Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°956)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°956)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°956) –
Et il s’éloigna en souriant. Je mangeais avec appétit. Je ne m’étais pas rendue compte que j’étais affamée ! Et alors que je pensais réfléchir à tout ce qui s’était passé aujourd’hui, je m’endormis rapidement sans en avoir le temps, mais j’étais si sereine, si heureuse car le Maître était fier de moi, j’avais pu le satisfaire… Le lendemain matin, je me réveillais à la lueur du jour. Je ne savais pas ce que je devais faire. Ou plutôt si, je le savais, je devais me reposer jusqu’au moment où je serais sollicitée. Mais je me sentais horriblement mal à l’aise. Il y avait très longtemps que je n’avais pas dormi dans un vrai lit, seule. Et même si c’était un ordre, je ne me sentais pas à ma place. Heureusement la porte de la chambre s’ouvrit bientôt, laissant apparaître la cuisinière dont je ne connaissais pas encore le nom. Sans un mot, elle avança tête baissée et déposa un plateau sur la table de chevet, puis repartit, cette fois-ci à quatre pattes, n’étant plus encombrée. Je sortais rapidement du lit et m’approchais du plateau, sur lequel il y avait une gamelle (je pensais alors avec soulagement que j’allais pouvoir reprendre ma place !) et une feuille de papier plié.
« Je te laisse te restaurer et te rafraichir. Tu trouveras une salle d’eau derrière la porte à gauche de la chambre. L’eau y est froide bien entendu ! Dans une heure, je passe te prendre. Je suppose que tu es assez reposée, donc je veux donc trouver une chienne à sa place. »
Je déposais donc ma gamelle à terre, et me mettais prosternée devant. Avant de commencer à manger, je remerciais intérieurement le Maître Vénéré de me permettre de vivre au quotidien mon état de chienne. Je vidais rapidement le récipient, faisant attention de ne rien renverser, le sol de la chambre étant couvert de moquette, et prenant soin de le nettoyer consciencieusement de ma langue. Puis je me douchais, ne m’attardant sous le jet que le temps nécessaire. Puis je revins dans la chambre toujours dénudée, me prosternais autant que possible en son centre, cul face à la porte à la disposition de qui entrerait. Je restais donc ainsi immobile, cul nu et relevé, pendant une demi-heure du moins je supposais ce laps de temps ainsi, car j’avais regardé l’heure en lisant le message au moment de me mettre en position… Après donc une trentaine de minutes passée, la porte finit par s’ouvrir…
- Bien la chienne. Tu as attendu plus longtemps que prévu, mais je vois que tu as tenu la position exigée. En même temps, je n’ai pas à me justifier, et une soumise est faite pour attendre le bon vouloir du Maître, que ce soit celui qui la soumet habituellement ou un autre le faisant occasionnellement, dans la position qu’il aura exigée. J’ai laissé ta laisse dans le donjon, en prévision de notre matinée. Donc tu me suis, sans te laisser distancer, mais sans relever de trop la tête, il te faut rester à ta place…
Tout le temps que Wangdak parlait, j’étais restée cul tourné vers lui. Quand il se tut, il tourna plusieurs fois autour de moi. Il passait parfois sa main caressante sur ma peau nue, légèrement, me faisant frémir. Il disparut derrière moi et les attouchements s’arrêtèrent puis il n’y eut plus un mouvement, plus un son pendant plusieurs minutes. Jusqu’à ce que je sente sa main s’abattre sur mes fesses, sèchement, rapidement. Cela ne dura pas longtemps mais assez pour que je sente mon derrière chauffé sérieusement. Et sans un mot, il se dirigea vers la porte et claqua des doigts pour que je le suive… Arrivée au donjon, je vis un parcours bien installé sur presque toute la surface de la pièce. Et dans un angle, il y avait toujours le tapis de course.
- Tu vas commencer par une demi-heure de tapis pour t’échauffer, et ensuite tu essaieras de faire le parcours que j’ai fait installer pendant que tu mangeais et te préparais.
Pendant que je courrai sur le tapis, je recevais régulièrement des coups de fouet, visiblement l’instrument de prédilection du Maître Tibétain. Le sang devait autant s’échauffer que le corps. Et ce dernier l’était bel et bien. La chaleur venait autant de l’exercice physique que de l’excitation qui me gagnait sous les coups qui pleuvaient sur mon dos, mais aussi par le fait d’être traitée comme une vraie chienne, même le tapis portait une marque de fabrication canine. Je sentais ma chatte s’humidifier de plus en plus. Le parcours comprenait dix-sept obstacles. D’abord il y avait six sauts de haie, une bascule, un saut de cerceau, une palissade, un nouveau saut de haie, une poutre d’équilibre, un slalom, un saut de mur, une passerelle, un tunnel rigide et un tunnel souple, un dernier saut de haie, et pour finir une table de présentation sur laquelle je devais sauter et me mettre prosternée. Certains obstacles devaient être passés deux fois, dans des sens différents. La première fois, je dus faire le parcours en entier. Je fis tomber plusieurs haies, je tombais de la poutre et fis tomber des piquets du slalom. Chaque erreur me valut dix coups de fouet, attachée à la croix de Saint André. Ayant repéré les endroits où j’avais du mal, Wangdak me les fit travailler un par un. Quand la cloche du déjeuner sonna, j’arrivai à passer tous les obstacles.
- Bien, maintenant que tu maîtrises à peu près chaque épreuve, la prochaine que je pourrai t’entraîner, tu feras le parcours en boucle, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus la moindre hésitation, que tes mouvements soient fluides, et on travaillera sur le rythme. Je vais rejoindre Monsieur le Marquis que je ne veux pas faire attendre. Toi, tu vas aller au jardin et te nettoyer au jet d’eau pour enlever la sueur qui te recouvre. Mon vieil ami Edouard veut t’emmener au marché BDSM cette après-midi, je veux qu’Il retrouve Sa chienne propre ! Quand tu auras fini, tu iras à la cuisine.
Pendant tout le temps où j’étais à la disposition de Wangdak, Monsieur le Marquis d’Evans profitait de son côté des soumis de notre hôte, et en particulier de Sangmo. Il voulait vérifier par lui-même que la petite chienne de son ami était consciente que, même si elle était la compagne vanille du Maître de ces lieux, elle restait avant tout la soumise du Maître qui la soumettait, et par conséquent qu’elle devait se soumettre avec abnégation à tous ceux à qui Wangdak la prêterait et peu importe ce que ceux-ci allaient lui imposer… Quand elle se présenta à Sa chambre, après qu’Il l’ait faite appeler, elle semblait timide et réservée, mais aussi douce et docile. Pendant pratiquement vingt-quatre heures, Il la soumit. Elle fut bondagée, subit le fouet, la badine, le martinet, elle fut suspendue et pénétrée abondamment par tous ses orifices. Pour s’assurer qu’elle n’avait plus aucune pudeur, Il la força à boire beaucoup d’eau, puis Il l’attacha aux grilles d’une cage, avec un seau placé entre ses jambes, jusqu’à ce qu’elle pisse devant Lui. Il la prit donc maintes fois, comme déjà dit, par tous ses orifices, attachée et les yeux bandés, dans différentes positions des plus classiques au plus lubriques. Il fut cependant étonné de découvrir que son ami n’avait jamais utilisé sur elle, la cire de bougie. Il décida doc de faire découvrir à la jeune chienne ce chaud plaisir D/s. Il lui banda les yeux et l’attacha à une table gynécologique, les jambes bien écartées, la bâillonna, et alluma une bougie.
- Je sais que je ne suis pas le Maître qui te soumet quotidiennement, que tu peux penser que tu cours peut-être un risque parce que je ne te connais pas, que je ne sais pas ta manière de réagir. Mais il faut me faire confiance, faire confiance à ma grande expérience... Wangdak ne m’aurait pas donné plein pouvoir sur toi, si tu ne le pouvais pas. Donc si tu ne peux me donner ta confiance, place-là en celui qui te soumet et t’aime !
Comme Sangmo avait la bouche obstruée, elle inclina la tête pour faire comprendre à Monsieur le Marquis qu’elle s’en remettait entre Ses mains volontairement et de bon gré. Il savait parfaitement ce qu’Il faisait. Sachant que chaque personne pouvait réagir différemment à la chaleur, Il plaça la bougie relativement haut, et la descendit progressivement, ce qui mit en confiance la soumise. À une certaine hauteur, la chaleur de la cire commença à la faire frémir. Le Châtelain arrêta la descente de la bougie lorsque la cire se mit à la faire sursauter et grimacer. Il répéta cette opération sur différentes parties de son corps, sur ses seins, ses tétons, son ventre, son pubis et ses cuisses. Pour une première fois, Il ne voulut pas s’approcher de sa chatte, partie du corps à la peau si sensible. Il fit une gangue de cire sur chacun de ses seins, Il en recouvrit toutes les parties qui avaient été testées, entièrement. La femelle se tordait dans ses liens, mais après avoir passé une main entre ses lèvres intimes, Il s’aperçut qu’elle était très excitée, trempée d’excitation et ses gémissements étouffés à ce geste lui confirmèrent qu’elle prenait beaucoup de plaisirs à ce qu’Il lui faisait subir. Mu par une intuition, Il fit tomber délicatement une goutte de cire sur son clitoris palpitant. Elle hurla son plaisir malgré son bâillon, aussi de douleurs certainement un peu, mais surtout de jouissance. Il profita de cet état second pour laisser tomber de la cire sur ses lèvres, comme s’Il les scellait. Le résultat ne se fit attendre, la soumise, prise de sublimes spasmes ressentis comme des décharges électriques jouissives, laissa éclater un orgasme puissant sans discontinuer, et même plusieurs minutes après qu’Il ait reposé la bougie, elle continuait à se tortiller de plaisirs. Il la laissa récupérer tranquillement. Puis Il la détacha et lui ôta le bandeau des yeux. Mais Sangmo était tellement partie loin, qu’elle les garda fermés pendant un moment, le corps tremblant, des larmes s’échappant de ses paupières closes. Monsieur le Marquis l’aida à s’asseoir sur la table et prit place à côté d’elle.
- Pourquoi pleures-tu ? T’ai-je fait mal ? (Il connaissait la réponse, mais Il voulait entendre cette réponse de sa bouche.)
- Je suis désolée, Monsieur le Marquis, de m’être ainsi laissée aller. Non, Vous ne m’avez pas fait mal. Mais je n’avais jamais ressenti ces émotions dues à l’excitation mélangée à la légère douleur, tant que Vous restiez sur les zones que Vous aviez définies. Mais quand Vous avez fait tomber la cire directement sur mon sexe, la douleur a été plus intense, mais surtout intensément plus jouissive également, je suis obligée de le reconnaître. Je n’avais jamais joui sous ce genre de douleur, étant plus habituée à jouir, quand j’y suis autorisée, sous la douleur du fouet et je trouve cela assez perturbant, c’est une douleur totalement différente et nouvelle pour moi, une savoureuse douleur si excitante, Monsieur le Marquis …
Elle avait parlé d’une traite, presque sans reprendre son souffle, et les quelques larmes qui avaient coulé jusque-là se transformèrent en déluge ! Monsieur Le Marquis la prit dans Ses bras pour la laisser se soulager. Quand elle se fut calmée, Il prit une roulette à dents et lui enleva ses gangues de cire.
- Cet instrument peut aussi être très jouissif, mais je pense que tu as eu assez d’émotions pour aujourd’hui. Je te laisse regagner ta niche, repose-toi au moins une heure, je me charge de prévenir Wangdak.
Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !...
(A suivre...)
Et il s’éloigna en souriant. Je mangeais avec appétit. Je ne m’étais pas rendue compte que j’étais affamée ! Et alors que je pensais réfléchir à tout ce qui s’était passé aujourd’hui, je m’endormis rapidement sans en avoir le temps, mais j’étais si sereine, si heureuse car le Maître était fier de moi, j’avais pu le satisfaire… Le lendemain matin, je me réveillais à la lueur du jour. Je ne savais pas ce que je devais faire. Ou plutôt si, je le savais, je devais me reposer jusqu’au moment où je serais sollicitée. Mais je me sentais horriblement mal à l’aise. Il y avait très longtemps que je n’avais pas dormi dans un vrai lit, seule. Et même si c’était un ordre, je ne me sentais pas à ma place. Heureusement la porte de la chambre s’ouvrit bientôt, laissant apparaître la cuisinière dont je ne connaissais pas encore le nom. Sans un mot, elle avança tête baissée et déposa un plateau sur la table de chevet, puis repartit, cette fois-ci à quatre pattes, n’étant plus encombrée. Je sortais rapidement du lit et m’approchais du plateau, sur lequel il y avait une gamelle (je pensais alors avec soulagement que j’allais pouvoir reprendre ma place !) et une feuille de papier plié.
« Je te laisse te restaurer et te rafraichir. Tu trouveras une salle d’eau derrière la porte à gauche de la chambre. L’eau y est froide bien entendu ! Dans une heure, je passe te prendre. Je suppose que tu es assez reposée, donc je veux donc trouver une chienne à sa place. »
Je déposais donc ma gamelle à terre, et me mettais prosternée devant. Avant de commencer à manger, je remerciais intérieurement le Maître Vénéré de me permettre de vivre au quotidien mon état de chienne. Je vidais rapidement le récipient, faisant attention de ne rien renverser, le sol de la chambre étant couvert de moquette, et prenant soin de le nettoyer consciencieusement de ma langue. Puis je me douchais, ne m’attardant sous le jet que le temps nécessaire. Puis je revins dans la chambre toujours dénudée, me prosternais autant que possible en son centre, cul face à la porte à la disposition de qui entrerait. Je restais donc ainsi immobile, cul nu et relevé, pendant une demi-heure du moins je supposais ce laps de temps ainsi, car j’avais regardé l’heure en lisant le message au moment de me mettre en position… Après donc une trentaine de minutes passée, la porte finit par s’ouvrir…
- Bien la chienne. Tu as attendu plus longtemps que prévu, mais je vois que tu as tenu la position exigée. En même temps, je n’ai pas à me justifier, et une soumise est faite pour attendre le bon vouloir du Maître, que ce soit celui qui la soumet habituellement ou un autre le faisant occasionnellement, dans la position qu’il aura exigée. J’ai laissé ta laisse dans le donjon, en prévision de notre matinée. Donc tu me suis, sans te laisser distancer, mais sans relever de trop la tête, il te faut rester à ta place…
Tout le temps que Wangdak parlait, j’étais restée cul tourné vers lui. Quand il se tut, il tourna plusieurs fois autour de moi. Il passait parfois sa main caressante sur ma peau nue, légèrement, me faisant frémir. Il disparut derrière moi et les attouchements s’arrêtèrent puis il n’y eut plus un mouvement, plus un son pendant plusieurs minutes. Jusqu’à ce que je sente sa main s’abattre sur mes fesses, sèchement, rapidement. Cela ne dura pas longtemps mais assez pour que je sente mon derrière chauffé sérieusement. Et sans un mot, il se dirigea vers la porte et claqua des doigts pour que je le suive… Arrivée au donjon, je vis un parcours bien installé sur presque toute la surface de la pièce. Et dans un angle, il y avait toujours le tapis de course.
- Tu vas commencer par une demi-heure de tapis pour t’échauffer, et ensuite tu essaieras de faire le parcours que j’ai fait installer pendant que tu mangeais et te préparais.
Pendant que je courrai sur le tapis, je recevais régulièrement des coups de fouet, visiblement l’instrument de prédilection du Maître Tibétain. Le sang devait autant s’échauffer que le corps. Et ce dernier l’était bel et bien. La chaleur venait autant de l’exercice physique que de l’excitation qui me gagnait sous les coups qui pleuvaient sur mon dos, mais aussi par le fait d’être traitée comme une vraie chienne, même le tapis portait une marque de fabrication canine. Je sentais ma chatte s’humidifier de plus en plus. Le parcours comprenait dix-sept obstacles. D’abord il y avait six sauts de haie, une bascule, un saut de cerceau, une palissade, un nouveau saut de haie, une poutre d’équilibre, un slalom, un saut de mur, une passerelle, un tunnel rigide et un tunnel souple, un dernier saut de haie, et pour finir une table de présentation sur laquelle je devais sauter et me mettre prosternée. Certains obstacles devaient être passés deux fois, dans des sens différents. La première fois, je dus faire le parcours en entier. Je fis tomber plusieurs haies, je tombais de la poutre et fis tomber des piquets du slalom. Chaque erreur me valut dix coups de fouet, attachée à la croix de Saint André. Ayant repéré les endroits où j’avais du mal, Wangdak me les fit travailler un par un. Quand la cloche du déjeuner sonna, j’arrivai à passer tous les obstacles.
- Bien, maintenant que tu maîtrises à peu près chaque épreuve, la prochaine que je pourrai t’entraîner, tu feras le parcours en boucle, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus la moindre hésitation, que tes mouvements soient fluides, et on travaillera sur le rythme. Je vais rejoindre Monsieur le Marquis que je ne veux pas faire attendre. Toi, tu vas aller au jardin et te nettoyer au jet d’eau pour enlever la sueur qui te recouvre. Mon vieil ami Edouard veut t’emmener au marché BDSM cette après-midi, je veux qu’Il retrouve Sa chienne propre ! Quand tu auras fini, tu iras à la cuisine.
Pendant tout le temps où j’étais à la disposition de Wangdak, Monsieur le Marquis d’Evans profitait de son côté des soumis de notre hôte, et en particulier de Sangmo. Il voulait vérifier par lui-même que la petite chienne de son ami était consciente que, même si elle était la compagne vanille du Maître de ces lieux, elle restait avant tout la soumise du Maître qui la soumettait, et par conséquent qu’elle devait se soumettre avec abnégation à tous ceux à qui Wangdak la prêterait et peu importe ce que ceux-ci allaient lui imposer… Quand elle se présenta à Sa chambre, après qu’Il l’ait faite appeler, elle semblait timide et réservée, mais aussi douce et docile. Pendant pratiquement vingt-quatre heures, Il la soumit. Elle fut bondagée, subit le fouet, la badine, le martinet, elle fut suspendue et pénétrée abondamment par tous ses orifices. Pour s’assurer qu’elle n’avait plus aucune pudeur, Il la força à boire beaucoup d’eau, puis Il l’attacha aux grilles d’une cage, avec un seau placé entre ses jambes, jusqu’à ce qu’elle pisse devant Lui. Il la prit donc maintes fois, comme déjà dit, par tous ses orifices, attachée et les yeux bandés, dans différentes positions des plus classiques au plus lubriques. Il fut cependant étonné de découvrir que son ami n’avait jamais utilisé sur elle, la cire de bougie. Il décida doc de faire découvrir à la jeune chienne ce chaud plaisir D/s. Il lui banda les yeux et l’attacha à une table gynécologique, les jambes bien écartées, la bâillonna, et alluma une bougie.
- Je sais que je ne suis pas le Maître qui te soumet quotidiennement, que tu peux penser que tu cours peut-être un risque parce que je ne te connais pas, que je ne sais pas ta manière de réagir. Mais il faut me faire confiance, faire confiance à ma grande expérience... Wangdak ne m’aurait pas donné plein pouvoir sur toi, si tu ne le pouvais pas. Donc si tu ne peux me donner ta confiance, place-là en celui qui te soumet et t’aime !
Comme Sangmo avait la bouche obstruée, elle inclina la tête pour faire comprendre à Monsieur le Marquis qu’elle s’en remettait entre Ses mains volontairement et de bon gré. Il savait parfaitement ce qu’Il faisait. Sachant que chaque personne pouvait réagir différemment à la chaleur, Il plaça la bougie relativement haut, et la descendit progressivement, ce qui mit en confiance la soumise. À une certaine hauteur, la chaleur de la cire commença à la faire frémir. Le Châtelain arrêta la descente de la bougie lorsque la cire se mit à la faire sursauter et grimacer. Il répéta cette opération sur différentes parties de son corps, sur ses seins, ses tétons, son ventre, son pubis et ses cuisses. Pour une première fois, Il ne voulut pas s’approcher de sa chatte, partie du corps à la peau si sensible. Il fit une gangue de cire sur chacun de ses seins, Il en recouvrit toutes les parties qui avaient été testées, entièrement. La femelle se tordait dans ses liens, mais après avoir passé une main entre ses lèvres intimes, Il s’aperçut qu’elle était très excitée, trempée d’excitation et ses gémissements étouffés à ce geste lui confirmèrent qu’elle prenait beaucoup de plaisirs à ce qu’Il lui faisait subir. Mu par une intuition, Il fit tomber délicatement une goutte de cire sur son clitoris palpitant. Elle hurla son plaisir malgré son bâillon, aussi de douleurs certainement un peu, mais surtout de jouissance. Il profita de cet état second pour laisser tomber de la cire sur ses lèvres, comme s’Il les scellait. Le résultat ne se fit attendre, la soumise, prise de sublimes spasmes ressentis comme des décharges électriques jouissives, laissa éclater un orgasme puissant sans discontinuer, et même plusieurs minutes après qu’Il ait reposé la bougie, elle continuait à se tortiller de plaisirs. Il la laissa récupérer tranquillement. Puis Il la détacha et lui ôta le bandeau des yeux. Mais Sangmo était tellement partie loin, qu’elle les garda fermés pendant un moment, le corps tremblant, des larmes s’échappant de ses paupières closes. Monsieur le Marquis l’aida à s’asseoir sur la table et prit place à côté d’elle.
- Pourquoi pleures-tu ? T’ai-je fait mal ? (Il connaissait la réponse, mais Il voulait entendre cette réponse de sa bouche.)
- Je suis désolée, Monsieur le Marquis, de m’être ainsi laissée aller. Non, Vous ne m’avez pas fait mal. Mais je n’avais jamais ressenti ces émotions dues à l’excitation mélangée à la légère douleur, tant que Vous restiez sur les zones que Vous aviez définies. Mais quand Vous avez fait tomber la cire directement sur mon sexe, la douleur a été plus intense, mais surtout intensément plus jouissive également, je suis obligée de le reconnaître. Je n’avais jamais joui sous ce genre de douleur, étant plus habituée à jouir, quand j’y suis autorisée, sous la douleur du fouet et je trouve cela assez perturbant, c’est une douleur totalement différente et nouvelle pour moi, une savoureuse douleur si excitante, Monsieur le Marquis …
Elle avait parlé d’une traite, presque sans reprendre son souffle, et les quelques larmes qui avaient coulé jusque-là se transformèrent en déluge ! Monsieur Le Marquis la prit dans Ses bras pour la laisser se soulager. Quand elle se fut calmée, Il prit une roulette à dents et lui enleva ses gangues de cire.
- Cet instrument peut aussi être très jouissif, mais je pense que tu as eu assez d’émotions pour aujourd’hui. Je te laisse regagner ta niche, repose-toi au moins une heure, je me charge de prévenir Wangdak.
Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !...
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