Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°965)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°965)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°965) -
J’y grimpais donc, renifla et fit un tour sur moi-même et me coucha en chien de fusil, comme l’aurait fait l’animal…
Le lendemain matin, le Maître se réveilla tôt, plus tôt même que Wangdak. Il avait beaucoup de route à faire pour atteindre l’aéroport et remplir toutes les formalités administratives pour que Ses nouveaux chiens puissent partir en France rapidement, avec tous les objets qu’Il avait acheté au marché. Il partit sans avoir dérangé personne pour un éventuel déjeuner, et me déposa dans le quartier des chiens, m'attachant à une niche vide. Quand le tibétain vint libérer ses chiens pour qu’ils aillent remplir leurs tâches quotidiennes, il ne fut pas surpris de me trouver parmi eux.
- Je me doutais que mon ami voudrait partir tôt ce matin, mais je ne peux pas m’occuper de toi tout de suite. Mais j’ai une idée !
Il me traina dans la salle à manger où il devait passer un certain temps. Il exigea que je me tienne à genoux, jambes écartées, main sur la tête. Il quitta la pièce et revint un quart d’heure plus tard avec quelque chose d’assez imposant, sur roulette, mais couverte par un drap, ce qui fit que je ne pouvais pas savoir ce que c’était. Il déplaça une table réglable en hauteur qui se trouvait dans un coin de la pièce et la plaça en son centre. Il exigea que je monte dessus et que je me mette en levrette. Il me banda les yeux. Il appliqua des plaques métalliques sur mes chevilles, qu’il fixa à la table, idem pour les poignets. Il déplaça la chose roulante derrière moi et en enleva le drap. Il y avait en dessous une ‘sexe-machine’ avec deux godes, longs et épais fixés sur des tiges métalliques pouvant se mouvoir en des vas et viens réglables. Il en positionna un devant ma chatte, et devant ma rondelle. Il les fit pénétrer en moi l’un après l’autre, réglant la profondeur et l’angle, afin qu’ils me pénètrent le plus profondément possible, sans toutefois que ce ne soit trop douloureux. La machine avait plusieurs programmes. Il en lança un. À intervalle régulier, les mouvements changeaient. Quand l’un rentrait, l’autre sortait, parfois l’un, l’autre ou les deux se mettaient soient à vibrer, soit à se mettre à tourner autour de leur axe, soit l’un après l’autre, soit ensemble. Et pour finir d’agrémenter le tout, il plaça à la verticale un magic wand qu’il plaça contre mon clitoris.
- A chaque fois que tu jouiras, je noterai une séance de vingt coups de fouet. À toi de voir si tu préfères jouir et subir le fouet, ou si tu préfères continuer ton entrainement sans avoir été sanctionnée avant…
Il s’installa pour prendre son petit déjeuner. La table où je me tenais était placée en face de lui. Il avait pris un bloc note et un stylo à portée de main pour noter le nombre d’orgasmes que je pourrai éventuellement avoir. Il activa les appareils grâce à une télécommande, et se fit servir. Il prit son temps pour manger, il mit une bonne demi-heure. Puis après, il alla chercher des dossiers et se mit à travailler à la même place dès que son repas fut débarrassé et la table nettoyée. J’utilisais toutes les techniques que je connaissais pour contrôler ma respiration, essayer de contenir les montées de plaisir qui venaient par vagues successives de plus en plus rapprochées. Mais alors que j’arrivai à lutter plus ou moins bien, il appuya sur sa télécommande et tout fut plus intense, les mouvements s’accéléraient, les rotations et les vibrations plus rapides… Et alors que cela faisait une heure que je tenais tant bien que mal, je ne pus retenir un violent orgasme foudroyant, qui dura de très longues minutes où je ne pouvais retenir des longs cris puissants de jouissance, même après que Wangdak eut stoppé et retirer les appareils, j’avais encore des spasmes jouissifs sur toute mon échine. Et quand il m’effleura du bout des doigts mes lèvres intimes, je jouis une seconde fois en hurlant de plaisir de nouveau tellement l’excitation de mon sexe gorgé et gonflé de sang était à son paroxysme. Je sentais ma cyprine couler avec abondance sur mes cuisses…
- Ah je savais bien, la chienne, que même une soumise MDE devait avoir ses limites ! Je m’étais juré de te faire plier avant votre départ ! Ce sera donc quarante coups de fouet, et après on passe à l’entraînement. Enfin, ne te traumatise pas trop, avec le traitement que je t’ai infligé, je ne connais personne qui n’aurait pas joui ne serait-ce qu’une seule fois. Monsieur le Marquis a de quoi être vraiment fier de toi !
Il me détacha, m’enleva le bandeau qui me couvrait toujours les yeux, ce qui m’éblouit quelques secondes, puis il prit ma laisse et me conduisit au donjon. Il attacha mes poignets avec des anneaux qui pendaient au bout de chaines fixées au plafond et les régla de manière à ce que j’ai les bras très écartés et étirés, et que mes pieds touchent à peine le sol.
- Evidemment, je ne veux pas entendre le moindre son, à part le décompte des coups !
Les coups tombèrent, sèchement, rapidement, au point qu’entre la douleur et la vitesse j’avais du mal à tenir le compte sans en sauter. Je serrais les dents, mais les coups étaient vraiment durs et douloureux ! Et sans l’éducation que j’avais reçue au Château, je n’aurai pas pu ne pas crier sous la morsure du fouet du tibétain… Il ne restait que peu de temps pour la séance d’entrainement. Mais était-ce parce que nous devions partir le lendemain, il fut plus sévère et intransigeant que les fois d’avant. Cette fois-ci, ce fut la badine que mon corps sentit régulièrement pour donner la cadence. Les deux heures passèrent rapidement, mais furent éreintantes ! Wangdak m’envoya prendre une douche, froide, tandis qu’il allait déjeuner, me recommandant d’aller laper ma gamelle dans la cuisine dès que j’aurai fini de me laver, et précisant qu’ensuite, il me sortait, en accord avec le Châtelain. Cela m’intrigua grandement, je me demandais ce qui allait m’attendre, mais je ne trainais pas pour autant et après un passage rapide mais efficace dans la salle d’eau, je me dirigeais vers la cuisine. Zao fit tomber ma gamelle au sol, me la renversant à moitié. Elle n’avait visiblement pas apprécié les coups de fouet de la veille et se vengeait. Mais je ne dis rien et vidait ma gamelle et léchait le sol de ma langue…
A peine eussè-je fini que Wangdak arriva et m’emmena avec lui sans un mot, ni un regard pour la soumise cuisinière. Après quelques temps de route, où j’étais dans le coffre nue avec mon collier et ma laisse, donc je me doutais que ce ne serait pas à la secrétaire que l’on ferait appel, nous nous arrêtâmes dans une petite ruelle et pénétrions dans un immeuble par une porte de service. Nous montâmes tout en haut, et entrâmes dans une salle qui faisait tout l’étage. Des petits boxes étaient répartis tout autour d’une scène qui se trouvait en plein milieu. Les lumières étaient tamisées, d’épais rideaux empêchaient la lumière d’entrer. Les murs étaient noirs, le plafond et les canapés étaient rouges. Wangdak me conduisit jusqu’à un box où se trouvaient deux hommes. Je vis rapidement qu’il y avait beaucoup de couples, ou groupes, avec des soumis et des soumises, nus, utilisés ou non. A écouter la discussion des trois hommes, nous étions là pour signer un contrat de vente, et pour faire baisser le prix, Wangdak leur avait proposé de mettre deux heures à leur disposition une chienne de qualité…. Un des deux hommes héla une des personnes présentes pour veiller à ce que personne ne manque de rien. Il lui parla bas, et je ne compris pas ce qu’il demandait. Je restais près de Wangdak, qui discutait avec passion, qui avait exigé que je reste à quatre pattes. La personne revint avec une sorte de caisse dont les parois s’enlevaient visiblement facilement. Ils posèrent le fond sur la table posée devant nous et m’y firent mettre toujours en quadrupédie. Le bout de mes doigts arrivait juste au bord des planches, et mes jambes dépassaient…
Les trois hommes plaquèrent une paroi derrière moi, contre mon cul, et à l’air que je sentais dessus, je compris qu’il y avait une ouverture à cet endroit. Une autre fut placée devant moi. Le haut pivotait permettant que je passe ma tête dans une autre ouverture et qui se rabattait autour de mon cou, ne me laissant pas beaucoup de possibilités de mouvement. Puis les deux cotés furent mis également, ainsi qu’une plaque fermant la boite. Et on me banda les yeux, un bâillon à anneau me maintenant la bouche grande ouverte et des bouchons dans les oreilles. J’attendis un certain temps ainsi sans qu’il ne se passe rien pour moi. Je supposais qu’ils continuaient à discuter de la vente. Mais subitement, une queue vint se ficher dans ma bouche et une dans ma chatte. Et je me fis ramoner un long moment, et régulièrement les bites changeaient de place. Mon cul fut aussi occupé. Ne pouvant pas fermer la bouche, de la bave et du sperme en coulaient, et j’en sentais également mélanger à ma mouille sur l’intérieur de mes cuisses. Cela dura une bonne heure. On se vidait en moi dans mes trois orifices, je n’étais plus que trois trous utilisés pour éjaculer…, Devoir tenir une immobilité parfaite, mais forcée, commençait à me tétaniser le corps, quand on me libéra de ma boîte. Il restait encore du temps, alors les trois hommes s’assirent côte à côte sur le canapé. Je dus m’empaler sur celui du milieu, et branler les deux autres, dos à eux et face à la scène, où un couple était en train de baiser un soumis chien, la femme avec un gode ceinture dans son cul, et l’homme dans sa bouche… Les trois hommes changeaient de place dès que l’un d’eux éjaculait dans ma grotte dégoulinante. J’étais très excitée par le spectacle et ce que je subissais depuis un bon moment. Mais je restais frustrée car à aucun moment on ne m’autorisa à jouir.
- C’est bon, on vous fait le rabais demandé, et même je vais l’augmenter ! Vous avez de la chance de posséder une si belle chienne, tellement salope, et si bonne suceuse !
Wangdak sourit, mais ne dit pas que je ne lui appartenais pas. Il m’accorda le droit de me coucher à ses pieds le temps qu’il finisse de signer les papiers et le chèque qui scella la vente, puis nous partîmes, au moment où la soumise sur scène eut le droit de jouir et hurla son orgasme. Au moment où la voiture rentra sur le terrain, celle du Maître arriva également et ce fut lui qui me fit descendre du coffre.
- C’est bon tout est réglé, mes biens partiront demain matin, et nous nous prendrons un vol demain après-midi.
- Si Vous le voulez, je me charge de faire emmener Votre chargement du matin, comme ça, Vous pourrez être tranquille jusqu’à ce que ce soit l’heure pour Vous de partir.
- J’accepte avec plaisir ! La journée a été longue, et je pense que j’apprécierai de pouvoir me reposer demain matin. D’ailleurs si Vous le voulez bien, je laisserai ma chienne avec vos chiens, pour la nuit, à moins que vous ne vouliez l’utiliser…- Pas de soucis, elle a une niche de prête ! Voulez-Vous que nous prévenions la cuisinière maintenant qu’elle part demain également ?
- Non pas avant qu’elle ne doive retourner dans le quartier des chiens, elle risquerait de saboter son service exprès.
- Très bien. Vous avez raison, alors allons diner, parce que j’ai une faim de loup !
Le Maître saisit ma laisse, et je les accompagnais dans la salle à manger. Après avoir dévoré la gamelle que l’on me posa sous la table, je suçais tour à tour les deux Dominants, ayant là un merveilleux dessert… Quand ce fut l’heure de rejoindre les niches, ce fut Monsieur le Marquis qui annonça à Zao qu’elle prenait l’avion le lendemain pour un séjour à durée indéterminée au Château. La soumise blêmit mais ne dit rien, surtout que Wangdak rajouta que c’était sa punition pour avoir manqué de respect à leur invité de marque, et que finalement, ce n’était pas tant que cela une sanction, si on considérait qu’elle devrait n’en revenir que meilleure soumise. Puis tout le monde se sépara pour se reposer avant de commencer de nouvelles aventures…
(A suivre …)
J’y grimpais donc, renifla et fit un tour sur moi-même et me coucha en chien de fusil, comme l’aurait fait l’animal…
Le lendemain matin, le Maître se réveilla tôt, plus tôt même que Wangdak. Il avait beaucoup de route à faire pour atteindre l’aéroport et remplir toutes les formalités administratives pour que Ses nouveaux chiens puissent partir en France rapidement, avec tous les objets qu’Il avait acheté au marché. Il partit sans avoir dérangé personne pour un éventuel déjeuner, et me déposa dans le quartier des chiens, m'attachant à une niche vide. Quand le tibétain vint libérer ses chiens pour qu’ils aillent remplir leurs tâches quotidiennes, il ne fut pas surpris de me trouver parmi eux.
- Je me doutais que mon ami voudrait partir tôt ce matin, mais je ne peux pas m’occuper de toi tout de suite. Mais j’ai une idée !
Il me traina dans la salle à manger où il devait passer un certain temps. Il exigea que je me tienne à genoux, jambes écartées, main sur la tête. Il quitta la pièce et revint un quart d’heure plus tard avec quelque chose d’assez imposant, sur roulette, mais couverte par un drap, ce qui fit que je ne pouvais pas savoir ce que c’était. Il déplaça une table réglable en hauteur qui se trouvait dans un coin de la pièce et la plaça en son centre. Il exigea que je monte dessus et que je me mette en levrette. Il me banda les yeux. Il appliqua des plaques métalliques sur mes chevilles, qu’il fixa à la table, idem pour les poignets. Il déplaça la chose roulante derrière moi et en enleva le drap. Il y avait en dessous une ‘sexe-machine’ avec deux godes, longs et épais fixés sur des tiges métalliques pouvant se mouvoir en des vas et viens réglables. Il en positionna un devant ma chatte, et devant ma rondelle. Il les fit pénétrer en moi l’un après l’autre, réglant la profondeur et l’angle, afin qu’ils me pénètrent le plus profondément possible, sans toutefois que ce ne soit trop douloureux. La machine avait plusieurs programmes. Il en lança un. À intervalle régulier, les mouvements changeaient. Quand l’un rentrait, l’autre sortait, parfois l’un, l’autre ou les deux se mettaient soient à vibrer, soit à se mettre à tourner autour de leur axe, soit l’un après l’autre, soit ensemble. Et pour finir d’agrémenter le tout, il plaça à la verticale un magic wand qu’il plaça contre mon clitoris.
- A chaque fois que tu jouiras, je noterai une séance de vingt coups de fouet. À toi de voir si tu préfères jouir et subir le fouet, ou si tu préfères continuer ton entrainement sans avoir été sanctionnée avant…
Il s’installa pour prendre son petit déjeuner. La table où je me tenais était placée en face de lui. Il avait pris un bloc note et un stylo à portée de main pour noter le nombre d’orgasmes que je pourrai éventuellement avoir. Il activa les appareils grâce à une télécommande, et se fit servir. Il prit son temps pour manger, il mit une bonne demi-heure. Puis après, il alla chercher des dossiers et se mit à travailler à la même place dès que son repas fut débarrassé et la table nettoyée. J’utilisais toutes les techniques que je connaissais pour contrôler ma respiration, essayer de contenir les montées de plaisir qui venaient par vagues successives de plus en plus rapprochées. Mais alors que j’arrivai à lutter plus ou moins bien, il appuya sur sa télécommande et tout fut plus intense, les mouvements s’accéléraient, les rotations et les vibrations plus rapides… Et alors que cela faisait une heure que je tenais tant bien que mal, je ne pus retenir un violent orgasme foudroyant, qui dura de très longues minutes où je ne pouvais retenir des longs cris puissants de jouissance, même après que Wangdak eut stoppé et retirer les appareils, j’avais encore des spasmes jouissifs sur toute mon échine. Et quand il m’effleura du bout des doigts mes lèvres intimes, je jouis une seconde fois en hurlant de plaisir de nouveau tellement l’excitation de mon sexe gorgé et gonflé de sang était à son paroxysme. Je sentais ma cyprine couler avec abondance sur mes cuisses…
- Ah je savais bien, la chienne, que même une soumise MDE devait avoir ses limites ! Je m’étais juré de te faire plier avant votre départ ! Ce sera donc quarante coups de fouet, et après on passe à l’entraînement. Enfin, ne te traumatise pas trop, avec le traitement que je t’ai infligé, je ne connais personne qui n’aurait pas joui ne serait-ce qu’une seule fois. Monsieur le Marquis a de quoi être vraiment fier de toi !
Il me détacha, m’enleva le bandeau qui me couvrait toujours les yeux, ce qui m’éblouit quelques secondes, puis il prit ma laisse et me conduisit au donjon. Il attacha mes poignets avec des anneaux qui pendaient au bout de chaines fixées au plafond et les régla de manière à ce que j’ai les bras très écartés et étirés, et que mes pieds touchent à peine le sol.
- Evidemment, je ne veux pas entendre le moindre son, à part le décompte des coups !
Les coups tombèrent, sèchement, rapidement, au point qu’entre la douleur et la vitesse j’avais du mal à tenir le compte sans en sauter. Je serrais les dents, mais les coups étaient vraiment durs et douloureux ! Et sans l’éducation que j’avais reçue au Château, je n’aurai pas pu ne pas crier sous la morsure du fouet du tibétain… Il ne restait que peu de temps pour la séance d’entrainement. Mais était-ce parce que nous devions partir le lendemain, il fut plus sévère et intransigeant que les fois d’avant. Cette fois-ci, ce fut la badine que mon corps sentit régulièrement pour donner la cadence. Les deux heures passèrent rapidement, mais furent éreintantes ! Wangdak m’envoya prendre une douche, froide, tandis qu’il allait déjeuner, me recommandant d’aller laper ma gamelle dans la cuisine dès que j’aurai fini de me laver, et précisant qu’ensuite, il me sortait, en accord avec le Châtelain. Cela m’intrigua grandement, je me demandais ce qui allait m’attendre, mais je ne trainais pas pour autant et après un passage rapide mais efficace dans la salle d’eau, je me dirigeais vers la cuisine. Zao fit tomber ma gamelle au sol, me la renversant à moitié. Elle n’avait visiblement pas apprécié les coups de fouet de la veille et se vengeait. Mais je ne dis rien et vidait ma gamelle et léchait le sol de ma langue…
A peine eussè-je fini que Wangdak arriva et m’emmena avec lui sans un mot, ni un regard pour la soumise cuisinière. Après quelques temps de route, où j’étais dans le coffre nue avec mon collier et ma laisse, donc je me doutais que ce ne serait pas à la secrétaire que l’on ferait appel, nous nous arrêtâmes dans une petite ruelle et pénétrions dans un immeuble par une porte de service. Nous montâmes tout en haut, et entrâmes dans une salle qui faisait tout l’étage. Des petits boxes étaient répartis tout autour d’une scène qui se trouvait en plein milieu. Les lumières étaient tamisées, d’épais rideaux empêchaient la lumière d’entrer. Les murs étaient noirs, le plafond et les canapés étaient rouges. Wangdak me conduisit jusqu’à un box où se trouvaient deux hommes. Je vis rapidement qu’il y avait beaucoup de couples, ou groupes, avec des soumis et des soumises, nus, utilisés ou non. A écouter la discussion des trois hommes, nous étions là pour signer un contrat de vente, et pour faire baisser le prix, Wangdak leur avait proposé de mettre deux heures à leur disposition une chienne de qualité…. Un des deux hommes héla une des personnes présentes pour veiller à ce que personne ne manque de rien. Il lui parla bas, et je ne compris pas ce qu’il demandait. Je restais près de Wangdak, qui discutait avec passion, qui avait exigé que je reste à quatre pattes. La personne revint avec une sorte de caisse dont les parois s’enlevaient visiblement facilement. Ils posèrent le fond sur la table posée devant nous et m’y firent mettre toujours en quadrupédie. Le bout de mes doigts arrivait juste au bord des planches, et mes jambes dépassaient…
Les trois hommes plaquèrent une paroi derrière moi, contre mon cul, et à l’air que je sentais dessus, je compris qu’il y avait une ouverture à cet endroit. Une autre fut placée devant moi. Le haut pivotait permettant que je passe ma tête dans une autre ouverture et qui se rabattait autour de mon cou, ne me laissant pas beaucoup de possibilités de mouvement. Puis les deux cotés furent mis également, ainsi qu’une plaque fermant la boite. Et on me banda les yeux, un bâillon à anneau me maintenant la bouche grande ouverte et des bouchons dans les oreilles. J’attendis un certain temps ainsi sans qu’il ne se passe rien pour moi. Je supposais qu’ils continuaient à discuter de la vente. Mais subitement, une queue vint se ficher dans ma bouche et une dans ma chatte. Et je me fis ramoner un long moment, et régulièrement les bites changeaient de place. Mon cul fut aussi occupé. Ne pouvant pas fermer la bouche, de la bave et du sperme en coulaient, et j’en sentais également mélanger à ma mouille sur l’intérieur de mes cuisses. Cela dura une bonne heure. On se vidait en moi dans mes trois orifices, je n’étais plus que trois trous utilisés pour éjaculer…, Devoir tenir une immobilité parfaite, mais forcée, commençait à me tétaniser le corps, quand on me libéra de ma boîte. Il restait encore du temps, alors les trois hommes s’assirent côte à côte sur le canapé. Je dus m’empaler sur celui du milieu, et branler les deux autres, dos à eux et face à la scène, où un couple était en train de baiser un soumis chien, la femme avec un gode ceinture dans son cul, et l’homme dans sa bouche… Les trois hommes changeaient de place dès que l’un d’eux éjaculait dans ma grotte dégoulinante. J’étais très excitée par le spectacle et ce que je subissais depuis un bon moment. Mais je restais frustrée car à aucun moment on ne m’autorisa à jouir.
- C’est bon, on vous fait le rabais demandé, et même je vais l’augmenter ! Vous avez de la chance de posséder une si belle chienne, tellement salope, et si bonne suceuse !
Wangdak sourit, mais ne dit pas que je ne lui appartenais pas. Il m’accorda le droit de me coucher à ses pieds le temps qu’il finisse de signer les papiers et le chèque qui scella la vente, puis nous partîmes, au moment où la soumise sur scène eut le droit de jouir et hurla son orgasme. Au moment où la voiture rentra sur le terrain, celle du Maître arriva également et ce fut lui qui me fit descendre du coffre.
- C’est bon tout est réglé, mes biens partiront demain matin, et nous nous prendrons un vol demain après-midi.
- Si Vous le voulez, je me charge de faire emmener Votre chargement du matin, comme ça, Vous pourrez être tranquille jusqu’à ce que ce soit l’heure pour Vous de partir.
- J’accepte avec plaisir ! La journée a été longue, et je pense que j’apprécierai de pouvoir me reposer demain matin. D’ailleurs si Vous le voulez bien, je laisserai ma chienne avec vos chiens, pour la nuit, à moins que vous ne vouliez l’utiliser…- Pas de soucis, elle a une niche de prête ! Voulez-Vous que nous prévenions la cuisinière maintenant qu’elle part demain également ?
- Non pas avant qu’elle ne doive retourner dans le quartier des chiens, elle risquerait de saboter son service exprès.
- Très bien. Vous avez raison, alors allons diner, parce que j’ai une faim de loup !
Le Maître saisit ma laisse, et je les accompagnais dans la salle à manger. Après avoir dévoré la gamelle que l’on me posa sous la table, je suçais tour à tour les deux Dominants, ayant là un merveilleux dessert… Quand ce fut l’heure de rejoindre les niches, ce fut Monsieur le Marquis qui annonça à Zao qu’elle prenait l’avion le lendemain pour un séjour à durée indéterminée au Château. La soumise blêmit mais ne dit rien, surtout que Wangdak rajouta que c’était sa punition pour avoir manqué de respect à leur invité de marque, et que finalement, ce n’était pas tant que cela une sanction, si on considérait qu’elle devrait n’en revenir que meilleure soumise. Puis tout le monde se sépara pour se reposer avant de commencer de nouvelles aventures…
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