Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°972)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°972)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°972)
« Je suis la soumise du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. J’obéirai à tout ce qu’Il exigera de moi sans me poser de question. Je Lui appartiens corps et âme et je Le remercie de s’occuper de mon éducation de soumise. »
Ces mots résonnaient en mon esprit encore et encore, si souvent, durant tout le voyage jusqu’à notre retour car en effet, nous étions donc rentrés en France. J'avais fait le voyage depuis l'aéroport de Lyon St Exupéry jusqu'au Château dans le coffre de la voiture avec laquelle Walter était venu nous chercher. Le Maître avait exigé que dès que les grilles de Ses terres seraient passées, je me dévêtisse, et je devais avoir finie avant que le véhicule ne soit arrêté. Ce fut le Majordome qui ouvrit la porte du coffre, le Châtelain, Lui était déjà arrivé à la grande porte de la bâtisse et s'y engouffra rapidement. Walter me passa mon collier, que le Maître venait certainement de lui confier, y attacha ma laisse, et me fit descendre. Puis le Majordome me fit faire un tour dans le parc pour que je puisse me vider la vessie, avant qu'il ne me raccompagne dans mon Cachot. Je le retrouvai avec plaisir, me sentant de retour chez moi.
- Monsieur le Marquis t'ordonne de te reposer ici le temps qu'Il le décidera. Tu as du être énormément utilisée pour qu'Il daigne te laisser fainéanter ainsi ! lui lança Walter.
Et il se dirigea vers la porte, se retourna, et m'adressa un léger sourire, qui semblait être presque chaleureux, comme s'il me souhaitait un bon retour. Je me couchais dans la panière qui était posée au sol et dans laquelle se trouvait une douce couverture, et je m'endormis très vite, heureuse de me retrouver en ce lieu. Je passais cette fin de journée ainsi que la suivante ainsi, sans que personne ne me sollicite. J’en profitais pour me reposer, comme cela me l'était exigé, et pour réfléchir à tout ce qui c'était passé depuis plus d'un mois. Toutes ces expériences m'avaient amenée sensiblement à changer ma façon de penser et de voir les choses. Je me sentais grandie, prête à toujours plus pour la satisfaction du Maître. Depuis que je m'étais installée définitivement au Château, ma vie était consacrée au Noble, mais j'avais une partie de moi qui raisonnait encore en femme vanille. J'avais la sensation que cette femme vanille avait pratiquement cessé d'exister. Elle n'existait plus que pour s'occuper de ses deux filles. Tout le reste de mon être était entièrement dirigé vers mon statut de soumise, plus rien d'autre ne comptait ou n'existait pour moi que les devoirs qui m'en incombaient. J'étais surprise en quelque sorte, d'avoir pu changer de vision, d'avoir pu tirer un trait sur ma vie vanille aussi facilement. Et paradoxalement, j'étais également surprise de voir à quel point je ne pourrai plus vivre une autre vie que celle qui était aujourd'hui la mienne, et je me demandais comment j'avais pu vivre autrement de si longues années.
Le jour suivant, Walter vint me chercher en même temps que mes sœurs de soumission, lesquelles j’étais si heureuse de retrouver, et je repris très vite les habitudes du Château, la douche froide et le repas pris en commun avec tous les chiens et chiennes du Cheptel, puis les corvées suivant la répartition du Majordome, et enfin nos tâches quotidiennes, suivant nos spécialités professionnelles. Je repris avec bonheur le chemin menant au bureau du Maître. La porte était ouverte, et le Noble n'était pas présent à l'intérieur de la pièce. Je rentrais donc et attendis en position prosternée, mon cul et ma chatte présentés face à la porte. Au bout de quelques minutes, j'entendis Son pas, que j'aurai pu reconnaître au milieu de mille autres. Sans aucun mot, il alla s'installer dans Son confortable fauteuil et commença à travailler, mais rapidement, Il s'arrêta, et posa sur moi un regard Dominateur que je sentais peser sur moi. Sa voix s'éleva, laconique.
- Bonjour Ma chienne. Tu m'as parfaitement satisfait pendant ce long périple. Tu as strictement obéi à tout ce que je t'ai imposé, et c'est-ce que j'attendais de toi et je tien à t’en féliciter… Bien, nous commençons la semaine, mais comme tu le sais, elle sera courte à cause du long week-end que nous allons avoir pour ce pont de mai qui tombe aussi avec la fête des mères. Tu as reçu du courrier pendant notre absence, que je peux lire sans ta permission évidemment. Tes filles arriveront mercredi soir, tu regagneras donc la villa, après le déjeuner mercredi midi, villa que j'ai la bonté de vous laisser à disposition pour que tu puisses vivre en mode vanille pour retrouver tes filles et donc les protéger totalement de notre monde D/s. Tu pourras ainsi préparer leur arrivée. Comme toujours, tu auras toute la nourriture dont tu auras besoin et tu auras en prêt une voiture et tout matériel nécessaire à une vie vanille et familiale. Elles resteront jusqu'au dimanche après-midi. En attendant, je te veux entièrement concentrée sur ton travail et ton devoir à me satisfaire…
Je n'avais pas bougé de tout le temps que dura Son discours. J'étais partagée entre la joie de revoir mes filles après si longtemps, et la tristesse de devoir quitter le Château. Mais je ne dis rien. Il ne m'appartenait pas de choisir. Ma vie ne m'appartenait plus. Je n'eus pas longtemps le temps de réfléchir, car Il claqua des doigts, et je me dirigeai à quatre pattes jusqu'à Lui. Il avait déjà écarté les jambes et défait sa ceinture. Je m'agenouillai pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe de son sous-vêtement. Sa noble verge était déjà bien dressée, longue, épaisse, et son gland violacé bien décalotté. Je m’humidifiai les lèvres et commença par déposer des baisers de vénération tout le long de Sa hampe et sur Ses bourses bien remplies qui ne demandaient qu'à se vider. Puis doucement, je fis le chemin inverse avec ma langue, léchant le gland comme je l'aurai fait d'une glace, avec gourmandise et envie. Alors que je le faisais entrer dans ma bouche chaude, humide et accueillante, une de mes mains le prit à la base de Son sexe et je commençais à le branler doucement d'une main, tandis que de l'autre main je me stabilisais et que je le suçais avec une grande douceur, mais très vite j'accélérais mes mouvements…
Alors que Sa respiration s'accélérait de plus en plus, ma main descendit sur Ses couilles pour les malaxer, et ma bouche s'avança jusqu'à la garde du long vit, le gardant quelques secondes en gorge profonde. Et alors que j'allais revenir vers le gland, le Maître décida de prendre les rennes et appuya sur ma tête afin que je reste dans la même position, ne tardant pas à me faire monter les larmes aux yeux quand je commençai à manquer d'air. Alors Il fit aller et venir ma tête comme Il le voulait autour de Sa hampe, m'imposant Son rythme tout en me laissant quelques fractions de secondes reprendre ma respiration. Cela dura plusieurs minutes, quand il se dégagea brusquement, me faisant comprendre qu’il voulait aussi profiter de mon arrière-train, alors je me mis au plus vite en levrette prosternée, cul et intimité bien relevés et exposés à son regard Dominant. Alors, il se déplaça derrière moi, dévisageant ce qui lui appartient, posant ses yeux sur les courbes de mon corps... je sentis qu’il écarta mes cuisses, cracha sur ma raie et écarta mes fesses, poussa un premier doigt, puis un autre dans mon anus. Je me raidis un moment, sur l’instant... je me cambrais, ça faisait un peu mal mais c’était si bon !
Puis, je me détendis, gémis en silence ayant appris à n’exprimer aucun mot, aucun son malgré la petite douleur que je ressentais dans mon cul dilaté ... Alors Il poussa... les doigts m'écartèrent, m'ouvrirent... Il les retira, je sentis autre chose... son gland ! Il poussa... poussa... et me pénétra sans autre préambule ! Je retins mes cris mélangés de plaisirs et douleurs qui ne sortirent donc pas de ma bouche ! Il était en moi et me posséda virilement... Il allait et venait entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me firent comprendre qu'il ne me baisait pas seulement, mais qu'il prit réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être, comme il en avait l’habitude pour mon plus grand bonheur. Il exigea que je mette mes bras le long de mon corps et ainsi il put se saisir de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il me fessait allègrement. Les claques venaient s'ajouter à la sodomie comme un cadeau imposé mais si délicieux... J'imaginais que mon cul allait en porter les traces rougies pendant un petit moment... et mes gémissements silencieux mais mentaux se mêlèrent. Gémissements silencieux sous les coups qui s'abattent, gémissements silencieux aussi à chaque coup de reins qui enfonça dans mon anus sa queue si longue, si épaisse et dure !
Après cette fulgurante sodomie profonde telle une saillie digne de ce nom, il décida de ne pas se vider dans mes entrailles mais préféra revenir dans ma bouche afin de se soulager, alors il se retira de mon cul revint face à moi, me fit mettre rapidement agenouillée et il enfonça sa verge dressée au zénith au plus profond qu'Il put et se vida sans tarder au fond de ma gorge en de longs jets épais et puissants, que je m'empressais d'avaler pour ne pas en laisser perdre une goutte de ce divin nectar. Lorsqu'Il se fut entièrement vidé, je le gardai en bouche. Le Châtelain avait relâché ma tête. Je le léchais longuement afin d'être sûre qu'Il soit totalement nettoyé. Il m'attrapa par les cheveux pour faire reculer ma tête et Il essuya Son noble sexe sur mes cheveux pour en retirer toute trace de ma salive.
- Bien, maintenant, va travailler. Finis tous les dossiers afin que les travaux puissent commencer dans les plus brefs délais !
Je gagnai la petite pièce d'à-côté à quatre pattes et ne me redressai que pour m'asseoir sur ma chaise spéciale. Mais je vis qu'elle avait été modifiée. Il n'y avait pas un seul gode vertical fixé sur le plat de cette chaise, mais deux avec pour ce deuxième fraichement installé une forme incurvée permettant une double pénétration de mes deux orifices intimes. Et je m'aidais donc de mes mains pour les faire pénétrer le premier dans mon cul et le second dans ma chatte déjà humide par cette perspective de double pénétration insolite. Nous travaillâmes ainsi chacun de notre côté de longues heures. Alors que je venais de finaliser le dernier dossier, et que j'avais fait parvenir par mail à chaque service concerné les derniers détails, je me demandais comment prévenir le Maître que j'avais terminé. Et comme s'Il m'avait entendu penser, Il claqua au même moment des doigts. Je me relevais de la chaise, et retint de justesse un soupir de plaisir en sentant les godes sortir de leurs cavernes, et je me précipitais à Ses pieds ne voulant pas le faire attendre.
- As-tu fini chienne ? Remue le bout de tes doigts si c'est effectivement le cas, ne bouge pas si c'est le contraire. (Il m'observa attentivement et je bougeais légèrement.) Bien ! Je ne t'avais exigé aucun délai, donc je ne t'aurai pas sanctionné, mais c'est-ce que je voulais ! Les travaux devraient pouvoir commencer dès lundi, et devrait pouvoir être terminés un mois après... Ceci me satisfait grandement !
Et Il sembla se perdre dans Ses pensées, oubliant ma présence. Le gong de l'horloge, sonnant midi, sembla le sortir de Sa torpeur.
- Bien, allons déjeuner ! Tu restes dans cette position pendant cinq minutes après mon départ, et ensuite, seulement, tu pourras descendre aux cuisines pour manger, à moins que Marie n'ait besoin de toi pour autre chose.
Et Il quitta rapidement la pièce. Je comptais silencieusement les secondes jusqu'à atteindre le temps exigé… Puis je me dirigeais vers les escaliers pour rejoindre Marie, la sévère cuisinière...
(A suivre …)
« Je suis la soumise du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. J’obéirai à tout ce qu’Il exigera de moi sans me poser de question. Je Lui appartiens corps et âme et je Le remercie de s’occuper de mon éducation de soumise. »
Ces mots résonnaient en mon esprit encore et encore, si souvent, durant tout le voyage jusqu’à notre retour car en effet, nous étions donc rentrés en France. J'avais fait le voyage depuis l'aéroport de Lyon St Exupéry jusqu'au Château dans le coffre de la voiture avec laquelle Walter était venu nous chercher. Le Maître avait exigé que dès que les grilles de Ses terres seraient passées, je me dévêtisse, et je devais avoir finie avant que le véhicule ne soit arrêté. Ce fut le Majordome qui ouvrit la porte du coffre, le Châtelain, Lui était déjà arrivé à la grande porte de la bâtisse et s'y engouffra rapidement. Walter me passa mon collier, que le Maître venait certainement de lui confier, y attacha ma laisse, et me fit descendre. Puis le Majordome me fit faire un tour dans le parc pour que je puisse me vider la vessie, avant qu'il ne me raccompagne dans mon Cachot. Je le retrouvai avec plaisir, me sentant de retour chez moi.
- Monsieur le Marquis t'ordonne de te reposer ici le temps qu'Il le décidera. Tu as du être énormément utilisée pour qu'Il daigne te laisser fainéanter ainsi ! lui lança Walter.
Et il se dirigea vers la porte, se retourna, et m'adressa un léger sourire, qui semblait être presque chaleureux, comme s'il me souhaitait un bon retour. Je me couchais dans la panière qui était posée au sol et dans laquelle se trouvait une douce couverture, et je m'endormis très vite, heureuse de me retrouver en ce lieu. Je passais cette fin de journée ainsi que la suivante ainsi, sans que personne ne me sollicite. J’en profitais pour me reposer, comme cela me l'était exigé, et pour réfléchir à tout ce qui c'était passé depuis plus d'un mois. Toutes ces expériences m'avaient amenée sensiblement à changer ma façon de penser et de voir les choses. Je me sentais grandie, prête à toujours plus pour la satisfaction du Maître. Depuis que je m'étais installée définitivement au Château, ma vie était consacrée au Noble, mais j'avais une partie de moi qui raisonnait encore en femme vanille. J'avais la sensation que cette femme vanille avait pratiquement cessé d'exister. Elle n'existait plus que pour s'occuper de ses deux filles. Tout le reste de mon être était entièrement dirigé vers mon statut de soumise, plus rien d'autre ne comptait ou n'existait pour moi que les devoirs qui m'en incombaient. J'étais surprise en quelque sorte, d'avoir pu changer de vision, d'avoir pu tirer un trait sur ma vie vanille aussi facilement. Et paradoxalement, j'étais également surprise de voir à quel point je ne pourrai plus vivre une autre vie que celle qui était aujourd'hui la mienne, et je me demandais comment j'avais pu vivre autrement de si longues années.
Le jour suivant, Walter vint me chercher en même temps que mes sœurs de soumission, lesquelles j’étais si heureuse de retrouver, et je repris très vite les habitudes du Château, la douche froide et le repas pris en commun avec tous les chiens et chiennes du Cheptel, puis les corvées suivant la répartition du Majordome, et enfin nos tâches quotidiennes, suivant nos spécialités professionnelles. Je repris avec bonheur le chemin menant au bureau du Maître. La porte était ouverte, et le Noble n'était pas présent à l'intérieur de la pièce. Je rentrais donc et attendis en position prosternée, mon cul et ma chatte présentés face à la porte. Au bout de quelques minutes, j'entendis Son pas, que j'aurai pu reconnaître au milieu de mille autres. Sans aucun mot, il alla s'installer dans Son confortable fauteuil et commença à travailler, mais rapidement, Il s'arrêta, et posa sur moi un regard Dominateur que je sentais peser sur moi. Sa voix s'éleva, laconique.
- Bonjour Ma chienne. Tu m'as parfaitement satisfait pendant ce long périple. Tu as strictement obéi à tout ce que je t'ai imposé, et c'est-ce que j'attendais de toi et je tien à t’en féliciter… Bien, nous commençons la semaine, mais comme tu le sais, elle sera courte à cause du long week-end que nous allons avoir pour ce pont de mai qui tombe aussi avec la fête des mères. Tu as reçu du courrier pendant notre absence, que je peux lire sans ta permission évidemment. Tes filles arriveront mercredi soir, tu regagneras donc la villa, après le déjeuner mercredi midi, villa que j'ai la bonté de vous laisser à disposition pour que tu puisses vivre en mode vanille pour retrouver tes filles et donc les protéger totalement de notre monde D/s. Tu pourras ainsi préparer leur arrivée. Comme toujours, tu auras toute la nourriture dont tu auras besoin et tu auras en prêt une voiture et tout matériel nécessaire à une vie vanille et familiale. Elles resteront jusqu'au dimanche après-midi. En attendant, je te veux entièrement concentrée sur ton travail et ton devoir à me satisfaire…
Je n'avais pas bougé de tout le temps que dura Son discours. J'étais partagée entre la joie de revoir mes filles après si longtemps, et la tristesse de devoir quitter le Château. Mais je ne dis rien. Il ne m'appartenait pas de choisir. Ma vie ne m'appartenait plus. Je n'eus pas longtemps le temps de réfléchir, car Il claqua des doigts, et je me dirigeai à quatre pattes jusqu'à Lui. Il avait déjà écarté les jambes et défait sa ceinture. Je m'agenouillai pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe de son sous-vêtement. Sa noble verge était déjà bien dressée, longue, épaisse, et son gland violacé bien décalotté. Je m’humidifiai les lèvres et commença par déposer des baisers de vénération tout le long de Sa hampe et sur Ses bourses bien remplies qui ne demandaient qu'à se vider. Puis doucement, je fis le chemin inverse avec ma langue, léchant le gland comme je l'aurai fait d'une glace, avec gourmandise et envie. Alors que je le faisais entrer dans ma bouche chaude, humide et accueillante, une de mes mains le prit à la base de Son sexe et je commençais à le branler doucement d'une main, tandis que de l'autre main je me stabilisais et que je le suçais avec une grande douceur, mais très vite j'accélérais mes mouvements…
Alors que Sa respiration s'accélérait de plus en plus, ma main descendit sur Ses couilles pour les malaxer, et ma bouche s'avança jusqu'à la garde du long vit, le gardant quelques secondes en gorge profonde. Et alors que j'allais revenir vers le gland, le Maître décida de prendre les rennes et appuya sur ma tête afin que je reste dans la même position, ne tardant pas à me faire monter les larmes aux yeux quand je commençai à manquer d'air. Alors Il fit aller et venir ma tête comme Il le voulait autour de Sa hampe, m'imposant Son rythme tout en me laissant quelques fractions de secondes reprendre ma respiration. Cela dura plusieurs minutes, quand il se dégagea brusquement, me faisant comprendre qu’il voulait aussi profiter de mon arrière-train, alors je me mis au plus vite en levrette prosternée, cul et intimité bien relevés et exposés à son regard Dominant. Alors, il se déplaça derrière moi, dévisageant ce qui lui appartient, posant ses yeux sur les courbes de mon corps... je sentis qu’il écarta mes cuisses, cracha sur ma raie et écarta mes fesses, poussa un premier doigt, puis un autre dans mon anus. Je me raidis un moment, sur l’instant... je me cambrais, ça faisait un peu mal mais c’était si bon !
Puis, je me détendis, gémis en silence ayant appris à n’exprimer aucun mot, aucun son malgré la petite douleur que je ressentais dans mon cul dilaté ... Alors Il poussa... les doigts m'écartèrent, m'ouvrirent... Il les retira, je sentis autre chose... son gland ! Il poussa... poussa... et me pénétra sans autre préambule ! Je retins mes cris mélangés de plaisirs et douleurs qui ne sortirent donc pas de ma bouche ! Il était en moi et me posséda virilement... Il allait et venait entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me firent comprendre qu'il ne me baisait pas seulement, mais qu'il prit réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être, comme il en avait l’habitude pour mon plus grand bonheur. Il exigea que je mette mes bras le long de mon corps et ainsi il put se saisir de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il me fessait allègrement. Les claques venaient s'ajouter à la sodomie comme un cadeau imposé mais si délicieux... J'imaginais que mon cul allait en porter les traces rougies pendant un petit moment... et mes gémissements silencieux mais mentaux se mêlèrent. Gémissements silencieux sous les coups qui s'abattent, gémissements silencieux aussi à chaque coup de reins qui enfonça dans mon anus sa queue si longue, si épaisse et dure !
Après cette fulgurante sodomie profonde telle une saillie digne de ce nom, il décida de ne pas se vider dans mes entrailles mais préféra revenir dans ma bouche afin de se soulager, alors il se retira de mon cul revint face à moi, me fit mettre rapidement agenouillée et il enfonça sa verge dressée au zénith au plus profond qu'Il put et se vida sans tarder au fond de ma gorge en de longs jets épais et puissants, que je m'empressais d'avaler pour ne pas en laisser perdre une goutte de ce divin nectar. Lorsqu'Il se fut entièrement vidé, je le gardai en bouche. Le Châtelain avait relâché ma tête. Je le léchais longuement afin d'être sûre qu'Il soit totalement nettoyé. Il m'attrapa par les cheveux pour faire reculer ma tête et Il essuya Son noble sexe sur mes cheveux pour en retirer toute trace de ma salive.
- Bien, maintenant, va travailler. Finis tous les dossiers afin que les travaux puissent commencer dans les plus brefs délais !
Je gagnai la petite pièce d'à-côté à quatre pattes et ne me redressai que pour m'asseoir sur ma chaise spéciale. Mais je vis qu'elle avait été modifiée. Il n'y avait pas un seul gode vertical fixé sur le plat de cette chaise, mais deux avec pour ce deuxième fraichement installé une forme incurvée permettant une double pénétration de mes deux orifices intimes. Et je m'aidais donc de mes mains pour les faire pénétrer le premier dans mon cul et le second dans ma chatte déjà humide par cette perspective de double pénétration insolite. Nous travaillâmes ainsi chacun de notre côté de longues heures. Alors que je venais de finaliser le dernier dossier, et que j'avais fait parvenir par mail à chaque service concerné les derniers détails, je me demandais comment prévenir le Maître que j'avais terminé. Et comme s'Il m'avait entendu penser, Il claqua au même moment des doigts. Je me relevais de la chaise, et retint de justesse un soupir de plaisir en sentant les godes sortir de leurs cavernes, et je me précipitais à Ses pieds ne voulant pas le faire attendre.
- As-tu fini chienne ? Remue le bout de tes doigts si c'est effectivement le cas, ne bouge pas si c'est le contraire. (Il m'observa attentivement et je bougeais légèrement.) Bien ! Je ne t'avais exigé aucun délai, donc je ne t'aurai pas sanctionné, mais c'est-ce que je voulais ! Les travaux devraient pouvoir commencer dès lundi, et devrait pouvoir être terminés un mois après... Ceci me satisfait grandement !
Et Il sembla se perdre dans Ses pensées, oubliant ma présence. Le gong de l'horloge, sonnant midi, sembla le sortir de Sa torpeur.
- Bien, allons déjeuner ! Tu restes dans cette position pendant cinq minutes après mon départ, et ensuite, seulement, tu pourras descendre aux cuisines pour manger, à moins que Marie n'ait besoin de toi pour autre chose.
Et Il quitta rapidement la pièce. Je comptais silencieusement les secondes jusqu'à atteindre le temps exigé… Puis je me dirigeais vers les escaliers pour rejoindre Marie, la sévère cuisinière...
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