Ma collègue de travail (2)

- Par l'auteur HDS K-ro -
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma collègue de travail (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma collègue de travail (2)
Dimanche 20 août 2000

Alors que je lui ouvre la porte, je réalise que depuis deux ans qu’on travaille ensemble, c’est la première fois que j’invite ma collègue à la maison. Et c’est réciproque, je ne suis jamais allée chez elle et je ne connais pas grand chose de sa vie privée. Et pourtant en quelques jours j’ai réussi à la faire mettre en maillot topless au bureau, quel progrès !

Bien évidemment, vous vous doutez que je ne suis pas en tailleur pour la recevoir. Elle-même s’attendait certainement que je sois en tenue légère et décontractée. Mais peut-être pas à ce point, car je suis juste enroulée dans un paréo qui certifie que je n’ai rien dessous en haut, laissant un doute sur le bas, vu la petitesse de mes strings. Et surtout que je le fasse alors qu’il peut passer du monde dans l’allée du lotissement où nous habitons.

Mais bon, passée la nouvelle surprise, elle me suit à l’intérieur pour traverser vers la terrasse. Là elle découvre Ber, qu’elle avait déjà rencontré à une occasion de sortie au resto où étaient conviés les membres du bureau, nos intervenants principaux et les conjoints éventuels. La seule différence, c’est que là il est complètement à poil dans un transat. Comme il se lève pour l’accueillir, je désamorce la situation :
- Tu connais Bernard, évidemment.
- Euh, oui…
- Et tu sais qu’on est naturistes. Mais si ça te gêne…
- Non, non, ça va, c’est juste que je ne m’y attendais pas.
- Et voici notre fille Lola, dont tu as vu des photos.
- Oui, bonjour Lola !

Notre fille, habituée depuis sa naissance à voir les gens nus, dont ses parents, est elle aussi dans cette tenue quand elle sort de la piscine pour venir faire la bise à l’arrivante. Elle lui met un peu d’eau partout puis retourne se mettre dans le bain. Dans l’action, j’ai déroulé mon paréo et quand Martine se retourne, elle a enfin la confirmation que je suis épilée intégralement. Je lui propose de venir se déshabiller à l’intérieur pour pouvoir poser correctement ses affaires. Elle me suit dans une chambre et comme je reste là, elle n’ose pas me demander de sortir et se déshabille devant moi pour se retrouver nue et commencer a enfiler le maillot qu’elle avait mis au bureau. Je lui fais remarquer :
- Allez, tu vas pas te mettre en maillot avec tout le monde à poil autour de toi, non ?
- Euh, tout de même…
- Déjà tu as enlevé le haut au bureau.
- Oui, mais c’était au bureau, et…
- Et quoi ? Ici, c’est encore plus tranquille. De plus tu m’as dit que tu avais déjà pratiqué un peu. Et ne me dis pas que c’est par rapport à mon mari, il a l’habitude de voir des nanas à poil, t’en fais pas ! Allez, hop !
- Bon, je sais pas, mais OK, je tente l’expérience.
- Bravo ! Tu vas voir, tu vas te sentir trop bien d’ici un moment, tu vas pas regretter.

Et elle enlève le bas qu’elle avait déjà enfilé, essayant tout de même de ne pas trop me dévoiler le ticket de métro que je devine. Puis je la prends par la main et elle me suit à l’extérieur. Elle est bien empruntée au début, ne semblant visiblement pas comment se mettre. Mais après une première baignade, elle s’abandonne enfin au soleil sur un transat et se décontracte, nous laissant la vue sur son petit rectangle châtain de poils taillés ras.

Pendant que nous mangeons les grillades, Martine parait visiblement rassurée et se laisse gagner par l’ambiance cool de cette réunion. Elle ne fait plus attention à serrer ses jambes et n’a plus de gêne à voir les attributs de Ber ni son épilation plus radicale que la sienne. C’est tout juste si elle sursaute encore lorsqu’il vient s’assoir dans son dos au bord de la piscine, les jambes pendantes dans l’eau et qu’elle se retourne, se retrouvant d’un coup le nez presque sur son engin en gros plan. Heureusement, il réussit facilement à ne pas bander, il a assez de contrôle mental sur ça.

Un peu plus tard je repars à l’attaque en lui disant que je ne lui avais pas tout raconté sur le séjour de Sophie au bureau. Je lui apprends que nous avons aussi passé une journée ici avec elle et qu’ensuite nous avons fini par travailler complètement nues. Je ne vais pas plus loin pour le moment, ne voulant pas la brusquer sur des révélations plus crues. Je garde ça pour plus tard. Elle marque son étonnement, mais finalement, elle trouve que c’est logique, vu que nous sommes en ce moment tous dans la même tenue. Elle rajoute :
- La seule différence, c’est que là nous sommes entre amis dans un lieu privé. Au bureau, c’est tout de même autre chose.
- Pourquoi ? Au bureau, on risque encore moins de se faire surprendre qu’ici. On a largement le temps d’enfiler une robe avant que quelqu’un monte jusqu’au bureau. Ici il suffit qu’un voisin ait l’idée de regarder par-dessus la haie de séparation pour nous voir.
- Je sais pas…
- Eh bien, réfléchis-y. Moi, je vais le faire, c’est trop agréable de travailler toute nue !

Sur ce, l’après-midi continue sur ce rythme et Martine donne l’impression de se relâcher de plus en plus. A la fin elle se rhabille pour reprendre sa voiture avant de tomber dans les bouchons du soir. Elle nous remercie pour cette belle journée, ne se gênant plus pour faire la bise à Ber qui est pourtant toujours nu avec sa queue qui lui frôle presque la jupe. Et on se dit à demain pour lequel elle ne me fait aucune promesse quant à sa tenue.


Lundi 21 août 2000

De nouveau au bureau. Cette fois, c’est elle qui a fait en sorte d’arriver la première. Et j’ai la surprise de la trouver déjà totalement nue, assise à son bureau. Je me dépêche de l’imiter et vais la rejoindre car elle a préparé le café et a posé les deux tasses devant elle :
- Dis donc, ça c’est une bonne surprise !
- Oui, bon, voilà ! En fait, je me suis dit que tu avais raison, c’est idiot d’avoir des craintes. Et qu’en le faisant de suite en arrivant et en étant seule, ce serait plus facile.
- Eh bien, bravo ! Tu vas voir que tu vas même plus y penser d’ici un moment, prise par le travail. N’oublie pas de te rhabiller en sortant…
- Ah ah !
- Ah, et aussi, je t’ai pas complimentée hier : Joli ticket de métro, bien dégagé !
- Tu peux parler, avec ton pubis de fillette… et celui de ton mari !

Et la journée s’est passée sans anicroche. je suis restée sobre, sans provocation.


Vendredi 25 août 2000

Toute la semaine, Martine a eu l’occasion de s’habituer à évoluer à poil dans toutes les circonstances. De mon côté, je me suis juste permis de me branler discrètement de temps en temps. Une fois je me suis même doucement doigtée pendant que j’étais dans son dos, penchée sur son épaule où mon sein droit à fini par se poser. Elle n’a rien dit mais elle devait pourtant sentir mon téton pointer contre sa peau. J’ai donc petit à petit multiplié les contacts tactiles, que ce soit avec ma main sur son bras, sa hanche ou son épaule, ou un sein appuyé contre son dos au bureau.

J’ai pu vérifier toute la semaine que ses seins étaient certes d’un volume généreux, mais assez fermes. Surtout de manière visuelle car quand elle se déplace ils ne ballotent pas trop. Mais aussi de façon tactile une fois : Je me suis retournée brusquement après avoir pris une boite à archives dans l’armoire, faisant mine de ne pas l’avoir entendue passer dans mon dos. Dans le mouvement, nous nous sommes rentrées dedans de face. Mon bras gauche qui tenait le dossier est venu tamponner son sein droit et je m’en suis excusée. Elle m’a dit que ce n’était pas grave, elle s’est elle-même excusée d’être passée en silence et trop près de moi. Ce matin, je suis arrivée avec des boules de geisha qui m’ont entretenu l’excitation toute la journée. Mes tétons pointaient en permanence et ça m’étonnerait qu’elle n’ait pas remarqué mon état d’excitation.

Afin d’avoir le champ libre, j’appelle ma voisine Marie-Lou pour lui demander de nous garder Lola jusqu’au dimanche soir. Elle est d’accord, comme d’habitude, car elle adore notre fille. Du coup, pendant que nous nous rhabillons pour rentrer chez nous, j’invite Martine à venir de nouveau à la maison, mais pour y passer le week-end cette fois. Elle n’hésite pas trop et accepte à condition d’amener au moins les boissons pour participer. Je lui précise que nous avons des courses à faire le matin et finalement nous nous fixons rencard demain en début d’après-midi à la maison.

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