Liaisons sensuelles : Chapitre 1 : Sous l'Emprise de Virginie – Virginie prend le contrôle et soumet Steve à ses désirs. - histoire érotique

La matinée était encore fraîche, mais dans l’appartement, l’atmosphère était toute autre. Virginie se réveilla lentement, s’étirant dans le lit vide. Steve était déjà parti au travail depuis une heure, la laissant seule avec ses pensées… et ses envies.
Elle se réveilla terriblement excitée. Un désir insatiable la tenaillait depuis quelques jours, une chaleur diffuse qui ne la quittait plus.
Elle quitta le lit en soupirant, son corps nu frissonnant légèrement sous l’air du matin. D’habitude, elle aurait enfilé un peignoir, mais aujourd’hui, elle n’en avait pas envie. L’idée d’être nue, offerte, parcourue par le regard invisible de Steve, l’excitait encore plus.
Elle se dirigea vers la cuisine, prit un café, puis s’installa sur le canapé, écartant légèrement les cuisses. Son esprit vagabondait. Elle imaginait Steve, concentré au bureau, entouré de ses collègues, totalement ignorant de ce qui l’attendait. Un sourire mutin se dessina sur ses lèvres.
Et s’il savait dans quel état elle était en ce moment même ?
L’idée germa doucement. Elle attrapa son téléphone, activa l’appareil photo… et glissa une main sur sa poitrine. Un petit jeu dangereux qu’elle adorait.
Steve n’allait pas s’en remettre.
Steve était en pleine réunion, concentré sur son écran, lorsque son téléphone vibra discrètement sur la table. D’un geste rapide, il jeta un œil à la notification et sentit immédiatement son cœur s’accélérer. Un message de Virginie. Il ouvrit discrètement l’aperçu, mais ce qu’il vit le fit se raidir sur sa chaise : une photo explicite des seins lourds et magnifiques de Virginie, pris sous un angle flatteur, ses doigts jouant avec ses tétons durcis. Juste en dessous, un message incendiaire :
« Ta petite salope t’attend. »
Le souffle court, il jeta un regard furtif autour de lui. À sa droite, son collègue Antoine penchait la tête, intrigué par sa réaction.
— Tout va bien ? demanda Antoine avec un sourire en coin.
Steve referma précipitamment son téléphone, mais c’était trop tard. Antoine avait aperçu l’écran, et son sourire s’élargit.
— Ah, je vois… Madame est impatiente, hein ?
Steve ravala sa salive, sentant une chaleur monter en lui, mélange de gêne et d’excitation. L’idée que Virginie se pavane nue dans leur appartement, le corps offert, frissonnant à l’idée qu’il la rejoigne, le rendait fou. Il savait qu’elle adorait être vue, admirée.
Il répondit discrètement :
« Tu vas me le payer cher ce soir. »
Quelques secondes plus tard, un nouveau message s’afficha.
« J’espère bien. »
Accompagné d’une autre photo, encore plus provocante…
Steve sentit une montée de chaleur dans son ventre, un mélange d’excitation et de malaise. Il avait voulu être discret, mais Antoine avait tout vu.
— Eh bien… ta femme a l’air chaude aujourd’hui, lança son collègue avec un sourire en coin.
Steve referma précipitamment son téléphone, cherchant une contenance. Son cœur battait à tout rompre. L’image de Virginie, offerte, son sexe humide et gonflé d’excitation, le hantait déjà. Il savait à quel point elle adorait jouer, provoquer… et se savoir regardée.
Antoine croisa les bras, amusé.
— T’as de la chance, mec. Si la mienne m’envoyait ça en pleine journée, je crois que je quitterais le boulot sur-le-champ.
Steve esquissa un sourire nerveux. L’idée lui traversa l’esprit. Virginie savait exactement comment le rendre fou, comment faire monter la tension jusqu’à ce qu’il perde tout contrôle.
Un nouveau message vibra sur son téléphone.
« Tu viens me prendre, ou je vais devoir me toucher en pensant à toi ? »
Son pantalon lui sembla soudain bien trop serré.
Steve sentit une vague de chaleur monter en lui alors que son téléphone vibrait à nouveau. D’un geste discret, il jeta un coup d’œil à l’écran.
« Mon sexe est bien humide… »
Juste en dessous, une nouvelle photo. Virginie, lascive, son doigt glissant entre ses lèvres luisantes, son clitoris gonflé trahissant son excitation. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, comment titiller son désir jusqu’à le rendre fou.
Steve déglutit, sentant son corps réagir immédiatement. L’air lui semblait plus épais, la salle de réunion bien trop étroite. Antoine, toujours à ses côtés, capta son trouble et esquissa un sourire complice.
— Tu vas tenir jusqu’à ce soir ? lança-t-il, moqueur.
Steve inspira profondément, luttant contre l’envie irrépressible de quitter le bureau sur-le-champ. Ses doigts tapèrent une réponse fébrile.
« Continue comme ça et je débarque dans cinq minutes. »
Quelques secondes plus tard, une réponse s’afficha.
« Alors qu’est-ce que tu attends ? J’ai déjà les jambes écartées pour toi. »
Son érection était à présent indéniable. Steve referma son téléphone et se leva brusquement, prétextant une urgence. Il n’en pouvait plus. Virginie l’appelait, et il comptait bien lui montrer ce que provoquaient ses jeux interdits…
Steve poussa la porte de l’appartement et referma derrière lui. Il s’attendait à retrouver Virginie, mais certainement pas dans cette posture. Là, dans le canapé du salon, elle était entièrement nue, son corps offert à la lumière tamisée de la pièce. Son regard brûlant se posa sur lui tandis que sa main glissait lentement sur sa poitrine généreuse.
— Tu rentres enfin… J’avais hâte de te voir, murmura-t-elle d’une voix suave.
Steve resta figé un instant, hypnotisé par le spectacle qui s’offrait à lui. Virginie pinçait ses tétons durcis entre ses doigts, les caressant, les malaxant avec une gourmandise assumée. Son autre main descendit doucement entre ses cuisses entrouvertes, effleurant son clitoris gonflé sous ses propres caresses.
Un frisson parcourut Steve. Il sentit son désir monter instantanément en voyant la façon dont elle se touchait sans la moindre gêne, le provoquant, s’exhibant pour lui.
— Tu me regardes… J’adore ça…
Sa voix était un souffle, tandis qu’elle glissait deux doigts entre ses lèvres humides, les faisant jouer sur son intimité brûlante. Ses hanches ondulaient légèrement sous le plaisir qu’elle s’offrait, son corps frémissant sous son propre toucher.
Steve s’avança lentement, son regard captivé par cette scène torride. L’excitation montait en lui à une vitesse fulgurante, et il savait qu’il ne pourrait pas résister bien longtemps…
Steve s’adossa contre le mur, captivé par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Virginie, étalée sur le canapé, continuait de se caresser sans retenue, son souffle se faisant plus saccader à mesure que son plaisir montait.
Puis, avec un sourire provocant, elle tendit la main et attrapa un objet posé sur la table basse. Un long vibromasseur noir, lisse et brillant. Elle le porta à ses lèvres et l’embrassa lentement, laissant sa langue glisser sur sa surface avant de le promener sur son corps, traçant une ligne sensuelle de sa gorge jusqu’à ses seins.
— Regarde ce que j’ai acheté, mon amour… souffla-t-elle d’une voix rauque.
Steve sentit une vague de chaleur l’envahir alors qu’elle faisait courir le jouet entre ses seins généreux, effleurant ses tétons durcis avant de descendre lentement le long de son ventre. Lorsqu’elle atteignit son bas-ventre, elle écarta encore un peu plus les cuisses, exposant son intimité trempée.
Elle alluma le vibromasseur, et un léger bourdonnement emplit la pièce. Son regard fixé sur Steve, elle posa doucement l’extrémité vibrante sur son clitoris, déclenchant un frisson qui la fit arquer le dos.
— Mmmh… c’est tellement bon…
Elle fit glisser l’objet en cercles lents sur son point sensible, gémissant sous l’intensité croissante de la stimulation. Ses hanches commencèrent à onduler instinctivement, cherchant encore plus de contact, plus de plaisir.
Steve ne quittait pas Virginie des yeux, hypnotisé par la manière dont elle jouait avec son plaisir, s’offrant sans retenue sous son regard. Puis, dans un mouvement félin, elle se retourna lentement sur le canapé, cambrant son dos pour exposer la courbe parfaite de ses fesses.
Elle passa une main sur sa peau frissonnante, glissant sensuellement le long de ses hanches, tandis que l’autre dirigeait le vibromasseur vers son intimité brûlante. Un soupir d’extase s’échappa de ses lèvres lorsqu’elle sentit la douce vibration parcourir son corps.
— J’adore sentir ça… murmura-t-elle, lançant un regard espiègle à Steve au-dessus de son épaule.
Elle ondulait doucement, savourant chaque sensation, s’abandonnant totalement sous les caresses du jouet et l’intensité du regard de son amant. Son plaisir montait, s’intensifiait, et elle savait qu’elle n’allait pas tarder à atteindre un point de non-retour…
Steve, quant à lui, sentait son désir devenir incontrôlable. Il ne pouvait plus simplement rester spectateur…
Virginie laissa échapper un gémissement profond, son corps vibrant sous l’intensité des sensations. Elle jouait avec son plaisir, alternant entre douceur et intensité, savourant chaque vibration qui se répandait en elle.
Steve, toujours figé face à ce spectacle envoûtant, sentait son désir monter en flèche. Il voyait chaque frisson parcourir la peau de Virginie, chaque muscle se tendre sous l’anticipation du plaisir ultime.
— Tu me rends fou… souffla-t-il, sa voix rauque trahissant son excitation.
Virginie, le souffle court, accéléra le rythme. Son dos se cambra davantage, son corps réagissant à chaque onde de plaisir qui montait en elle. Ses gémissements devinrent plus pressants, plus incontrôlables. Elle sentait cette vague délicieuse grandir, son ventre se nouer, son corps tout entier prêt à s’abandonner.
Et puis, dans un dernier frisson, son plaisir explosa en elle. Un gémissement rauque s’échappa de ses lèvres, son corps se figea un instant avant d’être parcouru de spasmes de plaisir. Elle se laissa retomber doucement contre le canapé, haletante, un sourire de satisfaction illuminant son visage.
Steve, subjugué, n’avait plus qu’une seule envie : la rejoindre et prolonger cette nuit qui ne faisait que commencer…
Steve ne résista plus. En une fraction de seconde, il la rejoignit sur le canapé, son corps brûlant de désir contre celui de Virginie, encore frémissant de son orgasme. Elle tourna la tête vers lui, un sourire provocant aux lèvres, tandis que son souffle restait saccadé.
— Tu es tellement excitant quand tu me regardes comme ça… murmura-t-elle.
Sans attendre, Steve captura ses lèvres dans un baiser intense, ses mains explorant la peau encore frissonnante de sa partenaire. Il la sentit frémir sous ses caresses, son excitation loin d’être retombée. Virginie, toujours joueuse, garda son vibromasseur en main et le laissa effleurer son clitoris, prolongeant les vagues de plaisir qui parcouraient son corps.
Leur désir était incontrôlable, leurs mouvements guidés par une passion dévorante. Le canapé devint le témoin silencieux de leur étreinte fougueuse, leurs souffles s’entremêlant, leurs corps cherchant encore et encore à se consumer dans un tourbillon de sensations enivrantes.
Le souffle de Steve se fit plus court tandis qu’il intensifiait ses mouvements, son corps pressé contre celui de Virginie. Ses mains glissèrent sur ses hanches avant de caresser la courbe parfaite de ses fesses, savourant chaque frisson qui parcourait sa peau.
Virginie, toujours sous l’effet du plaisir, laissa échapper un gémissement profond. Son vibromasseur toujours en main, elle le promenait sur son clitoris, amplifiant les sensations, rendant chaque mouvement de Steve encore plus électrisant.
Le rythme s’accéléra, leurs souffles se mêlant dans l’intensité du moment. Les caresses de Steve devinrent plus fiévreuses, pressantes, tandis que Virginie se cambrait davantage, totalement abandonnée au plaisir qu’il lui procurait.
Leurs corps s’accordaient parfaitement, s’abandonnant à cette étreinte brûlante, jusqu’à ce que la tension atteigne son paroxysme…
Le plaisir montait, intense, brûlant. Steve sentait son propre désir s’aligner sur celui de Virginie, leurs corps se mouvant à l’unisson, emportés dans une vague de sensations incontrôlables. Elle, toujours joueuse, continuait à stimuler son clitoris avec son vibromasseur, amplifiant chaque frisson qui la parcourait.
Soudain, alors que leurs gémissements résonnaient dans l’appartement, un frisson parcourut Steve—mais cette fois, ce n’était pas uniquement dû au plaisir. Un détail attira son attention, un élément qui, dans la folie du moment, lui avait totalement échappé.
Les rideaux.
Ils étaient grands ouverts.
Son regard se figea sur la grande baie vitrée donnant sur l’immeuble d’en face. Son cœur manqua un battement en réalisant que, de l’autre côté, des lumières étaient allumées. Un appartement voisin, dont les habitants avaient peut-être assisté, sans qu’ils le sachent, à toute la scène torride qui venait de se jouer sur le canapé.
L’adrénaline mêlée à l’excitation lui fit perdre pied un instant. Mais lorsqu’il baissa les yeux vers Virginie, toujours en extase, il vit un sourire espiègle sur son visage.
— Tu viens seulement de t’en rendre compte ? murmura-t-elle entre deux souffles saccadés.
Elle le savait. Et l’idée l’avait encore plus excitée.
Steve sentit un frisson de désir l’envahir à nouveau. La nuit ne faisait que commencer, et visiblement, Virginie avait encore bien des surprises pour lui…
Steve plongea son regard dans celui de Virginie, une lueur de malice brillant dans ses yeux. Il caressa lentement ses hanches, son souffle chaud contre sa peau.
— Tu aimes qu’on te regarde, hein ? murmura-t-il à son oreille. Ça t’excite de montrer tes beaux seins à nos voisins ?
Virginie frissonna sous ces paroles, son excitation redoublant à l’idée qu’ils n’étaient peut-être pas seuls à profiter du spectacle. Elle mordilla sa lèvre, le regard brûlant.
Steve, sentant son frisson d’envie, la prit par la main et la fit se lever. Lentement, il la guida vers la grande baie vitrée. La ville s’étendait devant eux, illuminée par la nuit, les fenêtres d’en face offrant une vue plongeante sur leur appartement.
— Alors, voyons si quelqu’un nous regarde…
Virginie se laissa faire, exaltée par cette montée d’adrénaline. Face à la vitre, son corps entièrement nu exposé à la vue des curieux potentiels, elle sentit son désir atteindre un nouveau sommet. Elle posa ses mains contre la surface froide du verre, le contraste avec la chaleur de son corps la faisant frissonner.
Steve se colla derrière elle, ses mains glissant le long de ses courbes avant de remonter pour saisir ses seins généreux. Il les caressa, les malaxa doucement, ses pouces taquinant ses tétons déjà durcis.
— Imagine… soupira-t-il. Imagine qu’ils soient en train de te regarder en ce moment…
Virginie laissa échapper un gémissement, son corps vibrant sous le mélange d’excitation et d’interdit. L’idée la rendait folle. Elle sentait son souffle se saccader, sa peau frissonner sous les caresses expertes de Steve.
Dans l’immeuble d’en face, une lumière s’alluma soudainement. Quelqu’un venait-il d’arriver ? Était-il là depuis le début ?
Le cœur de Virginie battait à tout rompre. Elle était au bord du précipice, prête à s’abandonner totalement à cette folie délicieuse…
Virginie sentit son ventre se nouer d’excitation pure. L’adrénaline, le plaisir, l’interdit… Tout se mélangeait en un tourbillon qui la rendait encore plus fébrile. Le reflet de la vitre lui renvoyait l’image d’une femme totalement abandonnée à ses désirs, offerte à la nuit, peut-être même à quelques regards curieux.
Un sourire mutin aux lèvres, elle se retourna légèrement vers Steve, ses yeux brûlants de malice.
— Alors, tu crois qu’ils regardent ? souffla-t-elle.
Steve resserra sa prise sur ses hanches, la plaquant un peu plus contre la baie vitrée. Son souffle chaud glissa le long de sa nuque alors qu’il murmura à son oreille :
— Regarde-les et imagine… Tu leur fais un vrai spectacle.
Un frisson la parcourut, et sans hésiter, elle reprit son vibromasseur. Lentement, elle le fit glisser le long de son ventre, frôlant la naissance de ses cuisses avant de le remonter sur ses seins. Elle le promena sur ses tétons durcis, savourant la sensation des vibrations contre sa peau hypersensible.
Puis, son regard plongé dans la vitre, elle descendit l’objet entre ses cuisses, laissant échapper un soupir d’extase lorsqu’il entra en contact avec son point le plus sensible. Ses hanches s’animèrent d’elles-mêmes, cherchant plus de friction, plus d’intensité.
— Mmmh… Steve… j’adore ça…
Elle savait qu’il la regardait avec une fascination absolue, qu’il se délectait de la voir s’exhiber ainsi, totalement décomplexée. Et l’idée que peut-être, dans l’immeuble d’en face, des yeux inconnus suivaient chacun de ses mouvements, la fit frémir encore plus fort.
Les vibrations s’intensifièrent, son souffle se fit plus court, son plaisir devenant incontrôlable. Elle n’avait jamais ressenti une telle montée d’extase, un mélange si grisant de désir et de transgression. Son corps tout entier était en feu, prêt à exploser sous la tension qui s’accumulait…
Virginie était au bord du précipice, son corps vibrant sous les sensations décuplées par l’excitation de l’interdit. Son vibromasseur caressait son point le plus sensible, tandis que Steve, collé contre elle, l’embrassait dans le cou, ses mains jouant avec la fermeté de ses seins.
Son regard était rivé sur la vitre, sur la ville qui s’étendait devant eux… et sur cette fenêtre, juste en face. Une silhouette s’y était figée. Un homme. Il était là, immobile, son regard manifestement fixé sur elle. Il voyait tout.
Un frisson violent parcourut Virginie, mélange d’adrénaline et de pur désir. L’idée d’être observée, d’être admirée dans ce moment d’abandon total, la fit basculer dans un plaisir dévastateur.
— Oh… Steve… je…
Sa phrase se perdit dans un gémissement incontrôlable. Ses jambes tremblèrent, son dos se cambra sous la vague d’orgasme qui la submergea. Son corps entier s’embrasa, chaque muscle tendu sous l’explosion de plaisir qui la prit de plein fouet.
Steve la soutint fermement, murmurant à son oreille, savourant la façon dont elle se laissait totalement aller contre lui. Virginie haletait, ses mains crispées contre la vitre encore fraîche, ses cuisses frémissantes sous les dernières vibrations.
Quand enfin elle rouvrit les yeux, son regard croisa à nouveau la silhouette de l’homme en face. Toujours là. Toujours figé.
Un sourire espiègle étira ses lèvres tandis qu’elle se laissait retomber contre Steve, encore secouée par les répliques de son plaisir.
— Je crois qu’on vient de faire un heureux ce soir… souffla-t-elle.
Steve rit doucement, la serrant contre lui.
— Et si on lui offrait un dernier spectacle avant de tirer les rideaux ?
Virginie se mordilla la lèvre, amusée, avant de tourner son visage vers lui.
— Avec plaisir…
Virginie, encore tremblante de son orgasme, se retourna lentement vers Steve. Son regard était brûlant, un mélange de malice et d’envie pure. Elle savait qu’elle n’en avait pas fini, que cette tension délicieusement interdite pouvait encore être poussée plus loin.
Toujours face à la grande baie vitrée, elle glissa lentement à genoux devant lui, ses mains venant se poser sur ses hanches. Elle prit le temps de le regarder, savourant le désir qui déformait ses traits.
— Tu crois qu’il regarde toujours ? murmura-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres.
Steve, le souffle court, jeta un coup d’œil vers l’immeuble d’en face. La silhouette était toujours là, figée, comme hypnotisée par le spectacle interdit qui se déroulait sous ses yeux.
— Oh oui, il regarde…
Virginie frissonna d’excitation. L’adrénaline pulsait en elle, alimentant son envie de le rendre complètement fou. Elle effleura sa peau brûlante du bout des doigts, traçant un chemin lent et sensuel avant de glisser sa langue sur lui, le goûtant avec une délectation assumée.
Steve bascula légèrement la tête en arrière, un grognement de plaisir s’échappant de sa gorge. La vue de Virginie, à genoux devant lui, offerte au regard d’un inconnu, amplifiait encore plus son désir.
Elle jouait avec lui, alternant entre caresses et baisers, le torturant juste assez avant de le prendre entièrement dans sa bouche. Ses mouvements étaient lents, profonds, savamment calculés pour lui faire perdre tout contrôle.
À travers la vitre, elle savait que leur spectateur ne ratait rien. L’idée qu’il puisse voir chaque frisson de plaisir, chaque contraction de Steve sous sa langue, la rendait encore plus avide.
Les mains de Steve se perdirent dans ses cheveux, guidant son rythme alors que son souffle se faisait plus saccader. L’excitation, le jeu, la provocation… tout se mêlait en une spirale de plaisir brûlant.
Et lorsqu’enfin il atteignit l’extase, son corps se tendant sous la vague de plaisir ultime, Virginie resta là, un sourire satisfait aux lèvres, avant de lever lentement les yeux vers lui.
— Je crois qu’on vient de lui offrir un final inoubliable…
Steve rit, essoufflé, la soulevant pour la serrer contre lui. Il jeta un dernier regard vers la fenêtre d’en face, puis attrapa doucement le rideau.
— Maintenant, on lui laisse imaginer la suite…
Et dans un geste théâtral, il tira les rideaux, plongeant leur appartement dans l’intimité retrouvée… du moins, pour le moment.