Marion au Château – (suite de l'épisode N°929)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode N°929)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°929) –
La journée se passa donc ainsi, le Cheptel de Monsieur le Marquis œuvrant dans le Château à différentes tâches domestiques, les Invités de la veille qui prenaient du plaisir comme bon leur semblait, usant et abusant des soumis et esclaves dont ils voulaient bien s’occuper. Et la soirée tant attendue par quatre mâles et une femelle arriva enfin… On nous emmena tous les cinq dans les douches communes, où nous avons eu droit à une douche froide pour nous laver. Puis nous passâmes dans la salle de soin. J’y étais venue la veille pour le dîner, donc il n’y eut pas de gros travail à faire, ce qui ne fut pas le cas pour les quatre mâles, qui étaient arrivés le matin au Château. Je fus séparée d’eux et ne les revis plus. Je fus enduite d’une huile parfumée et légèrement pailletée qui faisait briller ma peau comme si elle était parsemée d’une multitude de petits éclats de diamant. On me maquilla et me coiffa méticuleusement. Puis on me drapa de voiles transparents, rappelant les toges des déesses grecques. Puis on me banda les yeux et on me conduisit à travers de nombreux couloirs et je montais et descendais plusieurs escaliers. J’eus le droit de me déplacer debout plutôt qu’en quadrupédie. Je soupçonnais la personne qui me conduisait, et que je n’avais pas vu, de vouloir me désorienter pour ne pas que je sache où je me trouvais lorsque qu’on appuya sur mes épaules pour me faire mettre à genoux. J’avais toujours les yeux bandés et le silence le plus total se fit autour de moi. J’attendis un temps que je ne saurai définir.
Pendant ce temps, les quatre chiens mâles étaient apprêtés différemment. Ils furent épilés intégralement, comme chaque membre du Cheptel de Monsieur le Marquis, mais ils furent laissés sinon au naturel. Walter vint les chercher et les conduisit dans la salle décorée de bleu et de rouge. Là, les Invités du repas de la veille avaient été divisés en quatre groupes de cinq personnes. A chaque chien revint un groupe où il dut faire jouir chaque Dominant, uniquement avec sa langue. Puis pendant une heure, ils durent restés en position prosternée, sur des tables mettant leurs trous à bonne hauteur pour être enculés et se faire baiser la bouche et ainsi ils furent à disposition de tous ceux qui voulurent s’amuser. A la fin de cette heure, Monsieur le Marquis, suivit de toutes les personnes dominantes présentes se dirigèrent vers l’enclos, suivi de Walter qui tenait les quatre chiens en laisse jusqu’à ledit Enclos. De mon côté, j’attendais toujours patiemment, ou plutôt impatiemment, tant j’étais excitée à l’idée de ce qui allait se passer. Mes genoux commençaient à devenir douloureux, mais je n’aurai pas osé ne serait-ce que penser à poser mes fesses quelques secondes sur mes talons pour les soulager un peu. Je ne savais pas trop vers quoi diriger mes pensées. J’étais partagée entre essayer de deviner ce qui allait se passer pendant cette cérémonie, ou repasser mentalement toutes ces années en virtuelles aux pieds du Maître, puis ces quelques mois à vivre en réel ma soumission au Château. Mais n’ayant aucun moyen de savoir ce qui allait se passer, je l’espérais, incessamment, je replongeais donc dans mes souvenirs… :
C’est ainsi que je me revis, jeune femme timide, sans la moindre confiance en soi, ne connaissant pratiquement rien de ce monde qui est aujourd’hui le mien, osant pourtant écrire un jour à Monsieur le Marquis d’Evans, après avoir lu Sa fameuse « Saga des esclaves », et après beaucoup d’hésitations, pour Lui dire que j’aimerai pouvoir vivre la vie des soumis qu’Il y décrivait. Après quelques échanges, Il eût la bonté de bien vouloir accepter de m’éduquer, et grâce à Lui je venais alors de trouver ma vraie place, ma vraie vie ! Les choses s’étaient vite enchaînées et très vite, j’ai compris que je ne pourrais plus revenir en arrière, que j’avais un besoin viscéral de me soumettre. Malgré une vie vanille compliquée, un mari, une famille, je trouvais toujours du temps pour me rendre disponible pour Lui, pour exécuter tous Ses ordres, et c’était les moments où je me sentais le plus heureuse. Mais je ne me suis sentie que pleinement vivante, pleinement complète que lorsque que j’ai pu trouver refuge au Château et vivre ma soumission à temps plein… J’attendais la fin de cette soirée avec impatience. L’entrée au Cachot était un moment tellement important. À partir de ce soir, aux yeux de tous, je serais définitivement une chienne MDE appartenant au Maître Vénéré ! Plus de période d’essai… Sans pour autant devoir considérer cette position comme acquise ! Je savais que décevoir gravement le Châtelain pouvait amener à un bannissement temporaire ou pire, définitif, même en ayant le droit de vivre dans un des Cachots du Château.
Alors que je revivais tous ces souvenirs, j’entendis la porte s’ouvrir. On saisit ma laisse et la voix de Walter m’intima l’ordre de le suivre à quatre pattes. Je le suivis donc, les yeux toujours bandés. Quand il s’arrêta, il appuya entre mes omoplates pour m’indiquer la position prosternée. J’entendais des murmures autour de moi, mais je n’aurai pas su dire le nombre de personnes qui pouvaient être dans la pièce. En fait, si je me concentrais bien, ils ne semblaient provenir que de ma gauche, sur ma droite, je n’entendais pas le moindre souffle. Puis soudain, il n’y eut plus un son nulle part. En revanche, une atmosphère pleine d’attente, légèrement lourde avait pris place. J’entendis un mouvement, différent côté droit et côté gauche. À gauche, un bruit d’étoffe, à droite, je n’aurais su le définir. Des pas, décidés, mais lents, se firent entendre et il me sembla qu’ils ne s’arrêtèrent pas très loin devant moi. Quand une voix que je connaissais bien s’exprima clairement et fièrement :
- Mes chers amis, mes chiens et chiennes, vous êtes réunis ce soir pour me voir accepter définitivement la chienne soumise Marion MDE au sein de Mon Cheptel. Ce jour est un grand jour pour elle, car j'ai estimé qu’elle méritait enfin sa place ici et donc j'ai le plaisir de lui annoncer devant vous tous que je lui offre définitivement un Cachot. Seule une faute grave et avérée pourra lui en exclure. Elle est restée au Chenil assez longtemps pour Me démontrer sa dévotion totale et donc elle mérite amplement ce Cachot, ici à Mes pieds. Qu’elle soit heureuse et fière de cela, de ce privilège que je lui accorde…
Un silence religieux avait accompagné le discours du Maître, dont la voix m’avait fait frissonner dès qu’elle s’était élevée. J’étais émue aux larmes, et celles-ci inondaient le bandeau qui me couvrait toujours les yeux. J’éprouvais tellement de dévotion, d’adoration. J’étais en train de vivre le moment le plus important de ma vie ! Je tremblais d’émotions, pures, intenses. Je ne pouvais rien rêver de mieux, et pourtant je n’étais pas au bout de mes surprises.
- Avant de pouvoir accéder à son Cachot, je vais lui faire l’honneur de lui attribuer un nom choisi par Mes soins. soumise Marion MDE, lève-toi !
Je m’exécutais, mais restais tête baissée, mains dans le dos, pieds et jambes écartés. Je le sentis s’approcher de moi, et Ses mains se posèrent autour de mon cou. Elles commencèrent par enlever mon collier, me faisant me sentir nue et incomplète. Puis Il m’ôta chaque morceau de voile me recouvrant. Savoir qu’Il me mettait à nue devant des personnes que je n’apercevais pas, et devant tout le Cheptel du Maître, m’intimida. Mais je ne ressentis aucune honte. Je tremblais toujours, mais ce n’était pas de peur, je savais que je pouvais avoir entièrement confiance. Il retira mon bandeau et me releva la tête d’un doigt sous le menton. D’un rapide coup d’œil, je vis que toutes les personnes présentes dans la pièce formaient un demi-cercle, d’un côté les Invités de la veille dans des tenues magnifiques, de l’autre côté, tout le Cheptel de Monsieur le Marquis, tous agenouillés. Il plongea son regard bleu acier dans mes yeux, me faisant passer Sa fierté, Sa Domination, Son désir, Sa volonté de me voir accomplir toutes Ses exigences. Il prit ma main et me dirigea vers une immense baignoire située au fond d’une estrade. Il m’intima l’ordre de rentrer dans l’eau, et appuya doucement sur ma tête pour que je la plonge sous l’eau.
- Symboliquement, en te plongeant dans l’eau, j’efface l’existence de soumise Marion MDE. La petite soumise novice, sans confiance, hésitante, n’existe plus. En passant l’épreuve du dîner hier soir, sans commettre la moindre faute, elle m’a prouvée qu’elle était digne de Moi, d’être sous Mon joug. Ce soir, soumise Marion MDE laisse la place définitivement à…
Il marqua le suspens en stoppa sa phrase puis Il me fit mettre debout et enfin me fit sortir de la baignoire. On se dirigea vers un grand fauteuil où Il s’assit et d’un claquement de doigts, Il me fit mettre à genoux et Il posa Sa main sur ma tête, d’un geste possesseur, pour continuer sa phrase d’une voix forte afin que tous entendent :
- … soumise Aphrodite MDE. soumise Aphrodite MDE, ma belle chienne fidèle officiellement et définitivement Ma propriété, veux-tu t’exprimer ? Tu y es autorisée.
- Monsieur le Marquis d'Evans, très Cher Maître Vénéré, de tout mon cœur et de toute mon âme, je me prosterne à Vos nobles pieds afin de Vous remercier sincèrement et profondément de l'immense honneur que Vous me faîtes et la joie intense que Vous me procurez en m'ouvrant la porte d'un de Vos cachots, et en me donnant ce si beau nouveau nom ! Je Vous fais le serment devant tous ici, malgré les difficultés et les obstacles, de Vous être toujours plus dévouée, obéissante et soumise. Si Vous trouvez en moi une chienne fidèle, c'est que Vous êtes un Maître exceptionnel, qui m'a révélé à moi-même ! Vous savez me guider mieux que personne, et je Vous suivrai toujours les yeux fermés avec une totale et entière confiance. Je ne pourrai jamais être aussi heureuse qu'à Vos pieds, Maître Vénéré ! Tout ce qui fait ce que je suis est à Vous pour toujours.
- Je sais que tu me seras fidèle et dévouée. Ta motivation ne fait aucun doute dans le cheminement de ton engagement et de tout ce qui s'en suivra, avec confiance. Et je sais que tu mesures l'honneur que je te fais d’accepter de te donner un Cachot et de te donner un nouveau nom, choisi dans cette mythologie grecque qui nous est si chère. Bien, maintenant, va te mettre en position prosternée au centre de la pièce, cul face à moi.
Je me plaçais à l’endroit voulu, ainsi bien exposée à tous les regards. Une personne que je ne vis pas au vu de ma position, vint se placer derrière moi.
- Ma chienne, je pourrais l’exiger de toi si je le voulais, mais je voudrais que ce soit également parce que tu le souhaites. Je veux te faire tatouer Mes Nobles Initiales. Mes nobles ancêtres l’auraient exigé au fer rouge, aujourd’hui il existe des méthodes bien plus douces. J’ai fait appel au meilleur tatoueur de la région. Tu ne crains absolument rien au niveau hygiène. Sois consciente que je te donnerai rarement le choix sur une de Mes Volontés, mis à part celui que tout individu sous Mon joug possède, celui de quitter définitivement le Château au moment où il le souhaite. soumise Aphrodite MDE, souhaites-tu être marquée à vie de Mes Nobles Initiales ?
Des larmes de joie m’empêchèrent de répondre immédiatement. Cette soirée était réellement une succession de surprises, qui toutes me touchaient en plein cœur, voyant se réaliser mes vœux les plus chers.
- Cher Maître Vénéré, ce sera un immense honneur que de porter Vos Nobles Initiales gravées dans ma chair ! Je Vous remercie pour ce magnifique cadeau que Vous me faites.
- Bien alors, commencez Votre travail ! dit-Il en s’adressant au tatoueur.
Le travail prit du temps pour être accompli. Les trois lettres étaient entrelacées de tiges de roses, une rose rouge ouverte presque entièrement avant le M, une rose blanche à peine éclose après le E, les lettres étant écrites en bleu roi. Les deux roses reposent aux pieds de deux lions dressés, rappelant les Armoiries de la Famille des Evans. La rose blanche, pas encore en pleine floraison, symbolise la soumission. La couleur représente la pureté du cadeau de la soumise, total et absolu. La rose rouge, presque entièrement ouverte, signifie la Domination. Le rouge représente pour le Dominant Sa passion et le désir de protéger à tout prix Sa soumise, bien qu'Il puisse exiger d'elle de verser son sang pour qu'Il en soit ainsi. La rose est presque en pleine floraison pour symboliser qu'Il est prêt et assez mûr pour accepter les responsabilités qu’Il revendique. Je sentais à peine la douleur, entre la crème anesthésiante que le tatoueur m’avait imposée, et l’adrénaline qui coulait dans mes veines. J’étais à la fois surexcitée (je sentais ma mouille qui s’écoulait doucement entre mes cuisses) et à la fois emplie de sérénité. Je me sentais réellement sur un nuage de plénitude et de bonheur. Lorsque le dessin fut réalisé, l’homme me posa un pansement dessus, et après avoir salué le Châtelain, il prit ses affaires et repartit. Alors le Maître se leva, suivit de tous les Dominants et Dominantes présents, le Cheptel se mit à quatre pattes. Monsieur le Marquis se plaça devant moi et claqua des doigts. Je me mis à genoux, mains derrière le dos tête baissée.
- Ce soir, je t’accepte, soumise Aphrodite MDE, comme faisant définitivement partie de Mon Cheptel. Tu m’appartiens, tu es Ma propriété la plus absolue à tout jamais ! Et aussi longtemps que tu voudras rester sous Mon joug, je te protègerai, te soumettrai toujours sainement, pour que tu puisses te laisser guider en toute confiance.
Après une caresse sur ma tête et sur une de mes joues, Il replaça mon collier et ma laisse, y donna une impulsion pour me faire comprendre que je devais également me positionner en quadrupédie. Je ne cherchai même plus à retenir mes larmes. Elles coulaient à flots. Mes émotions étaient tellement intenses ! Il m’entraina et derrière nous suivis d’abord les Invités, puis les soumis et soumises. Nous nous dirigeâmes vers un coin du Château où je n’étais jamais allé, les couloirs des Cachots. Ils étaient numérotés. Nous nous arrêtâmes devant le numéro 1. Le Maître l’ouvrit, claqua des doigts. L’esclave Phryné MDE se détacha du groupe, entra dans son Cachot, se prosterna. Walter vint détacher sa laisse, pour la remplacer par une longue chaîne qui lui permettait tout en étant attachée de se déplacer dans toute la cellule. Le Majordome referma la porte. Puis nous fîmes un arrêt devant le Cachot numéro 2, et ce fut au tour de soumise Laïs MDE de se retrouver enchaînée pour la nuit. Puis on s’arrêta devant le numéro 3, mon Cachot. Le Maître m’accompagna Lui-même à l’intérieur, remplaça ma laisse par une chaîne identique à celles de mes sœurs de soumission. Je me mis dans la même position que je les avais vu prendre peu de temps auparavant. Il me caressa doucement les fesses, puis m’appliqua une volée de fessées, peu douloureuse, mais assez appuyée pour me rougir la chair.
- Humm déjà trempée, ma salope de chienne ! Ce soir, j’officialise une nouvelle fois ton entrée définitive dans Mon Cheptel en prenant possession de ce qui m’appartient devant tous !
Et sur ces mots, Il défit Son pantalon et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Comme Il l’avait annoncé, c’était une prise de possession, presque violente, en tout cas viril, toujours pour me marquer ! Ce fut bref, intense, bestial. N’ayant pas reçu l’autorisation de jouir, j’attendis qu’Il se vide au fond de ma chatte brulante et trempée. Il se retira, se rhabilla et referma la porte de mon Cachot sans que je n’aie fait un geste ni proféré le moindre son, comme la chienne dressée que j’étais. Tous repartirent, sans que je n’aie la moindre idée, ni de l’heure qu’il était, ni de ce qui allait m’arriver. Je ne savais pas du tout quel était le comportement à adopter dans ces cellules. L’extinction des lumières se fit automatiquement. Je me couchais donc dans le coin où se trouvait une panière rembourrée et une chaude couverture, mais j’eus du mal à trouver le sommeil. Il s’était passé trop de choses bien trop excitantes mentalement et physiquement, tellement intenses. J’avais éprouvé tant de joie ! Je me sentais réellement bien, à ma place, plus aucun souci ne m’effleurait… Au bout de ce qui me sembla être au moins deux heures, la porte de mon Cachot s’ouvrit, et le Maître en personne entra. Immédiatement, je me prosternais au sol.
- Ma chienne soumise Aphrodite MDE, je sais que tu as mérité une récompense cette après-midi. J’ai décidé de te l’accorder maintenant. Tu passeras cette nuit avec moi, dans ma chambre. J’espère que tu mesures l’honneur qui t’est accordé.
Je m’aplatis encore plus au sol, pour Lui montrer ma profonde reconnaissance. Nous remontâmes donc les étages jusqu’à Sa chambre et je passais la nuit la plus débridée qui puisse être permis de vivre ! Je fus prise toute la nuit, par tous les trous, que ce soit par Sa noble Verge ou par des objets aussi divers que variés, dans toutes les positions imaginables, attachée ou non, avec bandeau ou sans, entendant ou étant sourde, ayant le droit de crier ma jouissance, ou devant jouir en silence, ou encore en ayant l’interdiction d’avoir un orgasme. Etant passée devant une impressionnante pendule dans les couloirs, j’avais vu qu’il était à peine minuit. Nos ébats durèrent douze heures. Le Maître s’était arrangé pour déplacer Ses rendez-vous. A midi, Walter nous amena un repas que Lui prit sur une table placée devant une baie vitrée donnant sur une magnifique vue sur le parc, et moi à quatre pattes sous la table, à ma vraie place. A la suite de ce déjeuner succulent, il faut l’avouer, n’ayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même repas que le Châtelain, coupé en morceau pour que je puisse l’ingérer dans ma position de chienne, le Maître me reconduisit dans mon Cachot, m’intimant l’ordre de me reposer jusqu’au lendemain matin, et cette fois-ci, je n’eus aucun mal à m’endormir… et de plus est si heureuse … !
(A suivre …)
La journée se passa donc ainsi, le Cheptel de Monsieur le Marquis œuvrant dans le Château à différentes tâches domestiques, les Invités de la veille qui prenaient du plaisir comme bon leur semblait, usant et abusant des soumis et esclaves dont ils voulaient bien s’occuper. Et la soirée tant attendue par quatre mâles et une femelle arriva enfin… On nous emmena tous les cinq dans les douches communes, où nous avons eu droit à une douche froide pour nous laver. Puis nous passâmes dans la salle de soin. J’y étais venue la veille pour le dîner, donc il n’y eut pas de gros travail à faire, ce qui ne fut pas le cas pour les quatre mâles, qui étaient arrivés le matin au Château. Je fus séparée d’eux et ne les revis plus. Je fus enduite d’une huile parfumée et légèrement pailletée qui faisait briller ma peau comme si elle était parsemée d’une multitude de petits éclats de diamant. On me maquilla et me coiffa méticuleusement. Puis on me drapa de voiles transparents, rappelant les toges des déesses grecques. Puis on me banda les yeux et on me conduisit à travers de nombreux couloirs et je montais et descendais plusieurs escaliers. J’eus le droit de me déplacer debout plutôt qu’en quadrupédie. Je soupçonnais la personne qui me conduisait, et que je n’avais pas vu, de vouloir me désorienter pour ne pas que je sache où je me trouvais lorsque qu’on appuya sur mes épaules pour me faire mettre à genoux. J’avais toujours les yeux bandés et le silence le plus total se fit autour de moi. J’attendis un temps que je ne saurai définir.
Pendant ce temps, les quatre chiens mâles étaient apprêtés différemment. Ils furent épilés intégralement, comme chaque membre du Cheptel de Monsieur le Marquis, mais ils furent laissés sinon au naturel. Walter vint les chercher et les conduisit dans la salle décorée de bleu et de rouge. Là, les Invités du repas de la veille avaient été divisés en quatre groupes de cinq personnes. A chaque chien revint un groupe où il dut faire jouir chaque Dominant, uniquement avec sa langue. Puis pendant une heure, ils durent restés en position prosternée, sur des tables mettant leurs trous à bonne hauteur pour être enculés et se faire baiser la bouche et ainsi ils furent à disposition de tous ceux qui voulurent s’amuser. A la fin de cette heure, Monsieur le Marquis, suivit de toutes les personnes dominantes présentes se dirigèrent vers l’enclos, suivi de Walter qui tenait les quatre chiens en laisse jusqu’à ledit Enclos. De mon côté, j’attendais toujours patiemment, ou plutôt impatiemment, tant j’étais excitée à l’idée de ce qui allait se passer. Mes genoux commençaient à devenir douloureux, mais je n’aurai pas osé ne serait-ce que penser à poser mes fesses quelques secondes sur mes talons pour les soulager un peu. Je ne savais pas trop vers quoi diriger mes pensées. J’étais partagée entre essayer de deviner ce qui allait se passer pendant cette cérémonie, ou repasser mentalement toutes ces années en virtuelles aux pieds du Maître, puis ces quelques mois à vivre en réel ma soumission au Château. Mais n’ayant aucun moyen de savoir ce qui allait se passer, je l’espérais, incessamment, je replongeais donc dans mes souvenirs… :
C’est ainsi que je me revis, jeune femme timide, sans la moindre confiance en soi, ne connaissant pratiquement rien de ce monde qui est aujourd’hui le mien, osant pourtant écrire un jour à Monsieur le Marquis d’Evans, après avoir lu Sa fameuse « Saga des esclaves », et après beaucoup d’hésitations, pour Lui dire que j’aimerai pouvoir vivre la vie des soumis qu’Il y décrivait. Après quelques échanges, Il eût la bonté de bien vouloir accepter de m’éduquer, et grâce à Lui je venais alors de trouver ma vraie place, ma vraie vie ! Les choses s’étaient vite enchaînées et très vite, j’ai compris que je ne pourrais plus revenir en arrière, que j’avais un besoin viscéral de me soumettre. Malgré une vie vanille compliquée, un mari, une famille, je trouvais toujours du temps pour me rendre disponible pour Lui, pour exécuter tous Ses ordres, et c’était les moments où je me sentais le plus heureuse. Mais je ne me suis sentie que pleinement vivante, pleinement complète que lorsque que j’ai pu trouver refuge au Château et vivre ma soumission à temps plein… J’attendais la fin de cette soirée avec impatience. L’entrée au Cachot était un moment tellement important. À partir de ce soir, aux yeux de tous, je serais définitivement une chienne MDE appartenant au Maître Vénéré ! Plus de période d’essai… Sans pour autant devoir considérer cette position comme acquise ! Je savais que décevoir gravement le Châtelain pouvait amener à un bannissement temporaire ou pire, définitif, même en ayant le droit de vivre dans un des Cachots du Château.
Alors que je revivais tous ces souvenirs, j’entendis la porte s’ouvrir. On saisit ma laisse et la voix de Walter m’intima l’ordre de le suivre à quatre pattes. Je le suivis donc, les yeux toujours bandés. Quand il s’arrêta, il appuya entre mes omoplates pour m’indiquer la position prosternée. J’entendais des murmures autour de moi, mais je n’aurai pas su dire le nombre de personnes qui pouvaient être dans la pièce. En fait, si je me concentrais bien, ils ne semblaient provenir que de ma gauche, sur ma droite, je n’entendais pas le moindre souffle. Puis soudain, il n’y eut plus un son nulle part. En revanche, une atmosphère pleine d’attente, légèrement lourde avait pris place. J’entendis un mouvement, différent côté droit et côté gauche. À gauche, un bruit d’étoffe, à droite, je n’aurais su le définir. Des pas, décidés, mais lents, se firent entendre et il me sembla qu’ils ne s’arrêtèrent pas très loin devant moi. Quand une voix que je connaissais bien s’exprima clairement et fièrement :
- Mes chers amis, mes chiens et chiennes, vous êtes réunis ce soir pour me voir accepter définitivement la chienne soumise Marion MDE au sein de Mon Cheptel. Ce jour est un grand jour pour elle, car j'ai estimé qu’elle méritait enfin sa place ici et donc j'ai le plaisir de lui annoncer devant vous tous que je lui offre définitivement un Cachot. Seule une faute grave et avérée pourra lui en exclure. Elle est restée au Chenil assez longtemps pour Me démontrer sa dévotion totale et donc elle mérite amplement ce Cachot, ici à Mes pieds. Qu’elle soit heureuse et fière de cela, de ce privilège que je lui accorde…
Un silence religieux avait accompagné le discours du Maître, dont la voix m’avait fait frissonner dès qu’elle s’était élevée. J’étais émue aux larmes, et celles-ci inondaient le bandeau qui me couvrait toujours les yeux. J’éprouvais tellement de dévotion, d’adoration. J’étais en train de vivre le moment le plus important de ma vie ! Je tremblais d’émotions, pures, intenses. Je ne pouvais rien rêver de mieux, et pourtant je n’étais pas au bout de mes surprises.
- Avant de pouvoir accéder à son Cachot, je vais lui faire l’honneur de lui attribuer un nom choisi par Mes soins. soumise Marion MDE, lève-toi !
Je m’exécutais, mais restais tête baissée, mains dans le dos, pieds et jambes écartés. Je le sentis s’approcher de moi, et Ses mains se posèrent autour de mon cou. Elles commencèrent par enlever mon collier, me faisant me sentir nue et incomplète. Puis Il m’ôta chaque morceau de voile me recouvrant. Savoir qu’Il me mettait à nue devant des personnes que je n’apercevais pas, et devant tout le Cheptel du Maître, m’intimida. Mais je ne ressentis aucune honte. Je tremblais toujours, mais ce n’était pas de peur, je savais que je pouvais avoir entièrement confiance. Il retira mon bandeau et me releva la tête d’un doigt sous le menton. D’un rapide coup d’œil, je vis que toutes les personnes présentes dans la pièce formaient un demi-cercle, d’un côté les Invités de la veille dans des tenues magnifiques, de l’autre côté, tout le Cheptel de Monsieur le Marquis, tous agenouillés. Il plongea son regard bleu acier dans mes yeux, me faisant passer Sa fierté, Sa Domination, Son désir, Sa volonté de me voir accomplir toutes Ses exigences. Il prit ma main et me dirigea vers une immense baignoire située au fond d’une estrade. Il m’intima l’ordre de rentrer dans l’eau, et appuya doucement sur ma tête pour que je la plonge sous l’eau.
- Symboliquement, en te plongeant dans l’eau, j’efface l’existence de soumise Marion MDE. La petite soumise novice, sans confiance, hésitante, n’existe plus. En passant l’épreuve du dîner hier soir, sans commettre la moindre faute, elle m’a prouvée qu’elle était digne de Moi, d’être sous Mon joug. Ce soir, soumise Marion MDE laisse la place définitivement à…
Il marqua le suspens en stoppa sa phrase puis Il me fit mettre debout et enfin me fit sortir de la baignoire. On se dirigea vers un grand fauteuil où Il s’assit et d’un claquement de doigts, Il me fit mettre à genoux et Il posa Sa main sur ma tête, d’un geste possesseur, pour continuer sa phrase d’une voix forte afin que tous entendent :
- … soumise Aphrodite MDE. soumise Aphrodite MDE, ma belle chienne fidèle officiellement et définitivement Ma propriété, veux-tu t’exprimer ? Tu y es autorisée.
- Monsieur le Marquis d'Evans, très Cher Maître Vénéré, de tout mon cœur et de toute mon âme, je me prosterne à Vos nobles pieds afin de Vous remercier sincèrement et profondément de l'immense honneur que Vous me faîtes et la joie intense que Vous me procurez en m'ouvrant la porte d'un de Vos cachots, et en me donnant ce si beau nouveau nom ! Je Vous fais le serment devant tous ici, malgré les difficultés et les obstacles, de Vous être toujours plus dévouée, obéissante et soumise. Si Vous trouvez en moi une chienne fidèle, c'est que Vous êtes un Maître exceptionnel, qui m'a révélé à moi-même ! Vous savez me guider mieux que personne, et je Vous suivrai toujours les yeux fermés avec une totale et entière confiance. Je ne pourrai jamais être aussi heureuse qu'à Vos pieds, Maître Vénéré ! Tout ce qui fait ce que je suis est à Vous pour toujours.
- Je sais que tu me seras fidèle et dévouée. Ta motivation ne fait aucun doute dans le cheminement de ton engagement et de tout ce qui s'en suivra, avec confiance. Et je sais que tu mesures l'honneur que je te fais d’accepter de te donner un Cachot et de te donner un nouveau nom, choisi dans cette mythologie grecque qui nous est si chère. Bien, maintenant, va te mettre en position prosternée au centre de la pièce, cul face à moi.
Je me plaçais à l’endroit voulu, ainsi bien exposée à tous les regards. Une personne que je ne vis pas au vu de ma position, vint se placer derrière moi.
- Ma chienne, je pourrais l’exiger de toi si je le voulais, mais je voudrais que ce soit également parce que tu le souhaites. Je veux te faire tatouer Mes Nobles Initiales. Mes nobles ancêtres l’auraient exigé au fer rouge, aujourd’hui il existe des méthodes bien plus douces. J’ai fait appel au meilleur tatoueur de la région. Tu ne crains absolument rien au niveau hygiène. Sois consciente que je te donnerai rarement le choix sur une de Mes Volontés, mis à part celui que tout individu sous Mon joug possède, celui de quitter définitivement le Château au moment où il le souhaite. soumise Aphrodite MDE, souhaites-tu être marquée à vie de Mes Nobles Initiales ?
Des larmes de joie m’empêchèrent de répondre immédiatement. Cette soirée était réellement une succession de surprises, qui toutes me touchaient en plein cœur, voyant se réaliser mes vœux les plus chers.
- Cher Maître Vénéré, ce sera un immense honneur que de porter Vos Nobles Initiales gravées dans ma chair ! Je Vous remercie pour ce magnifique cadeau que Vous me faites.
- Bien alors, commencez Votre travail ! dit-Il en s’adressant au tatoueur.
Le travail prit du temps pour être accompli. Les trois lettres étaient entrelacées de tiges de roses, une rose rouge ouverte presque entièrement avant le M, une rose blanche à peine éclose après le E, les lettres étant écrites en bleu roi. Les deux roses reposent aux pieds de deux lions dressés, rappelant les Armoiries de la Famille des Evans. La rose blanche, pas encore en pleine floraison, symbolise la soumission. La couleur représente la pureté du cadeau de la soumise, total et absolu. La rose rouge, presque entièrement ouverte, signifie la Domination. Le rouge représente pour le Dominant Sa passion et le désir de protéger à tout prix Sa soumise, bien qu'Il puisse exiger d'elle de verser son sang pour qu'Il en soit ainsi. La rose est presque en pleine floraison pour symboliser qu'Il est prêt et assez mûr pour accepter les responsabilités qu’Il revendique. Je sentais à peine la douleur, entre la crème anesthésiante que le tatoueur m’avait imposée, et l’adrénaline qui coulait dans mes veines. J’étais à la fois surexcitée (je sentais ma mouille qui s’écoulait doucement entre mes cuisses) et à la fois emplie de sérénité. Je me sentais réellement sur un nuage de plénitude et de bonheur. Lorsque le dessin fut réalisé, l’homme me posa un pansement dessus, et après avoir salué le Châtelain, il prit ses affaires et repartit. Alors le Maître se leva, suivit de tous les Dominants et Dominantes présents, le Cheptel se mit à quatre pattes. Monsieur le Marquis se plaça devant moi et claqua des doigts. Je me mis à genoux, mains derrière le dos tête baissée.
- Ce soir, je t’accepte, soumise Aphrodite MDE, comme faisant définitivement partie de Mon Cheptel. Tu m’appartiens, tu es Ma propriété la plus absolue à tout jamais ! Et aussi longtemps que tu voudras rester sous Mon joug, je te protègerai, te soumettrai toujours sainement, pour que tu puisses te laisser guider en toute confiance.
Après une caresse sur ma tête et sur une de mes joues, Il replaça mon collier et ma laisse, y donna une impulsion pour me faire comprendre que je devais également me positionner en quadrupédie. Je ne cherchai même plus à retenir mes larmes. Elles coulaient à flots. Mes émotions étaient tellement intenses ! Il m’entraina et derrière nous suivis d’abord les Invités, puis les soumis et soumises. Nous nous dirigeâmes vers un coin du Château où je n’étais jamais allé, les couloirs des Cachots. Ils étaient numérotés. Nous nous arrêtâmes devant le numéro 1. Le Maître l’ouvrit, claqua des doigts. L’esclave Phryné MDE se détacha du groupe, entra dans son Cachot, se prosterna. Walter vint détacher sa laisse, pour la remplacer par une longue chaîne qui lui permettait tout en étant attachée de se déplacer dans toute la cellule. Le Majordome referma la porte. Puis nous fîmes un arrêt devant le Cachot numéro 2, et ce fut au tour de soumise Laïs MDE de se retrouver enchaînée pour la nuit. Puis on s’arrêta devant le numéro 3, mon Cachot. Le Maître m’accompagna Lui-même à l’intérieur, remplaça ma laisse par une chaîne identique à celles de mes sœurs de soumission. Je me mis dans la même position que je les avais vu prendre peu de temps auparavant. Il me caressa doucement les fesses, puis m’appliqua une volée de fessées, peu douloureuse, mais assez appuyée pour me rougir la chair.
- Humm déjà trempée, ma salope de chienne ! Ce soir, j’officialise une nouvelle fois ton entrée définitive dans Mon Cheptel en prenant possession de ce qui m’appartient devant tous !
Et sur ces mots, Il défit Son pantalon et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Comme Il l’avait annoncé, c’était une prise de possession, presque violente, en tout cas viril, toujours pour me marquer ! Ce fut bref, intense, bestial. N’ayant pas reçu l’autorisation de jouir, j’attendis qu’Il se vide au fond de ma chatte brulante et trempée. Il se retira, se rhabilla et referma la porte de mon Cachot sans que je n’aie fait un geste ni proféré le moindre son, comme la chienne dressée que j’étais. Tous repartirent, sans que je n’aie la moindre idée, ni de l’heure qu’il était, ni de ce qui allait m’arriver. Je ne savais pas du tout quel était le comportement à adopter dans ces cellules. L’extinction des lumières se fit automatiquement. Je me couchais donc dans le coin où se trouvait une panière rembourrée et une chaude couverture, mais j’eus du mal à trouver le sommeil. Il s’était passé trop de choses bien trop excitantes mentalement et physiquement, tellement intenses. J’avais éprouvé tant de joie ! Je me sentais réellement bien, à ma place, plus aucun souci ne m’effleurait… Au bout de ce qui me sembla être au moins deux heures, la porte de mon Cachot s’ouvrit, et le Maître en personne entra. Immédiatement, je me prosternais au sol.
- Ma chienne soumise Aphrodite MDE, je sais que tu as mérité une récompense cette après-midi. J’ai décidé de te l’accorder maintenant. Tu passeras cette nuit avec moi, dans ma chambre. J’espère que tu mesures l’honneur qui t’est accordé.
Je m’aplatis encore plus au sol, pour Lui montrer ma profonde reconnaissance. Nous remontâmes donc les étages jusqu’à Sa chambre et je passais la nuit la plus débridée qui puisse être permis de vivre ! Je fus prise toute la nuit, par tous les trous, que ce soit par Sa noble Verge ou par des objets aussi divers que variés, dans toutes les positions imaginables, attachée ou non, avec bandeau ou sans, entendant ou étant sourde, ayant le droit de crier ma jouissance, ou devant jouir en silence, ou encore en ayant l’interdiction d’avoir un orgasme. Etant passée devant une impressionnante pendule dans les couloirs, j’avais vu qu’il était à peine minuit. Nos ébats durèrent douze heures. Le Maître s’était arrangé pour déplacer Ses rendez-vous. A midi, Walter nous amena un repas que Lui prit sur une table placée devant une baie vitrée donnant sur une magnifique vue sur le parc, et moi à quatre pattes sous la table, à ma vraie place. A la suite de ce déjeuner succulent, il faut l’avouer, n’ayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même repas que le Châtelain, coupé en morceau pour que je puisse l’ingérer dans ma position de chienne, le Maître me reconduisit dans mon Cachot, m’intimant l’ordre de me reposer jusqu’au lendemain matin, et cette fois-ci, je n’eus aucun mal à m’endormir… et de plus est si heureuse … !
(A suivre …)
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