MAMAN EST MORTE (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : MAMAN EST MORTE (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MAMAN EST MORTE (1/2)
Ce matin maman m’a quitté, elle avait 79 ans et avait vécu une vie de none.
Elle m’avait élevé seule, trimant toute sa vie du moins dans ma jeunesse jusqu’au moment où j’ai trouvé une place importante dans une usine comme ingénieur et où je lui ai acheté la petite maison en Bourgogne dans ses vignes lieu de sa naissance et où elle rêvait de revenir finir ses jours.
Je suis né en 1944 le 19 août juste le jour de la libération de Paris.
En ce qui concerne les hommes, je l’ai toujours connu seul, pas de père et pas d’homme, même la moindre aventure ou alors elle a été très discrète.
Deux fois seulement je lui ai demandé qui était mon père, sa réponse a été très ferme, il est mort à la guerre.
Je lui ai même demandé sur quel monument aux morts je pouvais voir son nom, sa réponse a été qu’ils l’ont oublié dans son village, c’est ce qu’elle m’a dit sans jamais me dire le nom de ce village.
Mes demandes se sont arrêtées là, quoiqu’en vieillissant des questions sans réponse sur un homme-mort à la guerre pire que le soldat inconnu m’interpellait.
Lorsque j’étais adolescent, je me suis pris à voir en rêve que ce soldat inconnu sus l’Arc de Triomphe de Paris était mon père avant de déchanter dans ma douzième année d’apprendre par un copain à qui je répondais à sa question sur mon géniteur que ce soldat inconnu avait fait 14 - 18 et non pas 39 - 45.

Après, la cérémonie, où j’étais seul avec le curé et le maire venu assister à l’enterrement d’une de ses administrées, je me suis interrogé alors que j’avais fait passer l’avis de décès et l’heure de l’enterrement pourquoi aucune femme de son âge ayant dû la connaître dans sa jeunesse n’était venue.

Je cherche si maman a laissé un testament la seule chose que je trouve, c’est l’adresse d’un notaire.
Je me rends à l’étude où on me stipule que chez eux aucun testament n’a été déposé au nom de Marie Germain.
Germain est son nom de jeune fille et nom que je porte.
Dans la cave voûtée sous la salle à manger dont je trouve fortuitement la trappe en voulant changer le lino dégradé avant de vendre la maison, je trouve un bric-à-brac. Quelques bouteilles des années 1950 à 1990 années où j’ai acheté la maison sans savoir que cette cave était là et une malle en fer avec un cadenas.
Je la remonte difficilement me demandant si elle pouvait contenir un trésor.
Le trésor de ma mère amassé au fil de sa vie ou par les personnes ayant habité avant elle.
À l’intérieur je retrouve des centaines de dessins de moi étant petit que je lui offrais pour le moindre événement.
Je constate que j’aurais dû être artiste peintre, car le style et le coup de crayon évoluent pour finir par ceux que j’ai dessinés vers mes 12 ans et qui sont de vraies peintures.
Mamam avec sa belle écriture mettait la date derrière chacun d’eux.
Mon thème principal tout au long de ces années était Maman en grand, moi en moyen et papa au loin en deuxième plan.
Dessous ces dessins, je trouve son livret de famille ou l’administration a marqué Julien, fils de sa mère puisque je porte son nom.
Aucune allusion à mon père.
Dans le fond de la malle comme si l’on avait voulu, les cacher des lettres attachées comme le faisaient les jeunes filles dans ces années-là avec un ruban.
La seule différence, c’est que le ruban qui les entoure est noir comme si maman avait voulu mettre un crêpe noir autour de ces documents
Je l’enlève et je m’aperçois qu’il y a deux écritures différentes sur les enveloppes et des numéros identiques. 1 et 1, 2 et 2.
Je prends le numéro 1 que je reconnais être l’écriture de maman.

Lettre N° 1.
Paris 20 juillet 1942.
Claude.
Quelle chance tu as eu de quitter Paris suite à l’invasion des Allemands sur notre ville et surtout depuis que le gouvernement français a décidé de vous coudre du jaune sur la poitrine.
Tu apprendras les malheurs qui sont arrivés à ceux de ta confession, mais j’évite d’en parler, car je crains que mes courriers ne soient contrôlés.
J’étais au ministère, lorsqu’un Allemand dont j’ignore le grade nous à toute réunie.
Trois d’entre nous ont été choisis et j’ai été amené à l’hôtel Majestic rue Kléber.
Dans un premier temps, un bureau m’a été assigné.
J’ai compris que c’était un nouveau général qui prenait les commandes et j’ai été choisi pour être la secrétaire personnelle du numéro deux de la place de Paris.
Je crois qu’il faut que nous soyons franches entre nous, j’ai nettement compris que c’est grâce à mon joli petit cul que ce choix a été fait lorsque j’ai vu qu’ils avaient viré une dénommée Lucienne, grosse à lunettes qui était la responsable des services et surtout une peau de vache avec toutes celles qui étaient plutôt attrayantes qu’elles.
Entre elles, celles qui sont restées la surnommaient la mal-baisée.
En plus du bureau, j’ai été installé dans une chambre que j’aimerais que tu voies.
C’est de là que je t’écris ayant retrouvé un peu d’autonomie.
La salle de bain est magnifique et j’aime prendre des bains chaque fois que je peux.

J’espère que ton voyage, c’est bien passé et que tu es tranquille dans le village que tu voulais rejoindre dans le Tarn où une tante t’héberge.
Raconte-moi !

Une autre chose, avant d’être choisi pour venir dans cet hôtel, j’ai perdu mon pucelage avec Anatole, le fils du garagiste qui est en dessous de mon appartement.
C’est en allant chercher mon pain qu’il m’a apostrophé et qu’il m’a demandé un service d’écriture pour une extension de bail.
À vingt ans, il a appris à démonter des moteurs de voitures et d’autres pièces mécaniques mais lire et écrire, il a oublié.
Dès que je suis entré au lieu de me montrer les papiers, c’est sa bite qu’il a sortie.
Je savais qu’un jour par les temps qui courent je serais confronté à cette situation alors lui ou un autre, je me suis laissé faire.
Lorsqu’il me la mise dans la main, j’ai trouvé ça chaud et doux à caresser.
Le moment qui a été le plus désagréable, c’est quand il m’a embrassé, son hygiène dentaire était loin d’être du niveau de la nôtre.
Tu te souviens qu’a la maison, nous passions des heures à nous laver dans le bac à lessive que nous remplissions d’eau chaude.
C’est là que grace à toi j’ai eu mes premiers émois lorsqu’en me savonnant ta main s’est égaré sur ma fantine que tu appelais mon abricot doré.
La première fois, nous avons arrêtée rapidement de peur des interdits de notre enfance, après quelques jours d’abstinence tes doigts plus ta bouche ont démarré en moi plus de plaisir que la verge d’Anatole au moment où il a déchiré mon hymen m’ayant assis sur le bureau de son père parti livrer une voiture.
Dans nos jeux, c’est toi qui m’as donné nos premiers plaisirs, mais c’est moi qui t’ai imité et qui t’ai procuré chaque fois que nous restions seules les jouissances les plus fortes.
En ce qui concerne Anatole, il restera mon premier homme, mais il est impossible que je retourne dans son bureau, j’ai d’autres vues pour avoir un avenir radieux avec le général qui est fort bel homme.
J’ai hâte de te retrouver pour te serrer dans mes bras.
J’attends ta lettre si celle-ci t’arrive.
C’est signé Marie.

De suite j’ai une interrogation, comment maman peut-elle avoir les lettres qu’elle a écrites et qui ont bien été postées.

Réponse N° 1.
Les cabanes 5 août 1942.
Chère Marie.
J’ai bien reçu ta lettre ce matin chez ma tante qui m’héberge dans sa mercerie.
Anna qui est la demi-sœur de ma mère accepte de me recevoir, car, en fait, elle a été élevée dans la religion catholique et a été mariée avec un bon catholique.
Rien ne rattache cette nièce obligée de venir vivre au soleil après une maladie à ceux qui portent du jaune.
J’arrête là sur ce sujet, mais sache que je suis tranquille malgré un voyage mouvementé.
Moi aussi j’ai perdu mon pucelage sur la route qui m’a conduite ici.
Au café du village près de la ligne de démarcation, une femme voyant que je semblais esseulé et ayant l’habitude de voir des personnes comme moi m’a indiqué une grange où je trouverais une barque qui me permettrait de traverser sans que les soldats surveillant le pont ne me remarquent.
Grâce aux quelques points de repère qu’elle m’a donnés, j’ai pu retrouver cette grange.
La barque était bien là, je l’ai dégagée et j’ai essayé de la tirer jusqu’à l’eau.
Tu sais comme je suis frêle et elle est restée sans bouger.
J’allais repartir quand un chien-loup est venu derrière moi et à grogner en me montrant ses crocs.
J’étais pétrifié lorsque j’ai entendu la voix d’un homme.

• Au pied Dick, bien travaillé, tu en as encore coincé une.
Alors ma belle, on essaye de me voler ma barque sans payer le droit de passage.
• J’ai de l’argent, je vais vous payer, combien demandez-vous pour me faire traverser ?
• Dick, elle est drôle celle-là, du fric, dit lui que je suis le plus riche de la région et que sa seule monnaie d’échange, c’est son joli petit cul.

C’est comme cela que j’ai compris sans aucune garantie que cet homme peu avenant me baise et qu’après risque de se barrer, mais vu que j’avais déchiré mes papiers à Paris avant de partir il m’était impossible de passer par le pont alors j’ai pris le risque.
Si toi tu t’es fait dépuceler sur un coin de table, moi c’est le foin qui me grattait le cul sur lequel il m’a couché et après m’avoir enlevé ma culotte, il s’est couché sur moi et m’a pénétré.
Il était très massif et quand il m’a retourné d’une seule main pour me placer à quatre pattes dans un premier temps, il m’a repris par ma chatte.
Ces allers et retours étaient interminables et duraient jusqu’au moment où il est sorti.
J’étais contente que cela se termine, mais j’ai vite déchanté lorsque j’ai senti qu’il avait décidé à s’attaquer à mon anus aussi vierge que ma fente.
J’ai senti une barre de fer rougie au rouge entré entre mes fesses à me faire hurler.
Dans ma grotte resserrée autour de sa verge, il a vite éjaculé.
Même si j’avais mal au cul, j’ai aimé qu’il me remplisse l’anus, car j’avais peur qu’il ne me remplisse la chatte au risque de me retrouver enceinte.
J’ai attendu dans la grange cachée sous un vieux tracteur, l’homme était parti laissant son chien qui me surveillait.
J’ai entendu des voix d’homme passé parlant certainement en allemand, Dick est sorti et je le voyais sur la devant de la grange leur montrer ses crocs.
Ils ont parlé entre eux et j’ai entendu le nom de Dick prononcé.
La nuit tombée, j’ai vu une ombre entrée sans que le chien réagisse.
C’était le passeur qui revenait.

• Tu as entendu les Allemands cette après-midi, tu vois, mon chien sert à ce qu’ils restent en dehors de la grange, ils le connaissent bien et savent ce que cela coûte aux leurs s’ils passent trop près de lui et tu as été tranquille.
Viens, je suis de parole, je vais te faire traverser, dommage que le temps nous soit compté j’aurais aimé t’en remettre un petit coup.
Tu sais baiser le gros cul de Janine comparé au tient est une vraie sinécure.

Nous avons tiré la barque à l’eau et en quelques minutes nous étions de l’autre côté.
Nous venions d’accoster et j’allais passer près de lui quand il m’a fait m’aplatir.

• Tais-toi, évite de bouger, une patrouille.

Il avait l’ouïe fine, car je n’entendais rien.

• Ils sont passés, puisque tu es à bonne hauteur, suce-moi, je pense que je l’ai bien mérité.

Il avait déjà sorti sa verge et sans que je puisse l’empêcher, je l’ai sucé.
As-tu déjà fait une fellation et avaler le sperme d’un homme ?
Sur le coup il m’a été difficile de tout avaler malgré tout ce qu’il m’avait mis dans le cul, l’après-midi.
Comme toi, j’arrête ici mes aventures, car ma tante m’appelle pour aller manger et après j’irai envoyer ma lettre.
Signé Claude.

Extraordinaire, ce que je viens de découvrir, j’ai l’impression d’être un voyeur dans l’intimité de ma mère et aussi de sa copine dont elle m’a toujours caché l’existence.
Apprendre comment ces deux filles ont été dépucelées après avoir eu des gestes lesbiens entre elles m’ont passionné et malgré ma réticence, je prends la lettre n° 2…

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