Marion au Château – (suite de l'épisode N°821)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château – (suite de l'épisode N°821) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode N°821)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°821) –
- Bien alors nous ferons en sorte que cela soit possible ! Pour le moment, n’en parle pas à ton mari, tes supérieurs directs n’étant pas au courant évidemment ! Et maintenant, il va être l’heure de déjeuner ! Je vais te détacher, je t’invite au restaurant !

Je me demandais où j’allais pouvoir l’amener ! Ayant passé beaucoup de temps sans travail, je n’avais pas l’habitude de fréquenter d’autres restaurants que les cafétérias ou autres modestes restaurants peu chers. Mais Monsieur le Marquis interrompit mes questionnements.

- Allons dans ta chambre et montre-moi ta garde-robe !

Nous sommes donc montés à l’étage, moi à quatre pattes tenue en laisse derrière Lui, montant chaque marche des escaliers doucement en quadrupédie jusqu’à ma chambre. Toutes les deux marches environ, je reçu une délicieuse petite tape sur les fesses afin de me faire avancer, ce qui me fit mouiller de plaisir ! Une fois dans ma chambre, cela me fit un effet bizarre de faire entrer un autre homme que mon mari ici, et qui plus est le Maître ! En ouvrant la porte, nous étions de suite au pied du lit. Le Noble qui tenait ma laisse tira sur celle-ci pour me positionner face au lit, plaqué au montant du pied, les seins écrasés sur le bois, la tête seule en dépassant.

- Ouvre grand la bouche ! (Il me fixa de longues minutes ainsi agenouillée.) - Humm un jour, je baiserai cette sublime bouche dans cette position ! Mais là, nous n’avons pas le temps, nous devons être au restaurant dans trois quarts d’heure ! Alors voyons ce que tu vas mettre…
Et après avoir inspecté tout ce que je possédais, Il retira de la penderie une robe rouge, avec un profond décolleté, bordé de noir entre les deux seins, cette robe m’arrivant légèrement au-dessus du genou. C’était la robe que je mettais pour les soirées salsa. Je me demandais en la voyant si le Châtelain dansait cette danse… Il sortit également un ensemble de lingerie rouge en dentelle. Cela m’étonnait d’avoir droit de porter des sous-vêtements. C’était rare dans le monde D/s ! Mais évidemment je ne fis aucune remarque, je me contentais de me laisser guider. Sur ordre de Monsieur le Marquis, je m’habillais devant Lui, n’ayant plus aucun droit à une quelconque pudeur, honte ou intimité.

- En route ! Je veux te faire une surprise, je vais donc te bander les yeux pour que tu ne saches rien du lieu où je te mène.

Le Noble me banda donc les yeux et me guida jusqu’à Sa voiture. Au moment de m’asseoir, je Le sentis en train de relever ma jupe, mon shorty descendit sur mes chevilles et Il me fit asseoir sur un plug assez épais et long. Celui-ci s’introduit facilement dans mon anus car il était préenduit de gel lubrifiant, ce qui me donna une agréable sensation, en effet je me sentis bien remplie par mon cul encombré et me fait mouiller d’excitation également par le fait d’avoir les yeux bandés... La route qu’Il prit était cahoteuse, et je sentais le plug de plus en plus enfoncé dans mon cul, le comblant totalement. Et le trajet dura, comme l’avait-il annoncé, un bon trois quart d’heures ! Régulièrement, une main inquisitrice se glissait sur ma jambe gauche, remontait vers mon entrejambes et me forçait à bien écarter les cuisses par de petites claques. Puis cette main me caressait du bout des doigts mes lèvres intimes me provoquant des frissons tout le long de mon échine, surtout quand Il me doigtait franchement la chatte, triturant au passage mon clito si réceptif à ce genre de savoureux traitement. Mon bas-ventre en était véritablement excité, ce qui n’échappait pas au Maître :
- Humm, j’aurai peut-être du prévoir une serviette pour que tu ne fasses pas de tâches sur le cuir du fauteuil ! dit-il d’une voix froide.

Je me sentais mal ! Je ne pouvais contrôler mes sécrétions vaginales dues à mon excitation, et au ressenti de Ses attouchements, je ne pouvais pas ne pas être excitée ! J’essayais de contracter tous mes muscles pour couler le moins possible, mais Il s’acharnait délicieusement par Ses doigts inquisiteurs via son doigtage profond et lent, ne me facilitant ainsi pas la tâche à essayer de peu couler ! Je n’avais pas le droit de le regarder, d’ailleurs je ne le pouvais pas avec le bandeau, mais j’étais sûre qu’Il avait un air plus que satisfait ! … De temps en temps, Il retirait Ses doigts pour me faire lécher ma cyprine déposée sur sa main. Ainsi je passai ma langue telle une bonne chienne entre chacun de Ses doigts. Il en profitait aussi pour invertir ma bouche avec deux de Ses doigts en les faisant aller et venir. Puis Sa main se redirigeant vers mon sexe trempé, Il recommença sa pénétration de Ses doigts dans ma chatte puis de nouveau dans ma bouche plusieurs et maintes fois… Je commençais à gémir de plus en plus de plaisirs…
Lorsque le moteur stoppa, je sentis très vite un baiser très doux, très sensuel, se poser délicatement sur ma bouche. Cela me faisait penser à un encouragement. Une douce caresse de Sa part sur mes joues marqua une tendresse appréciée. Aucun mot ne fut prononcé, ce qui m’inquiéta encore plus. Le Châtelain me conduisit, le cul toujours plugué, le shorty remonté, toujours les yeux bandés à l’intérieur de ce que je supposais être un restaurant, puisque nous devions aller déjeuner. Une fois entrés à l’intérieur, au lieu de m’enlever le bandeau, Il me dirigea à travers ce qui me sembla être une grande salle au bruit que faisait la clientèle qui semblait être nombreuse. Une fois qu’Il m’eut installé sur une chaise, il m’ôta le bandeau. Je découvris un lieu que je ne connaissais pas, dans une lumière un peu tamisée qui donnait une ambiance intime au lieu. A première vue, rien ne m’interpella. Je ne voyais pas en quoi consistait la surprise du Maître et à quoi avait servi le bandeau. Monsieur le Marquis s’était assis en face de moi. Nous étions tous les deux de profil par rapport au reste de la pièce. Un homme vint à nous, sûrement le patron de l’établissement.

- Monsieur le Marquis, vous voici de retour ! C’est toujours un privilège et un grand honneur de vous recevoir. Soyez le bienvenu. Vous êtes en bien agréable compagnie, me semble-t-il ! dit d’une voix respectueuse l’homme. Finalement, vous avez trouvé quelque chose d’intéressant dans notre « petit coin paumé » ?

Il me semblait qu’une subtilité m’échappait, mais je ne voyais absolument pas laquelle ! Et comment le Maître pouvait-Il être connu ici ?

- Ah Alexandre ! vous n’êtes pas très fair-play de me ressortir ce « petit » mot prononcé il y a maintenant un bout de temps ! Effectivement mes affaires ont fini par me mener près d’ici ! Je ne pouvais pas être dans votre belle région sans venir vous y rendre une petite visite !
- Je vous en remercie Monsieur le Marquis ! Je vous laisse, le travail m’appelle ! Je repasserai certainement tout à l’heure ! Profitez bien de tous les délices que pourrait vous apporter ce repas ! ajouta-t-il avec un sourire énigmatique.
- J’en ai bien l’intention ! répondit le Maître avec le même sourire, si ce n’était peut-être une petite pointe de perversité en plus? Mais venez donc boire le café à ma table tout à l’heure, si votre travail vous le permet bien sûr !
- Avec grand plaisir Monsieur le Marquis ! J’en suis très honoré ! Je suis sûr que ce sera un moment fort réjouissant !
- Bien, alors à tout à l’heure, cher ami !

Et Alexandre repartit vers l’accueil. Une serveuse vint prendre nos commandes, le Noble commandant pour moi, sans me demander mon avis, ce qui me surprit sur le moment, mais je ne dis rien. Il nous prit également un apéritif. Une fois la serveuse partit, il sortit de la poche intérieur de sa veste un écrin, et le poussa vers moi. Je le regardai d’un air interrogatif.

- Je veux que tu prennes cette boîte et que tu te diriges vers les toilettes, qui se trouvent tout là-bas au fond du restaurant. Une fois enfermée, tu enlèveras ton shorty, tu ouvriras cet écrin et tu mettras en position ce qui s’y trouve. Tu reviendras à notre table, ton bas dans ta main droite, et tu viendras le poser au centre de la table. Exécution !

Ces mots avaient été prononcés d’une voix monocorde, l’air impassible, une voix qui n’autorise pas la réplique. Je me mis à trembler. Il fallait que je traverse la totalité du restaurant. Et si le Châtelain avait choisi la main droite pour que je ramène mon bas, ce n’était pas pour rien, les toilettes et le mur se trouveraient au retour sur ma gauche, donc tout le monde pourrait voir, si je n’y prenais pas garde ce que contenait ma main… J’hésitais à me lever, j’étais tellement stupéfaite que je ne me demandais même pas ce que pouvait contenir la boîte qui m’attendait toujours sur la table. Devant mon incertitude, Son regard se glaça, ainsi que Son ton lorsqu’Il parla !

- Eh bien ! Qu’attends-tu pour obéir ? Préfères-tu être sanctionnée, ici, maintenant, en public, Ma chienne ?

Je n’hésitais plus à Ses mots, alors, je me levais et je pris la direction des toilettes. Dans l’écrin se trouvait un œuf vibrant. Pour avoir déjà vu ce modèle, je savais qu’il répondait à une télécommande que le Maître devait avoir en Sa possession. Je me l’enfonçais donc profondément dans la chatte. Je pliai mon shorty autant que possible. Rien ne dépassait de ma main, si ce n’est entre le pouce et l’index un léger reflet rouge. Rassurée, je pris donc le chemin de la table. Alexandre me sourit quand je passais devant lui, je lui trouvais un air énigmatique, presque pervers mais je ne pris pas le temps d’y réfléchir, j’étais attendue. Ce qui me gêna, c’est qu’une fois arrivée de la table, il continuait à me fixer d’un regard gourmand et vicieux. J’essayais donc de faire écran de mon corps, lorsque je déposais mon shorty sur la table. Je restais debout, tête légèrement baissée, attendant un signe du Maître. Je sentais Son regard pesé sur moi. J’espérais qu’Il n’allait pas me faire attendre longtemps, les gens autour de nous auraient pu se poser des questions, ainsi qu’Alexandre, quoique celui-ci, je me demandais pas s’il n’avait pas été mis au courant par le Maître, et certainement complice à Lui, de ce qui allait suivre ….

(A suivre…)

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