armoiries des Evans progresse rapidement sur la route... depuis l'avant-veille, le carrosse n'a fait halte que deux fois, car il faut être arrivés à destination avant minuit. A l'intérieur, Le Marquis d'Evans somnole. Il a posé sur la banquette qui lui fait face son livre "Suite des Erreurs et de la Vérité", signé de l'étrange paraphe "Parun Philosophe inconnu"... Mais il est tard déjà et le voyage est éprouvant. Aussi, emmitouflé dans son épais manteau de fourrure, il s'est allongé et goûte un peu de repos, avant la longue nuit qui s'annonce. Le carrosse va bon train, malgré le lourd et large coffre installé à l'arrière... Mais la Grand'Route Royale est large et bien damée, permettant de belles pointes de vitesse à l'attelage poussé par le cocher et tiré par de puissants chevaux. Les lieues sont avalées lunes après les autres et le but se rapproche...
Contournant Paris, la route mène directement à Versailles. Et c'est dans le soleil déclinant que le carrosse contourne La Place d'Armes et la grande entrée, longe les abords du jardin, jusqu'à une entrée plus modeste, gardée cependant par des soldats en armes. Le cocher stoppe et un officier des Gardes Françaises vient toquer à la porte du carrosse. Sans un mot, le Marquis d'Evans lui tend une feuille de papier pliée, à laquelle pend encore un large sceau de cire rouge, frappé d'un écu à trois fleurs de Lys posées deux et un, soutenu par deux angelots ailés et surmonté de la couronne royale. L'officier vérifie le bref contenu du pli et rend le sauf-conduit Au Marquis avant que de s'incliner respectueusement et de faire signe à ses hommes d'ouvrir les grilles. Le carrosse entre ainsi à Versailles, dans le Domaine Royal et bifurque sur la droite, en direction de l'espace connu pour être "le Domaine de Marie-Antoinette", le carrosse stoppe enfin sur une petite esplanade de terre qui donne sur une bâtisse de plan carré, à trois étages... le Petit Trianon. Les fenêtres sont éclairées à giorno et de la musique s'entend jusqu'à l'esplanade.
Le cocher descend de son poste et vient ouvrir la portière. Le Marquis quitte l'abri de la berline et fait un signe au cocher. Celui-ci se rend à l'arrière du véhicule et dégage les barres de fer qui maintenaient fermé l'accès au vaste coffre installé là. Il en ouvre le plus large pan et dévoile ainsi l'intérieur... doublé de velours, il s'agit en fait d'une grande cage, dans laquelle sont enchaînés "gueuse" et "gueux"... le cocher libère les poignets menottés des deux esclaves et fixe au collier de chacun d'eux une laisse faite de chaînons de métal dont il use pour les tirer vers l'extérieur. Engourdis par de si longues heures ainsi confinés, émeline et philippe peinent à se détendre assez, mais ils s'efforcent de faire vite et de rapidement se tenir, à quatre pattes, sur le sol de l'esplanade, tandis que le cocher tend Au Marquis, leur Maître, les dragonnes des deux laisses. Le Marquis d'Evans s'en saisit et tire d'un coup sec afin de mettre en mouvement sa chienne et son chien... les entraînant vers le Petit Trianon, tandis que le cocher fouette ses chevaux et s'éloigne, menant plus loin le carrosse, là où plusieurs autres stationnent.
L'arrivée Du Marquis a été remarquée et des laquais ont ouvert les portes de la bâtisse, prenant place le long des escaliers qui mènent à l'entrée munis de torches qui éclairent le chemin Du Seigneur menant à Son Pas les deux esclaves dont le cul est toujours orné des olisbos qu'une touffe de crin épais termine, leur faisant comme une queue... le Marquis d’Evans gravit les marches, les esclaves à Sa Suite suivants à 4 pattes tenus en laisse. Le Noble Seigneur passe la porte centrale qui ouvre sur l'escalier d'honneur, orné d'une magnifique rampe en fer forgé. La musique vient de l'étage, vers lequel Le Sire d'Evans se dirige tout naturellement. En haut des marches, une vaste salle de réception, illuminée par de superbes lustres de cristal... l'orchestre est installé dans un coin de la pièce, sur une petite estrade. Sur le côté opposé, L'Hôte de la soirée se tient installé sur un trône d'or et de velours cramoisi. Richement vêtu, sa position domine la salle où Nobles dames et Seigneurs discutent et savourent quelques succulentes mignardises, chacune et chacun tenant en laisse esclaves femelles ou mâles...
Fendant la presse qui s'écarte devant Lui, Le Marquis se rend jusque devant le Maître des lieux et s'incline d’une révérence parfaite, puis Il présente les deux esclaves qui se sont immédiatement prosternés visage au sol, reins cambrés, croupe haute...
- "Monseigneur, voici mes chiens de cette soirée, Ma "gueuse" émeline et le "gueux" philippe que Vous connaissez déjà, j'espère qu'ils sauront se montrer dignes du choix que J'ai fait"
- "Cher Marquis, mon Ami, je n'en doute point ! Je sais le soin que Vous apportez au dressage des esclaves et suis bien assuré que ceux-ci ne manqueront point de Nous divertir... Mais approchez donc, Cher Ami !"
Montrant Au Marquis un siège libre à Son Côté. Un valet s'avance afin de libérer Le Marquis des laisses qu'Il tient et Le Seigneur d'Evans vient prendre place...
- "Alors Cher Marquis, comment trouvez Vous ce lieu charmant ?"
- "Superbe, Monseigneur... Mais je pensais que Sa Majesté La Reine..."
- "Sa Majesté est absente pour quelques jours, retenue par les Affaires de mon Cher Frère le Roy. Elle a bien voulu consentir à me confier le Petit Trianon pour cette soirée un peu.. spéciale à laquelle je n'ai convié que Les Meilleurs de Mes Amis..."
- "J'en suis fort honoré Monseigneur... Et quelle heureuse idée que cette thématique canine !"
- "Oui, J'en suis en effet très satisfait... Chacun a su jouer le jeu et chiennes et chiens rivalisent de dévouement et d'obéissance sous la houlette de leurs Maîtresses et Maîtres... je Vous avoue Cher Marquis qu'il Me plaît de contempler cette scène et ce n'est que le début ! Mais Je Vous retiens, allez donc rejoindre Nos Amis, Mon Cher et à tout à l'heure"
Le Marquis se lève et s'incline de nouveau devant le Frère du Roy ...
- "Merci Monseigneur"...
Il redescend et récupère ses esclaves des mains du valet, rejoignant Celles et Ceux qui dansent ou discutent. Docilement, les deux esclaves suivent leur seigneur et Maître, les yeux braqués sur le sol, sans un regard vers leurs congénères tous évoluant nus, à quatre pattes et tenus en laisse sur d’épais tapis plus luxueux les uns des autres. Malgré leur dressage bien éprouvé et les humiliations, punitions, avilissements déjà subis, tant émeline que philippe éprouvent une sensation plus forte et profonde encore. Sans se concerter, ni même oser un regard l'un vers l'autre, ils sont envahis d'un même sentiment : les voilà chiens... plus bas que toute autre position, plus bas que ce qu'aucune créature humaine ne pourrait l'imaginer... Mais ils n'ont guère le temps de philosopher. Un chien philosophe-t-il, d'ailleurs ! ? Déjà Le Marquis tire sur leurs laisses et Il prend Sa Place dans une file qui se forme... Et dans un lent cortège, Dames et Seigneurs défilent devant L'Hôte que deux Autres Personnes également masquées de somptueux masques vénitiens ont rejoint. Chacune et Chacun mène Sa chienne ou Son chien dressé, lui imposant rythme et tenue... Dans une sens d'abord, afin de présenter l'élégance dans l'évolution à quatre pattes des esclaves, puis revenant devant Le Jury tripartite, faisant faire la belle ou le beau et par quelques maniements de la laisse, forçant l'esclave à prendre des poses permettant d'apprécier la rondeur d'une croupe et la qualité des corps ainsi exposés hors de toute pudeur...
Lorsque vient Son Tour, le Marquis d'Evans s'attire les regards par l'idée, qu'Il est seul à avoir eue, d'avoir placé une fort belle queue dans le fondement de ses chiens, renforçant ainsi leur chiennerie... Bien que les deux esclaves n'aient subi aucun dressage spécifique, ils s'appliquent et parviennent plutôt bien à exécuter tout ce qui est exigé d'eux avec une belle harmonie... jusqu'à jouer parfaitement leur rôle, lorsque Le Marquis les dirige afin de montrer à l'assistance qui s'esclaffe, comment deux chiens font connaissance en se reniflant la croupe... Les présentations se succèdent ainsi, parfois élégantes, parfois cocasses, parfois aussi extrêmement maladroites, valant immédiatement aux fautifs de virulents châtiments, exécutés en retrait, dans l'un ou l'autre recoin de la vaste salle de réception. Mais si certains se déplacent afin de savourer les flagellations et punitions diverses infligées, Le Marquis d'Evans demeure à proximité Du Jury...
Dernier à Se Présenter, Un Noble de Province passe à l'instant devant Le Jury... au bout de sa laisse, il tient une femelle dont la rondeur de croupe n'a d'égal que la finesse des épaules et de la taille... femelle à la poitrine fort généreuse, elle se dandine avec une élégance naturelle, rétive encore quelque peu, manifestement asservie depuis peu et hésitant entre être submergée par la honte ou la révolte... Après un premier passage, son Maître la mène devant L'Hôte …
- "Qu'elle nous montre son con !" exige Monseigneur Frère Du Roy... le Nobliau tire sur la laisse, tente de forcer la femelle à obéir... mais celle-ci tire sur la chaîne, rue...
- "Allons !" lance son Maître d'une voix mal assurée... "Obéis chienne ! "
Mais la femelle tente de se soustraire, pour le plus grand amusement Du Jury... Le Marquis d'Evans confie alors les laisses de Ses esclaves à un valet et rejoint Le Gentilhomme dépassé qui dès Son arrivée Lui abandonne l'esclave appréciant l’aide opportune du Marquis. Le Marquis Se saisit de la laisse, tire dessus, la raccourcissant à l'extrême et la soumise se trouve contrainte à se blottir à Ses Pieds. Le Marquis se penche et caresse doucement l'épaisse crinière blonde de la chienne, l'apaisant... D'une voix douce, sans colère ni menace, mais ferme et inflexible il murmure...
- "Obéis... obéis ou il t'en cuira et je ne suis pas le Maladroit qui t'a menée ici... crois m'en, sois docile..." glisse-t-Il en tirant fermement sur les cheveux... avant que de la relâcher et de rétablir la longueur de laisse qui permet à l'esclave femelle de se mouvoir... Il tire doucement et lentement, la femelle docilement se remet à quatre pattes... il tire un peu plus sur la laisse, d'un coup sec et docilement, elle se tient accroupie, faisant face au Trio des Juges
- "Ecarte !" dit simplement Le Marquis et la belle esclave ouvre ses cuisses d'albâtre, dévoilant une fine toison dorée
- "Plus ! Ouvre toi !" ordonne Le Marquis et l'esclave obéit, en léger déséquilibre dans cette position, elle ouvre aussi largement qu'il se peut ses cuisses, livrant au regard de "Monsieur le frère du Roy" ses chairs les plus intimes... "Monsieur"apprécie le spectacle ainsi offert...
- "AAh Cher Marquis ! Quel talent ! Cette chienne a vite compris qui Est Le Maître ! Et vous monsieur (lance-t-il au Maître maladroit) je ne suis pas sur qu'une telle créature soit encore dans vos cordes... Mieux vaudrait reporter Vos efforts sur de plus dociles sujets... Allons, amusez Vous Tous, nous allons délibérer !"
Tandis que les trois Jurés se retirent, Le Marquis tend la laisse Au Maître...
- "Monsieur... Je suis Le Marquis d'Evans et voici une fort belle chienne que vous avez"...
Le jeune homme saisit la dragonne
- " Le Marquis d’Evans ? Le fameux Marquis d’Evans !… Enchanté Marquis et très honoré... Votre réputation est si remarquable… Merci pour Votre intervention. Je suis le Baron du Barnier de La Rochelle et celle-ci (il montre l'esclave aux pieds) est bien difficile ! Je n'ai guère d'expérience, mon Père m'a légué Ses Domaines et quelques esclaves, C'est en souvenir de Leur Amitié que "Monsieur" a daigné m'inviter ce soir, mais je ne suis pas prêt... Celle-ci est une bâtarde de mon Père qu'il a eu de la favorite de Son cheptel... et j'ai bien du mal à la dresser, mais elle est si belle que je savais qu'elle serait remarquée"
- "En effet, les regards n'ont pas manqué, mais elle est fort rétive et aurait besoin d'une main ferme... Me la confieriez Vous un moment, ce soir, que j'en juge ?"
- "Quand il Vous plaira, Marquis, je serai heureux de savoir ce qu'Un expert tel que Vous en tirera. Quoique j'ai eu une impressionnante démonstration, à l'instant même" convient le Jeune Homme.
- "Comment l'avez vous baptisée ?"
- "Oh... euh, hélène est son nom... Celui que Père lui avait donné et je ne l'ai point changé… Mhhh hélène, la belle hélène oserais-je..."
Le Marquis baisse les yeux et contemple la peau si pâle et lisse de la jeune femme, la chair un peu rougie au cou par un collier de piètre facture...
- "Quelques détails à régler" précise Le Marquis, tenez, suivez Moi donc... Et il s'éloigne vers le valet qui tient toujours les laisses d'émeline et philippe, entourés de plusieurs Invités intéressés par les esclaves si bien dressés Du Marquis. - "Venez mes amis, venez !" lance Le Marquis à la cantonade "suivez moi et vos sens seront comblés !"
Faisant signe au valet de Le suivre en menant les deux esclaves que suivent plusieurs invités, jusqu'à une pièce aménagée à proximité, avec une vaste table recouverte d'une belle fourrure d'hermine... émeline est poussée sur la table où elle se tient à genoux, les mains jointes dans le dos, les cuisses largement ouvertes. Le Marquis saisit à pleine poignée les cheveux de sa nuque et tire en arrière, faisant ainsi saillir sa poitrine... En même temps, philippe est tiré par deux valets qui le contraignent à s'accroupir, tout en s'empalant sur un long olisbos disposé sur un socle posé au sol...
- "Je Vous propose, Messires d'user et même, pourquoi s'en priver, d'abuser des appâts de ma chienne ! Prenez d'elle tous les plaisirs qu'il Vous plaira... son con, son cul, sa bouche... (dit-il tout en la saisissant par les seins) elle ne Vous refusera rien ! Je Vous en fais don pour ce soir, car j'ai présentement d'autres préoccupations... prenez-là, possédez-là... il n'est rien qu'elle ne saura Vous prodiguer avec dévouement et passion, car c'est une merveilleuse catin que je dresse quotidiennement à ce rôle là !"
Les nombreux Seigneurs alléchés par les mots Du Marquis s'approchent, tandis que le Sire d'Evans délaisse émeline et rejoint philippe...
- "Un instant, Messires ! n'oublions pas mon chien... tel que Vos le voyez, il demeurera ainsi, accroupi et empalé tout au long de la soirée... et je Vous propose, lorsque Vous aurez suffisamment joui de ma femelle, de venir là ,Vous faire nettoyer la verge par la bouche offerte de mon chien de gueux ! Bien sur, ceux qui préfèrent venir directement plonger leur queue entre ses lèvres sont libres de le faire ! Je ne m'en formaliserai point !"
Et tous éclatent de rire !A peine Le Marquis quitte-t-Il la pièce, que plusieurs Seigneurs déjà écartent bras et cuisses d'émeline afin de la prendre par chacun des orifices qu'elle peut offrir aux plaisirs des Hommes... Tandis que timidement d'abord, l'Un d'eux prend quelques pas de recul pour venir face à philippe se faire sucer... Du Barnier de Rochelle a suivi la scène avec fascination... sa chienne toujours à Ses Pieds. Le Marquis lui fait signe de Le suivre...
- "Bien, confiez moi donc cette chienne... et amusez Vous... nous nous reverrons plus tard..."
Le jeune Baron s'incline avec admiration et respect, tendant la laisse Au Marquis
- "Messire, avec mes sincères remerciements"... Et il s'éloigne, un peu timidement, vers la pièce où émeline sent déjà ses orifices investis par une nuée de Seigneurs qui n'ont jamais conquis de forteresse avec autant d'entrain ! …
Dans une chambre du troisième et dernier étage du Petit Trianon, le Marquis a ôté la laisse qui tenait le collier de l'esclave hélène. Elle se tient debout devant Lui, les bras le long du corps, les yeux baissés... Le Marquis la contemple, ne perdant rien de ce corps aux formes délicieuses... Il apprécie de voir les joues de la femme rosir... Il sent qu'en elle se mêlent encore des impressions contradictoires... les hésitations commençant seulement à céder aux désirs femelles... D'une main, Le Marquis saisit un sein, le caresse, le pétrit, resserre lentement ses doigts sur le globe de chair ferme... l'esclave frémit... elle ne peut s'empêcher de passer la langue sur ses lèvres... elle pâlit...
- "Tu n'es ... rien" murmure Le Marquis en promenant maintenant Ses Deux Mains sur le corps nu... " Juste une chienne asservie, une esclave... menée en laisse par le Fils légitime d’un Grand Noble du Royaume de France, sans juger utile de t'accorder quelque statut, sinon le plus vil qui soit..."
Le Seigneur pince et étire les tétons de la fille... elle se tortille un peu, mais s'applique à demeurer docile et subit en silence... Le Marquis la force à reculer, jusqu'à ce que, heurtant le lit, elle ne tombe à la renverse et se retrouve sur le dos... le Marquis, se penche sur elle et la force à ouvrir ses cuisses... il saisit à pleine main les chairs intimes de la femelle et sent sur ses doigts une humidité de bon augure...
- "Tu n'es qu'une chienne... la chienne hélène... Dis- le !" ordonne-t-il... et elle bredouille
- "Je suis... la chienne hélène... oui... la chienne..." ne pouvant retenir quelques larmes...
Sans ménagement, le Marquis se penche sur elle... l'écrase de toute sa puissante stature, fouille entre ses cuisses et sortant Son Sexe, la pénètre brutalement... tout en maintenant ses poignets, pour lui faire pleinement ressentir sa faiblesse, sa position inférieure, Le Marquis d'Evans baise la chienne hélène. Elle tremble un peu, sanglote un instant, puis peu à peu, sous les coups de boutoir Du Marquis, finit par s'abandonner, totalement, gémissant de plus en plus fort, comme emportée par un maelström de sensations, puis exclusivement par un tourbillon de plaisir qui lui noue le ventre et vrille ses entrailles ! L'esclave crie son plaisir tandis qu'elle s'abandonne à la jouissance que Le Marquis daigne lui accorder... Mais Il Se retire avant d'en avoir terminé, force l'esclave hélène à se retourner, à se tenir à quatre pattes sur le lit et, écartant ses fesses, l'encule tout aussi brusquement qu'il l'avait pénétrée auparavant... à nouveau, après plaintes et gémissements, hélène finit par céder à une vague de plaisir qui emporte ses ultimes pudeurs... de la salive maculant la commissure de ses lèvres, elle gémit du plaisir qui lui est accordé et crie sans retenue lorsqu'elle sent Le Plaisir Du Marquis qui se répand en elle, coule et dégouline dans son fondement...
Le Marquis, afin de clôturer sa "découverte" de l'esclave, la fait mettre à genoux et forçant ses lèvres humides, pousse Sa Verge encore tendue, visqueuse de semence, jusqu'au fond de la gorge d'hélène qui, humblement, s'applique à nettoyer la queue épaisse qui va et vient entre ses lèvres, sa langue saisissant le gland pour y lécher les derniers spasmes spermiques...
- "Tu es une bonne chienne" approuve Le Marquis... "Mais tu as encore besoin d'être dressée... qu'en penses tu ?"
A genoux... la lèvre brillante de salive et de semence mêlées, hélène relève la tête vers Lui
- "Oui... mais s'il Vous plait... par Vous !" elle se prosterne à Ses Pieds, serre ses mains autour de Ses Bas
- "Je Vous en conjure... je ferai tout ce que Vous ordonnerez, mais Vous ! Vous, s'il Vous plait !"
Le Marquis contemple avec satisfaction la femelle
- "Lèche mes chaussures et que le cuir en brille !!" lance-t-il d'une Voix dure... Et hélène docilement, sort sa langue et lèche le cuir souillé par la terre de l'esplanade - "N'oublie pas les semelles" insiste Le Marquis en levant un peu sa chaussures... et l'esclave lèche les semelles...- "Suffit !" ordonne Le Marquis d'Evans... et la chienne cesse... demeurant prosternée...- "Je pourrai proposer un contrat de vente à ton Maître, tu deviendrais ainsi Ma propriété, m'appartenant corps et âme, à jamais...Qu'en penses tu chienne ?"
- "Oh oui... je Vous en supplie Monseigneur... par pitié, s'il Vous plait... je Vous appartiendrai... Oooh s'il Vous plait"sanglote-t-elle...
- "Eh bien... voilà qui pourrait me plaire... Mais je mettrai une clause à ce contrat... je te prendrai à l'essai, six mois durant... Tu devras tout accepter, tout endurer, sans jamais rechigner ni te plaindre. Si, à l'issue de ces six mois, Je juge ta prestation convenable, je te prendrai définitivement pour esclave. Mais si tu me déçois, c'est sans hésitation ni pitié que je te renverrai à ton Maître pour qu'il fasse de toi tout ce qu'il Lui plaira... est-ce bien clair ?"
- "Oui Monseigneur... Oui, je ne Vous décevrai pas !"...
Et c'est ainsi, qu'à l'issue de cette "soirée canine" organisée en cette fin d'année 1784 par "Monsieur" Frère du Roy Louis XVI, Le Marquis d'Evans repartit en direction de son château en tenant en laisse trois esclaves... Les chiennes hélène et émeline, le chien philippe, tous trois suivant en cadence le rythme imposé par leur Seigneur et Maître sous le regard envieux et séduit Des Nobles Invités, Le Marquis portant fièrement à Sa ceinture le fouet de cuir noir et tressé de fils d'or que Le Jury Lui a attribué comme premier prix pour la prestation fort appréciée de son chenil humain ...
(à suivre …)
- Année 1784 : Concours canin à Versailles -
Ce jour là, la "gueuse" emeline toujours crucifiée et philippe "le gueux", empalé comme chaque jour sur son tabouret, poursuivaient leur travail de rédaction, la nouvelle esclave Du Marquis d'Evans poursuivant son récit de la façon dont une jeune montagnarde des Alpes Suisses avait pu devenir la chienne et esclave D'un Grand Seigneur du Royaume de France. Mais soudain, la porte du cachot d'écriture claque et des valets à la carrure imposante entrent et les défont de leurs chaînes et les entraînent hors de la pièce... Sans un mot d'explication, les deux esclaves s'inquiètent. On les traîne et les entraîne sans un mot d'explication... Femelle et mâle se retrouvent ainsi dans une vaste salle envahie de vapeur d'eau... leurs yeux ont été bandés, ils ignorent tout de leur sort. Des mains puissantes se saisissent d'eux et les immobilisent...
Puis, tandis qu'ils restent ainsi maintenus de force, des mains plus douces et habiles s'occupent de leurs corps. Ils sont d'abord lavés, sans qu'aucune parcelle externe ou interne de leurs corps soient négligés... Puis ils sont intégralement rasés, en particulier le "gueux" dont le corps a été négligé tandis qu'il remplissait ses fonctions de scribe... en quelques minutes, rasoirs et onguents se chargent de faire de son corps une chose parfaitement lisse, de ses joues jusqu'à ses jambes, sans oublier l'anus qui fait d'ailleurs l'objet d'une attention spécifique... Puis, les deux esclaves sont manucurés, massés, leurs corps enduits d'huiles parfumées et de crèmes odorantes... Ils ne comprennent pas à quoi les destine de tels soins. Habitués depuis de longs jours à se voir réduits à leur stricte utilité "littéraire", ils s'interrogent sur ce que leur promettent de tels soins...
La chevelure d'émeline, grasse et emmêlée après des jours de totale négligence, fait également l'objet d'un traitement minutieux. La toilette intégrale d'émeline et philippe dure ainsi quelques heures... Tous deux sont étonnés, abasourdis de telles attentions, se doutant cependant qu'il s'agit sans doute de les préparer à une prochaine présentation. Le toilettage achevé, les yeux toujours bandés, on ceint leurs cous d'épais colliers de cuir avant que de les retourner et d'insérer dans leurs fondements de relativement fins mais fort longs olisbos... Puis ils sont à nouveau emportés par des bras puissants et installés, côte à côte, dans un réduit. En plus de leurs yeux bandés, on insère dans leurs bouches des mors de bois retenus à la nuque par des liens de cuir, afin de les bâillonner. Puis on les enchaîne, mains dans le dos... Plongés dans le noir, dans un espace confiné, dans l'impossibilité d'échanger de quelque façon que ce fut, la "gueuse" et le "gueux" demeurent prostrés... et attendent de découvrir le destin, celui écrit par Leur Maître, Le Marquis d'Evans...
Le carrosse noir aux armoiries des Evans progresse rapidement sur la route... depuis l'avant-veille, le carrosse n'a fait halte que deux fois, car il faut être arrivés à destination avant minuit. A l'intérieur, Le Marquis d'Evans somnole. Il a posé sur la banquette qui lui fait face son livre "Suite des Erreurs et de la Vérité", signé de l'étrange paraphe "Parun Philosophe inconnu"... Mais il est tard déjà et le voyage est éprouvant. Aussi, emmitouflé dans son épais manteau de fourrure, il s'est allongé et goûte un peu de repos, avant la longue nuit qui s'annonce. Le carrosse va bon train, malgré le lourd et large coffre installé à l'arrière... Mais la Grand'Route Royale est large et bien damée, permettant de belles pointes de vitesse à l'attelage poussé par le cocher et tiré par de puissants chevaux. Les lieues sont avalées lunes après les autres et le but se rapproche...
Contournant Paris, la route mène directement à Versailles. Et c'est dans le soleil déclinant que le carrosse contourne La Place d'Armes et la grande entrée, longe les abords du jardin, jusqu'à une entrée plus modeste, gardée cependant par des soldats en armes. Le cocher stoppe et un officier des Gardes Françaises vient toquer à la porte du carrosse. Sans un mot, le Marquis d'Evans lui tend une feuille de papier pliée, à laquelle pend encore un large sceau de cire rouge, frappé d'un écu à trois fleurs de Lys posées deux et un, soutenu par deux angelots ailés et surmonté de la couronne royale. L'officier vérifie le bref contenu du pli et rend le sauf-conduit Au Marquis avant que de s'incliner respectueusement et de faire signe à ses hommes d'ouvrir les grilles. Le carrosse entre ainsi à Versailles, dans le Domaine Royal et bifurque sur la droite, en direction de l'espace connu pour être "le Domaine de Marie-Antoinette", le carrosse stoppe enfin sur une petite esplanade de terre qui donne sur une bâtisse de plan carré, à trois étages... le Petit Trianon. Les fenêtres sont éclairées à giorno et de la musique s'entend jusqu'à l'esplanade.
Le cocher descend de son poste et vient ouvrir la portière. Le Marquis quitte l'abri de la berline et fait un signe au cocher. Celui-ci se rend à l'arrière du véhicule et dégage les barres de fer qui maintenaient fermé l'accès au vaste coffre installé là. Il en ouvre le plus large pan et dévoile ainsi l'intérieur... doublé de velours, il s'agit en fait d'une grande cage, dans laquelle sont enchaînés "gueuse" et "gueux"... le cocher libère les poignets menottés des deux esclaves et fixe au collier de chacun d'eux une laisse faite de chaînons de métal dont il use pour les tirer vers l'extérieur. Engourdis par de si longues heures ainsi confinés, émeline et philippe peinent à se détendre assez, mais ils s'efforcent de faire vite et de rapidement se tenir, à quatre pattes, sur le sol de l'esplanade, tandis que le cocher tend Au Marquis, leur Maître, les dragonnes des deux laisses. Le Marquis d'Evans s'en saisit et tire d'un coup sec afin de mettre en mouvement sa chienne et son chien... les entraînant vers le Petit Trianon, tandis que le cocher fouette ses chevaux et s'éloigne, menant plus loin le carrosse, là où plusieurs autres stationnent.
L'arrivée Du Marquis a été remarquée et des laquais ont ouvert les portes de la bâtisse, prenant place le long des escaliers qui mènent à l'entrée munis de torches qui éclairent le chemin Du Seigneur menant à Son Pas les deux esclaves dont le cul est toujours orné des olisbos qu'une touffe de crin épais termine, leur faisant comme une queue... le Marquis d’Evans gravit les marches, les esclaves à Sa Suite suivants à 4 pattes tenus en laisse. Le Noble Seigneur passe la porte centrale qui ouvre sur l'escalier d'honneur, orné d'une magnifique rampe en fer forgé. La musique vient de l'étage, vers lequel Le Sire d'Evans se dirige tout naturellement. En haut des marches, une vaste salle de réception, illuminée par de superbes lustres de cristal... l'orchestre est installé dans un coin de la pièce, sur une petite estrade. Sur le côté opposé, L'Hôte de la soirée se tient installé sur un trône d'or et de velours cramoisi. Richement vêtu, sa position domine la salle où Nobles dames et Seigneurs discutent et savourent quelques succulentes mignardises, chacune et chacun tenant en laisse esclaves femelles ou mâles...
Fendant la presse qui s'écarte devant Lui, Le Marquis se rend jusque devant le Maître des lieux et s'incline d’une révérence parfaite, puis Il présente les deux esclaves qui se sont immédiatement prosternés visage au sol, reins cambrés, croupe haute...
- "Monseigneur, voici mes chiens de cette soirée, Ma "gueuse" émeline et le "gueux" philippe que Vous connaissez déjà, j'espère qu'ils sauront se montrer dignes du choix que J'ai fait"
- "Cher Marquis, mon Ami, je n'en doute point ! Je sais le soin que Vous apportez au dressage des esclaves et suis bien assuré que ceux-ci ne manqueront point de Nous divertir... Mais approchez donc, Cher Ami !"
Montrant Au Marquis un siège libre à Son Côté. Un valet s'avance afin de libérer Le Marquis des laisses qu'Il tient et Le Seigneur d'Evans vient prendre place...
- "Alors Cher Marquis, comment trouvez Vous ce lieu charmant ?"
- "Superbe, Monseigneur... Mais je pensais que Sa Majesté La Reine..."
- "Sa Majesté est absente pour quelques jours, retenue par les Affaires de mon Cher Frère le Roy. Elle a bien voulu consentir à me confier le Petit Trianon pour cette soirée un peu.. spéciale à laquelle je n'ai convié que Les Meilleurs de Mes Amis..."
- "J'en suis fort honoré Monseigneur... Et quelle heureuse idée que cette thématique canine !"
- "Oui, J'en suis en effet très satisfait... Chacun a su jouer le jeu et chiennes et chiens rivalisent de dévouement et d'obéissance sous la houlette de leurs Maîtresses et Maîtres... je Vous avoue Cher Marquis qu'il Me plaît de contempler cette scène et ce n'est que le début ! Mais Je Vous retiens, allez donc rejoindre Nos Amis, Mon Cher et à tout à l'heure"
Le Marquis se lève et s'incline de nouveau devant le Frère du Roy ...
- "Merci Monseigneur"...
Il redescend et récupère ses esclaves des mains du valet, rejoignant Celles et Ceux qui dansent ou discutent. Docilement, les deux esclaves suivent leur seigneur et Maître, les yeux braqués sur le sol, sans un regard vers leurs congénères tous évoluant nus, à quatre pattes et tenus en laisse sur d’épais tapis plus luxueux les uns des autres. Malgré leur dressage bien éprouvé et les humiliations, punitions, avilissements déjà subis, tant émeline que philippe éprouvent une sensation plus forte et profonde encore. Sans se concerter, ni même oser un regard l'un vers l'autre, ils sont envahis d'un même sentiment : les voilà chiens... plus bas que toute autre position, plus bas que ce qu'aucune créature humaine ne pourrait l'imaginer... Mais ils n'ont guère le temps de philosopher. Un chien philosophe-t-il, d'ailleurs ! ? Déjà Le Marquis tire sur leurs laisses et Il prend Sa Place dans une file qui se forme... Et dans un lent cortège, Dames et Seigneurs défilent devant L'Hôte que deux Autres Personnes également masquées de somptueux masques vénitiens ont rejoint. Chacune et Chacun mène Sa chienne ou Son chien dressé, lui imposant rythme et tenue... Dans une sens d'abord, afin de présenter l'élégance dans l'évolution à quatre pattes des esclaves, puis revenant devant Le Jury tripartite, faisant faire la belle ou le beau et par quelques maniements de la laisse, forçant l'esclave à prendre des poses permettant d'apprécier la rondeur d'une croupe et la qualité des corps ainsi exposés hors de toute pudeur...
Lorsque vient Son Tour, le Marquis d'Evans s'attire les regards par l'idée, qu'Il est seul à avoir eue, d'avoir placé une fort belle queue dans le fondement de ses chiens, renforçant ainsi leur chiennerie... Bien que les deux esclaves n'aient subi aucun dressage spécifique, ils s'appliquent et parviennent plutôt bien à exécuter tout ce qui est exigé d'eux avec une belle harmonie... jusqu'à jouer parfaitement leur rôle, lorsque Le Marquis les dirige afin de montrer à l'assistance qui s'esclaffe, comment deux chiens font connaissance en se reniflant la croupe... Les présentations se succèdent ainsi, parfois élégantes, parfois cocasses, parfois aussi extrêmement maladroites, valant immédiatement aux fautifs de virulents châtiments, exécutés en retrait, dans l'un ou l'autre recoin de la vaste salle de réception. Mais si certains se déplacent afin de savourer les flagellations et punitions diverses infligées, Le Marquis d'Evans demeure à proximité Du Jury...
Dernier à Se Présenter, Un Noble de Province passe à l'instant devant Le Jury... au bout de sa laisse, il tient une femelle dont la rondeur de croupe n'a d'égal que la finesse des épaules et de la taille... femelle à la poitrine fort généreuse, elle se dandine avec une élégance naturelle, rétive encore quelque peu, manifestement asservie depuis peu et hésitant entre être submergée par la honte ou la révolte... Après un premier passage, son Maître la mène devant L'Hôte …
- "Qu'elle nous montre son con !" exige Monseigneur Frère Du Roy... le Nobliau tire sur la laisse, tente de forcer la femelle à obéir... mais celle-ci tire sur la chaîne, rue...
- "Allons !" lance son Maître d'une voix mal assurée... "Obéis chienne ! "
Mais la femelle tente de se soustraire, pour le plus grand amusement Du Jury... Le Marquis d'Evans confie alors les laisses de Ses esclaves à un valet et rejoint Le Gentilhomme dépassé qui dès Son arrivée Lui abandonne l'esclave appréciant l’aide opportune du Marquis. Le Marquis Se saisit de la laisse, tire dessus, la raccourcissant à l'extrême et la soumise se trouve contrainte à se blottir à Ses Pieds. Le Marquis se penche et caresse doucement l'épaisse crinière blonde de la chienne, l'apaisant... D'une voix douce, sans colère ni menace, mais ferme et inflexible il murmure...
- "Obéis... obéis ou il t'en cuira et je ne suis pas le Maladroit qui t'a menée ici... crois m'en, sois docile..." glisse-t-Il en tirant fermement sur les cheveux... avant que de la relâcher et de rétablir la longueur de laisse qui permet à l'esclave femelle de se mouvoir... Il tire doucement et lentement, la femelle docilement se remet à quatre pattes... il tire un peu plus sur la laisse, d'un coup sec et docilement, elle se tient accroupie, faisant face au Trio des Juges
- "Ecarte !" dit simplement Le Marquis et la belle esclave ouvre ses cuisses d'albâtre, dévoilant une fine toison dorée
- "Plus ! Ouvre toi !" ordonne Le Marquis et l'esclave obéit, en léger déséquilibre dans cette position, elle ouvre aussi largement qu'il se peut ses cuisses, livrant au regard de "Monsieur le frère du Roy" ses chairs les plus intimes... "Monsieur"apprécie le spectacle ainsi offert...
- "AAh Cher Marquis ! Quel talent ! Cette chienne a vite compris qui Est Le Maître ! Et vous monsieur (lance-t-il au Maître maladroit) je ne suis pas sur qu'une telle créature soit encore dans vos cordes... Mieux vaudrait reporter Vos efforts sur de plus dociles sujets... Allons, amusez Vous Tous, nous allons délibérer !"
Tandis que les trois Jurés se retirent, Le Marquis tend la laisse Au Maître...
- "Monsieur... Je suis Le Marquis d'Evans et voici une fort belle chienne que vous avez"...
Le jeune homme saisit la dragonne
- " Le Marquis d’Evans ? Le fameux Marquis d’Evans !… Enchanté Marquis et très honoré... Votre réputation est si remarquable… Merci pour Votre intervention. Je suis le Baron du Barnier de La Rochelle et celle-ci (il montre l'esclave aux pieds) est bien difficile ! Je n'ai guère d'expérience, mon Père m'a légué Ses Domaines et quelques esclaves, C'est en souvenir de Leur Amitié que "Monsieur" a daigné m'inviter ce soir, mais je ne suis pas prêt... Celle-ci est une bâtarde de mon Père qu'il a eu de la favorite de Son cheptel... et j'ai bien du mal à la dresser, mais elle est si belle que je savais qu'elle serait remarquée"
- "En effet, les regards n'ont pas manqué, mais elle est fort rétive et aurait besoin d'une main ferme... Me la confieriez Vous un moment, ce soir, que j'en juge ?"
- "Quand il Vous plaira, Marquis, je serai heureux de savoir ce qu'Un expert tel que Vous en tirera. Quoique j'ai eu une impressionnante démonstration, à l'instant même" convient le Jeune Homme.
- "Comment l'avez vous baptisée ?"
- "Oh... euh, hélène est son nom... Celui que Père lui avait donné et je ne l'ai point changé… Mhhh hélène, la belle hélène oserais-je..."
Le Marquis baisse les yeux et contemple la peau si pâle et lisse de la jeune femme, la chair un peu rougie au cou par un collier de piètre facture...
- "Quelques détails à régler" précise Le Marquis, tenez, suivez Moi donc... Et il s'éloigne vers le valet qui tient toujours les laisses d'émeline et philippe, entourés de plusieurs Invités intéressés par les esclaves si bien dressés Du Marquis. - "Venez mes amis, venez !" lance Le Marquis à la cantonade "suivez moi et vos sens seront comblés !"
Faisant signe au valet de Le suivre en menant les deux esclaves que suivent plusieurs invités, jusqu'à une pièce aménagée à proximité, avec une vaste table recouverte d'une belle fourrure d'hermine... émeline est poussée sur la table où elle se tient à genoux, les mains jointes dans le dos, les cuisses largement ouvertes. Le Marquis saisit à pleine poignée les cheveux de sa nuque et tire en arrière, faisant ainsi saillir sa poitrine... En même temps, philippe est tiré par deux valets qui le contraignent à s'accroupir, tout en s'empalant sur un long olisbos disposé sur un socle posé au sol...
- "Je Vous propose, Messires d'user et même, pourquoi s'en priver, d'abuser des appâts de ma chienne ! Prenez d'elle tous les plaisirs qu'il Vous plaira... son con, son cul, sa bouche... (dit-il tout en la saisissant par les seins) elle ne Vous refusera rien ! Je Vous en fais don pour ce soir, car j'ai présentement d'autres préoccupations... prenez-là, possédez-là... il n'est rien qu'elle ne saura Vous prodiguer avec dévouement et passion, car c'est une merveilleuse catin que je dresse quotidiennement à ce rôle là !"
Les nombreux Seigneurs alléchés par les mots Du Marquis s'approchent, tandis que le Sire d'Evans délaisse émeline et rejoint philippe...
- "Un instant, Messires ! n'oublions pas mon chien... tel que Vos le voyez, il demeurera ainsi, accroupi et empalé tout au long de la soirée... et je Vous propose, lorsque Vous aurez suffisamment joui de ma femelle, de venir là ,Vous faire nettoyer la verge par la bouche offerte de mon chien de gueux ! Bien sur, ceux qui préfèrent venir directement plonger leur queue entre ses lèvres sont libres de le faire ! Je ne m'en formaliserai point !"
Et tous éclatent de rire !A peine Le Marquis quitte-t-Il la pièce, que plusieurs Seigneurs déjà écartent bras et cuisses d'émeline afin de la prendre par chacun des orifices qu'elle peut offrir aux plaisirs des Hommes... Tandis que timidement d'abord, l'Un d'eux prend quelques pas de recul pour venir face à philippe se faire sucer... Du Barnier de Rochelle a suivi la scène avec fascination... sa chienne toujours à Ses Pieds. Le Marquis lui fait signe de Le suivre...
- "Bien, confiez moi donc cette chienne... et amusez Vous... nous nous reverrons plus tard..."
Le jeune Baron s'incline avec admiration et respect, tendant la laisse Au Marquis
- "Messire, avec mes sincères remerciements"... Et il s'éloigne, un peu timidement, vers la pièce où émeline sent déjà ses orifices investis par une nuée de Seigneurs qui n'ont jamais conquis de forteresse avec autant d'entrain ! …
Dans une chambre du troisième et dernier étage du Petit Trianon, le Marquis a ôté la laisse qui tenait le collier de l'esclave hélène. Elle se tient debout devant Lui, les bras le long du corps, les yeux baissés... Le Marquis la contemple, ne perdant rien de ce corps aux formes délicieuses... Il apprécie de voir les joues de la femme rosir... Il sent qu'en elle se mêlent encore des impressions contradictoires... les hésitations commençant seulement à céder aux désirs femelles... D'une main, Le Marquis saisit un sein, le caresse, le pétrit, resserre lentement ses doigts sur le globe de chair ferme... l'esclave frémit... elle ne peut s'empêcher de passer la langue sur ses lèvres... elle pâlit...
- "Tu n'es ... rien" murmure Le Marquis en promenant maintenant Ses Deux Mains sur le corps nu... " Juste une chienne asservie, une esclave... menée en laisse par le Fils légitime d’un Grand Noble du Royaume de France, sans juger utile de t'accorder quelque statut, sinon le plus vil qui soit..."
Le Seigneur pince et étire les tétons de la fille... elle se tortille un peu, mais s'applique à demeurer docile et subit en silence... Le Marquis la force à reculer, jusqu'à ce que, heurtant le lit, elle ne tombe à la renverse et se retrouve sur le dos... le Marquis, se penche sur elle et la force à ouvrir ses cuisses... il saisit à pleine main les chairs intimes de la femelle et sent sur ses doigts une humidité de bon augure...
- "Tu n'es qu'une chienne... la chienne hélène... Dis- le !" ordonne-t-il... et elle bredouille
- "Je suis... la chienne hélène... oui... la chienne..." ne pouvant retenir quelques larmes...
Sans ménagement, le Marquis se penche sur elle... l'écrase de toute sa puissante stature, fouille entre ses cuisses et sortant Son Sexe, la pénètre brutalement... tout en maintenant ses poignets, pour lui faire pleinement ressentir sa faiblesse, sa position inférieure, Le Marquis d'Evans baise la chienne hélène. Elle tremble un peu, sanglote un instant, puis peu à peu, sous les coups de boutoir Du Marquis, finit par s'abandonner, totalement, gémissant de plus en plus fort, comme emportée par un maelström de sensations, puis exclusivement par un tourbillon de plaisir qui lui noue le ventre et vrille ses entrailles ! L'esclave crie son plaisir tandis qu'elle s'abandonne à la jouissance que Le Marquis daigne lui accorder... Mais Il Se retire avant d'en avoir terminé, force l'esclave hélène à se retourner, à se tenir à quatre pattes sur le lit et, écartant ses fesses, l'encule tout aussi brusquement qu'il l'avait pénétrée auparavant... à nouveau, après plaintes et gémissements, hélène finit par céder à une vague de plaisir qui emporte ses ultimes pudeurs... de la salive maculant la commissure de ses lèvres, elle gémit du plaisir qui lui est accordé et crie sans retenue lorsqu'elle sent Le Plaisir Du Marquis qui se répand en elle, coule et dégouline dans son fondement...
Le Marquis, afin de clôturer sa "découverte" de l'esclave, la fait mettre à genoux et forçant ses lèvres humides, pousse Sa Verge encore tendue, visqueuse de semence, jusqu'au fond de la gorge d'hélène qui, humblement, s'applique à nettoyer la queue épaisse qui va et vient entre ses lèvres, sa langue saisissant le gland pour y lécher les derniers spasmes spermiques...
- "Tu es une bonne chienne" approuve Le Marquis... "Mais tu as encore besoin d'être dressée... qu'en penses tu ?"
A genoux... la lèvre brillante de salive et de semence mêlées, hélène relève la tête vers Lui
- "Oui... mais s'il Vous plait... par Vous !" elle se prosterne à Ses Pieds, serre ses mains autour de Ses Bas
- "Je Vous en conjure... je ferai tout ce que Vous ordonnerez, mais Vous ! Vous, s'il Vous plait !"
Le Marquis contemple avec satisfaction la femelle
- "Lèche mes chaussures et que le cuir en brille !!" lance-t-il d'une Voix dure... Et hélène docilement, sort sa langue et lèche le cuir souillé par la terre de l'esplanade - "N'oublie pas les semelles" insiste Le Marquis en levant un peu sa chaussures... et l'esclave lèche les semelles...- "Suffit !" ordonne Le Marquis d'Evans... et la chienne cesse... demeurant prosternée...- "Je pourrai proposer un contrat de vente à ton Maître, tu deviendrais ainsi Ma propriété, m'appartenant corps et âme, à jamais...Qu'en penses tu chienne ?"
- "Oh oui... je Vous en supplie Monseigneur... par pitié, s'il Vous plait... je Vous appartiendrai... Oooh s'il Vous plait"sanglote-t-elle...
- "Eh bien... voilà qui pourrait me plaire... Mais je mettrai une clause à ce contrat... je te prendrai à l'essai, six mois durant... Tu devras tout accepter, tout endurer, sans jamais rechigner ni te plaindre. Si, à l'issue de ces six mois, Je juge ta prestation convenable, je te prendrai définitivement pour esclave. Mais si tu me déçois, c'est sans hésitation ni pitié que je te renverrai à ton Maître pour qu'il fasse de toi tout ce qu'il Lui plaira... est-ce bien clair ?"
- "Oui Monseigneur... Oui, je ne Vous décevrai pas !"...
Et c'est ainsi, qu'à l'issue de cette "soirée canine" organisée en cette fin d'année 1784 par "Monsieur" Frère du Roy Louis XVI, Le Marquis d'Evans repartit en direction de son château en tenant en laisse trois esclaves... Les chiennes hélène et émeline, le chien philippe, tous trois suivant en cadence le rythme imposé par leur Seigneur et Maître sous le regard envieux et séduit Des Nobles Invités, Le Marquis portant fièrement à Sa ceinture le fouet de cuir noir et tressé de fils d'or que Le Jury Lui a attribué comme premier prix pour la prestation fort appréciée de son chenil humain ...
(à suivre …)
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