Madame Adeline.

Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Madame Adeline.
Ça faisait plus d'un an que je jouais avec elle, elle m'envoyait des nudes, des vidéos, faisait ce que je disais, on s'était rencontrés sur un site internet, elle avait des formes, se teignait les cheveux en rousse, une grosse poitrine, bref, j'avais pas mal de dossiers sur elle.
Un jour, elle décidait qu'elle voulait décider. Je rigolais pendant un moment, mais elle était sérieuse. "Pile ou face" me dit-elle. Je pouvais choisir et lancer la pièce, mais je devais lui montrer. Nous étions en vidéo messenger. Si elle perdait, je pouvais lui demander ce que je voulais, elle ne dirait non à rien. Si elle gagnait, je devais lui obéir.
Je perdis, cela me désorienta un peu, parce qu'un, je n'aimais pas perdre et je me voyais mal obéir, mais j'avais joué le jeu et je devais tenir parole.
Très vite, elle me fit me déshabiller, elle regardait mon sexe, commentait, me faisant me branler, me fit me branler à genoux, arrêter, rester ainsi les mains dans le dos pendant qu'elle commentait et discutait normalement, me faire remettre à me branler, à quatre pattes, en bref, elle s'amusait.
Moi, j'étais excité et j'avais envie de cracher, mais elle m'arrêtait à chaque fois, puis, je ne sais comment, sûrement dû à l'excitation, elle me fit dire que je lui appartenais, que je voulais venir chez elle être son jouet... Je le dis.
- Rhabille-toi, monte dans ta voiture et viens chez moi, je t'envoie l'adresse.
En moins de temps qu'il n'en fallait, j'étais rhabillé, et dans ma voiture à entrer les coordonnées dans le GPS, elle était toujours avec moi en visio.
- Tu bandes toujours ?
- Oui.
- Branle-toi en conduisant.
Ce que je fis sans discuter.
Je sentais que j'allais venir, je lui dis, elle me dit que ce n'était pas son problème, je ralentissais, voire m'arrêtais discrètement par moment, mais elle finit par le remarquer.
- Dirige ton téléphone vers ton pantalon et branle-toi à fond.
Rien que ça, ça aurait pu me faire venir, et je le fis, je finis par venir, ma main était pleine de sperme, mon boxer aussi.
Je finis quelques minutes plus tard par arriver chez elle, elle me dit de venir me présenter devant la porte, elle ouvrit, elle portait un long peignoir noir un peu transparent, sexy, je pouvais devenir une tenue sexy par dessous, elle me regardait, sourit, mon excitation était partie, elle regardait mon entrejambe.
- Retire tes vêtements.
Je les retirais, lorsque je retirais le boxer, j'étais mort de honte entre mon boxer taché et mon sexe qui était devenu plus petit.
Elle sourit.
- Montre-moi fièrement ton boxer.
Je le tendis vers elle, et elle me dit :
- T'es un petit cochon, suis-moi.
Et je la suivais.
Nous étions dans sa buanderie, elle me fit le rincer dans un évier, puis le mit dans sa machine à lessiver.
- Allais, viens petit cochon
Je la suivais, je n'osais pas la regarder dans les yeux tellement j'étais mort de honte, on montait au premier étage, elle ouvrit la porte de sa chambre, elle ouvrit ensuite sa garde-robe et sortit une boîte, elle en avait plusieurs, à la fois, je regardais et je ne voulais pas voir.
Elle se tournait vers moi, Tenait quelque chose en métal que je ne connaissais pas, elle était assise sur le lit et moi debout face à elle.
- Mais les mains derrière la tête et écarte bien les jambes pour me montrer ton petit zizi rikiki.
Elle approchait l'objet, je fis un pas en arrière et son regard se fronça.
- Tu ne bouges pas !
Elle fit passer mon sexe dedans, je me sentais serré et elle le fermait avec une clé.
- Eh bien voilà, ça t'évitera de jouer avec n'importe où, mets-toi à genoux à côté de moi.
Elle venait de me mettre une cage de chasteté, j'étais mort de honte, je me mis à côté à genoux et elle continuait à regarder sa boîte, puis une seconde boîte, elle me mit un collier autour du cou, la situation semblant l'amuser et la satisfaire, elle rajoutait un collier, elle prit des menottes et me m'attachait les mains dans le dos.
- Alors mon petit cochon, on est content d'être ma petite salope ?
- Oui... Dis-je en baissant les yeux.
- Oui, Madame Adeline.
- Oui, Madame Adeline. Dis-je
- Pour me remercier, je te laisse me baiser les pieds.
Ce que je fis, mais très vite elle tirait sur la laisse pour me relever, elle me fit m'asseoir sur ses genoux et caressait mon corps, rien n'y faisait, je n'étais toujours plus excité.
- Bon, il va falloir que je passe à la vitesse supérieure, écarte les jambes.
Je les écartais, mais lorsque je sentis ses doigts approcher de mon anus, je me relevais, elle me fit vite me rassoir et même me coucher sur le ventre, sur ses genoux, elle se mit à assener des gifles sur mes fesses, elle y allait fort m'arrachant quelques cris.
- Tu vas te remettre sur mes genoux et écarter tes jambes, compris ?
- Oui, Madame Adeline.
- Demande-le moi.
- Est-ce que je peux m'asseoir sur tes genoux ?
- Pour ?
- Que tu joues dans mon anus.
- Dans mon petit cul de salope tu dois dire.
- Pour que tu joues dans mon petit cul de salope.
Remis en position, les jambes écartées, elle reprit ce qu'elle avait entrepris, bien que j'offrais de la résistance, je ne sais pas comment, elle réussit à y aller, un doigt, deux doigts... Elle me fit me relever.
- Tu vois le gode jaune dans la boîte, va le prendre.
Elle vit mon air un peu dubitatif et ajouta.
- Mon petit cochon, avec ta bouche, prends le bien en bouche.
Ce que je fis, elle me regardait le gode dans ma bouche, s'approchait, prit son bout et fit des va-et-vient dans ma bouche.
- Je m'en suis servie hier, c'était vraiment bon.
Je sentais que mon corps commençait à vraiment réagir, elle sortit de la chambre quelques instants et revient, avec un flacon de lubrifiant, elle tirait sur la laisse et me mit sur le ventre sur ses genoux à nouveau.
Elle fit couler le lubrifiant entre mes fesses et s'en donnait à coeur joie avec ses doigts.
Elle me fit ensuite me coucher sur le lit, sur le dos, jambes écartées, j'avais envie de bander, j'étais bloqué, ça me gênait, je grimaçais, elle me retirait le gode de la bouche et l'emmenais près de son sexe, qu'elle ne me laissait pas voir, elle le rentrait en elle.
- Je t'utiliserai bien pour lubrifier mes godes.
Elle le ressortit, me le remit en bouche, fit des va-et-vient, elle me faisait la goutte et tout en continuant me dit.
- J'imagine que tu vas me demander de te le mettre dans ton petit cul une fois que je le sors de ta bouche ? Dit-elle en le sortant.
- Mme Adeline, voulez-vous bien le mettre dans mon petit cul de salope.
Et très vite, elle le mit, fit des va-et-vient, me voyait réagir, prenait du plaisir, avec son autre main, elle passait non loin de mon sexe, lui je le sentais grossir, bloqué...
Elle prit un gode plus gros, me le mit en bouche, elle vit que là, je n'étais plus trop sûr, elle souriait, elle prenait plaisir, il finit lui aussi en moi, j'allais exploser, elle finit par s'arrêter, lubrifier à nouveau.
- S'il te plaît, Madame Adeline, je ferai tout ce que tu dis, arrête.
- Mais tu fais déjà tout ce que je dis.
Elle prit un autre objet, je ne le vis pas, je sentais qu'elle appuyait sur mon anus, et il se bloquait.
- On va le garder bien écarté.
Elle me relevait, j'avais du mal à tenir sur mes jambes, ou à reprendre mes idées, elle me retirait la cage de chasteté et m'amenait à la toilette, elle me fit uriner, elle se doutait que depuis le temps j'avais besoin, j'étais humilié qu'elle me tienne mes mains qui étaient attachées et le sexe pour me faire pisser.
Elle me fit ensuite rentrer dans la baignoire, elle mit son téléphone de manière à me filmer, j'étais à genoux, elle me chuchottait ce que je devais dire à l'oreille.
- Madame Adeline, trais moi mon zizi pour que je sorte mon lait.
Et elle se mit à me branler, serrant une fesse puis l'autre de son autre main, les jets sortirent, elle continuait un peu les va-et-viens.
Elle regardait son oeuvre, fit couler l'eau du bain pour faire partir tout mon sperme et me lava.
Lorsque je sortis, elle me remit la cage de chasteté, on redescendit, elle me fit lui embrasser les pieds, caressait mon corps, me laissait aussi comme ça en plan.
- Tu as envie que je te détache ?
- Oui, Mme Adeline.
- Et que feras-tu si je te détache ?
- Ce que tu veux...
- hum j'ai une proposition.
- Oui ?
- Si je te détache, tu me fais la petite vaisselle, tu me sers comme une princesse, et quand tu sens que tu bandes, tu me le dis, j'enlève ton petit bijou et tu te branle à mes pieds, en me disant évidemment que tu aimes être ma petite salope.
- Ok... ça devrait aller...
- J'ai pas fini petit cochon.
- Je t'écoute.
- Quand t'as bien craché, je veux que tu nettoies avec ta langue et te mettes à 4 pattes pour que je te prenne au godemiché.
Son ton était devenu encore plus autoritaire, son regard aussi. Elle se levait et se trouvait face à moi, sa main se plaçait sous mes couilles, les tenants.
- Alors mon petit cochon, qu'en dis-tu ?
- ...
- Oh, on a peur de se faire enculer alors qu'on a pris deux godes et un plug dans le cul ?
Elle me tenait littéralement par les couilles.
- Je suis à tes ordres, Madame Adeline.
- Je préfère ça.
- J'accepte.
Dis-je en commençant à me mettre à genoux, sa main se retirant de mes couilles et lui baisait ensuite les pieds.
- Je suis à ton service.
Elle me détachait les mains, je partis faire sa vaisselle, quelques verres, une assiette...
- De l'eau.
Je lui servis un verre d'eau et lui amenait, elle me fit lui tenir le verre pendant qu'elle buvait.
- Une cigarette.
Je pris une cigarette dans son paquet, lui mis en bouche et l'allumais, je devais tenir le cendrier également.
- Suis-moi.
On allait dans sa petite toilette dans le hall, elle abaissait son string, son sexe étant toujours caché par son peignoir.
- Essuie-moi.
Je pris du papier et je touchais enfin sa chatte, j'essuyais et on sortit, je me ressentais plein d'envie.
Elle montait dans sa chambre et redescendait avec le godemiché, le déposait sur la table.
- Quand t'es prêt, tu me le dis.
- Pas tout de suite, dis-je en regardant l'objet.
- Après ça, j'espère que tu viendras toujours pour être ma petite salope.
- Oui, Madame Adeline.
- Allais branle-toi, j'ai envie de t'enculer.
Elle m'enlevait à nouveau la cage de chasteté, je me mis à genoux et me branlais, temps à autres, elle relevait un pied pour me faire le baiser, elle fit glisser son string qu'elle me mit en bouche, après un long moment je finis par venir, sur ses pieds, sur le sol.
- Allais petit cochon, je ne veux plus voir une goutte !
L'excitation redescendue, je me voyais mal léché, son regard s'était froncé, je me mis à l'oeuvre, lorsque j'eus fini, elle rigolait.
- Il est bon ton sperme ? Je suis sûr que tu aurais voulu que ça soit dans ma bouche !
Je baissais les yeux morts de honte.
- Allais, va me chercher ton joujou.
Je partis chercher la ceinture sur la table, elle me fit l'enfiler, elle me fit me mettre à 4 pattes par terre, lubrifiant sur l'anus, elle retirait délicatement le plus qu'elle plaçait devant moi, elle me lubrifiait à nouveau l'anus et vint devant moi, elle avait retiré son peignoir, elle portait une tenue sexy, laissant presque voir tout son corps.
Le godemiché se balançait devant moi.
- Baise-moi les pieds, petit cochon.
Je m'exécutais.
- Maintenant, je vais t'enculer comme une petite salope, quand tu vas reprendre la route, ton cul sera tellement défoncé et rouge que tu penseras à moi.
Elle tirait sur la laisse, me mit le sexe devant la bouche et le fourrait dedans, elle se retirait et passait derrière moi, lubrifiait encore mon anus et le gode et je la sentis rentrer petit à petit, elle commençait par des vas-et-vient plutôt lent, le faisant sentir passer à travers moi.
Elle me tenait par les cheveux, me disait des mots crus, puis accélérait, gifflait mes fesses, j'en avais larmes aux yeux, elle le vit, elle frappait plus fort, allait plus vite, serrait mes fesses avec ses mains, je finis par avoir des larmes, lorsqu'elle en eut marre, ou plutôt qu'elle n'en peut plus, elle s'arrêtait, me laissait ainsi, je ne bougeais plus, mon cul me brulait, j'avais mal aux genoux...
Elle se remit devant moi, restait là sans bouger, j'embrassais des pieds, elle tirait sur la laisse me faisant me mettre à genoux, s'assit sur le canapé, j'avais devant les yeux ce qui m'avait pénétré.
- Alors mon petit cochon, tu continueras à m'obéir.
- Oui, Madame Adeline, dis-je en regardant sa jambe.
- Regarde-moi dans les yeux.
- Oui, je continuerai à t'obéir.
- C'est bien.
Elle se levait, partit dans la buanderie, revint avec une culotte à elle qu'elle me jetait et montait, redescendit avec mes vêtements et me les lançait.
- Rhabille-toi et dégage.
J'enfilais sa culotte, un peu grande pour moi, mes vêtements et je m'apprêtais à lui dire au revoir.
- Je t'ai dit de dégager.
Alors que j'approchais de la porte, elle arrivait et me dit :
- Tu peux dormir avec ma culotte, demain, si tu veux te faire enculer, reviens et porte-la.
Elle ouvrit la porte, me fit sortir, et referma derrière moi.
Je rentrais chez moi, pris une douche, remis sa culotte et lui envoyais un snap.
Je reçus une réponse ce matin.
- Petite fiotte, amène ton cul.
Un jour, elle décidait qu'elle voulait décider. Je rigolais pendant un moment, mais elle était sérieuse. "Pile ou face" me dit-elle. Je pouvais choisir et lancer la pièce, mais je devais lui montrer. Nous étions en vidéo messenger. Si elle perdait, je pouvais lui demander ce que je voulais, elle ne dirait non à rien. Si elle gagnait, je devais lui obéir.
Je perdis, cela me désorienta un peu, parce qu'un, je n'aimais pas perdre et je me voyais mal obéir, mais j'avais joué le jeu et je devais tenir parole.
Très vite, elle me fit me déshabiller, elle regardait mon sexe, commentait, me faisant me branler, me fit me branler à genoux, arrêter, rester ainsi les mains dans le dos pendant qu'elle commentait et discutait normalement, me faire remettre à me branler, à quatre pattes, en bref, elle s'amusait.
Moi, j'étais excité et j'avais envie de cracher, mais elle m'arrêtait à chaque fois, puis, je ne sais comment, sûrement dû à l'excitation, elle me fit dire que je lui appartenais, que je voulais venir chez elle être son jouet... Je le dis.
- Rhabille-toi, monte dans ta voiture et viens chez moi, je t'envoie l'adresse.
En moins de temps qu'il n'en fallait, j'étais rhabillé, et dans ma voiture à entrer les coordonnées dans le GPS, elle était toujours avec moi en visio.
- Tu bandes toujours ?
- Oui.
- Branle-toi en conduisant.
Ce que je fis sans discuter.
Je sentais que j'allais venir, je lui dis, elle me dit que ce n'était pas son problème, je ralentissais, voire m'arrêtais discrètement par moment, mais elle finit par le remarquer.
- Dirige ton téléphone vers ton pantalon et branle-toi à fond.
Rien que ça, ça aurait pu me faire venir, et je le fis, je finis par venir, ma main était pleine de sperme, mon boxer aussi.
Je finis quelques minutes plus tard par arriver chez elle, elle me dit de venir me présenter devant la porte, elle ouvrit, elle portait un long peignoir noir un peu transparent, sexy, je pouvais devenir une tenue sexy par dessous, elle me regardait, sourit, mon excitation était partie, elle regardait mon entrejambe.
- Retire tes vêtements.
Je les retirais, lorsque je retirais le boxer, j'étais mort de honte entre mon boxer taché et mon sexe qui était devenu plus petit.
Elle sourit.
- Montre-moi fièrement ton boxer.
Je le tendis vers elle, et elle me dit :
- T'es un petit cochon, suis-moi.
Et je la suivais.
Nous étions dans sa buanderie, elle me fit le rincer dans un évier, puis le mit dans sa machine à lessiver.
- Allais, viens petit cochon
Je la suivais, je n'osais pas la regarder dans les yeux tellement j'étais mort de honte, on montait au premier étage, elle ouvrit la porte de sa chambre, elle ouvrit ensuite sa garde-robe et sortit une boîte, elle en avait plusieurs, à la fois, je regardais et je ne voulais pas voir.
Elle se tournait vers moi, Tenait quelque chose en métal que je ne connaissais pas, elle était assise sur le lit et moi debout face à elle.
- Mais les mains derrière la tête et écarte bien les jambes pour me montrer ton petit zizi rikiki.
Elle approchait l'objet, je fis un pas en arrière et son regard se fronça.
- Tu ne bouges pas !
Elle fit passer mon sexe dedans, je me sentais serré et elle le fermait avec une clé.
- Eh bien voilà, ça t'évitera de jouer avec n'importe où, mets-toi à genoux à côté de moi.
Elle venait de me mettre une cage de chasteté, j'étais mort de honte, je me mis à côté à genoux et elle continuait à regarder sa boîte, puis une seconde boîte, elle me mit un collier autour du cou, la situation semblant l'amuser et la satisfaire, elle rajoutait un collier, elle prit des menottes et me m'attachait les mains dans le dos.
- Alors mon petit cochon, on est content d'être ma petite salope ?
- Oui... Dis-je en baissant les yeux.
- Oui, Madame Adeline.
- Oui, Madame Adeline. Dis-je
- Pour me remercier, je te laisse me baiser les pieds.
Ce que je fis, mais très vite elle tirait sur la laisse pour me relever, elle me fit m'asseoir sur ses genoux et caressait mon corps, rien n'y faisait, je n'étais toujours plus excité.
- Bon, il va falloir que je passe à la vitesse supérieure, écarte les jambes.
Je les écartais, mais lorsque je sentis ses doigts approcher de mon anus, je me relevais, elle me fit vite me rassoir et même me coucher sur le ventre, sur ses genoux, elle se mit à assener des gifles sur mes fesses, elle y allait fort m'arrachant quelques cris.
- Tu vas te remettre sur mes genoux et écarter tes jambes, compris ?
- Oui, Madame Adeline.
- Demande-le moi.
- Est-ce que je peux m'asseoir sur tes genoux ?
- Pour ?
- Que tu joues dans mon anus.
- Dans mon petit cul de salope tu dois dire.
- Pour que tu joues dans mon petit cul de salope.
Remis en position, les jambes écartées, elle reprit ce qu'elle avait entrepris, bien que j'offrais de la résistance, je ne sais pas comment, elle réussit à y aller, un doigt, deux doigts... Elle me fit me relever.
- Tu vois le gode jaune dans la boîte, va le prendre.
Elle vit mon air un peu dubitatif et ajouta.
- Mon petit cochon, avec ta bouche, prends le bien en bouche.
Ce que je fis, elle me regardait le gode dans ma bouche, s'approchait, prit son bout et fit des va-et-vient dans ma bouche.
- Je m'en suis servie hier, c'était vraiment bon.
Je sentais que mon corps commençait à vraiment réagir, elle sortit de la chambre quelques instants et revient, avec un flacon de lubrifiant, elle tirait sur la laisse et me mit sur le ventre sur ses genoux à nouveau.
Elle fit couler le lubrifiant entre mes fesses et s'en donnait à coeur joie avec ses doigts.
Elle me fit ensuite me coucher sur le lit, sur le dos, jambes écartées, j'avais envie de bander, j'étais bloqué, ça me gênait, je grimaçais, elle me retirait le gode de la bouche et l'emmenais près de son sexe, qu'elle ne me laissait pas voir, elle le rentrait en elle.
- Je t'utiliserai bien pour lubrifier mes godes.
Elle le ressortit, me le remit en bouche, fit des va-et-vient, elle me faisait la goutte et tout en continuant me dit.
- J'imagine que tu vas me demander de te le mettre dans ton petit cul une fois que je le sors de ta bouche ? Dit-elle en le sortant.
- Mme Adeline, voulez-vous bien le mettre dans mon petit cul de salope.
Et très vite, elle le mit, fit des va-et-vient, me voyait réagir, prenait du plaisir, avec son autre main, elle passait non loin de mon sexe, lui je le sentais grossir, bloqué...
Elle prit un gode plus gros, me le mit en bouche, elle vit que là, je n'étais plus trop sûr, elle souriait, elle prenait plaisir, il finit lui aussi en moi, j'allais exploser, elle finit par s'arrêter, lubrifier à nouveau.
- S'il te plaît, Madame Adeline, je ferai tout ce que tu dis, arrête.
- Mais tu fais déjà tout ce que je dis.
Elle prit un autre objet, je ne le vis pas, je sentais qu'elle appuyait sur mon anus, et il se bloquait.
- On va le garder bien écarté.
Elle me relevait, j'avais du mal à tenir sur mes jambes, ou à reprendre mes idées, elle me retirait la cage de chasteté et m'amenait à la toilette, elle me fit uriner, elle se doutait que depuis le temps j'avais besoin, j'étais humilié qu'elle me tienne mes mains qui étaient attachées et le sexe pour me faire pisser.
Elle me fit ensuite rentrer dans la baignoire, elle mit son téléphone de manière à me filmer, j'étais à genoux, elle me chuchottait ce que je devais dire à l'oreille.
- Madame Adeline, trais moi mon zizi pour que je sorte mon lait.
Et elle se mit à me branler, serrant une fesse puis l'autre de son autre main, les jets sortirent, elle continuait un peu les va-et-viens.
Elle regardait son oeuvre, fit couler l'eau du bain pour faire partir tout mon sperme et me lava.
Lorsque je sortis, elle me remit la cage de chasteté, on redescendit, elle me fit lui embrasser les pieds, caressait mon corps, me laissait aussi comme ça en plan.
- Tu as envie que je te détache ?
- Oui, Mme Adeline.
- Et que feras-tu si je te détache ?
- Ce que tu veux...
- hum j'ai une proposition.
- Oui ?
- Si je te détache, tu me fais la petite vaisselle, tu me sers comme une princesse, et quand tu sens que tu bandes, tu me le dis, j'enlève ton petit bijou et tu te branle à mes pieds, en me disant évidemment que tu aimes être ma petite salope.
- Ok... ça devrait aller...
- J'ai pas fini petit cochon.
- Je t'écoute.
- Quand t'as bien craché, je veux que tu nettoies avec ta langue et te mettes à 4 pattes pour que je te prenne au godemiché.
Son ton était devenu encore plus autoritaire, son regard aussi. Elle se levait et se trouvait face à moi, sa main se plaçait sous mes couilles, les tenants.
- Alors mon petit cochon, qu'en dis-tu ?
- ...
- Oh, on a peur de se faire enculer alors qu'on a pris deux godes et un plug dans le cul ?
Elle me tenait littéralement par les couilles.
- Je suis à tes ordres, Madame Adeline.
- Je préfère ça.
- J'accepte.
Dis-je en commençant à me mettre à genoux, sa main se retirant de mes couilles et lui baisait ensuite les pieds.
- Je suis à ton service.
Elle me détachait les mains, je partis faire sa vaisselle, quelques verres, une assiette...
- De l'eau.
Je lui servis un verre d'eau et lui amenait, elle me fit lui tenir le verre pendant qu'elle buvait.
- Une cigarette.
Je pris une cigarette dans son paquet, lui mis en bouche et l'allumais, je devais tenir le cendrier également.
- Suis-moi.
On allait dans sa petite toilette dans le hall, elle abaissait son string, son sexe étant toujours caché par son peignoir.
- Essuie-moi.
Je pris du papier et je touchais enfin sa chatte, j'essuyais et on sortit, je me ressentais plein d'envie.
Elle montait dans sa chambre et redescendait avec le godemiché, le déposait sur la table.
- Quand t'es prêt, tu me le dis.
- Pas tout de suite, dis-je en regardant l'objet.
- Après ça, j'espère que tu viendras toujours pour être ma petite salope.
- Oui, Madame Adeline.
- Allais branle-toi, j'ai envie de t'enculer.
Elle m'enlevait à nouveau la cage de chasteté, je me mis à genoux et me branlais, temps à autres, elle relevait un pied pour me faire le baiser, elle fit glisser son string qu'elle me mit en bouche, après un long moment je finis par venir, sur ses pieds, sur le sol.
- Allais petit cochon, je ne veux plus voir une goutte !
L'excitation redescendue, je me voyais mal léché, son regard s'était froncé, je me mis à l'oeuvre, lorsque j'eus fini, elle rigolait.
- Il est bon ton sperme ? Je suis sûr que tu aurais voulu que ça soit dans ma bouche !
Je baissais les yeux morts de honte.
- Allais, va me chercher ton joujou.
Je partis chercher la ceinture sur la table, elle me fit l'enfiler, elle me fit me mettre à 4 pattes par terre, lubrifiant sur l'anus, elle retirait délicatement le plus qu'elle plaçait devant moi, elle me lubrifiait à nouveau l'anus et vint devant moi, elle avait retiré son peignoir, elle portait une tenue sexy, laissant presque voir tout son corps.
Le godemiché se balançait devant moi.
- Baise-moi les pieds, petit cochon.
Je m'exécutais.
- Maintenant, je vais t'enculer comme une petite salope, quand tu vas reprendre la route, ton cul sera tellement défoncé et rouge que tu penseras à moi.
Elle tirait sur la laisse, me mit le sexe devant la bouche et le fourrait dedans, elle se retirait et passait derrière moi, lubrifiait encore mon anus et le gode et je la sentis rentrer petit à petit, elle commençait par des vas-et-vient plutôt lent, le faisant sentir passer à travers moi.
Elle me tenait par les cheveux, me disait des mots crus, puis accélérait, gifflait mes fesses, j'en avais larmes aux yeux, elle le vit, elle frappait plus fort, allait plus vite, serrait mes fesses avec ses mains, je finis par avoir des larmes, lorsqu'elle en eut marre, ou plutôt qu'elle n'en peut plus, elle s'arrêtait, me laissait ainsi, je ne bougeais plus, mon cul me brulait, j'avais mal aux genoux...
Elle se remit devant moi, restait là sans bouger, j'embrassais des pieds, elle tirait sur la laisse me faisant me mettre à genoux, s'assit sur le canapé, j'avais devant les yeux ce qui m'avait pénétré.
- Alors mon petit cochon, tu continueras à m'obéir.
- Oui, Madame Adeline, dis-je en regardant sa jambe.
- Regarde-moi dans les yeux.
- Oui, je continuerai à t'obéir.
- C'est bien.
Elle se levait, partit dans la buanderie, revint avec une culotte à elle qu'elle me jetait et montait, redescendit avec mes vêtements et me les lançait.
- Rhabille-toi et dégage.
J'enfilais sa culotte, un peu grande pour moi, mes vêtements et je m'apprêtais à lui dire au revoir.
- Je t'ai dit de dégager.
Alors que j'approchais de la porte, elle arrivait et me dit :
- Tu peux dormir avec ma culotte, demain, si tu veux te faire enculer, reviens et porte-la.
Elle ouvrit la porte, me fit sortir, et referma derrière moi.
Je rentrais chez moi, pris une douche, remis sa culotte et lui envoyais un snap.
Je reçus une réponse ce matin.
- Petite fiotte, amène ton cul.
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