Liaisons sensuelles Chapitre 2 : "La Revanche de Steve" – Steve renverse les rôles et fait monter la tension.

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Liaisons sensuelles Chapitre 2 : "La Revanche de Steve" – Steve renverse les rôles et fait monter la tension.
Le lendemain matin, Steve se réveilla seul dans le lit. Virginie était déjà levée, sans doute partie prendre sa douche ou préparer le café. Il s'étira paresseusement avant d’attraper son téléphone sur la table de nuit.
Une notification attira immédiatement son attention. Un message de Thomas.
« Super spectacle que vous m'avez offert hier soir… une sacrée paire qu'elle a Virginie. J'espère que je pourrai bientôt vous revoir… »
Steve sentit une montée d’excitation l’envahir. Ainsi, Thomas les avait bel et bien vus. Il revoyait encore Virginie, seins nus à la fenêtre, savourant le frisson de l'exhibition. L'idée que quelqu'un ait assisté à ce moment amplifiait son plaisir.
Il fixa l’écran un instant, un sourire en coin. Une idée germait déjà dans son esprit. Et si… la prochaine fois, il poussait l’expérience encore plus loin ?
Il rangea son téléphone juste avant que Virginie ne revienne dans la chambre, une serviette enroulée autour de son corps encore humide. Son regard pétillait d’envie.
Steve, lui, savait déjà que la prochaine soirée serait inoubliable… Il se leva et aperçut Virginie en train de se préparer
Virginie ajusta son chemisier, tentant de masquer l’opulente générosité de sa poitrine qui menaçait de s’échapper du tissu tendu. Mais Steve l’observait déjà, adossé au chambranle de la porte, un sourire carnassier aux lèvres. Il aimait ce regard qu’elle prenait lorsqu’elle feignait l’innocence, alors que ses joues rosissaient sous son regard appuyé.
— Tu sais que tu me rends fou, Virginie…
Elle mordilla sa lèvre, un frisson glissant le long de son échine. Il s’approcha lentement, ses mains grandes et fortes se posant sur ses hanches, les pressant contre son bassin durci. Son souffle brûlant effleura l’arrondi de son cou, ses lèvres effleurant sa peau frémissante.
— Et si tu arrêtais de jouer la sage ?
Sa voix rauque fit vibrer tout son corps. Virginie ferma les yeux, son bas-ventre s’enflammant sous la promesse de ce qui allait suivre. D’un geste assuré, Steve fit glisser les boutons de son chemisier, dévoilant peu à peu les montagnes tentatrices de sa poitrine, à peine contenues dans un soutien-gorge de dentelle noire.
— Magnifique… souffla-t-il avant d’engloutir un de ses seins dans sa large paume.
Virginie bascula la tête en arrière, un soupir brûlant échappant de ses lèvres. Steve, lui, se délectait de sa réaction, alternant caresses et mordillements, traçant une rivière de baisers entre ses seins gonflés de désir.
— À genoux, ordonna-t-il d’une voix basse, mais impérieuse.
Un frisson d’excitation la traversa. Elle s’exécuta, ses doigts glissant déjà sur la boucle de sa ceinture, prête à lui offrir ce qu’il réclamait…
Virginie se laissa glisser à genoux, son regard planté dans celui de Steve, brûlant de désir. Ses doigts fins et agiles défirent la boucle de sa ceinture avec une lenteur calculée, savourant chaque seconde où elle sentait son excitation grandir. Lorsqu’elle fit glisser la fermeture éclair, son souffle se suspendit en découvrant la bosse impressionnante qui déformait déjà le tissu.
Steve posa une main sur sa joue, son pouce effleurant ses lèvres entrouvertes.
— Montre-moi à quel point tu es docile, murmura-t-il, sa voix empreinte d’un mélange d’autorité et de désir brut.
Elle ne se fit pas prier. Ses doigts caressèrent la peau tendue de son bas-ventre tandis qu’elle libérait son sexe, palpitant d’envie. D’un mouvement lent, elle effleura l’extrémité de sa langue contre lui, savourant le soupir rauque qui s’échappa de sa gorge.
— Oui, comme ça…
Encouragée par son gémissement, elle le prit en bouche, alternant mouvements lents et succions profondes, le sentant se raidir davantage sous l’intensité de sa caresse humide. Ses doigts s’enfoncèrent doucement dans sa chevelure, guidant son rythme sans jamais forcer, appréciant pleinement la sensation de sa langue qui dansait sur lui.
Steve recula soudainement, agrippant ses épaules pour la redresser avec une rapidité fébrile.
— Assez joué, grogna-t-il avant de la plaquer contre le bureau.
Virginie haleta, sentant la chaleur irradier entre ses cuisses déjà trempées d’envie. Il lui arracha presque sa jupe, dévoilant la fine dentelle qui cachait à peine son désir. Ses doigts glissèrent contre le tissu humide, l’effleurant juste assez pour la faire gémir de frustration.
— Tu es trempée… Tu veux que je te prenne comme une salope, hein ?
Elle ne put qu’acquiescer, ses hanches se cambrant sous l’attente insoutenable. Alors, dans un seul mouvement brutal et possessif, il s’enfonça en elle, déclenchant un cri de plaisir sauvage.
Il la prit sans retenue, chaque coup de rein la propulsant plus profondément dans l’extase. Le bureau grinçait sous l’intensité de leurs ébats, sa poitrine généreuse se balançant sous ses assauts furieux. Steve la dominait entièrement, ses mains agrippant fermement ses hanches pour mieux la pilonner.
Le plaisir monta en elle comme une vague incontrôlable. Elle sentit son corps se tendre, trembler, puis exploser dans un orgasme violent qui lui arracha un cri guttural. Steve la rejoignit aussitôt, grognant contre sa nuque tandis qu’il jouissait en elle, marquant son territoire d’une jouissance brute et intense.
Essoufflés, leurs corps collés, il l’embrassa avec une tendresse inattendue.
— Je n’en ai pas fini avec toi, souffla-t-il à son oreille.
Virginie haletait encore, son corps frémissant sous les assauts précédents, mais l’ardeur brûlante dans le regard de Steve ne laissait aucun doute : il en voulait plus. Et elle aussi.
D’un geste possessif, il la souleva et l’installa sur le bureau, ses cuisses s’écartant instinctivement sous son regard de prédateur. La lumière tamisée projetait des ombres sensuelles sur son corps offert, sa poitrine encore agitée par les secousses du plaisir.
— Montre-moi, murmura-t-il en s’adossant à la chaise, son sexe encore dur palpitant d’envie.
Virginie sentit un frisson d’excitation pure traverser son ventre. L’idée de se donner en spectacle, sous ses yeux avides, la rendait plus mouillée encore. Lentement, elle laissa glisser ses doigts sur son ventre, traçant des cercles autour de son nombril avant de descendre plus bas.
Son autre main s’attarda sur sa poitrine, pinçant ses propres tétons déjà durcis. Elle bascula la tête en arrière, sa respiration saccadée, tandis que ses doigts effleuraient la fine dentelle détrempée qui couvrait encore son intimité.
— Enlève ça, grogna Steve, sa voix rauque trahissant l’excitation brûlante qui le consumait.
Elle obéit sans hésitation, glissant sa culotte le long de ses jambes avant de l’écarter à nouveau, exposant sans pudeur son sexe humide. Ses doigts glissèrent entre ses lèvres gonflées, effleurant son clitoris d’un mouvement circulaire qui lui arracha un gémissement.
— Oui… c’est ça…
Steve ne la quittait pas du regard, son souffle saccadé, ses mâchoires contractées. Il se caressait lentement à son tour, savourant le spectacle interdit qui se déroulait devant lui.
Virginie accéléra, ses doigts devenant plus insistants, son autre main venant titiller son téton dressé. Son plaisir montait vite, trop vite.
— Regarde-moi quand tu jouis, ordonna Steve.
Elle ouvrit les yeux, plongeant dans son regard de braise au moment où une vague de plaisir violent la submergea. Son corps s’arqua, ses cuisses tremblant sous l’orgasme qui l’écrasa d’une intensité insoutenable. Un cri rauque s’échappa de sa gorge tandis qu’elle se tendait, offerte, vulnérable et sublime sous la puissance de son propre plaisir.
Steve ne put plus se contenir. D’un bond, il se jeta sur elle, son sexe déjà dur prêt à la posséder à nouveau.
— Je vais te baiser jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter, grogna-t-il avant de la pénétrer d’un coup sec.
Virginie hurla de plaisir.
Virginie, encore tremblante sous l’extase, s’abandonna complètement à l’excitation brûlante qui consumait son corps. Installée sur le bureau, ses cuisses bien écartées, elle laissa glisser ses doigts trempés sur son sexe offert.
Elle savait exactement ce qu’elle faisait.
— Regarde-moi, Steve… Regarde comme je suis une salope pour toi…
Elle plongea deux doigts en elle, gémissant bruyamment sous la sensation délicieusement indécente. Son autre main jouait avec son clitoris, accélérant ses mouvements sous les yeux avides de Steve. Chaque pénétration de ses doigts était un appel silencieux, une provocation.
— Bordel… t’es irrésistible… grogna-t-il, les poings crispés, se retenant de lui sauter dessus.
Mais elle ne voulait pas qu’il se retienne.
— Tu me veux ? souffla-t-elle entre deux gémissements, ses doigts s’enfonçant plus profondément en elle. Alors viens me prendre comme la putain que je suis pour toi…
C’en était trop.
Dans un élan brutal, Steve la saisit par les poignets, arrachant ses doigts trempés de son sexe avant de les porter à sa bouche. Il les suça avec un grognement rauque, goûtant sa propre excitation avant de la plaquer violemment sur le bureau.
— Tu vas regretter de m’avoir chauffé comme ça, murmura-t-il avant de s’enfoncer en elle d’un coup sec.
Un cri s’échappa des lèvres de Virginie, mi-gémissement, mi-supplique. Il la pilonna sans retenue, son sexe dur l’écartelant avec une brutalité délicieuse. Ses mains agrippaient ses hanches, l’attirant contre lui à chaque coup de bassin, l’emplissant jusqu’au fond.
Le bureau grinçait sous l’intensité de leurs corps en fusion, sa poitrine rebondissant au rythme de ses assauts furieux. Elle se sentait prise, possédée, soumise à son désir brûlant, et cette sensation la propulsa vers un nouvel orgasme.
— Oui… continue… baise-moi encore… gémit-elle en se cambrant sous lui.
Steve accéléra, grognant entre ses dents, son plaisir atteignant un point de non-retour. Dans une dernière poussée, il jouit profondément en elle, marquant son territoire, laissant sa semence chaude couler en elle alors qu’il mordait la peau tendre de son cou.
Essoufflés, tremblants, ils restèrent quelques secondes ainsi, collés l’un à l’autre, avant que Steve ne lui relève le menton pour l’embrasser avec une tendresse inattendue.
— T’es la pire des provocatrices, souffla-t-il contre ses lèvres.
Virginie sourit, ses jambes encore tremblantes autour de sa taille.
— Et t’adores ça…
Virginie se redressa lentement sur le bureau, encore fébrile des assauts brutaux de Steve. Son corps nu était recouvert d’une fine pellicule de sueur, ses cuisses tremblantes, son sexe encore palpitant sous l’intensité de leur étreinte. Mais elle savait que Steve n’en avait pas fini avec elle.
Il recula légèrement, l’observant avec un sourire carnassier alors qu’il remontait lentement son pantalon.
— J’espère que tu ne penses pas déjà à te reposer, murmura-t-il en s’adossant à la chaise.
Elle soutint son regard, frémissante sous cette aura de domination qui émanait de lui.
— Non, monsieur… souffla-t-elle, le souffle encore court.
Un rictus satisfait étira les lèvres de Steve. Il se leva, attrapant un fin tissu de satin noir dans l’armoire derrière lui. C’était un déshabillé si transparent qu’il ne cachait rien, à peine un voile posé sur la peau.
— Mets ça.
Virginie obéit immédiatement, glissant le tissu le long de son corps. Les pans légers effleuraient sa peau nue, ses tétons durcis par l’excitation restant bien visibles sous la dentelle fine. Son sexe encore humide luisait entre ses cuisses légèrement écartées.
Steve s’approcha, la faisant tourner sur elle-même, appréciant le spectacle offert. Puis, il lui tendit un petit sac-poubelle.
— Tu vas descendre ça.
Elle cligna des yeux, surprise.
— Comme ça ?
— Exactement comme ça, confirma-t-il en caressant sa nuque du bout des doigts. Personne ne traîne à cette heure-là… ou peut-être que si.
Un frisson de honte et d’excitation parcourut l’échine de Virginie. L’idée d’être exposée, vulnérable, excita instantanément son bas-ventre. Steve la contourna lentement, effleurant ses fesses nues du bout des doigts.
— Et interdiction de refermer ton déshabillé. Je veux que tu sentes l’air frais caresser ton corps pendant que tu marches.
Elle déglutit, sa respiration s’accélérant sous l’ordre. Son ventre se tordait de nervosité et d’anticipation.
— Si je refuse ? tenta-t-elle avec un sourire provocateur.
Steve se pencha à son oreille, sa main attrapant fermement sa gorge, sans serrer, juste assez pour lui faire sentir son contrôle.
— Alors je te punirai… et crois-moi, tu n’auras pas le droit de jouir avant longtemps.
Son sexe palpita instantanément. Elle était piégée. Et elle adorait ça.
D’une main tremblante, elle attrapa le sac et se dirigea vers la porte, les jambes déjà tremblantes d’excitation. Steve la suivit du regard, prêt à savourer le moindre instant de sa soumission…
Virginie s’avança lentement vers la porte, son cœur battant à tout rompre. Le tissu du déshabillé frôlait sa peau nue, une caresse presque aussi troublante que le regard brûlant de Steve posé sur elle. Ses seins lourds se soulevaient au rythme de sa respiration haletante, ses tétons tendus visibles sous la dentelle.
Elle ouvrit la porte et s’engouffra dans le couloir désert. Chaque pas résonnait dans le silence de l’immeuble, amplifiant sa vulnérabilité. L’air frais chatouillait ses cuisses nues, effleurait son sexe encore humide des assauts précédents.
Elle descendit les escaliers, le cœur battant la chamade, la peur et l’excitation se mêlant dans un délicieux tourment. Arrivée devant la benne, elle jeta le sac-poubelle, prête à remonter en courant.
Mais un mouvement attira son attention. Un homme, à peine dissimulé derrière une voiture garée près de l’entrée, la regardait. Il ne bougeait pas, figé dans une stupeur fascinée. Ses yeux étaient rivés sur son corps offert, sur la dentelle qui ne cachait rien, sur l’audace qu’elle exposait. Un frisson la traversa. Elle aurait dû paniquer. Elle aurait dû fuir.
Mais au lieu de cela, une chaleur impensable se répandit dans son bas-ventre. L’idée d’être vue ainsi, désirée, presque prise sur le fait, déclencha en elle une onde de plaisir coupable. Elle sentit son sexe se contracter, une moiteur nouvelle l’envahir. Elle tourna les talons sans un mot et remonta, sentant le regard brûlant de l’inconnu la suivre jusqu’à l’entrée.
Lorsqu’elle ouvrit la porte de l’appartement, Steve était toujours là, accoudé au mur, l’observant avec ce sourire carnassier qu’elle aimait tant.
— Alors ? demanda-t-il, la voix grave.
Elle referma doucement la porte derrière elle, les joues en feu, les jambes tremblantes. Son regard trouble se posa sur lui, et un sourire espiègle étira ses lèvres encore tremblantes.
— Quelqu’un m’a vue…
Steve arqua un sourcil, s’approchant lentement.
— Et ?
Elle mordilla sa lèvre inférieure, son ventre se tordant sous l’excitation qui ne la quittait plus.
— J’ai… aimé ça…
Steve grogna de satisfaction avant de l’attraper par la nuque et de la plaquer contre le mur.
— Petite salope perverse…
Sa main descendit lentement entre ses cuisses, trouvant son sexe brûlant. Lorsqu’il sentit à quel point elle était trempée, un sourire dangereux illumina son visage.
— Je vais te faire payer ça…
Pour punir Virginie, Steve décida de la laisser ainsi, brûlante d’excitation. Il s’approcha d’elle, effleura sa peau sans céder à ses envies, puis murmura d’une voix taquine :
— Je te punirai ce soir…
Un sourire frustré mais complice étira les lèvres de Virginie. Elle savait qu’elle devrait patienter, son désir suspendu jusqu’à ce soir.
Une notification attira immédiatement son attention. Un message de Thomas.
« Super spectacle que vous m'avez offert hier soir… une sacrée paire qu'elle a Virginie. J'espère que je pourrai bientôt vous revoir… »
Steve sentit une montée d’excitation l’envahir. Ainsi, Thomas les avait bel et bien vus. Il revoyait encore Virginie, seins nus à la fenêtre, savourant le frisson de l'exhibition. L'idée que quelqu'un ait assisté à ce moment amplifiait son plaisir.
Il fixa l’écran un instant, un sourire en coin. Une idée germait déjà dans son esprit. Et si… la prochaine fois, il poussait l’expérience encore plus loin ?
Il rangea son téléphone juste avant que Virginie ne revienne dans la chambre, une serviette enroulée autour de son corps encore humide. Son regard pétillait d’envie.
Steve, lui, savait déjà que la prochaine soirée serait inoubliable… Il se leva et aperçut Virginie en train de se préparer
Virginie ajusta son chemisier, tentant de masquer l’opulente générosité de sa poitrine qui menaçait de s’échapper du tissu tendu. Mais Steve l’observait déjà, adossé au chambranle de la porte, un sourire carnassier aux lèvres. Il aimait ce regard qu’elle prenait lorsqu’elle feignait l’innocence, alors que ses joues rosissaient sous son regard appuyé.
— Tu sais que tu me rends fou, Virginie…
Elle mordilla sa lèvre, un frisson glissant le long de son échine. Il s’approcha lentement, ses mains grandes et fortes se posant sur ses hanches, les pressant contre son bassin durci. Son souffle brûlant effleura l’arrondi de son cou, ses lèvres effleurant sa peau frémissante.
— Et si tu arrêtais de jouer la sage ?
Sa voix rauque fit vibrer tout son corps. Virginie ferma les yeux, son bas-ventre s’enflammant sous la promesse de ce qui allait suivre. D’un geste assuré, Steve fit glisser les boutons de son chemisier, dévoilant peu à peu les montagnes tentatrices de sa poitrine, à peine contenues dans un soutien-gorge de dentelle noire.
— Magnifique… souffla-t-il avant d’engloutir un de ses seins dans sa large paume.
Virginie bascula la tête en arrière, un soupir brûlant échappant de ses lèvres. Steve, lui, se délectait de sa réaction, alternant caresses et mordillements, traçant une rivière de baisers entre ses seins gonflés de désir.
— À genoux, ordonna-t-il d’une voix basse, mais impérieuse.
Un frisson d’excitation la traversa. Elle s’exécuta, ses doigts glissant déjà sur la boucle de sa ceinture, prête à lui offrir ce qu’il réclamait…
Virginie se laissa glisser à genoux, son regard planté dans celui de Steve, brûlant de désir. Ses doigts fins et agiles défirent la boucle de sa ceinture avec une lenteur calculée, savourant chaque seconde où elle sentait son excitation grandir. Lorsqu’elle fit glisser la fermeture éclair, son souffle se suspendit en découvrant la bosse impressionnante qui déformait déjà le tissu.
Steve posa une main sur sa joue, son pouce effleurant ses lèvres entrouvertes.
— Montre-moi à quel point tu es docile, murmura-t-il, sa voix empreinte d’un mélange d’autorité et de désir brut.
Elle ne se fit pas prier. Ses doigts caressèrent la peau tendue de son bas-ventre tandis qu’elle libérait son sexe, palpitant d’envie. D’un mouvement lent, elle effleura l’extrémité de sa langue contre lui, savourant le soupir rauque qui s’échappa de sa gorge.
— Oui, comme ça…
Encouragée par son gémissement, elle le prit en bouche, alternant mouvements lents et succions profondes, le sentant se raidir davantage sous l’intensité de sa caresse humide. Ses doigts s’enfoncèrent doucement dans sa chevelure, guidant son rythme sans jamais forcer, appréciant pleinement la sensation de sa langue qui dansait sur lui.
Steve recula soudainement, agrippant ses épaules pour la redresser avec une rapidité fébrile.
— Assez joué, grogna-t-il avant de la plaquer contre le bureau.
Virginie haleta, sentant la chaleur irradier entre ses cuisses déjà trempées d’envie. Il lui arracha presque sa jupe, dévoilant la fine dentelle qui cachait à peine son désir. Ses doigts glissèrent contre le tissu humide, l’effleurant juste assez pour la faire gémir de frustration.
— Tu es trempée… Tu veux que je te prenne comme une salope, hein ?
Elle ne put qu’acquiescer, ses hanches se cambrant sous l’attente insoutenable. Alors, dans un seul mouvement brutal et possessif, il s’enfonça en elle, déclenchant un cri de plaisir sauvage.
Il la prit sans retenue, chaque coup de rein la propulsant plus profondément dans l’extase. Le bureau grinçait sous l’intensité de leurs ébats, sa poitrine généreuse se balançant sous ses assauts furieux. Steve la dominait entièrement, ses mains agrippant fermement ses hanches pour mieux la pilonner.
Le plaisir monta en elle comme une vague incontrôlable. Elle sentit son corps se tendre, trembler, puis exploser dans un orgasme violent qui lui arracha un cri guttural. Steve la rejoignit aussitôt, grognant contre sa nuque tandis qu’il jouissait en elle, marquant son territoire d’une jouissance brute et intense.
Essoufflés, leurs corps collés, il l’embrassa avec une tendresse inattendue.
— Je n’en ai pas fini avec toi, souffla-t-il à son oreille.
Virginie haletait encore, son corps frémissant sous les assauts précédents, mais l’ardeur brûlante dans le regard de Steve ne laissait aucun doute : il en voulait plus. Et elle aussi.
D’un geste possessif, il la souleva et l’installa sur le bureau, ses cuisses s’écartant instinctivement sous son regard de prédateur. La lumière tamisée projetait des ombres sensuelles sur son corps offert, sa poitrine encore agitée par les secousses du plaisir.
— Montre-moi, murmura-t-il en s’adossant à la chaise, son sexe encore dur palpitant d’envie.
Virginie sentit un frisson d’excitation pure traverser son ventre. L’idée de se donner en spectacle, sous ses yeux avides, la rendait plus mouillée encore. Lentement, elle laissa glisser ses doigts sur son ventre, traçant des cercles autour de son nombril avant de descendre plus bas.
Son autre main s’attarda sur sa poitrine, pinçant ses propres tétons déjà durcis. Elle bascula la tête en arrière, sa respiration saccadée, tandis que ses doigts effleuraient la fine dentelle détrempée qui couvrait encore son intimité.
— Enlève ça, grogna Steve, sa voix rauque trahissant l’excitation brûlante qui le consumait.
Elle obéit sans hésitation, glissant sa culotte le long de ses jambes avant de l’écarter à nouveau, exposant sans pudeur son sexe humide. Ses doigts glissèrent entre ses lèvres gonflées, effleurant son clitoris d’un mouvement circulaire qui lui arracha un gémissement.
— Oui… c’est ça…
Steve ne la quittait pas du regard, son souffle saccadé, ses mâchoires contractées. Il se caressait lentement à son tour, savourant le spectacle interdit qui se déroulait devant lui.
Virginie accéléra, ses doigts devenant plus insistants, son autre main venant titiller son téton dressé. Son plaisir montait vite, trop vite.
— Regarde-moi quand tu jouis, ordonna Steve.
Elle ouvrit les yeux, plongeant dans son regard de braise au moment où une vague de plaisir violent la submergea. Son corps s’arqua, ses cuisses tremblant sous l’orgasme qui l’écrasa d’une intensité insoutenable. Un cri rauque s’échappa de sa gorge tandis qu’elle se tendait, offerte, vulnérable et sublime sous la puissance de son propre plaisir.
Steve ne put plus se contenir. D’un bond, il se jeta sur elle, son sexe déjà dur prêt à la posséder à nouveau.
— Je vais te baiser jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter, grogna-t-il avant de la pénétrer d’un coup sec.
Virginie hurla de plaisir.
Virginie, encore tremblante sous l’extase, s’abandonna complètement à l’excitation brûlante qui consumait son corps. Installée sur le bureau, ses cuisses bien écartées, elle laissa glisser ses doigts trempés sur son sexe offert.
Elle savait exactement ce qu’elle faisait.
— Regarde-moi, Steve… Regarde comme je suis une salope pour toi…
Elle plongea deux doigts en elle, gémissant bruyamment sous la sensation délicieusement indécente. Son autre main jouait avec son clitoris, accélérant ses mouvements sous les yeux avides de Steve. Chaque pénétration de ses doigts était un appel silencieux, une provocation.
— Bordel… t’es irrésistible… grogna-t-il, les poings crispés, se retenant de lui sauter dessus.
Mais elle ne voulait pas qu’il se retienne.
— Tu me veux ? souffla-t-elle entre deux gémissements, ses doigts s’enfonçant plus profondément en elle. Alors viens me prendre comme la putain que je suis pour toi…
C’en était trop.
Dans un élan brutal, Steve la saisit par les poignets, arrachant ses doigts trempés de son sexe avant de les porter à sa bouche. Il les suça avec un grognement rauque, goûtant sa propre excitation avant de la plaquer violemment sur le bureau.
— Tu vas regretter de m’avoir chauffé comme ça, murmura-t-il avant de s’enfoncer en elle d’un coup sec.
Un cri s’échappa des lèvres de Virginie, mi-gémissement, mi-supplique. Il la pilonna sans retenue, son sexe dur l’écartelant avec une brutalité délicieuse. Ses mains agrippaient ses hanches, l’attirant contre lui à chaque coup de bassin, l’emplissant jusqu’au fond.
Le bureau grinçait sous l’intensité de leurs corps en fusion, sa poitrine rebondissant au rythme de ses assauts furieux. Elle se sentait prise, possédée, soumise à son désir brûlant, et cette sensation la propulsa vers un nouvel orgasme.
— Oui… continue… baise-moi encore… gémit-elle en se cambrant sous lui.
Steve accéléra, grognant entre ses dents, son plaisir atteignant un point de non-retour. Dans une dernière poussée, il jouit profondément en elle, marquant son territoire, laissant sa semence chaude couler en elle alors qu’il mordait la peau tendre de son cou.
Essoufflés, tremblants, ils restèrent quelques secondes ainsi, collés l’un à l’autre, avant que Steve ne lui relève le menton pour l’embrasser avec une tendresse inattendue.
— T’es la pire des provocatrices, souffla-t-il contre ses lèvres.
Virginie sourit, ses jambes encore tremblantes autour de sa taille.
— Et t’adores ça…
Virginie se redressa lentement sur le bureau, encore fébrile des assauts brutaux de Steve. Son corps nu était recouvert d’une fine pellicule de sueur, ses cuisses tremblantes, son sexe encore palpitant sous l’intensité de leur étreinte. Mais elle savait que Steve n’en avait pas fini avec elle.
Il recula légèrement, l’observant avec un sourire carnassier alors qu’il remontait lentement son pantalon.
— J’espère que tu ne penses pas déjà à te reposer, murmura-t-il en s’adossant à la chaise.
Elle soutint son regard, frémissante sous cette aura de domination qui émanait de lui.
— Non, monsieur… souffla-t-elle, le souffle encore court.
Un rictus satisfait étira les lèvres de Steve. Il se leva, attrapant un fin tissu de satin noir dans l’armoire derrière lui. C’était un déshabillé si transparent qu’il ne cachait rien, à peine un voile posé sur la peau.
— Mets ça.
Virginie obéit immédiatement, glissant le tissu le long de son corps. Les pans légers effleuraient sa peau nue, ses tétons durcis par l’excitation restant bien visibles sous la dentelle fine. Son sexe encore humide luisait entre ses cuisses légèrement écartées.
Steve s’approcha, la faisant tourner sur elle-même, appréciant le spectacle offert. Puis, il lui tendit un petit sac-poubelle.
— Tu vas descendre ça.
Elle cligna des yeux, surprise.
— Comme ça ?
— Exactement comme ça, confirma-t-il en caressant sa nuque du bout des doigts. Personne ne traîne à cette heure-là… ou peut-être que si.
Un frisson de honte et d’excitation parcourut l’échine de Virginie. L’idée d’être exposée, vulnérable, excita instantanément son bas-ventre. Steve la contourna lentement, effleurant ses fesses nues du bout des doigts.
— Et interdiction de refermer ton déshabillé. Je veux que tu sentes l’air frais caresser ton corps pendant que tu marches.
Elle déglutit, sa respiration s’accélérant sous l’ordre. Son ventre se tordait de nervosité et d’anticipation.
— Si je refuse ? tenta-t-elle avec un sourire provocateur.
Steve se pencha à son oreille, sa main attrapant fermement sa gorge, sans serrer, juste assez pour lui faire sentir son contrôle.
— Alors je te punirai… et crois-moi, tu n’auras pas le droit de jouir avant longtemps.
Son sexe palpita instantanément. Elle était piégée. Et elle adorait ça.
D’une main tremblante, elle attrapa le sac et se dirigea vers la porte, les jambes déjà tremblantes d’excitation. Steve la suivit du regard, prêt à savourer le moindre instant de sa soumission…
Virginie s’avança lentement vers la porte, son cœur battant à tout rompre. Le tissu du déshabillé frôlait sa peau nue, une caresse presque aussi troublante que le regard brûlant de Steve posé sur elle. Ses seins lourds se soulevaient au rythme de sa respiration haletante, ses tétons tendus visibles sous la dentelle.
Elle ouvrit la porte et s’engouffra dans le couloir désert. Chaque pas résonnait dans le silence de l’immeuble, amplifiant sa vulnérabilité. L’air frais chatouillait ses cuisses nues, effleurait son sexe encore humide des assauts précédents.
Elle descendit les escaliers, le cœur battant la chamade, la peur et l’excitation se mêlant dans un délicieux tourment. Arrivée devant la benne, elle jeta le sac-poubelle, prête à remonter en courant.
Mais un mouvement attira son attention. Un homme, à peine dissimulé derrière une voiture garée près de l’entrée, la regardait. Il ne bougeait pas, figé dans une stupeur fascinée. Ses yeux étaient rivés sur son corps offert, sur la dentelle qui ne cachait rien, sur l’audace qu’elle exposait. Un frisson la traversa. Elle aurait dû paniquer. Elle aurait dû fuir.
Mais au lieu de cela, une chaleur impensable se répandit dans son bas-ventre. L’idée d’être vue ainsi, désirée, presque prise sur le fait, déclencha en elle une onde de plaisir coupable. Elle sentit son sexe se contracter, une moiteur nouvelle l’envahir. Elle tourna les talons sans un mot et remonta, sentant le regard brûlant de l’inconnu la suivre jusqu’à l’entrée.
Lorsqu’elle ouvrit la porte de l’appartement, Steve était toujours là, accoudé au mur, l’observant avec ce sourire carnassier qu’elle aimait tant.
— Alors ? demanda-t-il, la voix grave.
Elle referma doucement la porte derrière elle, les joues en feu, les jambes tremblantes. Son regard trouble se posa sur lui, et un sourire espiègle étira ses lèvres encore tremblantes.
— Quelqu’un m’a vue…
Steve arqua un sourcil, s’approchant lentement.
— Et ?
Elle mordilla sa lèvre inférieure, son ventre se tordant sous l’excitation qui ne la quittait plus.
— J’ai… aimé ça…
Steve grogna de satisfaction avant de l’attraper par la nuque et de la plaquer contre le mur.
— Petite salope perverse…
Sa main descendit lentement entre ses cuisses, trouvant son sexe brûlant. Lorsqu’il sentit à quel point elle était trempée, un sourire dangereux illumina son visage.
— Je vais te faire payer ça…
Pour punir Virginie, Steve décida de la laisser ainsi, brûlante d’excitation. Il s’approcha d’elle, effleura sa peau sans céder à ses envies, puis murmura d’une voix taquine :
— Je te punirai ce soir…
Un sourire frustré mais complice étira les lèvres de Virginie. Elle savait qu’elle devrait patienter, son désir suspendu jusqu’à ce soir.
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