Les Origines des esclaves du Château du Marquis d’Evans – (2 ème époque) - Episode N°3 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines des esclaves du Château du Marquis d’Evans – (2 ème époque) - Episode N°3 -
Les Origines des esclaves du Château du Marquis d’Evans – (10 ans après, en 1794) –
Les semaines étaient passées... Et chaque jour, Sophie était contrainte (mais sans qu’elle puisse se l’expliquer elle-même, elle y trouvait de plus en plus de plaisir mental) à satisfaire les appétits pervers de celui qui était devenu son époux et avait pris par abus de pouvoir et l'humiliation cette fleur qu'elle avait si souvent rêvé offrir à celui que son coeur aurait choisi ... Au désespoir de sa situation s'ajoutait donc pour la jeune femme la honte d'avoir découvert le plaisir qu'elle prenait, au plus profond de son être, à être ainsi avilie par le vieux et libidineux notaire qui l'avait spoliée de tous ses biens et arrachée à sa famille. Bien que le vieil homme vicieux la dégoûtât, ses attouchements la faisaient frémir et elle sentait son sexe s'inonder de désir lorsqu'elle savait qu'il allait la saillir, usant de son con et de son cul au gré de ses fantaisies, quand il ne lui imposait pas de recevoir en bouche son sexe court et odorant, mais tellement ferme pour un homme de son âge… Pour Sophie l'aristocrate, éduquée dans l'élégance et la discrétion, mais aussi dans l'esprit des Lumières, prendre un véritable plaisir à un tel avilissement constituait sans doute ce qu'il y avait de pire... Quel paradoxe ! Souffrir et trouver du plaisir tout à la fois à être ainsi avilie ! Et son notaire vicieux de mari l'avait vite compris, vite deviné, la forçant à lui exprimer son désir honteux, tandis qu'il s'amusait à glisser ses doigts dans les chairs humides et frémissantes de la jeune femme pour laquelle le mariage qui lui avait été imposé s'apparentait plutôt à l'esclavage ! Mais un esclavage de plus en plus désiré dans son esprit de femelle-soumise qu’elle rêvait d’être inconsciemment et de plus en plus consciemment...
Non loin du petit manoir autrefois familial, le frère d’adoption de Sophie, Xavier, vivait lui aussi dans la honte et l'humiliation de ressentir également, à l’instar de sa sœur, ce qu’il a toujours été sans même le savoir, un bon chien-soumis-esclave. Le cocher, fidèle homme de main du notaire, s'était installé dans la maison destinée au veneur du domaine, prénommé Antoine le chasseur et où celui-ci pouvait s'occuper de la meute pour les chasses... Et Xavier qui avait été élevé pour devenir l'héritier de ces terres et légitime Maître du domaine en était réduit à vivre dans l'enclos, parmi la meute de chiens, au rang le plus bas, vivant nu et se nourrissant dans la gamelle commune à tous les chiens d’une pâté quotidienne... après les chiens, car la hiérarchie d'une meute avait ses propres codes et quelques cruelles morsures avaient bien vite fait comprendre au jeune nobliau qu'il n'était plus, désormais, qu'une vile créature, au rang le plus inférieur, même parmi les chiens. Ce sont justement ces vilaines morsures qui avaient fait découvrir à Xavier sa vraie nature...
En effet, il y a peu de temps de cela, un matin qu'il avait été cruellement mordu dans le chenil, celui qui dirigeait désormais sa vie, Antoine le chasseur (diligenté par le cocher) était intervenu, chassant les chiens et se saisissant de son captif pour le porter jusqu'à sa demeure. La petite maison était étonnement coquette pour un homme qui semblait si fruste. Antoine avait déposé Xavier sur un petit sofa et avait fait chauffer de l'eau afin de nettoyer la plaie. Puis il avait regardé le jeune aristocrate devenu son chien, s'était approché et avait caressé les cheveux crasseux du jeune homme, ses épaules fines, son corps gracile... Tandis que les mains calleuses se promenaient sur son corps nu, Xavier n'avait pu que constater l'effet immédiat que cela produisait. Les caresses de son tourmenteur le faisaient bander ! Antoine s'en était naturellement aperçu et il se saisit de la verge tendue pour commencer à la branler... Il branla son jeune prisonnier, mais ne lui permit pas de jouir, mettant fin aux allées et venues de sa main épaisse et puissante autour de la tige de chair durcie :
- Faut pas t'croire tout permis, petite putain !, lui lança Antoine, pt'êt ben qu'tu plais bien moué, mais faudra mériter ça ! Le Maître a dit que tu s'rais qu'un chien... alors j'veux bien t'faire venir ici pourqu'tu m'donnes du plaisir, mais le soir tu r'tourneras à ta place, au chenil. c'est ti bien clair ?
Xavier approuva d'un geste de la tête et osa s'extraire du sofa, malgré les élancements de sa blessure et venir à genoux devant l'Antoine. Celui-ci ne tarda pas à dégager sa queue bien tendue de ses chausses et la saisit en main afin de la présenter devant les lèvres tremblantes du captif dont la lèvre inférieure tremblait d'émotion et incroyablement d’envie de prendre cette verge en bouche. Xavier découvrait qu'il désirait ce sexe épais qu'on lui offrait. Il n'hésita donc pas une seule seconde à le prendre entre ses lèvres, à le faire glisser au plus profond, jusqu'à sa gorge, à serrer ses lèvres à la base velue de cette verge pour la sucer, en aspirant bien à fond chaque fois qu'il la sentait s'enfoncer... Xavier suça ainsi son geôlier jusqu'à sentir le plaisir de ce dernier éclater en un flot épais et si abondant qu'il inonda sa gorge jusqu'à presque l'étouffer, emplir sa bouche... Antoine n'avait lâché qu'un râle, tandis qu'il giclait dans la bouche chaude et veloutée. Il avait plaqué ses mains contre na nuque de Xavier, l'obligeant à garder la verge en bouche alors qu'elle était encore agitée des spasmes du plaisir. Puis sans un mot de plus, sans un geste envers celui qui venait de lui donner ce plaisir, Antoine saisit Xavier par les cheveux et le mena vers l'enclos où il le poussa d'un coup de botte dans la terre poussiéreuse avant de refermer la porte grillagée. Meurtri, Xavier se tint loin des chiens qui grognaient et profita de sa solitude pour se branler frénétiquement en repensant à ce qu'il venait de faire, au sexe dur d'Antoine, à ses mains usées par les travaux ardus, à son odeur acide et épicée, à son corps épais et musclé... Oui il se branlait car son plaisir inavoué, improbable mais bien réel d’être malmené, d’être traité ainsi l’excitait au plus haut point… Jamais il n’aurait pu imaginer prendre autant de plaisir mental et aussi physique à être traité de la sorte. Il avait une forte érection rien que de penser d’être considéré comme un chien, de vivre ce fait, cette dure réalité, dure mais si excitante, si bandante, si jouissive, dans son esprit …Oui, Xavier découvrait qu'il désirait cet homme, qu'il désirait que cet homme le possédât, qu'il use de lui comme l'homme le fait de sa femme et abuse de lui comme le Maître de son esclave...
Dans le manoir, la vie de Sophie n'avait plus rien à voir avec l'heureuse liberté dont elle avait joui lorsque son père adoptif possédait encore le domaine. Son époux imposé avait chassé tous les domestiques fidèles à la famille depuis des générations. Il avait fait venir d'étranges personnages d'autres provinces. Des gens qui faisaient peur à Sophie. Ils étaient crasseux, avaient l'air sournois, malsains... Le notaire exigeait de sa docile et soumise épouse qu'elle soit nue en permanence. Il l'avait privée de ses domestiques et elle devait s'occuper seule de sa toilette, qu'il lui avait ordonné d'aller faire dehors, en utilisant l'eau de pluie contenue dans une barrique qui demeurait en permanence au centre de la cour. Ainsi, tous les domestiques qui vaquaient à leurs diverses occupations voyaient dès le matin la jeune dame se rendre nue au baquet et se laver aussi rapidement qu'elle le pouvait avec l'eau froide et un minuscule bout de savon, car le notaire aussi riche que cupide lui comptait tout, ne lui accordant qu'un infime morceau pour la semaine... Il n'était pas rare qu'un valet qui passait par là ne rameute les autres et tous venaient ainsi dans la cour, entourant Sophie qui se lavait au regard de tous, dans le plus simple appareil. Et si le Maître avait formellement interdit, sous peine de terribles sanctions, qu'on abusa de celle qui lui appartenait, il se montrait peu regardant quant aux petits gestes mal placés, aux attouchements pervers, tels qu'une main aux fesses, ou un téton pincé. Sophie devait ainsi subir les privautés humiliantes de cette domesticité inconnue, qui la méprisait en tant qu'artisto et la désiraient en tant que femme. Il n'était pas rare qu'un valet ou plus souvent encore le cocher ne la coince dans un recoin du manoir pour la peloter brièvement, avant de la laisser filer non sans lui avoir craché au visage, ou insultée...
Une fois qu'elle s'était plainte de ces traitements auprès de son époux, pensant au moins pouvoir ne subir d'abus que de son légitime propriétaire, celui-ci l'avait giflée et traînée jusqu'en cuisines, où la domesticité prenait son repas. Il l'avait forcée devant tous à confesser la dénonciation qu'elle venait de prononcer, puis avait exigé d'elle qu'elle demande pardon à genoux à tous ces honnêtes républicains, venus travailler ici. Agenouillée, elle devait en guise de punition, sucer les bites et avaler les foutres des domestiques. Puis, saisissant une large spatule à crêpes en bois, il l'avait frappé les fesses jusqu'à ce que la croupe de Sophie soit aussi rouge que son visage empourpré par la honte de ce traitement, sous les huées et les applaudissements de la valetaille... depuis ce jour, Sophie avait reçu l'ordre de toujours garder les yeux baissés en présence des domestiques et de subir docilement tous les pelotages qui lui seraient imposés. Elle devait aussi, sa toilette achevée, aller se présenter aux cuisines afin de s'enquérir auprès de la cuisinière d'éventuelles tâches à accomplir. Grande femme à la trogne épaisse, la cuisinière détestait Sophie qui faisait sortir les yeux de son ivrogne de mari de leurs orbites. Elle imposait à l'ancienne maîtresse choyée des lieux les tâches les plus répugnantes et n'hésitait pas à dénoncer au notaire la moindre vétille dont l'épouse asservie se rendait coupable. Lorsque son époux ne la conviait pas à partager son repas, Sophie demeurait en cuisines, où elle servait le repas du personnel, subissant à nouveau maints attouchements lorsqu'elle passait de l'un à l'autre pour remplir les assiettes. Elle n'était alors autorisée à se nourrir que lorsque la vaisselle était terminée et la cuisinière lui servait en général des abats de volaille crus et des restes de pain rassis, dans une gamelle posée au sol et pouvait se sustenter toujours aussi nue et à 4 pattes... Il est à noter que toutes ses servitudes excitaient grandement Sophie et elle ne se l’expliquait même pas à elle-même, mais dans toutes ses contraintes forcées, elle y trouvait un immense plaisir mental d’être traitée ainsi …
Antoine ne pouvait plus se passer de Xavier, qui lui-même passait des nuits fort agitées, en rêvant des mains et de la queue du nouveau maître. Désormais, les journées des deux hommes étaient précisément réglées. Le matin, Xavier demeurait dans le chenil, tandis qu’Antoine vaquait à ses occupations en forêt ou aux ordres de son maître le notaire. Il rentrait vers midi et nourrissait la meute, Xavier toujours réduit à la dernière place, devait attendre que tous les autres chiens en aient terminé, afin de pouvoir, tête basse et échine courbée, manger les maigres restes de la pâtée... Antoine venait ensuite le sortir et le promenait en laisse un moment, regardant intensément le jeune homme faisant ses besoins au pied d'un arbre et, parfois, exhibant son sexe que, sans qu'un mot eut besoin d'être prononcé, Xavier venait happer entre ses lèvres pour le sucer et s'abreuver de la semence épaisse et salée de son Dominant, ce qui excitait grandement à chaque fois le soumis. Les cheveux de Xavier avaient poussé et Antoine lui permettait de les laver, deux fois la semaine. Il lui avait même offert une brosse ramenée de l'un de ses déplacements à la ville, qu'il utilisait parfois pour le coiffer, assis sur le sofa, Son Xavier assis entre ses jambes... Antoine adorait caresser les longs cheveux fins et soyeux du jeune homme. Ne pouvant se contenter de la bouche, Antoine avait rapidement dressé Xavier le chien à lui offrir son cul...
Et le jeune aristocrate déchu avait découvert une nouvelle jouissance, tellement plus intense, en apprenant à devenir la femelle de son geôlier. Xavier éprouvait un désir permanent pour la verge épaisse d'Antoine et pour ses étreintes brutales, ses enculades sans préambule... Le jeune homme aimait à être bousculé, pris avec brutalité, il gémissait de désir quand Antoine l'enculait virilement tout en lui claquant violemment la croupe d'une main râpeuse... le temps passait et Antoine comprit que le notaire ne viendrait sans doute jamais voir ce qu'il en était du prisonnier. Aussi se permit-il de franchir un nouveau pas, profitant d'une course que le notaire l'avait envoyé faire en ville, il acheta un cadeau pour Xavier. Le soir de son retour, il permit au chien-humain de se laver et lui intima l'ordre de raser les rares poils qui pointaient sur l'épiderme du jeune homme. Lorsque celui-ci fut bien lisse, Antoine l'entraîna dans la maisonnette et lui tendit un paquet que Xavier défit avec promptitude. Il ne put réprimer quelques larmes de bonheur lorsqu'il découvrir la robe que le Veneur avait ramenée pour lui... Et pour la première fois, Xavier plein de reconnaissance et Antoine surpris mais ravi, ils s'embrassèrent !... Puis, Xavier passa la robe, ses cheveux dégoulinant avec élégance sur ses épaules dénudées.
- Voilà, m'aintnant tu seras ma femme, p’tite putain, lui dit Antojne en lui mordillant l'oreille.
Le matin, tu s'ras toujours un chien, mais après, tu s'ras ma femme, c'est compris ? lui exigea-t-il en le collant contre lui, ses mains larges posées sur les fesses, sous le taffetas de la robe...
- Oh oui, oui je serai toute à toi, je suis ta petite femelle dévouée et je ferai tout ce que tu voudras, lui susurra Xavier à l'oreille, avec un ton plein d'un désir, une voix roucoulante de chienne en chaleur... Oui chienne en chaleur, c’est ce qu’il était devenu, bien loin du jeune aristocrate qu’il fut jadis …
(A suivre…)
Les semaines étaient passées... Et chaque jour, Sophie était contrainte (mais sans qu’elle puisse se l’expliquer elle-même, elle y trouvait de plus en plus de plaisir mental) à satisfaire les appétits pervers de celui qui était devenu son époux et avait pris par abus de pouvoir et l'humiliation cette fleur qu'elle avait si souvent rêvé offrir à celui que son coeur aurait choisi ... Au désespoir de sa situation s'ajoutait donc pour la jeune femme la honte d'avoir découvert le plaisir qu'elle prenait, au plus profond de son être, à être ainsi avilie par le vieux et libidineux notaire qui l'avait spoliée de tous ses biens et arrachée à sa famille. Bien que le vieil homme vicieux la dégoûtât, ses attouchements la faisaient frémir et elle sentait son sexe s'inonder de désir lorsqu'elle savait qu'il allait la saillir, usant de son con et de son cul au gré de ses fantaisies, quand il ne lui imposait pas de recevoir en bouche son sexe court et odorant, mais tellement ferme pour un homme de son âge… Pour Sophie l'aristocrate, éduquée dans l'élégance et la discrétion, mais aussi dans l'esprit des Lumières, prendre un véritable plaisir à un tel avilissement constituait sans doute ce qu'il y avait de pire... Quel paradoxe ! Souffrir et trouver du plaisir tout à la fois à être ainsi avilie ! Et son notaire vicieux de mari l'avait vite compris, vite deviné, la forçant à lui exprimer son désir honteux, tandis qu'il s'amusait à glisser ses doigts dans les chairs humides et frémissantes de la jeune femme pour laquelle le mariage qui lui avait été imposé s'apparentait plutôt à l'esclavage ! Mais un esclavage de plus en plus désiré dans son esprit de femelle-soumise qu’elle rêvait d’être inconsciemment et de plus en plus consciemment...
Non loin du petit manoir autrefois familial, le frère d’adoption de Sophie, Xavier, vivait lui aussi dans la honte et l'humiliation de ressentir également, à l’instar de sa sœur, ce qu’il a toujours été sans même le savoir, un bon chien-soumis-esclave. Le cocher, fidèle homme de main du notaire, s'était installé dans la maison destinée au veneur du domaine, prénommé Antoine le chasseur et où celui-ci pouvait s'occuper de la meute pour les chasses... Et Xavier qui avait été élevé pour devenir l'héritier de ces terres et légitime Maître du domaine en était réduit à vivre dans l'enclos, parmi la meute de chiens, au rang le plus bas, vivant nu et se nourrissant dans la gamelle commune à tous les chiens d’une pâté quotidienne... après les chiens, car la hiérarchie d'une meute avait ses propres codes et quelques cruelles morsures avaient bien vite fait comprendre au jeune nobliau qu'il n'était plus, désormais, qu'une vile créature, au rang le plus inférieur, même parmi les chiens. Ce sont justement ces vilaines morsures qui avaient fait découvrir à Xavier sa vraie nature...
En effet, il y a peu de temps de cela, un matin qu'il avait été cruellement mordu dans le chenil, celui qui dirigeait désormais sa vie, Antoine le chasseur (diligenté par le cocher) était intervenu, chassant les chiens et se saisissant de son captif pour le porter jusqu'à sa demeure. La petite maison était étonnement coquette pour un homme qui semblait si fruste. Antoine avait déposé Xavier sur un petit sofa et avait fait chauffer de l'eau afin de nettoyer la plaie. Puis il avait regardé le jeune aristocrate devenu son chien, s'était approché et avait caressé les cheveux crasseux du jeune homme, ses épaules fines, son corps gracile... Tandis que les mains calleuses se promenaient sur son corps nu, Xavier n'avait pu que constater l'effet immédiat que cela produisait. Les caresses de son tourmenteur le faisaient bander ! Antoine s'en était naturellement aperçu et il se saisit de la verge tendue pour commencer à la branler... Il branla son jeune prisonnier, mais ne lui permit pas de jouir, mettant fin aux allées et venues de sa main épaisse et puissante autour de la tige de chair durcie :
- Faut pas t'croire tout permis, petite putain !, lui lança Antoine, pt'êt ben qu'tu plais bien moué, mais faudra mériter ça ! Le Maître a dit que tu s'rais qu'un chien... alors j'veux bien t'faire venir ici pourqu'tu m'donnes du plaisir, mais le soir tu r'tourneras à ta place, au chenil. c'est ti bien clair ?
Xavier approuva d'un geste de la tête et osa s'extraire du sofa, malgré les élancements de sa blessure et venir à genoux devant l'Antoine. Celui-ci ne tarda pas à dégager sa queue bien tendue de ses chausses et la saisit en main afin de la présenter devant les lèvres tremblantes du captif dont la lèvre inférieure tremblait d'émotion et incroyablement d’envie de prendre cette verge en bouche. Xavier découvrait qu'il désirait ce sexe épais qu'on lui offrait. Il n'hésita donc pas une seule seconde à le prendre entre ses lèvres, à le faire glisser au plus profond, jusqu'à sa gorge, à serrer ses lèvres à la base velue de cette verge pour la sucer, en aspirant bien à fond chaque fois qu'il la sentait s'enfoncer... Xavier suça ainsi son geôlier jusqu'à sentir le plaisir de ce dernier éclater en un flot épais et si abondant qu'il inonda sa gorge jusqu'à presque l'étouffer, emplir sa bouche... Antoine n'avait lâché qu'un râle, tandis qu'il giclait dans la bouche chaude et veloutée. Il avait plaqué ses mains contre na nuque de Xavier, l'obligeant à garder la verge en bouche alors qu'elle était encore agitée des spasmes du plaisir. Puis sans un mot de plus, sans un geste envers celui qui venait de lui donner ce plaisir, Antoine saisit Xavier par les cheveux et le mena vers l'enclos où il le poussa d'un coup de botte dans la terre poussiéreuse avant de refermer la porte grillagée. Meurtri, Xavier se tint loin des chiens qui grognaient et profita de sa solitude pour se branler frénétiquement en repensant à ce qu'il venait de faire, au sexe dur d'Antoine, à ses mains usées par les travaux ardus, à son odeur acide et épicée, à son corps épais et musclé... Oui il se branlait car son plaisir inavoué, improbable mais bien réel d’être malmené, d’être traité ainsi l’excitait au plus haut point… Jamais il n’aurait pu imaginer prendre autant de plaisir mental et aussi physique à être traité de la sorte. Il avait une forte érection rien que de penser d’être considéré comme un chien, de vivre ce fait, cette dure réalité, dure mais si excitante, si bandante, si jouissive, dans son esprit …Oui, Xavier découvrait qu'il désirait cet homme, qu'il désirait que cet homme le possédât, qu'il use de lui comme l'homme le fait de sa femme et abuse de lui comme le Maître de son esclave...
Dans le manoir, la vie de Sophie n'avait plus rien à voir avec l'heureuse liberté dont elle avait joui lorsque son père adoptif possédait encore le domaine. Son époux imposé avait chassé tous les domestiques fidèles à la famille depuis des générations. Il avait fait venir d'étranges personnages d'autres provinces. Des gens qui faisaient peur à Sophie. Ils étaient crasseux, avaient l'air sournois, malsains... Le notaire exigeait de sa docile et soumise épouse qu'elle soit nue en permanence. Il l'avait privée de ses domestiques et elle devait s'occuper seule de sa toilette, qu'il lui avait ordonné d'aller faire dehors, en utilisant l'eau de pluie contenue dans une barrique qui demeurait en permanence au centre de la cour. Ainsi, tous les domestiques qui vaquaient à leurs diverses occupations voyaient dès le matin la jeune dame se rendre nue au baquet et se laver aussi rapidement qu'elle le pouvait avec l'eau froide et un minuscule bout de savon, car le notaire aussi riche que cupide lui comptait tout, ne lui accordant qu'un infime morceau pour la semaine... Il n'était pas rare qu'un valet qui passait par là ne rameute les autres et tous venaient ainsi dans la cour, entourant Sophie qui se lavait au regard de tous, dans le plus simple appareil. Et si le Maître avait formellement interdit, sous peine de terribles sanctions, qu'on abusa de celle qui lui appartenait, il se montrait peu regardant quant aux petits gestes mal placés, aux attouchements pervers, tels qu'une main aux fesses, ou un téton pincé. Sophie devait ainsi subir les privautés humiliantes de cette domesticité inconnue, qui la méprisait en tant qu'artisto et la désiraient en tant que femme. Il n'était pas rare qu'un valet ou plus souvent encore le cocher ne la coince dans un recoin du manoir pour la peloter brièvement, avant de la laisser filer non sans lui avoir craché au visage, ou insultée...
Une fois qu'elle s'était plainte de ces traitements auprès de son époux, pensant au moins pouvoir ne subir d'abus que de son légitime propriétaire, celui-ci l'avait giflée et traînée jusqu'en cuisines, où la domesticité prenait son repas. Il l'avait forcée devant tous à confesser la dénonciation qu'elle venait de prononcer, puis avait exigé d'elle qu'elle demande pardon à genoux à tous ces honnêtes républicains, venus travailler ici. Agenouillée, elle devait en guise de punition, sucer les bites et avaler les foutres des domestiques. Puis, saisissant une large spatule à crêpes en bois, il l'avait frappé les fesses jusqu'à ce que la croupe de Sophie soit aussi rouge que son visage empourpré par la honte de ce traitement, sous les huées et les applaudissements de la valetaille... depuis ce jour, Sophie avait reçu l'ordre de toujours garder les yeux baissés en présence des domestiques et de subir docilement tous les pelotages qui lui seraient imposés. Elle devait aussi, sa toilette achevée, aller se présenter aux cuisines afin de s'enquérir auprès de la cuisinière d'éventuelles tâches à accomplir. Grande femme à la trogne épaisse, la cuisinière détestait Sophie qui faisait sortir les yeux de son ivrogne de mari de leurs orbites. Elle imposait à l'ancienne maîtresse choyée des lieux les tâches les plus répugnantes et n'hésitait pas à dénoncer au notaire la moindre vétille dont l'épouse asservie se rendait coupable. Lorsque son époux ne la conviait pas à partager son repas, Sophie demeurait en cuisines, où elle servait le repas du personnel, subissant à nouveau maints attouchements lorsqu'elle passait de l'un à l'autre pour remplir les assiettes. Elle n'était alors autorisée à se nourrir que lorsque la vaisselle était terminée et la cuisinière lui servait en général des abats de volaille crus et des restes de pain rassis, dans une gamelle posée au sol et pouvait se sustenter toujours aussi nue et à 4 pattes... Il est à noter que toutes ses servitudes excitaient grandement Sophie et elle ne se l’expliquait même pas à elle-même, mais dans toutes ses contraintes forcées, elle y trouvait un immense plaisir mental d’être traitée ainsi …
Antoine ne pouvait plus se passer de Xavier, qui lui-même passait des nuits fort agitées, en rêvant des mains et de la queue du nouveau maître. Désormais, les journées des deux hommes étaient précisément réglées. Le matin, Xavier demeurait dans le chenil, tandis qu’Antoine vaquait à ses occupations en forêt ou aux ordres de son maître le notaire. Il rentrait vers midi et nourrissait la meute, Xavier toujours réduit à la dernière place, devait attendre que tous les autres chiens en aient terminé, afin de pouvoir, tête basse et échine courbée, manger les maigres restes de la pâtée... Antoine venait ensuite le sortir et le promenait en laisse un moment, regardant intensément le jeune homme faisant ses besoins au pied d'un arbre et, parfois, exhibant son sexe que, sans qu'un mot eut besoin d'être prononcé, Xavier venait happer entre ses lèvres pour le sucer et s'abreuver de la semence épaisse et salée de son Dominant, ce qui excitait grandement à chaque fois le soumis. Les cheveux de Xavier avaient poussé et Antoine lui permettait de les laver, deux fois la semaine. Il lui avait même offert une brosse ramenée de l'un de ses déplacements à la ville, qu'il utilisait parfois pour le coiffer, assis sur le sofa, Son Xavier assis entre ses jambes... Antoine adorait caresser les longs cheveux fins et soyeux du jeune homme. Ne pouvant se contenter de la bouche, Antoine avait rapidement dressé Xavier le chien à lui offrir son cul...
Et le jeune aristocrate déchu avait découvert une nouvelle jouissance, tellement plus intense, en apprenant à devenir la femelle de son geôlier. Xavier éprouvait un désir permanent pour la verge épaisse d'Antoine et pour ses étreintes brutales, ses enculades sans préambule... Le jeune homme aimait à être bousculé, pris avec brutalité, il gémissait de désir quand Antoine l'enculait virilement tout en lui claquant violemment la croupe d'une main râpeuse... le temps passait et Antoine comprit que le notaire ne viendrait sans doute jamais voir ce qu'il en était du prisonnier. Aussi se permit-il de franchir un nouveau pas, profitant d'une course que le notaire l'avait envoyé faire en ville, il acheta un cadeau pour Xavier. Le soir de son retour, il permit au chien-humain de se laver et lui intima l'ordre de raser les rares poils qui pointaient sur l'épiderme du jeune homme. Lorsque celui-ci fut bien lisse, Antoine l'entraîna dans la maisonnette et lui tendit un paquet que Xavier défit avec promptitude. Il ne put réprimer quelques larmes de bonheur lorsqu'il découvrir la robe que le Veneur avait ramenée pour lui... Et pour la première fois, Xavier plein de reconnaissance et Antoine surpris mais ravi, ils s'embrassèrent !... Puis, Xavier passa la robe, ses cheveux dégoulinant avec élégance sur ses épaules dénudées.
- Voilà, m'aintnant tu seras ma femme, p’tite putain, lui dit Antojne en lui mordillant l'oreille.
Le matin, tu s'ras toujours un chien, mais après, tu s'ras ma femme, c'est compris ? lui exigea-t-il en le collant contre lui, ses mains larges posées sur les fesses, sous le taffetas de la robe...
- Oh oui, oui je serai toute à toi, je suis ta petite femelle dévouée et je ferai tout ce que tu voudras, lui susurra Xavier à l'oreille, avec un ton plein d'un désir, une voix roucoulante de chienne en chaleur... Oui chienne en chaleur, c’est ce qu’il était devenu, bien loin du jeune aristocrate qu’il fut jadis …
(A suivre…)
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J'aime beaucoup et j'attends le prochain avec impatience ...