Une formation réussie (2)
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Une formation réussie (2)
Mardi 15 septembre 2009
Ce matin, je fais l’effort de me lever plus tôt pour préparer le petit-déjeuner. Mes hôtes ont donc la surprise de trouver tout prêt et m’en remercient. Ils sont tous deux nus comme moi, et sentent encore le sperme, la cyprine et la sueur, ce qui est bon signe pour la suite. Christophe est le premier à finir et s’éclipse vers la salle de bains pour partir le premier au travail. Quand nous terminons aussi, Stéphanie se propose de faire la vaisselle pour ne pas avoir ça à faire en rentrant ce soir. Du coup, je me dirige vers la salle de bains et comme je n’entends plus couler d’eau mais qu’il ya encore du bruit, je sais qu’il y est. Je pose ma main sur la poignée et attends qu’il ouvre lui-même. Quand je sens qu’il ouvre pour sortir, je fais semblant de perdre l’équilibre et tombe sur Christophe qui est tout surpris et lâche la poignée pour me rattraper. Je fais en sorte que ma main vienne en contact avec sa bite et s’y cramponne comme machinalement. Je m’excuse :
- Oh, pardon ! Comme il y avait plus de bruit, je croyais que tu étais déjà sorti. Ça m’a surprise quand tu as ouvert en même temps que moi et du coup je suis tombée.
- Euh, oui, je comprends. C’est pas de ta faute, on pouvait pas s’y attendre. Mais…
- Quoi ?
- Ben, si tu pouvais me lâcher le… la…
- Oh oui, pardon, c’était machinal, je me suis retenue à ce qu’il y avait.
- Oui, c’était instinctif, j’imagine.
Avant de le lâcher, j’avais un peu serré mes doigts et senti qu’il commençait à avoir une légère érection. En regardant sans gêne dans cette direction après m’être écarté de lui, je peux voir que c’est bien réel car sa bite prend du volume et une courbe ascendante. Pour ne pas être en difficulté devant moi, il n’insiste pas et s’évacue vers sa chambre.
Sur ce, Stéphanie me rejoint alors que je règle la température de la douche. Elle n’est pas au courant de ce qu’il vient de se produire et je me garde bien de le lui dire. Je vais le tourner à ma manière. Elle ne fait pas de chichis quand je commence à la savonner en la touchant partout et même me rend volontiers la pareille. Elle a bien digéré les évènements d’hier et n’a plus de retenue à faire ça avec une femme.
Après que nous ayons joui toutes les deux, il est temps d’aller nous habiller pour ne pas être en retard. Pendant que nous nous séchons, j’aborde le sujet de son mari :
Dis, ce matin en arrivant à la salle de bains, j’ai parlé un peu avec Christophe et il a eu encore une érection, comme hier soir. Il a une belle bite, je dois dire.
- Oh, Caro ! Pour quoi tu parles de ça ?
- Ben parce qu’il me semble que c’est un peu moi qui le fait bander. Vous en avez pas parlé ?
- Oui, on en a parlé. Et c’est vrai, tu l’excite un peu.
- Un peu seulement ? je suis vexée. J’espère que c’est plus que ça.
- Bon, OK, mais je t’en veux pas. C’est un peu pour ça qu’il a repris de l’activité.
- Ça, tu peux pas dire que t’en profites pas, je t’ai encore entendu cette nuit.
Nous nous séparons pour aller nous habiller. Je suggère à ma collègue de ne pas mettre de dessous elle non plus. Elle ne dit pas non car elle m’objecte :
- Euh, mais on va voir que j’ai pas de soutif.
- Tiens, si tu veux, je te prêt un des miens, c’est taille unique pour les bonnets !
- Ah, c’est amusant. Bon, je veux bien essayer.
Du coup, elle se lance dans sa première expérience cul nu en public. Elle est un peu empruntée au début, mais elle se relâche en cours de journée. De toute façon, elle a de nouveau enfilé une robe foncée et pas trop courte ni trop décolletée.
Au retour après la formation, après nous être mises nues rapidement, nous remettons ça avec Stéphanie comme hier. Mais aujourd’hui, même si nous nous passons mutuellement l’huile solaire, nous ne nous cachons pas derrière ce prétexte pour nous faire plaisir. En allant poser mes fringues, j’ai pris mon vibro et je lui fais tester car apparemment elle n’en a jamais utilisé. Je la sens très réceptive et j’en ai la confirmation quand nous nous calmons un peu dans les transats après un bel orgasme chacune :
- Ouah, tu as fait des progrès !
- Je sais pas, mais en tout cas ça m’a tellement excitée d’être à poil sous ma robe toute la journée en public que j’avais besoin de faire redescendre la pression.
- A part ça, tu me permets de pousser un peu plus loin pour mettre Christophe en condition quand il revient tout à l’heure ? Tu sais que c’est tout bénéfice pour toi.
- Je sais pas.
- Allez, me dis pas que ça te gêne vraiment de le voir bander en ma présence.
- Non, c’est pas ça. En fait, c’est tellement pas habituel. Mais tu as raison.
- Alors, feu vert pour que je l’excite ? Tu pourras rire de voir sa gêne.
- Bon, ça marche.
Nous montons un petit scénario et c’est donc à poil dans les transats, face au soleil que nous attendons son retour. Bien évidemment, je vais remettre le vibro dans la chambre pour ne pas en faire trop. Je m’entretien déjà avec un doigt sur le clito et comme l’heure habituelle approche, Stéphanie va se poster dan la cuisine comme si elle était allée nous chercher à boire. Puis j’entends la porte d’entrée et j’accentue un ma manœuvre. Je sais ce que ma collègue est en train de faire de son côté.
Pendant ce temps, elle accueille son mari et le fait déshabiller. Puis elle l’entraîne vers la terrasse avec son plateau de boissons à la main. En débouchant de la baie vitrée, il me découvre enfin, tournée de trois-quarts arrière mais qui ne laisse pas d’équivoque à ce que je suis en train de faire. Evidemment, Christophe stoppe et regarde sa femme tout en ayant un érection en cours de développement. Elle lui dit :
- T’as vu comme elle a pas honte de se faire plaisir ? J’étais avec elle et c’était vraiment excitant de la voir faire. J’avais même commencé à faire pareil mais je suis venue chercher à boire pour me calmer un peu. Mais je crois que ça marche pas, j’ai encore envie. Et je vois que ça te fait de l’effet. N’aie pas honte, pas la peine de me le cacher. Et à elle non plus, je pense. Ça m’étonnerait que ça la choque. Allez, viens nous rejoindre.
- Comme ça ? Mais je bande à fond, comme tu le vois.
- Oui, justement, comme ça. T’es chez toi, et c’est elle qui a commencé, non ?
- En fait, t’as raison, je vais pas me priver !
Et c’est comme ça que je les vois apparaitre dans mon champ de vison, elle avec son plateau qu’elle pose sur la table de jardin et lui avec sa queue à l’équerre. J’arrête un peu ma branlette pour regarder cet engin qui est enfin en plein développement et sans masque contrairement aux deux fois précédentes. Sa queue n’est pas inoubliable, mais correcte, dans la moyenne de longueur et de largeur, avec un gland cette fois décalotté et qui est plutôt conique contrairement à celui de Ber qui ressemble à une grosse prune rebondie. Il commence par s’excuser :
- Euh, Caro, pardon, mais je… Euh…
- Oh, c’est bon, j’en ai vu d’autres, t’inquiète.
Il s’installe donc dans le transat qu’on lui a préparé en face de nous. Stéphanie fait le service puis nous reprenons notre séance de lézardage. Afin de ne pas laisser retomber l’ambiance, je demande sans trop attacher d’importance à la réponse :
- Tu permets que je continue, Steph ? J’avais pas terminé.
- Oui, vas-y. Au point où on en est…
Et me voilà repartie dans ma masturbation. Christophe en face hallucine de voir que sa femme ne dit rien pour m’arrêter. Mieux que ça, elle annonce que finalement elle aussi va se branler. Du coup, il hésite à nous rejoindre, mais je le rassure :
- Allez, fais comme nous, c’est pas bon de garder les tensions de ce genre.
Comme sa femme lui fait signe en hochant la tête qu’elle est d’accord, il empoigne enfin sa tige et commence des aller-retours timides puis de plus en plus amples. Tout s’amplifie et c’est moi qui viens en premier, ayant de l’avance sur eux et désirant les déclencher. Puis c’est ma collègue, suivie de peu par lui qui éjacule assez haut de grosses giclées de sperme qui s’écrasent sur le carrelage. Un ange passe, chacun d’eux n’osant pas être le premier à prendre la parole. Je me dévoue :
- Alors, ça fait du bien, non, après une journée de travail ?
- Euh oui, mais on n’avait jamais fait ça avec Christophe avant.
- Ah bon, jamais de branlettes sur la terrasse en vous regardant ?
- Non, et encore moins avec quelqu’un d’autre.
- Eh bien voilà, c’est fait !
Suite à ça, il est temps de remplacer les boissons fraîches qui ne le sont plus tellement par un petit apéro avant de passer à table. Tout ça aide à faire diversion pour éviter les moments de gêne silencieuse.
Après le repas, je profite qu’il va faire la vaisselle pour demander à Stéphanie :
- Alors, ça t’a plu tout à l’heure ?
- Oui, c’était marrant, et finalement ça m’a tellement excitée que j’ai joui.
- Et sinon, vous avez déjà eu envie de faire ça à plusieurs ?
- Euh, oui. Enfin, c’est lui qui m’en a parlé plusieurs fois.
- Et toi, ça te tenterait ?
- Avec n’importe qui, je sais pas, mais peut-être qu’avec toi…
- Alors, laisse-moi faire.
Puis il revient et c’est le même rituel que les autres soirs, sauf que j’ai fait en sorte avant qu’il revienne que Stéphanie et moi soyons aux extrémités du canapé. il doit donc s’assoir entre nous deux. Comme nous ne trouvons qui nous fasse envie dans les programmes, Christophe propose de regarder sur les rediffusions, puisqu’ils ont cette option. Aussitôt dit, aussitôt fait. Et quand il fait apparaître l’écran d’accueil, je fais remarquer la rubrique “adultes“ en leur proposant :
- Et si on se faisait un porno ?
- Euh, tu crois ?
- Me dis pas que Steph et toi vous en avez jamais regardé.
- Non, c’est vrai, ça nous est arrivé. Mais pas avec du monde à la maison.
- Oh, tu sais, après ce qu’on a fait tout à l’heure, on va pas se gêner pour ça ! T’es d’accord, Steph ?
- Oui, tiens, ça fait longtemps qu’on en a pas regardé. Et quitte à voir un navet…
Finalement, surtout que Stéphanie a donné son aval, il se décide et en sélectionne un au hasard. Le film commence et dès la première scène d’action, je commence à me caresser la fente. A droite Stéphanie entre peu après dans mon jeu en m’imitant et entre nous deux je vois la colonne de chair de mon voisin se retrouver très vite en pleine expansion, sans qu’il ose pour le moment en faire quoi que ce soit, mais qu’il ne prend plus la précaution de cacher.
Je n’attends pas trop et me tourne vers lui en lui disant de ne pas se priver, mais comme il hésite encore, je lui attrape la bite en demandant à ma collègue :
- Tu permets que j’aide ton mari ?
Elle est déjà bien lancé et n’y voit apparemment aucune objection bien qu’elle ne réponde que par un vague grognement. Aussi je commence mes va-et-vient et il se laisse faire en donnant l’impression de bien apprécier. Je le comprends, ça doit être excitant pour lui de se faire branler impunément sous le nez de sa compagne. Comme sur l’écran la nana attaque une fellation, je me lève de ma place pour me mettre à genoux devant lui et en faire de même sur Christophe.
Ne voulant pas qu’il vienne trop vite, je le laisse seul et me déplace latéralement pour me positionner entre les genoux de Stéphanie. Il a donc la surprise non seulement de me voir la caresser puis plonger ma tête vers sa fourche, mais de constater qu’elle ne s’y oppose pas et même y prend vraiment du plaisir. Il se branle en nous regardant mais le suis obligée de lui jeter un regard et de l’inviter clairement :
- Et si tu venais t’occuper de moi ?
Il envoie un œil interrogatif à sa femme qui confirme son accord :
- Oh oui, vas-y, je veux te voir la baiser là, devant moi.
Fort de ce consentement, il vient se mettre derrière moi et me pénètre directement en levrette tant je suis mouillée et ouverte. Il me donne de grands coups de reins qui me font déraper du clito de ma partenaire. Evidemment, à ce régime il ne tient pas longtemps et annonce sa délivrance. Je lui demande de se retirer et me retourne pour lui gober à nouveau le gland. C’est là qu’il éjacule puissamment et m’arrose le gosier. Sa bite ramollit eu peu et je le recrache après avoir tout avalé.
Je le fais assoir sur le canapé et suggère à ma collègue de le remettre en forme pendant que je vais chercher des accessoire en leur disant :
- On va ajouter un peu de possibilités, vous allez aimer.
Je monte vite et m’équipe de mon strapon, puis je redescends les rejoindre. Dans leur position, Christophe est le seul à me voir arriver et montre sa surprise de me voir transformée en mec. Je lui fais signe de se taire et vais me placer derrière sa fellatrice. Je la tripote un peu avant de pointer mon engin sur l’entrée de son vagin. elle doit penser que c’est le vibro, mais quand je commence à la pilonner avec mes deux mains sur ses hanches, elle se rend compte que c’est différent. Elle n’est pas contre car elle commence à remuer et à venir à la rencontre de mes coups de reins.
Sentant qu’elle va jouir, j’accélère et ça la déclenche. Je la quitte et la soulève pour l’amener sur la queue de son mari qui est revenu en pleine forme. elle se laisse mener docilement et s’empale sur ce pieu qu’elle a fait dresser. Elle se remet en mouvement et le chevauche sans retenue. De mon côté, je prends un peu de la mouille qui lui cule partout entre-jambes pour m’en servir çà lui assouplir l’entrée arrière. Son anus palpite sous mes doigts et j’en introduis un à l’intérieur.
Quand elle est mûre pour la suite, je pose mon gland de silicone contre cet anneau et elle devine due que je vais faire car elle arrête sa chevauchée pour me faciliter la tâche. Je pousse doucement et il franchit la porte étroite sans problème. Je pousse régulièrement et me retrouve au fond de son cul. Arrivée à ce stade, j’entame ma sodomie et elle se laisse porter par mes assauts qui la font reprendre sa cavalcade sur son mari. La frénésie l’emporte et elle ne tarde pas à avoir un nouvel orgasme.
Elle est bien démontée et me suit quand je me est à côté d’elle pour terminer Christophe à deux bouches. Il a encore un peu de stocker nous le cède généreusement après un beau partage entre elle et moi. Ses giclées viennent atterrir sur nos visages et nos seins.
Après ce qu’on avait déjà fait l’après-midi et cette partie intense à trois, ils sont bien vidés et nous décidons qu’il est plus raisonnable d’aller maintenant nous coucher pour être en forme le lendemain. Au passage il arrête la télé où le film était terminer depuis un bon moment dans l’indifférence générale. Nous avions mieux sur place.
Mercredi 16 septembre 2009
Ce matin, je me lève la dernière des trois et Christophe est déjà habillé pour partir. Je demande la permission à ma collègue de lui faire une dernière fellation :
— Toi, tu vas pouvoir en profiter tant que tu veux, alors juste pour la route…
Elle trouve ça équitable et c’est elle qui se met derrière lui pour lui ouvrir la braguette et sortir sa queue qui est déjà presque prête à servir. C’est tellement excitant pour lui, tout habillé, de me voir nue à ses genoux en train de le sucer devant sa femme qu’il ne tient pas longtemps et m’envoie une bonne rasade de sperme, ayant refait ses munitions pendant la nuit. Puis il se rajuste et nous quitte.
Comme nous sommes excitée toutes les deux par cet intermède et que nous avons un peu de temps, nous remontons dans sa chambre et j’en profite pour initier ma collègue au strapon et c’est elle qui termine en me prenant en levrette.
Après une dernière journée, la formation prend fin à 16 heure 30. Nous avons mis mes bagages dans la voiture ce matin en quittant la maison, aussi elle peut me poser directement à Saint-Roch pour ne pas rater le train qui part un peu avant 17 heures et me ramène à Marseille Saint-Charles pour 18 heures 30 où Ber m’attend.
Avant de la quitter, je lui dit qu’il sont les bienvenus quand il le veulent chez nous. Je lui dis que je lui laisse en cadeau le soutif sans bonnet qu’elle porte encore aujourd’hui et le vibro que je lui ai laissé sur la commode de ma chambre en partant. Elle a hâte de connaître Ber, surtout sous un certain point de vue.
Ce matin, je fais l’effort de me lever plus tôt pour préparer le petit-déjeuner. Mes hôtes ont donc la surprise de trouver tout prêt et m’en remercient. Ils sont tous deux nus comme moi, et sentent encore le sperme, la cyprine et la sueur, ce qui est bon signe pour la suite. Christophe est le premier à finir et s’éclipse vers la salle de bains pour partir le premier au travail. Quand nous terminons aussi, Stéphanie se propose de faire la vaisselle pour ne pas avoir ça à faire en rentrant ce soir. Du coup, je me dirige vers la salle de bains et comme je n’entends plus couler d’eau mais qu’il ya encore du bruit, je sais qu’il y est. Je pose ma main sur la poignée et attends qu’il ouvre lui-même. Quand je sens qu’il ouvre pour sortir, je fais semblant de perdre l’équilibre et tombe sur Christophe qui est tout surpris et lâche la poignée pour me rattraper. Je fais en sorte que ma main vienne en contact avec sa bite et s’y cramponne comme machinalement. Je m’excuse :
- Oh, pardon ! Comme il y avait plus de bruit, je croyais que tu étais déjà sorti. Ça m’a surprise quand tu as ouvert en même temps que moi et du coup je suis tombée.
- Euh, oui, je comprends. C’est pas de ta faute, on pouvait pas s’y attendre. Mais…
- Quoi ?
- Ben, si tu pouvais me lâcher le… la…
- Oh oui, pardon, c’était machinal, je me suis retenue à ce qu’il y avait.
- Oui, c’était instinctif, j’imagine.
Avant de le lâcher, j’avais un peu serré mes doigts et senti qu’il commençait à avoir une légère érection. En regardant sans gêne dans cette direction après m’être écarté de lui, je peux voir que c’est bien réel car sa bite prend du volume et une courbe ascendante. Pour ne pas être en difficulté devant moi, il n’insiste pas et s’évacue vers sa chambre.
Sur ce, Stéphanie me rejoint alors que je règle la température de la douche. Elle n’est pas au courant de ce qu’il vient de se produire et je me garde bien de le lui dire. Je vais le tourner à ma manière. Elle ne fait pas de chichis quand je commence à la savonner en la touchant partout et même me rend volontiers la pareille. Elle a bien digéré les évènements d’hier et n’a plus de retenue à faire ça avec une femme.
Après que nous ayons joui toutes les deux, il est temps d’aller nous habiller pour ne pas être en retard. Pendant que nous nous séchons, j’aborde le sujet de son mari :
Dis, ce matin en arrivant à la salle de bains, j’ai parlé un peu avec Christophe et il a eu encore une érection, comme hier soir. Il a une belle bite, je dois dire.
- Oh, Caro ! Pour quoi tu parles de ça ?
- Ben parce qu’il me semble que c’est un peu moi qui le fait bander. Vous en avez pas parlé ?
- Oui, on en a parlé. Et c’est vrai, tu l’excite un peu.
- Un peu seulement ? je suis vexée. J’espère que c’est plus que ça.
- Bon, OK, mais je t’en veux pas. C’est un peu pour ça qu’il a repris de l’activité.
- Ça, tu peux pas dire que t’en profites pas, je t’ai encore entendu cette nuit.
Nous nous séparons pour aller nous habiller. Je suggère à ma collègue de ne pas mettre de dessous elle non plus. Elle ne dit pas non car elle m’objecte :
- Euh, mais on va voir que j’ai pas de soutif.
- Tiens, si tu veux, je te prêt un des miens, c’est taille unique pour les bonnets !
- Ah, c’est amusant. Bon, je veux bien essayer.
Du coup, elle se lance dans sa première expérience cul nu en public. Elle est un peu empruntée au début, mais elle se relâche en cours de journée. De toute façon, elle a de nouveau enfilé une robe foncée et pas trop courte ni trop décolletée.
Au retour après la formation, après nous être mises nues rapidement, nous remettons ça avec Stéphanie comme hier. Mais aujourd’hui, même si nous nous passons mutuellement l’huile solaire, nous ne nous cachons pas derrière ce prétexte pour nous faire plaisir. En allant poser mes fringues, j’ai pris mon vibro et je lui fais tester car apparemment elle n’en a jamais utilisé. Je la sens très réceptive et j’en ai la confirmation quand nous nous calmons un peu dans les transats après un bel orgasme chacune :
- Ouah, tu as fait des progrès !
- Je sais pas, mais en tout cas ça m’a tellement excitée d’être à poil sous ma robe toute la journée en public que j’avais besoin de faire redescendre la pression.
- A part ça, tu me permets de pousser un peu plus loin pour mettre Christophe en condition quand il revient tout à l’heure ? Tu sais que c’est tout bénéfice pour toi.
- Je sais pas.
- Allez, me dis pas que ça te gêne vraiment de le voir bander en ma présence.
- Non, c’est pas ça. En fait, c’est tellement pas habituel. Mais tu as raison.
- Alors, feu vert pour que je l’excite ? Tu pourras rire de voir sa gêne.
- Bon, ça marche.
Nous montons un petit scénario et c’est donc à poil dans les transats, face au soleil que nous attendons son retour. Bien évidemment, je vais remettre le vibro dans la chambre pour ne pas en faire trop. Je m’entretien déjà avec un doigt sur le clito et comme l’heure habituelle approche, Stéphanie va se poster dan la cuisine comme si elle était allée nous chercher à boire. Puis j’entends la porte d’entrée et j’accentue un ma manœuvre. Je sais ce que ma collègue est en train de faire de son côté.
Pendant ce temps, elle accueille son mari et le fait déshabiller. Puis elle l’entraîne vers la terrasse avec son plateau de boissons à la main. En débouchant de la baie vitrée, il me découvre enfin, tournée de trois-quarts arrière mais qui ne laisse pas d’équivoque à ce que je suis en train de faire. Evidemment, Christophe stoppe et regarde sa femme tout en ayant un érection en cours de développement. Elle lui dit :
- T’as vu comme elle a pas honte de se faire plaisir ? J’étais avec elle et c’était vraiment excitant de la voir faire. J’avais même commencé à faire pareil mais je suis venue chercher à boire pour me calmer un peu. Mais je crois que ça marche pas, j’ai encore envie. Et je vois que ça te fait de l’effet. N’aie pas honte, pas la peine de me le cacher. Et à elle non plus, je pense. Ça m’étonnerait que ça la choque. Allez, viens nous rejoindre.
- Comme ça ? Mais je bande à fond, comme tu le vois.
- Oui, justement, comme ça. T’es chez toi, et c’est elle qui a commencé, non ?
- En fait, t’as raison, je vais pas me priver !
Et c’est comme ça que je les vois apparaitre dans mon champ de vison, elle avec son plateau qu’elle pose sur la table de jardin et lui avec sa queue à l’équerre. J’arrête un peu ma branlette pour regarder cet engin qui est enfin en plein développement et sans masque contrairement aux deux fois précédentes. Sa queue n’est pas inoubliable, mais correcte, dans la moyenne de longueur et de largeur, avec un gland cette fois décalotté et qui est plutôt conique contrairement à celui de Ber qui ressemble à une grosse prune rebondie. Il commence par s’excuser :
- Euh, Caro, pardon, mais je… Euh…
- Oh, c’est bon, j’en ai vu d’autres, t’inquiète.
Il s’installe donc dans le transat qu’on lui a préparé en face de nous. Stéphanie fait le service puis nous reprenons notre séance de lézardage. Afin de ne pas laisser retomber l’ambiance, je demande sans trop attacher d’importance à la réponse :
- Tu permets que je continue, Steph ? J’avais pas terminé.
- Oui, vas-y. Au point où on en est…
Et me voilà repartie dans ma masturbation. Christophe en face hallucine de voir que sa femme ne dit rien pour m’arrêter. Mieux que ça, elle annonce que finalement elle aussi va se branler. Du coup, il hésite à nous rejoindre, mais je le rassure :
- Allez, fais comme nous, c’est pas bon de garder les tensions de ce genre.
Comme sa femme lui fait signe en hochant la tête qu’elle est d’accord, il empoigne enfin sa tige et commence des aller-retours timides puis de plus en plus amples. Tout s’amplifie et c’est moi qui viens en premier, ayant de l’avance sur eux et désirant les déclencher. Puis c’est ma collègue, suivie de peu par lui qui éjacule assez haut de grosses giclées de sperme qui s’écrasent sur le carrelage. Un ange passe, chacun d’eux n’osant pas être le premier à prendre la parole. Je me dévoue :
- Alors, ça fait du bien, non, après une journée de travail ?
- Euh oui, mais on n’avait jamais fait ça avec Christophe avant.
- Ah bon, jamais de branlettes sur la terrasse en vous regardant ?
- Non, et encore moins avec quelqu’un d’autre.
- Eh bien voilà, c’est fait !
Suite à ça, il est temps de remplacer les boissons fraîches qui ne le sont plus tellement par un petit apéro avant de passer à table. Tout ça aide à faire diversion pour éviter les moments de gêne silencieuse.
Après le repas, je profite qu’il va faire la vaisselle pour demander à Stéphanie :
- Alors, ça t’a plu tout à l’heure ?
- Oui, c’était marrant, et finalement ça m’a tellement excitée que j’ai joui.
- Et sinon, vous avez déjà eu envie de faire ça à plusieurs ?
- Euh, oui. Enfin, c’est lui qui m’en a parlé plusieurs fois.
- Et toi, ça te tenterait ?
- Avec n’importe qui, je sais pas, mais peut-être qu’avec toi…
- Alors, laisse-moi faire.
Puis il revient et c’est le même rituel que les autres soirs, sauf que j’ai fait en sorte avant qu’il revienne que Stéphanie et moi soyons aux extrémités du canapé. il doit donc s’assoir entre nous deux. Comme nous ne trouvons qui nous fasse envie dans les programmes, Christophe propose de regarder sur les rediffusions, puisqu’ils ont cette option. Aussitôt dit, aussitôt fait. Et quand il fait apparaître l’écran d’accueil, je fais remarquer la rubrique “adultes“ en leur proposant :
- Et si on se faisait un porno ?
- Euh, tu crois ?
- Me dis pas que Steph et toi vous en avez jamais regardé.
- Non, c’est vrai, ça nous est arrivé. Mais pas avec du monde à la maison.
- Oh, tu sais, après ce qu’on a fait tout à l’heure, on va pas se gêner pour ça ! T’es d’accord, Steph ?
- Oui, tiens, ça fait longtemps qu’on en a pas regardé. Et quitte à voir un navet…
Finalement, surtout que Stéphanie a donné son aval, il se décide et en sélectionne un au hasard. Le film commence et dès la première scène d’action, je commence à me caresser la fente. A droite Stéphanie entre peu après dans mon jeu en m’imitant et entre nous deux je vois la colonne de chair de mon voisin se retrouver très vite en pleine expansion, sans qu’il ose pour le moment en faire quoi que ce soit, mais qu’il ne prend plus la précaution de cacher.
Je n’attends pas trop et me tourne vers lui en lui disant de ne pas se priver, mais comme il hésite encore, je lui attrape la bite en demandant à ma collègue :
- Tu permets que j’aide ton mari ?
Elle est déjà bien lancé et n’y voit apparemment aucune objection bien qu’elle ne réponde que par un vague grognement. Aussi je commence mes va-et-vient et il se laisse faire en donnant l’impression de bien apprécier. Je le comprends, ça doit être excitant pour lui de se faire branler impunément sous le nez de sa compagne. Comme sur l’écran la nana attaque une fellation, je me lève de ma place pour me mettre à genoux devant lui et en faire de même sur Christophe.
Ne voulant pas qu’il vienne trop vite, je le laisse seul et me déplace latéralement pour me positionner entre les genoux de Stéphanie. Il a donc la surprise non seulement de me voir la caresser puis plonger ma tête vers sa fourche, mais de constater qu’elle ne s’y oppose pas et même y prend vraiment du plaisir. Il se branle en nous regardant mais le suis obligée de lui jeter un regard et de l’inviter clairement :
- Et si tu venais t’occuper de moi ?
Il envoie un œil interrogatif à sa femme qui confirme son accord :
- Oh oui, vas-y, je veux te voir la baiser là, devant moi.
Fort de ce consentement, il vient se mettre derrière moi et me pénètre directement en levrette tant je suis mouillée et ouverte. Il me donne de grands coups de reins qui me font déraper du clito de ma partenaire. Evidemment, à ce régime il ne tient pas longtemps et annonce sa délivrance. Je lui demande de se retirer et me retourne pour lui gober à nouveau le gland. C’est là qu’il éjacule puissamment et m’arrose le gosier. Sa bite ramollit eu peu et je le recrache après avoir tout avalé.
Je le fais assoir sur le canapé et suggère à ma collègue de le remettre en forme pendant que je vais chercher des accessoire en leur disant :
- On va ajouter un peu de possibilités, vous allez aimer.
Je monte vite et m’équipe de mon strapon, puis je redescends les rejoindre. Dans leur position, Christophe est le seul à me voir arriver et montre sa surprise de me voir transformée en mec. Je lui fais signe de se taire et vais me placer derrière sa fellatrice. Je la tripote un peu avant de pointer mon engin sur l’entrée de son vagin. elle doit penser que c’est le vibro, mais quand je commence à la pilonner avec mes deux mains sur ses hanches, elle se rend compte que c’est différent. Elle n’est pas contre car elle commence à remuer et à venir à la rencontre de mes coups de reins.
Sentant qu’elle va jouir, j’accélère et ça la déclenche. Je la quitte et la soulève pour l’amener sur la queue de son mari qui est revenu en pleine forme. elle se laisse mener docilement et s’empale sur ce pieu qu’elle a fait dresser. Elle se remet en mouvement et le chevauche sans retenue. De mon côté, je prends un peu de la mouille qui lui cule partout entre-jambes pour m’en servir çà lui assouplir l’entrée arrière. Son anus palpite sous mes doigts et j’en introduis un à l’intérieur.
Quand elle est mûre pour la suite, je pose mon gland de silicone contre cet anneau et elle devine due que je vais faire car elle arrête sa chevauchée pour me faciliter la tâche. Je pousse doucement et il franchit la porte étroite sans problème. Je pousse régulièrement et me retrouve au fond de son cul. Arrivée à ce stade, j’entame ma sodomie et elle se laisse porter par mes assauts qui la font reprendre sa cavalcade sur son mari. La frénésie l’emporte et elle ne tarde pas à avoir un nouvel orgasme.
Elle est bien démontée et me suit quand je me est à côté d’elle pour terminer Christophe à deux bouches. Il a encore un peu de stocker nous le cède généreusement après un beau partage entre elle et moi. Ses giclées viennent atterrir sur nos visages et nos seins.
Après ce qu’on avait déjà fait l’après-midi et cette partie intense à trois, ils sont bien vidés et nous décidons qu’il est plus raisonnable d’aller maintenant nous coucher pour être en forme le lendemain. Au passage il arrête la télé où le film était terminer depuis un bon moment dans l’indifférence générale. Nous avions mieux sur place.
Mercredi 16 septembre 2009
Ce matin, je me lève la dernière des trois et Christophe est déjà habillé pour partir. Je demande la permission à ma collègue de lui faire une dernière fellation :
— Toi, tu vas pouvoir en profiter tant que tu veux, alors juste pour la route…
Elle trouve ça équitable et c’est elle qui se met derrière lui pour lui ouvrir la braguette et sortir sa queue qui est déjà presque prête à servir. C’est tellement excitant pour lui, tout habillé, de me voir nue à ses genoux en train de le sucer devant sa femme qu’il ne tient pas longtemps et m’envoie une bonne rasade de sperme, ayant refait ses munitions pendant la nuit. Puis il se rajuste et nous quitte.
Comme nous sommes excitée toutes les deux par cet intermède et que nous avons un peu de temps, nous remontons dans sa chambre et j’en profite pour initier ma collègue au strapon et c’est elle qui termine en me prenant en levrette.
Après une dernière journée, la formation prend fin à 16 heure 30. Nous avons mis mes bagages dans la voiture ce matin en quittant la maison, aussi elle peut me poser directement à Saint-Roch pour ne pas rater le train qui part un peu avant 17 heures et me ramène à Marseille Saint-Charles pour 18 heures 30 où Ber m’attend.
Avant de la quitter, je lui dit qu’il sont les bienvenus quand il le veulent chez nous. Je lui dis que je lui laisse en cadeau le soutif sans bonnet qu’elle porte encore aujourd’hui et le vibro que je lui ai laissé sur la commode de ma chambre en partant. Elle a hâte de connaître Ber, surtout sous un certain point de vue.
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