Marion au Château – (suite de l'épisode N°921)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode N°921)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°921) –
Et j’étais pressée de me reposer, ce diner avait été épuisant, malgré les corvées, le dimanche ne pouvait qu’être plus reposant. Mais j’étais loin de me douter de ce que demain me préparait… La nuit passa rapidement. Au petit matin, Walter vint ouvrir le Chenil. Il eut du mal à me réveiller, et seul un seau d’eau froide parvint à me faire ouvrir les yeux. J’étais pleine de courbatures, et je suivais difficilement à quatre pattes le Majordome jusqu’à l’intérieur du Château. Au lieu de me conduire aux douches communes, dont l’eau était froide, il me conduisit vers une petite salle de bain, où j’eus le droit à une douche chaude, ce qui fit le plus grand bien à mes muscles fatigués. En revanche, il m’amena directement faire mes corvées sans passer par la cuisine et la case petit-déjeuner… Je fus assignée au service des chambres, pour faire le ménage et refaire les lits. Je croisais donc plusieurs des Invités présents la veille au soir, mais tous m’ignorèrent. Je n’en fis pas grand cas, et je me mis au travail avec trois autres soumises. Personne ne parlait, suivant ainsi la règle du Château. De toutes manières, nous nous croisions que lorsque nous changions l’eau de nos seaux… Au bruit que j’entendais dans les chambres d’à-côté, je compris que mes sœurs de soumission étaient utilisées, soit par des Dominants, soit par les domestiques surveillants, je ne savais pas. En revanche, je voyais bien qu’absolument personne ne se préoccupait de moi. Et je commençais à me poser des questions. Peu importe à quel service un soumis ou une soumise était affecté, jamais je n’en avais vu qui pouvait faire son travail sans interruption, sans qu’on use de son corps.
Je fus contente lorsque l’heure du déjeuner sonna. Mon estomac gargouillait sérieusement. Tous nous nous retrouvâmes dans la salle des soumis, nos gamelles posées par terre. Nous prîmes la position de levrette pour manger. La cuisinière passa derrière chacun d’entre nous pour nous mettre un plug vibrant dans le cul et des pinces aux tétons, histoire, dit-elle, de ne pas s’ennuyer. Quelques coups de fouets tombaient de temps en temps, pour nous réchauffer par cette froide journée d’hiver, même s’il faisait dans le Château une bonne température provoquée par de nombreuses et ancestrales cheminées où crépitaient de grosses bûches enflammées. Enfin je me sentais traitée au même niveau que les autres. Je devais m’être faite des idées ce matin… L’après-midi, Walter m’emmena dans la salle de dressage. J’y vis un tapis de course, un vélo elliptique et des petites altères d’un kilo chacune.
- Ton comportement s’est nettement amélioré, la chienne. C’est bien, mais ne pas crier pour rien et contrôler tes jouissances ne suffisent pas. Désormais, tu auras aussi des séances de sports à faire pour avoir l’endurance exigée par Monsieur le Marquis pour tous ceux qui ont l’honneur de porter Ses Nobles Initiales.
Et je dus faire une demi-heure de marche, pour commencer doucement, sur le tapis et un quart d’heure de vélo. Après une nouvelle douche, froide cette fois-ci, je fus ramenée en direction de ma niche, assez tôt, ce qui m’étonna un peu. Mais entre le reste de fatigue du dîner de la veille et la séance de sport, je n’étais pas contre un peu de repos… Alors que je pensais enfin pouvoir me reposer, je fus vite désillusionnée quand Walter quitta la direction de ma niche et tourna derrière le Château, se dirigeant tout droit vers les écuries. Une fois arrivés dans celles-ci, l’odeur chaude du foin me fut agréable ainsi que la douce température qui y régnait. Un impressionnant stock de volumineuses balles rondes de pailles et de foins occupait sur les côtés tout le fond du long bâtiment. Plus proche, dans leur box, les chevaux paraissaient fort calmes et tournèrent la tête à notre venue. Cette écurie était judicieusement agencée. Une large allée centrale la traversait sur toute sa longueur avec de chaque côté les stalles des équidés. Cette écurie devait être très vieille, je suppose même qu’elle a été construite en même temps que le Château à voir les anciennes et énormes poutres de chêne entremêlées constituant l’impressionnante charpente. Walter stoppa au beau milieu de l’allée centrale près et sous une des très grosses poutres traversant le bâtiment sur toute sa largeur. Un palan électrique y était installé muni de 4 épaisses chaines pendant dans le vide espacées à 1 mètre d’intervalle et dont les extrémités possédaient un crochet. Mais ce qui attira de suite mon attention, c’était qu’un esclave mâle était accroché au bout de chacune de ces chaînes. Leurs bras étaient écartés, levés en croix par la traction exercée par le palan. Les jambes tendues aussi et largement écartées puisque leurs pieds étaient amarrés au sol dans des anneaux scellés dans la dalle bétonnée. Ils étaient nus et leur cage de chasteté retirée. Ils arboraient tous une forte érection. A l’évidence ils ne s’étaient pas soulagés depuis longtemps. Walter daigna me donner une explication et me dévoila un évènement à venir qui me fait encore vibrer le cœur de positives émotions :
- Regarde bien ces quatre chiens ! Tu pourrais penser qu’ils sont là parce qu’ils sont punis et bien non, c’est tout le contraire ! Vois-tu ces quatre chiens vont être récompensés pour leur comportement exemplaire à servir Monsieur le Marquis et aussi afin de marquer leur venue à demeure au Château puisque jusqu’à présent ils étaient venus ici qu’épisodiquement. Mais tout d’abord, j’ai plaisir à te les présenter : Il y a de gauche à droite, chien docile, chien servile, chienchien et Vieux chien. Et s’ils sont là, c’est tout simplement qu’ils sont en attente de leur récompense que voici : Sache que dans un bâtiment annexe, est installé un endroit en attente de pouvoir être dans le chenil, cet endroit s’appelle L’Enclos des chiens. On y installe en principe les chiens (et parfois des chiennes) nouvellement arrivés à demeure et avant de les mettre au chenil qui celui-ci précède un cachot pour les plus méritants. Comme tu vois ici tout est hiérarchisé. Je te fais remarquer que toi, tu as eu la chance d’aller directement au chenil sans passer par l’Enclos des chiens. Monsieur le Marquis a donc décidé ce soir de faire une cérémonie spéciale pour incorporer ces quatre chiens dans leur Enclos.
Le Majordome s’arrêta, repris son souffle, me fit un gentil sourire, ce qui me surprit. Pui il continua :
- En fait il va y avoir ce soir deux cérémonies : Celle donc pour ces quatre chiens en récompense et une autre cérémonie … exclusivement pour toi. En effet, Monsieur le Marquis a décidé deux choses à ton égard. Et je suis autorisé à ne t’en dire qu’une : Ce soir tu vas changer de nom de soumise : Marion MDE n’existera plus, c’est le Maître en personne qui t’informera de ton nouveau nom de baptême de soumise MDE. Ce nouveau nom, c’est çà que je ne peux pas te dire. En revanche, je t’annonce officiellement que la cérémonie prévue pour toi ce soir est ton passage du chenil à un cachot définitif… Récompense suprême pour celle ou celui qui a su servir au mieux le Maître…
Mon cœur ne fit qu’un bon, il battait si fort, je baissai la tête et les yeux d’humilité. Mais l’émotion me fit trembler tout mon corps d’une immense joie, j’avais l’impression d’avoir une jouissance mentale. Ma respiration s’accéléra et subitement j’éclatai en sanglots, je ne pus retenir de fortes larmes imputées à cette formidable et bonne nouvelle. Le Maître vénéré avait donc jugé de me récompenser, moi Sa simple et discrète petite chienne… Etre dans un des Cachots du Château du Maître était la plus belle des récompenses, le rêve absolu de tous esclaves du Château, et je ne mesurai pas encore de cette incroyable réalité qui se profilait. Walter attendit sereinement le moment où je me calmai de mes émotions, pour continuer :
- Oui, je vois que tu es très émue, ce qui est normal. Mais saches que si Monsieur le Marquis a décidé de t’attribuer un Cachot c’est qu’il a jugé que tu le méritais. Ne l’oublie jamais et soit toujours très reconnaissante envers Lui de ce qu’il peut t’accorder… Bien maintenant, il te faut soulager ces quatre pauvres chiens qui n’ont pas éjaculé depuis plus d’un mois. Leurs couilles sont pleines et tu dois les vider de ta bouche et tout avaler cela va de soi. Leur passage dans l’Enclos doit être marqué par une vidange de leur foutre de chien…
Je m'approchais de chien docile à quatre pattes, encore tremblante et les yeux humides de l'incroyable nouvelle que je venais d'apprendre. Je relevais la tête et nos regards se croisèrent, brillants d'un même éclat. Lui, ainsi que ses trois futurs compagnons, venait également d'apprendre ce qui se préparait pour la soirée. Tous, nous étions si heureux ! Cela se voyait sur nos visages visiblement. Je me redressais sur mes genoux, pour pouvoir prendre son sexe entre mes mains. Je le caressais doucement, le faisant tressaillir. Ne voulant pas le faire languir trop longtemps, je le pris dans ma bouche et commençais à le pomper vigoureusement. Tellement en manque d’orgasme, il ne tarda pas à gémir et très vite se vida à longs jets épais au fond de ma gorge bruyamment. A ces cris de jouissance répondirent des coups de cravache.
- Tu vois, la chienne, tu n'es pas la seule à qui on exige le silence en toute occasion, sauf contre ordre ! Écoutez tous. Vous n'avez pas le droit de sortir le moindre son, sinon vous serez puni ! Cette chienne en sait quelque chose, elle a subi quelques séances de dressage avant d'y arriver totalement, quoiqu'il arrive ! Monsieur le Marquis veut que vous ayez les couilles vidangées pour ce soir, mais il ne voudra en aucun cas vous entendre si vous n’y êtes pas autorisés, alors autant commencer tout de suite à vous taire, à ne pas brailler en giclant votre foutre de chien…
Et là-dessus, sans que je le vois car il se trouvait dans mon dos, il décrocha un fouet de dressage pour les chevaux. Pendant qu'il parlait, attendant qu'il m'ordonne de continuer, je mettais mise en position standard, prosternée, la tête plaquée au sol sur cette dalle de béton froide. Je ne vis donc pas le regard un peu effrayé des quatre chiens lorsque Walter arma son bras, et m'appliqua une dizaine de coups de fouets sur le dos et les fesses, provoquant chez moi un léger tressaillement, mais pas le moindre son. Il me faut avouer que les coups étaient légers. En effet, le Majordome avait reçu l'ordre de ne pas me marquer avant la cérémonie sauf en cas de grave manquement, évidemment !
- Vous voyez, si Vous avez la chance d'entrer un jour au Chenil, puis plus tard si Vous êtes assez méritant, dans un Cachot, Vous serez capable de subir sans un geste et sans un bruit. Bien, maintenant la chienne, continue ! Ils sont tous aussi méritants les uns que les autres et méritent tous d'être récompensés de manière égale à gicler leur foutre.
Je passais donc à genoux devant chien servile, puis chienchien et enfin Vieux chien et les vidais entièrement. Ce fut rapide, tous ayant passait un certain temps sans avoir la possibilité de se vider les couilles ! J’avalais tout sans rien laisser. Parfois quelques gouttes de sperme tombait sur le sol alors je me mettais en levrette pour lécher à même la dalle le foutre de ces chiens. Et tous reçurent des coups de cravache, ne sachant pas encore se contenir à n’émettre le moindre son. À chaque fois j'attendais en position standard, me remémorant les séances douloureuses mais excitantes de dressage avec Walter. Je pensais également au chemin que j'avais parcouru, chienne anonyme le temps que j'avais vécu loin de la France, puis mon entrée au Chenil et le grand honneur, et l'immense joie, d'avoir droit de porter les Initiales du Maître Vénéré, et ce soir l'entrée dans un Cachot, récompense suprême. Je me rappelais toutes les étapes à franchir, toutes les barrières à faire tomber, tant bien que mal... Le chemin n'avait pas été sans embuches, mais le bonheur ressenti chaque fois que Monsieur le Marquis me montrait Sa fierté valait bien toutes les peines du monde ! Et je laissais alors couler de nouvelles larmes, de bonheur, de profonde reconnaissance et de dévotion totale… Walter détacha les quatre chiens. Il leur passa à chacun une laisse, en prit deux dans sa main gauche, deux dans la main droite ainsi que la mienne. Nous nous déplacions tous les cinq alignés, personne n'étant supérieur à un autre que ce soit par son âge, par le temps passé aux pieds du Maître ou par son degré de dressage en tant que chien. Walter nous amena sur la grande pelouse parfaitement entretenue devant le Château.
- Vous ne vous connaissez pas. Je veux que vous fassiez connaissance, comme des chiens en vous reniflant. Je vous laisse dix minutes. Après cela, je vous banderai les yeux et vous devrez être capable de reconnaître celui ou celle que je vous nommerai en allant vous placer devant et en posant votre patte sur son épaule. Celle ou celui qui en reconnaîtra le plus sera récompensé.
Alors nous décidâmes, sans parler évidemment de nous placer en ligne. Le premier reniflait chacun des autres, en commençant par son cul, comme un vrai chien, en faisait le tour et allait se replacer quand il avait fini. Je fus la seule à ne commettre aucune erreur.
- Bien la chienne ! Je n'en attendais pas moins de toi, en tant que chienne la plus ancienne en ce Château. Tu auras ta récompense, mais plus tard...
(A suivre …)
Et j’étais pressée de me reposer, ce diner avait été épuisant, malgré les corvées, le dimanche ne pouvait qu’être plus reposant. Mais j’étais loin de me douter de ce que demain me préparait… La nuit passa rapidement. Au petit matin, Walter vint ouvrir le Chenil. Il eut du mal à me réveiller, et seul un seau d’eau froide parvint à me faire ouvrir les yeux. J’étais pleine de courbatures, et je suivais difficilement à quatre pattes le Majordome jusqu’à l’intérieur du Château. Au lieu de me conduire aux douches communes, dont l’eau était froide, il me conduisit vers une petite salle de bain, où j’eus le droit à une douche chaude, ce qui fit le plus grand bien à mes muscles fatigués. En revanche, il m’amena directement faire mes corvées sans passer par la cuisine et la case petit-déjeuner… Je fus assignée au service des chambres, pour faire le ménage et refaire les lits. Je croisais donc plusieurs des Invités présents la veille au soir, mais tous m’ignorèrent. Je n’en fis pas grand cas, et je me mis au travail avec trois autres soumises. Personne ne parlait, suivant ainsi la règle du Château. De toutes manières, nous nous croisions que lorsque nous changions l’eau de nos seaux… Au bruit que j’entendais dans les chambres d’à-côté, je compris que mes sœurs de soumission étaient utilisées, soit par des Dominants, soit par les domestiques surveillants, je ne savais pas. En revanche, je voyais bien qu’absolument personne ne se préoccupait de moi. Et je commençais à me poser des questions. Peu importe à quel service un soumis ou une soumise était affecté, jamais je n’en avais vu qui pouvait faire son travail sans interruption, sans qu’on use de son corps.
Je fus contente lorsque l’heure du déjeuner sonna. Mon estomac gargouillait sérieusement. Tous nous nous retrouvâmes dans la salle des soumis, nos gamelles posées par terre. Nous prîmes la position de levrette pour manger. La cuisinière passa derrière chacun d’entre nous pour nous mettre un plug vibrant dans le cul et des pinces aux tétons, histoire, dit-elle, de ne pas s’ennuyer. Quelques coups de fouets tombaient de temps en temps, pour nous réchauffer par cette froide journée d’hiver, même s’il faisait dans le Château une bonne température provoquée par de nombreuses et ancestrales cheminées où crépitaient de grosses bûches enflammées. Enfin je me sentais traitée au même niveau que les autres. Je devais m’être faite des idées ce matin… L’après-midi, Walter m’emmena dans la salle de dressage. J’y vis un tapis de course, un vélo elliptique et des petites altères d’un kilo chacune.
- Ton comportement s’est nettement amélioré, la chienne. C’est bien, mais ne pas crier pour rien et contrôler tes jouissances ne suffisent pas. Désormais, tu auras aussi des séances de sports à faire pour avoir l’endurance exigée par Monsieur le Marquis pour tous ceux qui ont l’honneur de porter Ses Nobles Initiales.
Et je dus faire une demi-heure de marche, pour commencer doucement, sur le tapis et un quart d’heure de vélo. Après une nouvelle douche, froide cette fois-ci, je fus ramenée en direction de ma niche, assez tôt, ce qui m’étonna un peu. Mais entre le reste de fatigue du dîner de la veille et la séance de sport, je n’étais pas contre un peu de repos… Alors que je pensais enfin pouvoir me reposer, je fus vite désillusionnée quand Walter quitta la direction de ma niche et tourna derrière le Château, se dirigeant tout droit vers les écuries. Une fois arrivés dans celles-ci, l’odeur chaude du foin me fut agréable ainsi que la douce température qui y régnait. Un impressionnant stock de volumineuses balles rondes de pailles et de foins occupait sur les côtés tout le fond du long bâtiment. Plus proche, dans leur box, les chevaux paraissaient fort calmes et tournèrent la tête à notre venue. Cette écurie était judicieusement agencée. Une large allée centrale la traversait sur toute sa longueur avec de chaque côté les stalles des équidés. Cette écurie devait être très vieille, je suppose même qu’elle a été construite en même temps que le Château à voir les anciennes et énormes poutres de chêne entremêlées constituant l’impressionnante charpente. Walter stoppa au beau milieu de l’allée centrale près et sous une des très grosses poutres traversant le bâtiment sur toute sa largeur. Un palan électrique y était installé muni de 4 épaisses chaines pendant dans le vide espacées à 1 mètre d’intervalle et dont les extrémités possédaient un crochet. Mais ce qui attira de suite mon attention, c’était qu’un esclave mâle était accroché au bout de chacune de ces chaînes. Leurs bras étaient écartés, levés en croix par la traction exercée par le palan. Les jambes tendues aussi et largement écartées puisque leurs pieds étaient amarrés au sol dans des anneaux scellés dans la dalle bétonnée. Ils étaient nus et leur cage de chasteté retirée. Ils arboraient tous une forte érection. A l’évidence ils ne s’étaient pas soulagés depuis longtemps. Walter daigna me donner une explication et me dévoila un évènement à venir qui me fait encore vibrer le cœur de positives émotions :
- Regarde bien ces quatre chiens ! Tu pourrais penser qu’ils sont là parce qu’ils sont punis et bien non, c’est tout le contraire ! Vois-tu ces quatre chiens vont être récompensés pour leur comportement exemplaire à servir Monsieur le Marquis et aussi afin de marquer leur venue à demeure au Château puisque jusqu’à présent ils étaient venus ici qu’épisodiquement. Mais tout d’abord, j’ai plaisir à te les présenter : Il y a de gauche à droite, chien docile, chien servile, chienchien et Vieux chien. Et s’ils sont là, c’est tout simplement qu’ils sont en attente de leur récompense que voici : Sache que dans un bâtiment annexe, est installé un endroit en attente de pouvoir être dans le chenil, cet endroit s’appelle L’Enclos des chiens. On y installe en principe les chiens (et parfois des chiennes) nouvellement arrivés à demeure et avant de les mettre au chenil qui celui-ci précède un cachot pour les plus méritants. Comme tu vois ici tout est hiérarchisé. Je te fais remarquer que toi, tu as eu la chance d’aller directement au chenil sans passer par l’Enclos des chiens. Monsieur le Marquis a donc décidé ce soir de faire une cérémonie spéciale pour incorporer ces quatre chiens dans leur Enclos.
Le Majordome s’arrêta, repris son souffle, me fit un gentil sourire, ce qui me surprit. Pui il continua :
- En fait il va y avoir ce soir deux cérémonies : Celle donc pour ces quatre chiens en récompense et une autre cérémonie … exclusivement pour toi. En effet, Monsieur le Marquis a décidé deux choses à ton égard. Et je suis autorisé à ne t’en dire qu’une : Ce soir tu vas changer de nom de soumise : Marion MDE n’existera plus, c’est le Maître en personne qui t’informera de ton nouveau nom de baptême de soumise MDE. Ce nouveau nom, c’est çà que je ne peux pas te dire. En revanche, je t’annonce officiellement que la cérémonie prévue pour toi ce soir est ton passage du chenil à un cachot définitif… Récompense suprême pour celle ou celui qui a su servir au mieux le Maître…
Mon cœur ne fit qu’un bon, il battait si fort, je baissai la tête et les yeux d’humilité. Mais l’émotion me fit trembler tout mon corps d’une immense joie, j’avais l’impression d’avoir une jouissance mentale. Ma respiration s’accéléra et subitement j’éclatai en sanglots, je ne pus retenir de fortes larmes imputées à cette formidable et bonne nouvelle. Le Maître vénéré avait donc jugé de me récompenser, moi Sa simple et discrète petite chienne… Etre dans un des Cachots du Château du Maître était la plus belle des récompenses, le rêve absolu de tous esclaves du Château, et je ne mesurai pas encore de cette incroyable réalité qui se profilait. Walter attendit sereinement le moment où je me calmai de mes émotions, pour continuer :
- Oui, je vois que tu es très émue, ce qui est normal. Mais saches que si Monsieur le Marquis a décidé de t’attribuer un Cachot c’est qu’il a jugé que tu le méritais. Ne l’oublie jamais et soit toujours très reconnaissante envers Lui de ce qu’il peut t’accorder… Bien maintenant, il te faut soulager ces quatre pauvres chiens qui n’ont pas éjaculé depuis plus d’un mois. Leurs couilles sont pleines et tu dois les vider de ta bouche et tout avaler cela va de soi. Leur passage dans l’Enclos doit être marqué par une vidange de leur foutre de chien…
Je m'approchais de chien docile à quatre pattes, encore tremblante et les yeux humides de l'incroyable nouvelle que je venais d'apprendre. Je relevais la tête et nos regards se croisèrent, brillants d'un même éclat. Lui, ainsi que ses trois futurs compagnons, venait également d'apprendre ce qui se préparait pour la soirée. Tous, nous étions si heureux ! Cela se voyait sur nos visages visiblement. Je me redressais sur mes genoux, pour pouvoir prendre son sexe entre mes mains. Je le caressais doucement, le faisant tressaillir. Ne voulant pas le faire languir trop longtemps, je le pris dans ma bouche et commençais à le pomper vigoureusement. Tellement en manque d’orgasme, il ne tarda pas à gémir et très vite se vida à longs jets épais au fond de ma gorge bruyamment. A ces cris de jouissance répondirent des coups de cravache.
- Tu vois, la chienne, tu n'es pas la seule à qui on exige le silence en toute occasion, sauf contre ordre ! Écoutez tous. Vous n'avez pas le droit de sortir le moindre son, sinon vous serez puni ! Cette chienne en sait quelque chose, elle a subi quelques séances de dressage avant d'y arriver totalement, quoiqu'il arrive ! Monsieur le Marquis veut que vous ayez les couilles vidangées pour ce soir, mais il ne voudra en aucun cas vous entendre si vous n’y êtes pas autorisés, alors autant commencer tout de suite à vous taire, à ne pas brailler en giclant votre foutre de chien…
Et là-dessus, sans que je le vois car il se trouvait dans mon dos, il décrocha un fouet de dressage pour les chevaux. Pendant qu'il parlait, attendant qu'il m'ordonne de continuer, je mettais mise en position standard, prosternée, la tête plaquée au sol sur cette dalle de béton froide. Je ne vis donc pas le regard un peu effrayé des quatre chiens lorsque Walter arma son bras, et m'appliqua une dizaine de coups de fouets sur le dos et les fesses, provoquant chez moi un léger tressaillement, mais pas le moindre son. Il me faut avouer que les coups étaient légers. En effet, le Majordome avait reçu l'ordre de ne pas me marquer avant la cérémonie sauf en cas de grave manquement, évidemment !
- Vous voyez, si Vous avez la chance d'entrer un jour au Chenil, puis plus tard si Vous êtes assez méritant, dans un Cachot, Vous serez capable de subir sans un geste et sans un bruit. Bien, maintenant la chienne, continue ! Ils sont tous aussi méritants les uns que les autres et méritent tous d'être récompensés de manière égale à gicler leur foutre.
Je passais donc à genoux devant chien servile, puis chienchien et enfin Vieux chien et les vidais entièrement. Ce fut rapide, tous ayant passait un certain temps sans avoir la possibilité de se vider les couilles ! J’avalais tout sans rien laisser. Parfois quelques gouttes de sperme tombait sur le sol alors je me mettais en levrette pour lécher à même la dalle le foutre de ces chiens. Et tous reçurent des coups de cravache, ne sachant pas encore se contenir à n’émettre le moindre son. À chaque fois j'attendais en position standard, me remémorant les séances douloureuses mais excitantes de dressage avec Walter. Je pensais également au chemin que j'avais parcouru, chienne anonyme le temps que j'avais vécu loin de la France, puis mon entrée au Chenil et le grand honneur, et l'immense joie, d'avoir droit de porter les Initiales du Maître Vénéré, et ce soir l'entrée dans un Cachot, récompense suprême. Je me rappelais toutes les étapes à franchir, toutes les barrières à faire tomber, tant bien que mal... Le chemin n'avait pas été sans embuches, mais le bonheur ressenti chaque fois que Monsieur le Marquis me montrait Sa fierté valait bien toutes les peines du monde ! Et je laissais alors couler de nouvelles larmes, de bonheur, de profonde reconnaissance et de dévotion totale… Walter détacha les quatre chiens. Il leur passa à chacun une laisse, en prit deux dans sa main gauche, deux dans la main droite ainsi que la mienne. Nous nous déplacions tous les cinq alignés, personne n'étant supérieur à un autre que ce soit par son âge, par le temps passé aux pieds du Maître ou par son degré de dressage en tant que chien. Walter nous amena sur la grande pelouse parfaitement entretenue devant le Château.
- Vous ne vous connaissez pas. Je veux que vous fassiez connaissance, comme des chiens en vous reniflant. Je vous laisse dix minutes. Après cela, je vous banderai les yeux et vous devrez être capable de reconnaître celui ou celle que je vous nommerai en allant vous placer devant et en posant votre patte sur son épaule. Celle ou celui qui en reconnaîtra le plus sera récompensé.
Alors nous décidâmes, sans parler évidemment de nous placer en ligne. Le premier reniflait chacun des autres, en commençant par son cul, comme un vrai chien, en faisait le tour et allait se replacer quand il avait fini. Je fus la seule à ne commettre aucune erreur.
- Bien la chienne ! Je n'en attendais pas moins de toi, en tant que chienne la plus ancienne en ce Château. Tu auras ta récompense, mais plus tard...
(A suivre …)
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