Ma collègue de travail (4)
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Ma collègue de travail (4)
Dimanche 27 août 2000
Ce matin, tout le monde se lève assez tard et c’est Martine qui est la dernière à nous rejoindre. Quand elle nous retrouve dans la cuisine, elle a tout de même enfilé un T-shirt alors qu’elle constate que nous sommes entièrement nus. Vu l’heure, nous étions en train de préparer un bon brunch pour tenir lieu de petit et gros déjeuner à la fois. Elle nous aide à tout porter dans le salon et nous nous posons pour manger. Je lui fais la remarque :
- Dis, non seulement il fait assez chaud, mais en plus on t’a déjà vue toute nue…
Elle rit et fait passer son T-shirt par-dessus sa tête pour se retrouver dans la même tenue que nous. Alors que nous terminons, elle finit par me lancer sur la soirée d’hier :
- Dis donc Caro, hier vous m’avez surprise, mais c’était vraiment bon !
- Oui, nous aussi tu nous as surpris. Avec Ber on ne savait pas comment tu allais réagir.
- Ben, au début j’ai été un peu paniquée de vous voir faire des choses devant moi. Mais après, comme je suis un peu en manque ça m’a bien excitée.
- C’était un peu le but. On s’était dit que si tu ne disais rien pour nos premières exhibitions, c’était bon, on pouvait aller jusqu’au bout.
Pendant que nous parlons, Ber qui est debout en train de débarrasser revient de la cuisine avec beau début d’érection assez prometteur pour la suite de la journée :
- En tout cas, tu aimes ça visiblement, et même certaines nouveautés.
- J’avoue, c’était nouveau pour moi de faire des choses avec une femme.
- Mais tu as vite appris, à ce que je t’ai vue faire avec Caro.
- C’est vrai, c’est bon aussi, finalement.
- Et par contre c’était vraiment pas ta première sodomie, non ?
- Euh, non et j’avoue que j’adore ça !
Martine se lève en disant qu’elle va faire la petite vaisselle de notre brunch et Ber la suit à la cuisine, précédé par sa bite bien dure déjà à l’horizontale. Dès qu’ils sont partis, je m’harnache vite fait de mon strapon qui était resté avec les autres jouets sur le petit buffet du coin de la pièce. J’arrive dans le dos de Martine et je constate qu’elle a une façon particulière d’aider Ber à faire la vaisselle puisqu’en fait elle tient sa queue dans la main et le branle doucement. Je n’ai donc aucun scrupule à me plaquer derrière elle en insérant ma bite factice entre ses cuisses et lui dire sur un ton amusé :
- Dis donc, c’est ça que tu appelles aider Ber ?
- Oh, c’est lui qui a pris ma main pour la poser là…
- Oui, je m’en doute, le connaissant. Et tu n’as pas trop protesté, je vois.
Ber annonce que c’est fini pour la vaisselle et on se désunit un instant, le temps de retourner au salon. Martine se retrouve assise avec nos deux bites devant elle :
- Ça fait drôle de te voir avec un sexe d’homme, même si je sais que c’est un faux.
- J’aime bien de temps en temps me transformer, ça permet de varier les plaisirs. Tiens, suce-moi pour commencer !
Comme hier, je lui présente l’engin et elle le fait volontiers, tout en branlant Ber qui cette fois n’a pas eu a prendre sa main pour qu’elle se lance sur la manœuvre. Puis au bout d’un moment elle prend l’initiative de changer de gland dans sa bouche. Mais comme je m’y attendais car il adore ça, Ber lui demande une toute autre caresse :
- Non, attends ! Depuis que j’ai vu tes superbes seins, j’en ai envie. Tu connais la branlette espagnole ?
- Evidemment, un de mes ex adorait ça lui aussi!
Il la fait mettre à genoux devant lui et elle se laisse guider pour enserrer la tige entre ses doudounes moelleuses et la faire coulisser sur toute la longueur. Je vois au clin d’œil que me lance Ber qu’il apprécie bien cette caresse qu’elle maitrise parfaitement. Le gland apparait brièvement au-dessus des seins à chaque aller-retour pour venir presque buter sous son menton. Elle en profite par-ci par-là pour y mettre un coup de langue.
Mais il se force un peu et la fait stopper pour s’assoir dans le canapé et la faire mettre à genoux entre ses jambes pour continuer avec la bouche uniquement. Dans cette position, pendant qu’elle lui pompe le gland, je vérifie qu’elle est suffisamment lubrifiée et je promène ma bite sur sa fente pour l’enduire avant de le pointer sur son vagin que j’investis en douceur. Puis je l’empoigne par les hanches et la pistonne amplement :
- Tu aimes que je te baise ?
- Oui, c’est bon. Et c’est la première fois qu’on me baise pendant que je suce quelqu’un.
- C’est donc vrai que t’as jamais fait ça à plusieurs ?
- Non, jamais. Mais je me dis maintenant que j’aurais dû essayer quand mon dernier mec me l’a proposé.
- On va se rattraper, t’inquiète !
Je la bourre en levrette un moment, puis Ber de libère se sa bouche pour aller se coucher sur le canapé. Je guide Martine qui s’empale sur lui pour le chevaucher et je la fais se pencher en avant pour dégager son petit trou. Je la doigte juste un peu avec de sa mouille mais je constate qu’elle est déjà bien ouverte car ça coulisse facilement. Je me place alors derrière elle et lui prends le cul sans trop de ménagements. Ma bite factice entre sans effort et je commence à remuer, donnant le rythme à notre ensemble.
Si j’en crois ce qu’elle nous a dit juste avant, c’est donc aussi son premier sandwich. Et ça a l’air de lui convenir comme menu. Elle le confirme par ses clameurs et ne tarde pas à jouir. Je la laisse redescendre tranquillement, mais pas refroidir complètement :
- Dis donc, tu as pris un méga-pied !
- Ouais, c’était géant ! Je regrette encore plus de pas avoir fait ça avant.
- Allez, un peu à moi. Viens là que je t’équipe…
Je place le strapon sur Martine et l’ajuste bien. Je la fais s’admirer dans la grande glace du salon Elle a l’air de trouver ça amusant de se retrouver avec une belle bite, même si c’est une fausse. Puis je me mets d’abord à genoux devant elle pour la sucer pour lui montrer l’impression qu’on peut avoir en se retrouvant dans la position d’un mec, avant de me retourner et de me mettre à quatre patte pour lui demander :
- Allez, viens, prends-moi en levrette !
Elle se positionne et n’hésite pas trop à m’investir la fente pendant que Ber vient me présenter son gland à sucer pour l’entretenir. Martine est bien arrimée des deux mains à mes hanches et me pistonne assez bien, pour sa première expérience en tant que mâle. Je la laisse aller un petit moment, puis je propose de changer de position. Ber s’allonge sur le tapis et je vais le chevaucher puis je tourne la tête et dis à ma collègue :
- Allez, à ton tour de me prendre la rondelle, je l’ai bien méritée cette double !
Elle semble se prendre au jeu et se met derrière moi. Elle hésite un peu au moment de me perforer la rondelle, mais elle finit par y mettre timidement le gland. Je n’attends pas plus et bouge mes fesses à sa rencontre pour absorber le reste en lui disant :
- Vas-y, n’aie pas peur, j’ai l’habitude et j’adore ça au moins autant que toi !
Du coup elle y va franchement, me cramponnant par les hanches pour m’enculer copieusement. Pour une débutante, elle se débrouille bien. je ne tarde pas à m’abandonner à un bel orgasme, puis nous nous dégageons tous les trois et Ber demande à ce qu’on l’aide à terminer lui aussi.
Il s’assoit dans un transat et c’est à deux que nous nous partageons son gland. Il ne retarde pas son éjaculation mais la réserve à Martine, en tant qu’invitée. Et elle ne se retire pas au moment où il lui lâche ses salves dans la bouche. Elle avale tout.
Puis nous plongeons dans la piscine pour nous remettre un peu de ces péripéties. Martine nous avoue qu’elle se doutait que nous étions des gens assez libres et ouverts, mais pas au point d’en arriver là. Mais elle ne le regrette pas, ça lui a permis de prendre un pied comme elle n’en avait pas eu depuis longtemps. et de découvrir de nouvelles choses.
L’après-midi est bien avancé et c’est l’heure où ma voisine doit nous ramener Lola. Et comme je la connais, est ponctuelle pour faire son apparition. Elle m’apprend qu’avec ma fille elles sont allées marcher dans la foret et qu’elles se sont bien dépensées.
Je lui présente Martine qui est un peu gênée de se trouver nue devant une inconnue. Mais comme je suis restée à poil pour aller lui ouvrir et que Ber sort dans la même tenue pour aller lui faire la bise, elle s’enhardit à sortir elle aussi pour aller s’essuyer avec la serviette posée sur son transat. Puis elle nous dit qu’elle va rentrer. Elle va s’habiller dans la chambre et revient nous dire au-revoir, merci pour ce beau week-end et à demain au bureau pour moi.
Quand elle est partie, Marie-Lou accepte ma proposition de profiter de la piscine avant de rentrer chez elle. Elle ne fait pas trop de chichis pour se mettre à poil, elle y a été habituée depuis qu'on est voisins. Elle n’a plus le ticket de métro de la grande époque, mais elle entretient tout de même un peu sa toison en l’épilant en gros triangle et en tondant les poils assez ras. Elle se laisse rafraichir un moment par l’eau, puis comme elle a remarqué les jouets sexuels sur la table de jardin, elle me demande :
- Vous avez fait quelques galipettes avec ta collègue de bureau ?
- Ben oui, comme tu t’en doutes…
- Vous n’avez pas changé.
- Ben non. Pourquoi, ça te donne envie ?
- Oh, Caro ! A mon âge…
- Quoi, ton âge, tu viens juste de tourner les 50. C’est pas la décrépitude. Pas vrai, Ber ?
- Non, même si je trouve que tu négliges ta touffe.
- C’est vrai, je me laisse aller de ce côté-là. Mais à quoi bon ? Et pour qui ?
- Rassure-toi, tu es toujours bandante. La preuve !
Ber ne cache pas à ma voisine son érection naissante et comme Lola est dans le bain avec nous, je sors et l’emmène vers les chambres sous le prétexte de la préparer pour la nuit. C’est aussi pour laisser le champ libre à Ber que je vois prendre la main de Marie-Lou et la mettre sur la queue au moment où je disparais à l’intérieur de la maison.
En effet, une fois que j’ai fait faire sa toilette à notre fille et que je lui ai donné son dîner pour ensuite la border dans son lit où elle ne tarde pas à baisser les paupières après une journée bien remplie, je retourne à l’extérieur où je ne suis pas vraiment surprise. La voisine est toujours dans la piscine, mais debout, cramponnée à la bordure et Ber la prend par derrière, la tenant pas les hanches. Je m’approche et m’accroupis devant elle :
- Ah, tu vois que c’est toujours d’actualité pour toi !
- Oh oui, et ça faisait longtemps…
- Comme quoi, tu serais bête de te priver, on est toujours là. Bon, et moi, alors ?
Je m’assieds sur la margelle juste devant elle et lui présente ma fourche imberbe pile devant sa tête. Elle n’a que se pencher un peu pour que ses lèvres viennent en contact avec mon abricot. Et elle n’hésite pas, retrouvant rapidement les bonnes habitudes qui s’étaient estompées au fil des années. Je sens à ses halètements de plus en plus forts dans ma fente qu’elle est en train de monter en puissance et elle ne tarde pas à jouir. Ber qui n’a pas terminé continue un peu sur sa lancée, puis il se dégage et sort de l’eau. Il fait sortir Marie-Lou et la fait mettre à genoux devant lui. Elle commence à le branler, puis à le sucer, mais il la stoppe et lui suggère de passer à autre chose :
- Tiens, la preuve que j’adore toujours tes seins, j’aimerais que tu me fasse jouir avec.
Elle s’exécute et lui fait une belle cravate de notaire tout en passant de temps en temps sa langue sur le gland. Ber se laisse cajoler un moment, puis il prévient :
- Ouah, c’est bon, t’as pas perdu la main, si j’ose dire. Tu veux ma potion magique ?
- Oh oui, donne-moi tout !
- Alors ouvre la bouche, je vais venir !
Et il éjacule sur le champ une première salve de sperme qui aboutit sur la gorge de Marie-Lou qui s’empresse de gober le gland pour recevoir les autres giclées dans la bouche. Quand les spasmes s’arrêtent, elle reste un peu comme ça, le temps de déglutir, puis recrache la bite, toute débarrassée des sucs dont elle l’a nettoyée. Elle réagit :
- Ouf, ça fait du bien, je dois avouer !
- Ah, tu vois, quand je te le disais. C’est quand tu veux, on est à ton service.
- T’en fais pas, je te prendrai au mot !
- Et tu feras bien. Après tout, si on s’entr’aide pas un peu en famille…
Puis elle se sèche et renfile ses vêtements pour retourner chez elle car le soir s’est bien avancé pendant ces péripéties.
Ce matin, tout le monde se lève assez tard et c’est Martine qui est la dernière à nous rejoindre. Quand elle nous retrouve dans la cuisine, elle a tout de même enfilé un T-shirt alors qu’elle constate que nous sommes entièrement nus. Vu l’heure, nous étions en train de préparer un bon brunch pour tenir lieu de petit et gros déjeuner à la fois. Elle nous aide à tout porter dans le salon et nous nous posons pour manger. Je lui fais la remarque :
- Dis, non seulement il fait assez chaud, mais en plus on t’a déjà vue toute nue…
Elle rit et fait passer son T-shirt par-dessus sa tête pour se retrouver dans la même tenue que nous. Alors que nous terminons, elle finit par me lancer sur la soirée d’hier :
- Dis donc Caro, hier vous m’avez surprise, mais c’était vraiment bon !
- Oui, nous aussi tu nous as surpris. Avec Ber on ne savait pas comment tu allais réagir.
- Ben, au début j’ai été un peu paniquée de vous voir faire des choses devant moi. Mais après, comme je suis un peu en manque ça m’a bien excitée.
- C’était un peu le but. On s’était dit que si tu ne disais rien pour nos premières exhibitions, c’était bon, on pouvait aller jusqu’au bout.
Pendant que nous parlons, Ber qui est debout en train de débarrasser revient de la cuisine avec beau début d’érection assez prometteur pour la suite de la journée :
- En tout cas, tu aimes ça visiblement, et même certaines nouveautés.
- J’avoue, c’était nouveau pour moi de faire des choses avec une femme.
- Mais tu as vite appris, à ce que je t’ai vue faire avec Caro.
- C’est vrai, c’est bon aussi, finalement.
- Et par contre c’était vraiment pas ta première sodomie, non ?
- Euh, non et j’avoue que j’adore ça !
Martine se lève en disant qu’elle va faire la petite vaisselle de notre brunch et Ber la suit à la cuisine, précédé par sa bite bien dure déjà à l’horizontale. Dès qu’ils sont partis, je m’harnache vite fait de mon strapon qui était resté avec les autres jouets sur le petit buffet du coin de la pièce. J’arrive dans le dos de Martine et je constate qu’elle a une façon particulière d’aider Ber à faire la vaisselle puisqu’en fait elle tient sa queue dans la main et le branle doucement. Je n’ai donc aucun scrupule à me plaquer derrière elle en insérant ma bite factice entre ses cuisses et lui dire sur un ton amusé :
- Dis donc, c’est ça que tu appelles aider Ber ?
- Oh, c’est lui qui a pris ma main pour la poser là…
- Oui, je m’en doute, le connaissant. Et tu n’as pas trop protesté, je vois.
Ber annonce que c’est fini pour la vaisselle et on se désunit un instant, le temps de retourner au salon. Martine se retrouve assise avec nos deux bites devant elle :
- Ça fait drôle de te voir avec un sexe d’homme, même si je sais que c’est un faux.
- J’aime bien de temps en temps me transformer, ça permet de varier les plaisirs. Tiens, suce-moi pour commencer !
Comme hier, je lui présente l’engin et elle le fait volontiers, tout en branlant Ber qui cette fois n’a pas eu a prendre sa main pour qu’elle se lance sur la manœuvre. Puis au bout d’un moment elle prend l’initiative de changer de gland dans sa bouche. Mais comme je m’y attendais car il adore ça, Ber lui demande une toute autre caresse :
- Non, attends ! Depuis que j’ai vu tes superbes seins, j’en ai envie. Tu connais la branlette espagnole ?
- Evidemment, un de mes ex adorait ça lui aussi!
Il la fait mettre à genoux devant lui et elle se laisse guider pour enserrer la tige entre ses doudounes moelleuses et la faire coulisser sur toute la longueur. Je vois au clin d’œil que me lance Ber qu’il apprécie bien cette caresse qu’elle maitrise parfaitement. Le gland apparait brièvement au-dessus des seins à chaque aller-retour pour venir presque buter sous son menton. Elle en profite par-ci par-là pour y mettre un coup de langue.
Mais il se force un peu et la fait stopper pour s’assoir dans le canapé et la faire mettre à genoux entre ses jambes pour continuer avec la bouche uniquement. Dans cette position, pendant qu’elle lui pompe le gland, je vérifie qu’elle est suffisamment lubrifiée et je promène ma bite sur sa fente pour l’enduire avant de le pointer sur son vagin que j’investis en douceur. Puis je l’empoigne par les hanches et la pistonne amplement :
- Tu aimes que je te baise ?
- Oui, c’est bon. Et c’est la première fois qu’on me baise pendant que je suce quelqu’un.
- C’est donc vrai que t’as jamais fait ça à plusieurs ?
- Non, jamais. Mais je me dis maintenant que j’aurais dû essayer quand mon dernier mec me l’a proposé.
- On va se rattraper, t’inquiète !
Je la bourre en levrette un moment, puis Ber de libère se sa bouche pour aller se coucher sur le canapé. Je guide Martine qui s’empale sur lui pour le chevaucher et je la fais se pencher en avant pour dégager son petit trou. Je la doigte juste un peu avec de sa mouille mais je constate qu’elle est déjà bien ouverte car ça coulisse facilement. Je me place alors derrière elle et lui prends le cul sans trop de ménagements. Ma bite factice entre sans effort et je commence à remuer, donnant le rythme à notre ensemble.
Si j’en crois ce qu’elle nous a dit juste avant, c’est donc aussi son premier sandwich. Et ça a l’air de lui convenir comme menu. Elle le confirme par ses clameurs et ne tarde pas à jouir. Je la laisse redescendre tranquillement, mais pas refroidir complètement :
- Dis donc, tu as pris un méga-pied !
- Ouais, c’était géant ! Je regrette encore plus de pas avoir fait ça avant.
- Allez, un peu à moi. Viens là que je t’équipe…
Je place le strapon sur Martine et l’ajuste bien. Je la fais s’admirer dans la grande glace du salon Elle a l’air de trouver ça amusant de se retrouver avec une belle bite, même si c’est une fausse. Puis je me mets d’abord à genoux devant elle pour la sucer pour lui montrer l’impression qu’on peut avoir en se retrouvant dans la position d’un mec, avant de me retourner et de me mettre à quatre patte pour lui demander :
- Allez, viens, prends-moi en levrette !
Elle se positionne et n’hésite pas trop à m’investir la fente pendant que Ber vient me présenter son gland à sucer pour l’entretenir. Martine est bien arrimée des deux mains à mes hanches et me pistonne assez bien, pour sa première expérience en tant que mâle. Je la laisse aller un petit moment, puis je propose de changer de position. Ber s’allonge sur le tapis et je vais le chevaucher puis je tourne la tête et dis à ma collègue :
- Allez, à ton tour de me prendre la rondelle, je l’ai bien méritée cette double !
Elle semble se prendre au jeu et se met derrière moi. Elle hésite un peu au moment de me perforer la rondelle, mais elle finit par y mettre timidement le gland. Je n’attends pas plus et bouge mes fesses à sa rencontre pour absorber le reste en lui disant :
- Vas-y, n’aie pas peur, j’ai l’habitude et j’adore ça au moins autant que toi !
Du coup elle y va franchement, me cramponnant par les hanches pour m’enculer copieusement. Pour une débutante, elle se débrouille bien. je ne tarde pas à m’abandonner à un bel orgasme, puis nous nous dégageons tous les trois et Ber demande à ce qu’on l’aide à terminer lui aussi.
Il s’assoit dans un transat et c’est à deux que nous nous partageons son gland. Il ne retarde pas son éjaculation mais la réserve à Martine, en tant qu’invitée. Et elle ne se retire pas au moment où il lui lâche ses salves dans la bouche. Elle avale tout.
Puis nous plongeons dans la piscine pour nous remettre un peu de ces péripéties. Martine nous avoue qu’elle se doutait que nous étions des gens assez libres et ouverts, mais pas au point d’en arriver là. Mais elle ne le regrette pas, ça lui a permis de prendre un pied comme elle n’en avait pas eu depuis longtemps. et de découvrir de nouvelles choses.
L’après-midi est bien avancé et c’est l’heure où ma voisine doit nous ramener Lola. Et comme je la connais, est ponctuelle pour faire son apparition. Elle m’apprend qu’avec ma fille elles sont allées marcher dans la foret et qu’elles se sont bien dépensées.
Je lui présente Martine qui est un peu gênée de se trouver nue devant une inconnue. Mais comme je suis restée à poil pour aller lui ouvrir et que Ber sort dans la même tenue pour aller lui faire la bise, elle s’enhardit à sortir elle aussi pour aller s’essuyer avec la serviette posée sur son transat. Puis elle nous dit qu’elle va rentrer. Elle va s’habiller dans la chambre et revient nous dire au-revoir, merci pour ce beau week-end et à demain au bureau pour moi.
Quand elle est partie, Marie-Lou accepte ma proposition de profiter de la piscine avant de rentrer chez elle. Elle ne fait pas trop de chichis pour se mettre à poil, elle y a été habituée depuis qu'on est voisins. Elle n’a plus le ticket de métro de la grande époque, mais elle entretient tout de même un peu sa toison en l’épilant en gros triangle et en tondant les poils assez ras. Elle se laisse rafraichir un moment par l’eau, puis comme elle a remarqué les jouets sexuels sur la table de jardin, elle me demande :
- Vous avez fait quelques galipettes avec ta collègue de bureau ?
- Ben oui, comme tu t’en doutes…
- Vous n’avez pas changé.
- Ben non. Pourquoi, ça te donne envie ?
- Oh, Caro ! A mon âge…
- Quoi, ton âge, tu viens juste de tourner les 50. C’est pas la décrépitude. Pas vrai, Ber ?
- Non, même si je trouve que tu négliges ta touffe.
- C’est vrai, je me laisse aller de ce côté-là. Mais à quoi bon ? Et pour qui ?
- Rassure-toi, tu es toujours bandante. La preuve !
Ber ne cache pas à ma voisine son érection naissante et comme Lola est dans le bain avec nous, je sors et l’emmène vers les chambres sous le prétexte de la préparer pour la nuit. C’est aussi pour laisser le champ libre à Ber que je vois prendre la main de Marie-Lou et la mettre sur la queue au moment où je disparais à l’intérieur de la maison.
En effet, une fois que j’ai fait faire sa toilette à notre fille et que je lui ai donné son dîner pour ensuite la border dans son lit où elle ne tarde pas à baisser les paupières après une journée bien remplie, je retourne à l’extérieur où je ne suis pas vraiment surprise. La voisine est toujours dans la piscine, mais debout, cramponnée à la bordure et Ber la prend par derrière, la tenant pas les hanches. Je m’approche et m’accroupis devant elle :
- Ah, tu vois que c’est toujours d’actualité pour toi !
- Oh oui, et ça faisait longtemps…
- Comme quoi, tu serais bête de te priver, on est toujours là. Bon, et moi, alors ?
Je m’assieds sur la margelle juste devant elle et lui présente ma fourche imberbe pile devant sa tête. Elle n’a que se pencher un peu pour que ses lèvres viennent en contact avec mon abricot. Et elle n’hésite pas, retrouvant rapidement les bonnes habitudes qui s’étaient estompées au fil des années. Je sens à ses halètements de plus en plus forts dans ma fente qu’elle est en train de monter en puissance et elle ne tarde pas à jouir. Ber qui n’a pas terminé continue un peu sur sa lancée, puis il se dégage et sort de l’eau. Il fait sortir Marie-Lou et la fait mettre à genoux devant lui. Elle commence à le branler, puis à le sucer, mais il la stoppe et lui suggère de passer à autre chose :
- Tiens, la preuve que j’adore toujours tes seins, j’aimerais que tu me fasse jouir avec.
Elle s’exécute et lui fait une belle cravate de notaire tout en passant de temps en temps sa langue sur le gland. Ber se laisse cajoler un moment, puis il prévient :
- Ouah, c’est bon, t’as pas perdu la main, si j’ose dire. Tu veux ma potion magique ?
- Oh oui, donne-moi tout !
- Alors ouvre la bouche, je vais venir !
Et il éjacule sur le champ une première salve de sperme qui aboutit sur la gorge de Marie-Lou qui s’empresse de gober le gland pour recevoir les autres giclées dans la bouche. Quand les spasmes s’arrêtent, elle reste un peu comme ça, le temps de déglutir, puis recrache la bite, toute débarrassée des sucs dont elle l’a nettoyée. Elle réagit :
- Ouf, ça fait du bien, je dois avouer !
- Ah, tu vois, quand je te le disais. C’est quand tu veux, on est à ton service.
- T’en fais pas, je te prendrai au mot !
- Et tu feras bien. Après tout, si on s’entr’aide pas un peu en famille…
Puis elle se sèche et renfile ses vêtements pour retourner chez elle car le soir s’est bien avancé pendant ces péripéties.
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