Martine 4 - histoire érotique

...

Deux garçons me portent jusqu'à la salle d'eau. Ils me tiennent sous la douche chaude. C'est agréable. Ils sont si gentils avec moi. Ils me font mettre à quatre pattes et m'introduisent un embout dans l'anus. Je comprends. Ils me font un lavement. Je vais me faire sodomiser. J'aime ça mais il faut y aller doucement pour que ça soit bon.

Mamadou trône dans un fauteuil.
- Tu vas me chauffer en t'occupant de mes potes. Ça va te permettre de te préparer pour moi !

Les garçons s'approchent. Ils sourient. L'un me tire vers lui avec la laisse. Il me roule une pelle. Sa langue dans ma bouche. Des mains. Des doigts sur mon clito. Un doigt dans mon cul.
Le ton a changé. Ils sont moins gentils. La laisse me force à me mettre à quatre pattes. Un sexe sur mes lèvres.
- Suce !
J'ouvre la bouche, un peu résignée. Ma langue sur son gland. Il s'enfonce, il veut aller dans ma gorge... Il y est !
Au même moment une bite s'introduit sans ménagement dans ma chatte. Elle me lime.
L'autre bite fait des vas et viens au fond de ma gorge. J'ai des hoquets. Je bave. Je pleure.
Ça tourne. Les bites permutent. On me crache sur la rondelle. Je vais recevoir. Je sens le gland qui appuie.
Il est entré ! Il me fait mal. Je ne peux pas crier, j'ai une autre bite au fond de la gorge.
Il me besogne. La douleur s'estompe.
Nouvelle permutation. Le sexe dans mon cul est plus gros.
On me relève en tirant sur la laisse. On me guide. Un mec est allongé sur la banquette. On me fait assoir sur lui. Une main guide son manche en moi. On me fait pencher en avant. Il m'embrasse. Sa langue. Une queue s'enfonce dans mon cul. On relève un peu ma tête et une troisième bite me prend la bouche.
Une triple ! Je prends conscience que c'est la première fois que je baise avec plusieurs mecs en même temps. Pour une première je fais plutôt fort !
Ne voyant toujours rien, j'entends que les gars vont m'envoyer leur semence. Le premier sur ma langue. Dans ma chatte et mon cul à peu près en même temps. Ça tourne.
Je suis réinvestie. Une dans mon cul. Il sort et me demande de le finir en bouche. Au moment il va gicler, il sort et m'arrose copieusement le visage.
Je sens que ça dégouline sur le bas de ma figure. Je suis fatiguée, vidée. J'en ai assez. Je veux que ça s'arrête.

- Maintenant on va commencer ! Tu vas t'envoler comme une fusée. Je vais faire de toi une furie de la baise !
- Mamadou, laisse moi tranquille à présent. Je n'ai plus de force. Je veux dormir.

Il m'attrape me pose, retournée, sur ses cuisses...
- Oh non, ne soit pas brutal. Ne gâche pas tout !

Mais mes suppliques n'y changent rien ! Je reçois une terrible fessée ! Je pleure. De douleur, mais aussi de tristesse. Je suis déçue. Il avait été si gentil. Je commence à redescendre sur terre. J'ai été droguée. Ça n'est pas de moi de pratiquer le sexe de cette façon. J'ai honte. Je vais ôter le bandeau...
Une main énorme se saisit de mes poignets. Les menottes ! Mamadou rie fort.
- Bien ! J'entends ce que tu dis. Tu vas goûter à mon traitement et dans quelques minutes je te relache. Si tu veux tu partiras... Mais je crois que tu vas rester. Tu vas hurler comme une chatte en chaleur !!!

- Bois ma belle !
Je me rends compte que je suis assoiffée. Toujours dans le noir, une paille contre mes lèvres. C'est un tel besoin que j'aspire et avale le liquide sans me poser de question. Après plusieurs gorgés, je remarque le goût poivré. Je reprends mon souffle. Puis je bois encore. J'ai l'impression d'être un chameau. Cette boisson est agréable, mais j'ai toujours aussi soif.
- Ça suffit ! Tu vas en sentir l'effet rapidement.

La paille m'est retirée. Je perçois la montée d'une force en moi. Ma lassitude est remplacée par une pêche incroyable. J'ai envie de bouger, de sauter, de courir partout !
La boisson !
- Vous m'avez fait boire un truc energisant ?
- On peut dire ça. Ce sont surtout tes nerfs qui réagissent. Ils sonôt hyper excités ! Regarde, ben non, c'est vrai que tu ne vois pas. Sens...
Des doigts effleurent mon sein jusqu'à mon téton et se retirent.
Aussitôt mon sein s'enflamme. J'ai l'impression que le sang y afflue. Il grossit se tend, durcit. La pointe, je la sens hyper à vif ! Je suis toute mouillée, mon sexe réagit aussi. Je suis au bord de l'orgasme !
Les garçons rient.

- C'est bien, tu es réactive ! Ça va être bon !

Un gland se présente à ma bouche.
Whaou, même mes lèvres sont hyper excitées !
J'enfourne le sexe, ma langue essaie de s'enrouler autour. Je grogne . Je l'enfonce dans ma gorge. Je n'ai plus la moindre appréhension. Ça rentre ça sort.
Une bite me pénètre. Je voudrais hurler de plaisir, un plaisir douloureux tant il est puissant. Je ne peux qu'emettre un borborygme ma bouche étant occupée !
À quatre pattes je vais d'avant en arrière. À l'aller j'enfonce une bite dans ma gorge, au retour j'enfonce l'autre dans ma chatte !
J'augmente ma cadence. Toujours plus vite, plus fort !
Le sexe sort de ma bouche et m'arrose.
- Plus fort ! Pilonne moi ! Défonce moi !
Il sort.
- Non ! Encore !
Un autre prend la place. L'autre vient se vider sur mon visage. Je sens que ça coule.
Je crie comme une truie.
- Plus fort. Fais moi mal !
Un corps se glisse sous moi. On me relève un peu. La deuxième bite force l'entrée de mon sexe. Mais l'autre est encore là ! Ils vont me déchirer ! Mais je ne peux pas me relever. Je n'en ai pas envie. Je veux du sexe. Je descends sur cette paire de queues. Je hurle. De douleur mais de jouissance aussi ! Je suis recouchée et comme en sandwich entre mes deux partenaires. On m'écarte les fesses. Oh!!!
- Oui ! Prends moi le cul ! Le gland se fore un passage sans scrupule...
Je suis limée, écartelée...
Je n'ai pas de mots pour exprimer ma jouissance. Ce sont des gémissements, des couinements...

Alors Mamadou se place devant moi.
- Tu aimes ?
- Ahhhh ! Hummm ! OUIIII !
- Tu veux qu'on arrête ?
- Non ! Je ne peux pas. Si vous arrêtez je meurt !
- Tu es faites pour la baise. Tu es une femmelle en rut. Mes potes vont se vider sur toi. Ensuite tu seras à moi. Je vais te marquer. Chaque fois que je le voudrais, quel que soit le lieu ou l'heure, tu te donneras pour mon plaisir.
- Oui je suis à toi, mais je t'en supplie prend moi, appaise moi. Je suis complètement folle de sexe. Je vais éclater si tu n'interviens pas !
- Finis en avec eux d'abord !

Les mecs me besognent je ne sais combien de temps. Puis chacun son tour ils s'extirpent de mes trous, les laissant béants. Ils se vident sur ma figure. Hors le bandeau, je sens que je suis couverte de foutre.

Je suis relevée. Je sens les grandes mains de Mamadou sur ma taille. Il est dans mon dos. Il me fait m'asseoir en penchant mon buste en avant. Je comprends. J'hâte le contact. Ça y est !
- Viens, je t'en supplie ! Remplis moi ! Je brûle !
- Empale toi ! Crie ton désir, hurle que tu es là pour le plaisir de l'homme, mon plaisir !
- OUI ! Ô ! OUI ! Je m'empale sur toi. Je te veux au fond de moi. Prends ton plaisir, prends moi, je suis à toi !

J'ondule sur cette énorme barre de chair qui est en moi. Je me trémousse, je bouge mon bassin. Je suis hystérique.
On me suce le sein. Une décharge électrique relie ma poitrine à mon sexe. Je suis tétanisée par la jouissance, prise de convulsions ! J'entends mon maître rire, d'un rire à faire trembler les murs. Il me fait monter et descendre sur son membre. Tout mon corps jouit. Mes bras, mes doigts, mes oreilles, mes dents... Je sens que mon vagin ruisselle, mais le sexe qui m'emplit l'obstrue.
Le colosse noir se retire de moi, alors mon liquide de jouissance se répand coule le long de mes cuisses.
- Non encore !
- Donne moi ton cul maintenant !
- Oui, prends le, il est pour toi !
Il me positionne en levrette, sur les avant bras.
- Tu as le sexe tout ouvert ! Maintenant je vais t'ouvrir le cul ! Quand je jouirai, je te marquerai d'un signe définitif. C'est le sceau de ton appartenance aux hommes noirs. Tu ne pourras pas te refuser à eux.
Tu es d'accord ?
- Tout ce que tu veux, mais je t'en supplie prends moi ! Je vais perdre la raison si tu n'éteinds pas le feu en moi !
Alors il m'a littéralement embrochée ! Alternant violence et douceur. Il me défonce et il me prend tendrement.
J'ai perdu conscience plusieurs fois. Mais sa fougue me réveille.
Il se cabre et déverse un flot de sperme.
Il me relève. Je pense qu'il est assis dans un fauteuil. Je suis à genoux devant lui. Je le suce, le lèche. Il vient au fond de ma gorge.
Je me rends compte que mon corps se calme.
- Tu as été une bonne fille blanche. Je vais te féconder la chatte puis tu me nettoieras. Après on te ramenera chez toi.
Il me soulève contre son corps. Je glisse. Je m'agrippe à son cou. Son énorme mandrin s'enfonce en moi.
- Embrasse moi je t'en prie.
Il baisse la tête et sa langue m'envahit... Je suis au septième ciel. Je râle de plaisir. Je sens sa semence dans mon vagin. Nous restons ainsi, longtemps, tendrement.
Puis il me soulève pour me desemboiter de lui, me pose à terre. Je caresse de mes mains l'objet de tant de jouissance. J'embrasse et gobe ses testicules, puis je lèche sa tige, son gland jusqu'à ce qu'il n'y ait plus trace de nos ébats !

Je suis triste. Très lasse, érintée, je m'écroule sans force...
Soudain une terrible douleur au bas de mon dos. Je sens une odeur de brûlé...