Ma collègue de travail (8)

- Par l'auteur HDS K-ro -
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma collègue de travail (8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma collègue de travail (8)
Dimanche 3 septembre 2000

Ce matin tout le monde se lève tard suite à la journée mouvementée de la veille. Je m’aperçois en me réveillant que Ber est déjà levé. Je le retrouve dans la cuisine en train de boire un thé avec quelques biscuits. Il m’en propose en disant :
- Comme il est presque midi, je prends juste ça en attendant qu’ils se réveillent.
- Oui, tu as raison, on fera un gros brunch à la place, ça sera le plus pratique.

Evidemment, nous n’avons pas pris la peine d’enfiler quoi que ce soit. Au point d’intimité où nous en sommes avec eux, je ne crois pas que nos invités en soit gênés.

Puis c’est Guillaume qui émerge et nous rejoint sur la terrasse où nous nous profitons du soleil. Il a bien assimilé des leçons de la veille car non seulement il est à poil lui aussi, mais il n’a aucune honte à nous présenter un demi-érection en plein développement.

Il se pose sur un autre transat après nous avoir salué. Il pensait peut-être que nous allions lui faire remarquer son état, mais justement, nous faisons comme si tout était plus que normal. Nous nous relevons pour nous assoir de façon à pouvoir manger confortablement, levant juste la tête pour l’accueillir. Je l’invite à s’installer avec nous :
- Salut Guillaume ! Bien dormi ?
- Euh… oui, merci.
- Je suppose que tu as faim, alors viens, on commence. Ça fera venir ta marraine…

C’est certainement l’idée de s’exhiber devant nous qui le faisait bander, mais force est pour lui de constater que sa manœuvre est tombée à plat. En conséquence, sa queue retombe elle aussi petit à petit. Donc, comme il est plus affamé qu’autre chose en ce moment, il s’installe près de nous et grignote un peu de tout.

Martine ne tarde pas à nous rejoindre. Elle non plus n’a rien mis sur elle. Je pense qu’elle a eu le temps de se rembobiner les séquences que nous avons vécues hier et qu’elle a bien pesé le pour et le contre de la situation où elle se trouve vis-à-vis de son filleul. Elle se pose près de nous et se met elle aussi à manger et boire. Je sens tout de même qu’elle leur d’envie de parler de ce qu’il s’est passé entre elle et son filleul. Je l’aide :
- Alors, bien remise de cette nuit ?
- Euh, oui, justement, je voulais t’en parler, mais…
- Mais quoi ? Pas devant les hommes ? Allez, ils sont concernés eux aussi, non ?
- Oui, finalement tu as raison, autant crever la bulle.
- Vas-y, sors ce que tu as sur le cœur.
- Eh bien, voilà, on s’est fait prendre dans un tourbillon, mais il faudrait pas recommencer.
- Pourquoi, ça t’a pas plu ?
- Euh, oui, mais là n’est pas la question. Guillaume va vivre chez moi et c’est mon filleul.
- Donc ?
- Donc, ça risque de mettre une mauvaise ambiance entre nous deux.
- Mais non, au contraire, maintenant vous vous connaissez vraiment et vous pouvez en profiter quand vous voulez. Ça veut pas dire baiser comme des bêtes en permanence, c’est juste que vous pourrez vous faire plaisir quand vous le voudrez. Pas vrai Guillaume ?
- Euh… oui, c’est ça, je vais pas te harceler, t’inquiète pas pour ça.
- Voilà, c’est un garçon intelligent, il sait qu’il faut pas abuser. Donc, c’est réglé !

Martine semble à moitié convaincue par mon raisonnement et par l’assurance que lui a donné son filleul. Mais elle ne relance pas le sujet et nous terminons le brunch. Puis Ber propose d’aller tous se prélasser dans la piscine pour se rafraichir un peu vu que le soleil tape déjà bien fort. L’ambiance décontractée fait que même Guillaume ne bande pas, ce qui continue de rassurer sa marraine. Mais je compte bien relancer la machine un peu plus tard. J’ai eu le temps de me rendre compte au fur et à mesure qu’elle se dévoilait à nous qu’en fait ma collègue est une belle cochonne comme moi, même si elle fait tout pour le cacher et qu’il ne faudra pas beaucoup d’efforts pour la remettre en route.

Après nous être séchés sommairement, nous nous installons pour une séance de bronzette. Ber amène Guillaume se poser dans deux transats côte-à-côte et je me pose devant sur un matelas en demandant à Martine qui est la dernière à sortir :
- Dis, tu veux bien me passer l’huile solaire sur le dos ?

Elle était en train de se diriger vers un autre transat et se détourne de sa trajectoire pour venir s’agenouiller sur le matelas à côté du mien avec le flacon. Elle commence sagement par le cou et les épaules puis descend le long du dos pour atteindre mes fesses sur lesquelles elle s’attarde un peu, ce qui est bon signe. J’écarte mes jambes sensiblement et tourne la tête vers elle pour lui murmurer afin de ne pas être entendu des autres :
- Tu veux bien me caresser aussi entre les jambes ?
- Caro, on va pas recommencer, là ?
- Dis-moi que ça t’excite pas de me masser. Je vois tes tétons qui pointent.
- Oui, c’est vrai, c’est parce que je repense en même temps à ce qu’on a fait avant.
- Alors, fais-toi plaisir, et à moi aussi.

Comme elle se rend compte que telle qu’elle est positionnée elle masque l’action aux deux mecs, elle finit par céder à son envie et me caresse la fente et le petit trou. Elle stoppe son action pour descendre sur mes jambes et finalement se déplace pour se mettre à cheval au-dessus de mes chevilles pour parfaire son travail en remontant le long de mes jambes en finissant bien haut entre mes cuisses sans même plus songer à se retenir alors que ce qu’elle fait est maintenant parfaitement visible par nos spectateurs.

Je lui propose de lui rendre la pareille et au point de fusion où elle est parvenue, elle ne songe plus à retourner vers les transats. Elle s’allonge à plat ventre sur le matelas voisin et je me redresse pour m’occuper d’elle. Contrairement à elle, je me mets directement à cheval sur elle et je commence par les chevilles, remontant rapidement jusqu’aux épaules. Arrivée là, je suis carrément assise sur ses cuisses et mon pubis vient buter contre ses fesses. Puis je me décale vers le bas et reviens insister sur ses fesses et ce qu’il y a entre. Ce faisant, je jette un œil de côté, juste pour vérifier le résultat de ces actions sur nos deux mâles. Aucune surprise, ils bandent bien haut et Ber a même pris sa tige en main pour montrer l’exemple à notre jeune recrue qui en fait de même. Pour ne pas qu’il s’active trop et brûle des cartouches, Ber lui fait signe d’y aller doucement. Je remarque qu’entretemps ils s’étaient tous deux aussi badigeonnées d’huile solaire, ce qui a certainement contribué aussi à leur montée en érection. Martine est déjà bien partie car elle ne calcule plus le fait d’être exposée et ne m’empêche pas de lui investir ses deux orifices avec mes doigts pour la branler en pince de crabe. Elle monte rapidement et ne retient même pas son râle quand elle jouit. Je la libère et lui fait remarquer le résultat de nos ébats :
- Tiens, t’as vu ? On va pouvoir jouer au baise-boule, ils ont sorti les battes !

Elle tourne la tête vers eux et réalise enfin le spectacle que nous avons offert :
- Oh non, qu’est-ce que tu vas penser de moi après ça, Guillaume ?
- Mais non, Marraine, au contraire, je trouve que tu es encore plus cool maintenant.
- Mouais, et je t’ai déjà demandé de plus m’appeler comme ça.
- OK, je vais essayer mais c’est difficile, ça fait des années que je le fais.

Je reprends les rênes de la conversation en lui suggérant :
- Au point où on en est, si on allait profiter de ces belles tiges ?

Elle ne répond pas, mais quand je la prends par la main elle ne résiste pas et se laisse entraîner vers eux. Pour ne pas la culpabiliser plus, je prends l’initiative sur Guillaume et elle suit le mouvement sur Ber. D’abord ce sont nos mains qui prennent le relais des leurs et qui accentuent la branlette qui était juste légère jusque-là. Puis je gobe le gland de mon partenaire et apparemment Martine n’attendait que ça pour en faire autant.

Comme elle est sur les rails, je m’arrête et la fait pousser pour prendre sa place. Elle n’y voit aucune objection car elle se place entre les genoux de son filleul et le prend en main pour faire quelques aller-retour avant de le sucer. Mais Guillaume veut autre chose :
- Non, je voudrais que tu me fasses comme tu as fait à Ber cette nuit.
- Comment ? Avec mes seins ?
- Oui, je les adore, et j’aimerais sentier ce que ça fait.

Martine ne voit aucune raison de lui refuser cette gâterie. Elle cale bien sa queue au fond de son sillon inter-mammaire et presse latéralement sur ses doudounes pour l’emprisonner, puis commence à monter et descendre. Guillaume a l’air d’apprécier cette méthode car il soupire énormément et attrape la tête de sa marraine, le regard braqué sur ce qu’elle lui fait. De temps en temps, elle relâche son étreinte et prend la bite en bouche pour lubrifier le tout. Puis elle recommence, de plus en plus fort. Guillaume ne tient plus :
- Oh, oui, ça vient ! T’arrête pas, Marraine, c’est bon…
- Guillaume, tu l’a encore dit !
- Excuse, Martine, ça m’a échappé. Continue, ouiiiii…

Et il ne retient rien, éjaculant en force sur les seins de sa marraine. Elle est surprise par l’abondance des giclées et libère la queue qu’il reprend en main en finissant de lâcher les dernières sur le visage de sa marraine. Avec Ber nous avons surveillé l’ensemble de l’action pendant que je continuais ma pipe sur un rythme de croisière tout en me doigtant le clito doucement, histoire de faire des économies pour la suite.

Nous ne les laissons par refroidir. Ber va prendre Martine en levrette pendant que je remets Guillaume en forme de la main et de la bouche. Il est rapidement reconstitué et commence à pousser un peu son bassin en avant pour aller plus profond vers ma gorge. Je me lubrifie les doigts de l’autre main avec ma mouille et lui caresse la rondelle que je ne sens pas se dérober. Je vérifie et mon index entre sans forcer dans le conduit. Je lui branle un peu l’anus avant d’entre un deuxième doigt. Je lui demande :
- Dis, tu as l’air de bien aimer ce que je te fais.
- Oh oui ! Je connaissais pas, mais ça fait du bien.

Je continue un peu mon exploration de son rectum puis comme il est dur comme une barre à mines, je suggère à Ber de lui laisser la place. Il le fait de bonne grâce et pendant que Guillaume reprend la levrette de sa marraine, Ber se poste devant elle et se fait déguster le gland. Pendant ce temps, je vais à l’intérieur m’harnacher avec mon strapon et je reviens vite rejoindre le trio qui s’active en cadence. Je viens me placer derrière notre jeune recrue et lui souffle à l’oreille:
- Arrête un peu, que je puisse te prendre en douceur.
- Quoi ?
- Oui, tu as aimé mes doigts, tu vas voir comme ça va être bon avec ça.
- Mais…
- Laisse-toi faire, décontracte-toi.

Et je positionne l’engin que j’avais bien lubrifié tout en revenant et pousse juste un peu, lentement, surveillant l’entrée du gland en silicone. Et après une petite résistance bien naturelle pour une première fois, il passe la petite porte. J’ai même la bonne surprise de rencontrer un conduit qui se laisse visiter sans effort, m’amenant rapidement au contact de ses fesses. Il a l’air de bien le prendre, à tous les sens du terme. Alors je me mets en mouvement et donne le rythme qu’il répercute sur sa marraine. Il commente sa découverte :
- Oh oui, t’avais raison, c’est bon !

Nous continuons dans cette combinaison juste le temps que Martine atteigne l’orgasme. Je quitte alors le cul de Guillaume pour me débarrasser de mon harnais et lui demander :
- Bon, un peu à moi !

Je me place à quatre pattes et il ne se fait pas prier pour venir me faire subir le même traitement qu’à sa marraine. Quand je sens qu’il prend un rythme plus saccadé annonçant sa délivrance, je me retire et me retourne sur le dos. Il a compris et reste à genoux entre mes cuisses et se branle pour terminer. Mais il est surpris par Ber qui va se placer derrière lui et qui se plaque dans son dos pour l’empêcher de s’éclipser tout en lui prenant la queue d’entre ses mains. En même temps il frotte sa bite calée verticalement entre les fesses de Guillaume qui se laisse secouer le cocotier. Ber fait ça en grand virtuose et je vois le moment où il va finir par aussi l’enculer. Mais sa manipulation experte provoque enfin l’éjaculation dont je reçois le résultat sur le ventre.

Ber ne le laisse pas souffler et se place devant lui pour lui présenter sa queue :
- Et maintenant, à toi de me rendre la pareille !

Comme Guillaume hésite un peu, il lui prend la main et la pose sur sa hampe. Et enfin il se met à le branler, d’abord timidement, puis de façon plus assurée. Pendant ce temps, je demande à Martine de s’équiper pour venir me baiser en levrette. Elle s’exécute mais jette des regards étonnés vers ce que fait son filleul. Surtout que maintenant Ber lui dit :
- Suce-moi un peu en même temps.

Et en disant ça, il lui prend la tête délicatement et l’approche de son gland. Guillaume est bien lancé et cette fois il ne met pas d’hésitation à passer la langue sur cette tête chauve et finit par la gober pour faire une pipe qui semble correcte. Martine est enfin prête et reprend plaisir à me baiser en levrette tout en profitant du spectacle que nous donnent les deux hommes. Je demande alors à ma collègue de changer de trou et je la remplace par un vibro que j’avais mis à portée de main pendant qu’elle m’encule avec ardeur. Ber ne retient plus rien et éjacule dans la bouche de son partenaire, ce qui conjugué avec les deux engins qui me taraudent les orifices me fait monter en flèche.

Nos invités étant comblés et fatigués, Ber et moi reprenons la main pour ramener la situation à un calme relatif. Bien installés dans les transats après une douche réparatrice et un bon plongeon dans la piscine, nous faisons le bilan du week-end. Martine finit par admettre qu’il est positif mais qu’il faut instaurer quelques règles pour leur vie chez elle :
- Bon, je te cacherai pas que j’ai pris l’habitude de vivre nue depuis quelques temps.
- Moi ça me va, je veux bien faire pareil.
- Mais par contre, pas question de baiser comme des bêtes en permanence.
- Euh, OK, mais un peu quand même ?

J’interviens sur ce sujet :
- Allons, Martine, vous n’allez pas vous priver de ça. Tiens, je propose une chose : On va prendre l’habitude de faire ça à quatre les week-ends, ici ou chez toi. Et la semaine, vous vous reposez. Enfin, peut-être pas toute la semaine, ça fait long. Un petit coup le mercredi ou le jeudi ?

C’est adopté par les deux, et elle continue sur un autre problème :
- Et par contre, en public, je reste ta marraine, pas de gestes équivoques.
- D’accord, je me tiendrai bien.
- Et surtout, pas un mot dans la famille, principalement tes parents !
- Ah oui, je les imagine pas du tout dans ce truc-là. Ils nous tueraient…


L’après-midi ayant plus qu’avancé sans que nous y prenions garde, c’est à ce moment que la sonnette retentit. C’est Marie-Lou qui nous ramène Lola. Je vais lui ouvrir tout en disant aux autres de ne pas bouger, ma marraine et ma fille ayant l’habitude du naturisme même ici à la maison. En effet, quand je reviens avec elles, Lola ne marque aucune surprise à la tenue générale et va faire la bise aux invités. Puis elle demande à aller dans la piscine et se déshabille à son tour pour plonger sans attendre. Je propose à Marie-Lou d’en faire de même et elle se décide à suivre le mouvement. Je note au passage qu’elle a retaillé sa touffe et a retrouvé son triangle de poils ras, peut-être même plus réduit.

Je les rejoins dans l’eau et toutes trois nous barbotons un moment, puis Ber décrète qu’il est temps pour Lola de se préparer pour la nuit, donc de prendre une douche et de manger un morceau avant d’aller au lit pour être en forme demain matin. Dès qu’ils disparaissent à l’intérieur, ma voisine me fait remarquer que nous avons dû nous amuser en me désignant les jouets qui traînent dans un coin de la terrasse, mal cachés par une serviette. Je ne vais pas nier, et même je choisis de la provoquer un peu :
- Eh oui, on s’est bien envoyés en l’air tous les quatre. Tu en veux un peu ?

Un bon moment plus tard, nous sortons de la piscine et nous dirigeons vers les transats. je me pose à côté de Guillaume et il reste à ma voisine celui entre lui et Martine. Je commence à tripoter la bite de Guillaume. Ça récupère vite à cet âge-là et il repart au quart de tour, la colonne de chair ne tardant pas à prendre de la consistance entre mes doigts pour aboutir à une belle érection que je commence à branler en douceur. Je nargue ma voisine :
- Alors, une belle bite jeune et vigoureuse, ça se refuse pas, non ?

Elle jette tout de même un coup d’œil vers Martine, mais comme celle-ci ne met pas de véto, elle se décide à saisir la queue devant elle et la branle un peu avant de continuer par une fellation. Puis Guillaume la fait mettre à quatre pattes devant nous et la prend en levrette, cramponné à ses hanches. Je commente l’action pour Martine :
- Il a la santé, ton filleul, hein ?
- Oui, je vois ça. Et dire qu’il était encore puceau hier matin…
- Il apprend vite. Tu vas pouvoir rattraper le temps perdu.

A ce moment, Guillaume démontre effectivement qu’il s’enhardit puisque Marie-Lou dit :
- Oh oui, c’est ça, encule-moi maintenant !

Martine réalise alors quelque chose et m’en fait part :
- Dis donc, je me rends compte en étant en dehors de l’action que ça doit s’entendre tout autour, chez les voisins.
- Oui, je pense, mais on n’a jamais eu de remarques. Des propositions non plus, d’ailleurs. Mais ça doit en faire bander ou mouiller plus d’un ou d’une.

C’est le moment que choisit ma voisine pour jouir mais en retenant ses râles tandis que son cavalier lui largue ses dernières cartouches dans le fondement. C’est aussi celui où Ber revient après avoir bordé Lola. Il rigole en voyant la scène :
- Ah, je vois que vous avez fait connaissance…

Marie-Lou est un peu confuse de s’être laissée aller comme ça pour une première rencontre. Mais ça lui passe vite et nous prenons un petit apéro pas trop chargé puisqu’ils ont encore un peu de route à faire pour rentrer chez eux. Rendez-vous est pris chez Martine pour vendredi prochain au soir et je suggère à ma voisine de passer nous voir plus souvent, elle sera toujours la bienvenue à la maison. Puis tous trois se rhabillent et nous quittent.

Ce week-end a tenu ses promesses et même bien au-delà de nos espérance. Les mois à venir vont être bien agréables avec ce changement dans nos relation, ma collègue et moi.

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