Ma collègue de travail (7)

- Par l'auteur HDS K-ro -
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma collègue de travail (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma collègue de travail (7)
Samedi 2 septembre 2000 (suite)

Nous nous installons tous les quatre dans le canapé en nous serrant un peu entre les accoudoirs. Ber est à gauche, moi à droite, et au milieu nous avons Guillaume à côté de moi et Martine entre lui et Ber. Evidemment, dès les premières scènes à forte tension érotiques les effets secondaires ne tardent pas à se faire ressentir. Il faut dire que Kidman nue, c’est déjà assez excitant. Mais les situations le sont encore plus.

Donc les deux mâles de l’assistance n’essaient même pas de se retenir et arborent rapidement un grand mât bien droit au dessus du niveau de flottaison. Martine essaie de se concentrer sur le film pour éviter de trop regarder ces deux piliers turgescents qui l’entourent. Mais entre ça et l’érotisme torride du film, ses tétons la trahissent en pointant bien durs. Ber n’hésite pas à se décalotter et à garder sa main sur ses couilles qu’il masse doucement. Du coup, Guillaume qui doit guetter tout ça du coin de l’œil en fait de même. Pour ma part, je me caresse tranquillement avec un doigt dans ma fente humide.

Au bout de deux heures trois quarts, le film prend fin et j’éteins les appareils dans un silence que personne ne rompt. Pour éviter de se manifester sur notre état, Martine se lève et annonce qu’elle va aux toilettes car elle se retient depuis un moment. Profitant qu’elle n’est pas là pour un court moment, nous attaquons Guillaume. Ber se branle juste un peu pendant que j’attrape la bite de mon jeune voisin en lui disant :
- Bon, voilà : tu vas être le premier à aller dans ta chambre. ensuite tu sortiras par la porte-fenêtre derrière et tu attendras en silence devant celle de notre chambre.
- Euh…
- A moins que ça ne t’intéresse pas de t’amuser un peu avec nous.
- Non, non, c’est bon. Bien sûr que ça me dit.
- Bon, alors c’est OK. En attendant, fais un peu comme Ber pour narguer ta marraine. Mais pas trop, garde tes munitions ! Et je te promets une bonne surprise…

Je libère sa queue qu’il s’empresse de prendre en main pour la caresser assez tranquillement pendant que mon doigt continue à s’activer en douceur sur mon clito. C’est dans cette configuration que Martine nous trouve à son retour des toilettes :
- Ah ben, ne vous gênez pas, surtout ! Et toi qui les laisse faire.
- Allez, laisse-les. Avec ce film, c’est normal qu’on soit excités. Pas toi ?
- C’est pas la question. Guillaume, franchement, faire ça devant moi…
- Euh oui…Excuse-moi, Marraine. Je vais aller dans ma chambre.

Et il se lève, la tige bien raide au-dessus de l’horizontale et se dirige vers le couloir des chambres. Ce qui l’amène vers sa marraine à côté de laquelle il doit passer. En route, il reprend son engin en main et remet en route de lents aller-retours. Martine es tellement abasourdie qu’elle ne lui dit rien et même se tourne un peu lorsqu’il l’a dépassée pour continuer à le suivre du regard. Il disparait enfin et elle nous prend à témoins :
- Non mais vous avez vu ce qu’il ose faire devant moi. Et devant vous ?
- Oh, ça va, y’a pas mort d’homme. Il a forcément des besoins naturels à son âge.
- Je veux bien, mais tout de même, il peut faire ça sans nous en faire profiter.
- Moi, ça me gêne pas, et Ber non plus.
- Oui, je me doute, il fait pareil, alors forcément ! Et toi tu l’as déjà aidé…
- Allez, dis-nous sans mentir que le film t’a pas excitée.
- Bon, c’est vrai, mais…
- On s’en est bien rendu compte, tes tétons étaient raides. Et sa queue, elle te tente, non ?
- Oh, allons, je t’ai déjà dit…
- Oui, je sais, c’est ton filleul. Mais ne me dit pas que tu ne la regardes pas avec envie. Tes cabochons clignotent encore. je parie que tu mouilles.
- Oui, bon, j’avoue que ça me trouble un peu l’esprit. Mais tout de même.

Nous nous levons, nous approchons d’elle pour l’entourer et je lui suggère :
- Et si on allait un peu calmer tout ça ensemble dans notre chambre ?

Ce disant, je lui pince un des ses cabochons qui continuent à pointer et Ber lui prend la main pour la poser sur sa hampe. Elle ne s’insurge pas et même la fait aller et venir machinalement. Toutefois, elle hésite encore et nous le fait savoir :
- Putain oui, j’ai vraiment envie de baiser, mais il est à côté.
- Et alors, de toute façon, même si on va que nous deux dans notre chambre, on va pas se priver de se donner à fond. Et Guillaume doit déjà être aux aguets pour écouter ça et se branler dessus. Il ne pourra pas imaginer que tu sois avec nous, vu que tu as cassé l’ambiance chaque fois que ça virait au sexe. Et on restera discrets du point de vue vocal.

Pendant que j’argumente, je lui frictionne l’entre-jambes qu’elle a bien trempé comme on s’en doutait. Donc elle monte dans les tours et finalement elle cède à ses pulsions. Pour donner le change, je lui propose un stratagème. J’ouvre sa porte et dis clairement :
- Bonne nuit, Martine !
- Bonne nuit vous deux !

Je ferme sa porte un peu bruyamment en lui faisant un clin d’œil et ça semble la rassurer par rapport à son filleul. Nous entrons tous trois dans notre chambre. Mon premier regard en entrant va vers les rideaux qui sont tirés pour ne pas montrer que la porte-fenêtre est ouverte. Si Guillaume est bien derrière, en tous les cas ça ne se voit pas car la nuit est bien noire et les rideaux assez opaques.

Dans tous les cas, Martine n’a pas le temps de faire un tour d’inspection car nous l’enlaçons tout de suite pour une petite séance de baiser et de caresses, tous trois debout dans le grand espace entre la porte et le lit. Puis une fois que nous somme bien chauds, Ber demande à Martine et moi de nous faire un peu plaisir entre nous pendant qu’il nous regarde faire. Je pousse ma collègue sur le lit et monte au-dessus tête-bêche pour entamer un soixante-neuf. Nous montons progressivement en régime.

Ber juge que c’est le moment de passer à autre chose. Il me fait signe de descendre et fait retourner Martine pour la positionner en levrette. Elle n’attendait visiblement que ça :
- Oh oui, viens me prendre fort !

Il ne se fait pas prier et dans le mouvement, il lui fait tourner le dos à la fenêtre, pour être plus tranquille. Comme ça, elle ne peut pas voir son filleul quoi qu’il arrive. Pendant qu’il la pénètre, je fais le tour et au passage, j’écarte légèrement le coin du rideau et tombe nez-à-nez avec Guillaume à son poste de voyeur, bite en main. Je lui souffle à l’oreille :
- Arrête un peu de te tripoter, garde tes munitions. Dans un moment, je pense que tu vas pouvoir te joindre à nous et baiser ta marraine. En attendant, tu peux regarder par le bord du rideau, elle peut pas te voir comme on l’a mise. Mais pas de bruit…

Puis je continue mon trajet et viens me rassoir sur le lit devant Martine pour qu’elle continue à me bouffer le clito. Ber lui donne de bon coups de bélier qui la fond buter du menton dans ma fourche. Elle est apparemment aux anges, vu qu’elle ne pense plus du tout à se retenir dans ses râles qui augment de plus en plus et culminent quand elle jouit enfin. Ber me fait signe et je me dégage pour lui laisser la place. Martine a bien compris ce qu’il attendait d’elle puisqu’elle se retrouve avec le gland pile devant son nez. Et comme elle adore ça, elle le tête directement sans qu’il ait à le lui demander. Pendant qu’elle le pompe avec gourmandise, prenant son temps, je vais prendre mon strapon sur la commode et l’enfile dans le champ de vision de notre partenaire en commençant un dialogue où pour chaque réplique à mes questions elle recrache son sucre d’orge :
- Je pense que tu aimerais que je te baise pendant que tu le suces, non ?
- Oh oui, donne-moi ta queue, saute-moi !
- Ca te dirait d’imaginer que c’est Guillaume qui est à ma place ?
- Mmmm…
- Allez, lâche-toi, je sais que tu fantasmes sur sa bite !
- Bon OK, j’admets. Jouons un peu, fais comme si tu étais lui.
- Non, pas comme ça. Demande-le à lui, et sois bien cochonne.
- Viens ici Guillaume, je veux que tu me mettes ta bite bien profond !
- Voilà qui est mieux ! J’arrive, Marraine, gare à tes fesses.

Et je m’écarte de son champ de vision pendant qu’elle se reconcentre sur sa fellation. Mais dès que je suis derrière elle, je fais signe à Guillaume de venir en silence vers nous. Je caresse en peu la fente de sa marraine avant de le faire mettre en position de tir. Je lui fais poser une main à la place de celle que j’avais sur une des hanches de Martine et je sors mes doigts de son sillon poisseux pour prendre la hampe de Guillaume et pointer son gland contre l’entrée des artistes. Puis le le lâche et le laisse faire. Il pose son autre main sur l’autre hanche et pousse, se retrouvant sans effort au fond du vagin. Je commente :
- Oh, putain, Marraine, comme c’est bon, comme tu es chaude !

Et c’est moi qui continue ce dialogue en pointillés pour donner le change. Elle est persuadée que c’est moi qui m’active en elle et répond toujours entre deux sucettes :
- Oh oui, elle est bonne ta queue, mon filleul !
- Je vais t’exploser la chatte, Marraine !
- Vas-y, bourre-moi à fond !

Je vois qu’elle repart pour un nouvel orgasme car elle s’occupe de moins en moins de Ber pour se consacrer de plus en plus à ce qu’elle prend par derrière. Et effectivement, elle explose une deuxième fois tandis que Guillaume qui essayait de se retenir n’y arrive plus et éjacule en se collant au maximum aux fesses de sa marraine en lâchant :
- Ouiiiii, Marraine, je viens. C’est trop bon !

Sur le visage de Martine passe une ombre. Elle a forcément senti les giclées de foutre avec les soubresauts de queue qui l’accompagnent, ce que ce ne fait pas un strapon en général. Et au cas où elle aurait un encore un doute, c’est bien la voix de son filleul qui a gueulé à l’instant. mais elle est tellement démontée par ses deux orgasmes si proches qu’elle reste allongée sur le ventre, oubliant complètement sa fellation en cours. Guillaume se retire pendant qu’elle se laisse descendre sur le ventre. Elle finit par dire faiblement :
- Guillaume ? C’est toi qui…

Je prends le jeune dépucelé par la main et l’emmène s’assoir avec moi à côté de sa marraine. Elle nous voit donc maintenant tous autour d’elle et le doute devient une certitude. Pour éviter des mauvais retours, je prends l’initiative du débriefing :
- Alors, tu vois que tu en avais envie. Et lui aussi, d’ailleurs. Alors pourquoi se priver ?
- Tout de même, vous m’avez bien eue, là. C’est pas bien, c’est mon filleul…
- Mais non, c’est des idées. Personne ne fait de tort ou de mal à personne. Alors profitez.

Pendant cet échange, elle se retourne et se retrouve de flanc sur une hanche et sur un coude face à nous. Privilège de la jeunesse, son filleul est déjà en train de développer une nouvelle érection juste en face de son visage. Contrairement à ce qu’on aurait pu redouter, elle ne se dérobe pas et garde ses yeux braqués sur le gland qui la nargue. Alors je sais que c’est le moment de faire basculer la situation définitivement. Je prends la bite en main et commence à la parcourir lentement devant elle en lui disant :
- Allez, lâche-toi, occupe-toi de lui à ma place.
- Bah, au point où on en est, je crois que c’est plus la peine de me priver…

Comme hypnotisée, elle lance sa main libre pour me remplacer sur la tige juste quand je lâche et continue la masturbation que j’avais entamée. Guillaume est aux anges et se délecte de la vue de sa marraine en train de le branler. Ça lui donne envie de plus :
- Dis, Marraine, tu veux bien me sucer, aussi ?
- Euh, si ça te fait rien, je préfèrerais que tu m’appelles Martine dans ces moments-là…
- Bon d’accord, tout ce que tu veux, Marr…tine !

Et elle se positionne plus confortablement pour enfin gober son gland. Comme ils sont sur les rails, je m’occupe un peu de Ber qui s’impatiente. Je le suce un peu pour le remettre en grande forme, bien qu’il n’en ait pas besoin, puis il vient me prendre en levrette à côté de Martine. J’ai donc en vue directe la fellation magistrale qu’elle prodigue à son filleul.

Ma collègue a définitivement largué tous ses préjugés car je la vois soudain se redresser et pousser son filleul pour le faire mettre sur le dos. Elle se positionne au-dessus de lui et prend sa bite en main pour s’empaler sans hésiter sur lui et entamer un rodéo. Elle prend son régime de course et finit par s’arrêter bien enfoncée à fond sur sa monture en gueulant son orgasme. J’atteins d’ailleurs le mien presque en même temps.

Un petit moment de flottement nous permet de reprendre nos esprits. Je sens que Ber sort de mon vagin pour promener son gland sur ma rosette et il pousse doucement, le faisant passer la petite porte. Pendant ce temps, Martine se dégage de son axe conducteur avec un bruit de ventouse et constate que cette fois son filleul a tenu plus longtemps puisqu’il est encore en pleine érection. Pour l’aider à finir, elle s’empresse de le prendre en bouche tout en le branlant nerveusement. Je la regarde faire tout en savourant la sodomie paresseuse que Ber me procure. Guillaume attrape la tête de sa pour la garder en place :
- Oh oui, c’est trop bon, continue !

Elle n’a pas besoin de ça car visiblement elle compte tout avaler. Ber profite qu’elle est toute à sa fellation pour me quitter et aller se placer derrière elle pour l’enculer sans trop de ménagements. Elle marque juste un peu le coup puis le laisse lui ramoner le conduit anal tout en se consacrant à son filleul. Et enfin celui-ci annonce :
- Ah, oui, ah, je viens !

Et dans un long râle il éjacule à nouveau. Sa marraine recueille ses giclées sans en perdre une goutte. Etant plus libre de ses mouvement, elle se repositionne bien à quatre pattes pour que Ber puisse la pistonner à grands coups de reins sans risque de déculer. Guillaume étant abandonné et encore un peu dans les nuages suite à son orgasme, je le tire à moi pour qu’il puisse profiter de la vue de l’action en cours. Il pensait certainement que Ber la prenait en levrette car il est tout éberlué de voir que c’est dans l’autre trou qu’il s’active et que sa marraine semble y prendre un immense plaisir. Comme en même temps je lui commente tout ça à l’oreille et que je lui masse les couilles et le gland, il reprend de la vigueur assez vite, aidé par sa jeunesse.

Martine prend encore son pied et Ber se retire pour terminer en lui inondant la raie du cul et les fesses avec son sperme bien abondant. Je lui fais signe de se pousser et je tire Guillaume par la queue pour le mettre à sa place. Je promène son gland dans le foutre de Ber et le pointe sur l’anneau encore ouvert et palpitant de Martine, puis je je laisse continuer seul en lui faisant signe de la tête s’y aller. Il hésite un peu et demande :
- C’est vrai, Martine ? Je peux moi aussi te…
- Oui, vas-y, encule-moi, j’adore ça !

Du coup il ne calcule plus et enfonce son gland dans cet anneau foncé et dégoulinant qui l’attire au plus haut point. Ça rentre sans effort car outre le fait qu’elle est encore dilatée, son outil est un peu moins imposant que celui de son prédécesseur. Du coup il est tout de suite au fond et l’empoigne par les hanches pour aller et venir de bout en bout en venant claquer contre ses fesses à chaque coup avec un clapotis occasionné par la quantité de foutre qui tapisse son postérieur. Ber présume que ça va durer un certain temps et va vite à la salle de bains pour se faire un brin de propreté après son exploration culière de notre amie. Quand il revient, la scène en est toujours au même point, Guillaume n’ayant même pas accéléré pour faire durer le plaisir. Il me présente sa bite à laquelle il a déjà un peu redonné vie pour que je l’aide à atteindre une consistance honnête.

Quand il est plus que suffisamment durci, il va donc se glisser sous Martine dans le tunnel que forment ses quatre membres et réussit à la faire descendre s’empaler sur lui sans que l’équipier arrière ne soit éjecté. Martine peut enfin goûter à un vrai sandwich tout en viande d’homme. Et à entendre ses onomatopée et soupirs, ça lui convient bien. Ce spectacle m’excite bien aussi et je m’installe confortablement pour les regarder s’activer tout en me branlant avec un bon vibro.

La tension monte graduellement et Martine a deux orgasmes successifs. Moi-même je jouis en douceur en les contemplant. Je me lève et vais me placer derrière Guillaume pour lui caresser les coules couilles tout en glissant jusqu’à la fente de Martine, bien trempée entre les deux tiges qui la perforent. Puis avec ce lubrifiant, je fais tourner mes doigts dans la raie de Guillaume, insistant de plus en plus sur son anus. Je sens qu’il se laisse faire, donc je rentre une phalange et continue jusqu’a ce que mon doigt soit entièrement absorbé. Je lui fais un massage interne qui enfin le déclenche, lâchant ses dernières réserves au fin fond du cul de sa marraine.

Ber étant le seul à n’avoir pas encore terminé, il ne me surprend pas en demandant à Martine de le finir avec une bonne branlette espagnole. Elle se dévoue volontiers et je constate que cette combinaison intéresse Guillaume qui découvre décidément beaucoup de choses depuis ce matin. Il ne fait pas trop attendre sa masseuse mammaire et lui lâche une quantité encore appréciable de sperme sur les seins et le cou.

Cette fois, tout le monde est rassasié et suffisamment fatigué pour que la séance s’arrête tacitement, personne ne prenant l’initiative de relancer un nouveau round. Prenant de l’avance sur une éventuelle demande de son filleul, Martine annonce qu’elle préfère dormir seule pour mieux récupérer et s’éclipse en passant d’abord par la salle de bains pour se débarrasser des liquides qui la maculent de haut en bas devant et derrière afin de ne pas rester collé dans les draps. Du coup, Guillaume rejoint lui aussi sa chambre, en passant par le couloir cette fois puisqu’il n’a plus à se cacher. Dodo bien mérité pour tous !

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superbe



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