Martine 6
Récit érotique écrit par il69l [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de il69l ont reçu un total de 36 006 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 565 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Martine 6
J'ai un "petit copain". En fait c'est un collègue de boulot. Il est marié et je ne souhaite pas "casser son couple". Il m'a un ému. Il m'a paru paumé. Je lui ai trouvé du charme. J'ai vite compris que je lui plaisais. Mais il est plutôt coincé et il a presque fallu que je l'amène dans un endroit isolé pour qu'après un temps"infini", il m'embrasse. Comme un ado, il est passionné et fort maladroit.
C'est une des choses qui me plaisent chez lui. La première fois que nous avons couché ensemble c'était agréable parce qu'il paraissait émerveillé de me tenir dans ses bras. Il me donnait l'impression d'être une star.
Ce qui m'ennuie c'est qu'il culpabilise presque tout le temps. Il voudrait tenir ma main dans la rue, me prendre par la taille au vue et au su de tout le monde. Mais je ne crois pas qu'il puisse se séparer de sa femme.
Il aime la lingerie. Il est émoustillé par mes guêpières ! J'ai essayé de lui faire comprendre que je suis sensible au niveau du "point G", que j'aimerais qu'il me sodomise. Mais il n'ose pas et moi l'y amener ça éteint mon désir.
Au travail nous nous isolons quelques secondes pour nous embrasser, nous échangeons des SMS. Il a fini par me dire :"Je t'aime" ! Je sais que ça lui a été difficile, parce qu'il ne l'a pas dit en l'air.
Il ne peut pas m'accompagner en boîte. Il ne sort pas ; famille oblige. J'ai essayé de lui montrer quelques pas, mais il est "fâché avec son corps" comme il dit, et c'est assez vrai...
Je mesure l'écart entre mes trois vies.
La première je suis une femme seule, avec un garçon adulte à la maison. Je travaille, je fais mes courses...
La seconde j'ai un petit copain, un "gentil" amant. Nous vivons cette relation cachés et nous croisons au travail en espérant ne pas éveiller les soupçons.
La troisième... Ça m'est tombé dessus. Je suis honteuse. Elle est incompatible avec les deux autres. J'essaie de m'en extraire. Mais si je peux décider de ne plus faire ces choses, je crains de ne pouvoir résister quand la situation va se présenter à moi ! En fait je suis complètement accro ! Rien que d'y penser, je sens l'excitation monter, je mouille !
Il faut que je vive m'a dit une copine à qui je n'ai pas raconté toute la réalité.
...
Quelques jours plus tard j'ai envie d'aller danser. Je suis folle.
- Tu as vu où ça t'a menée ? Me dis-je.
Quand je suis calme, cette aventure m'écoeure, me fait honte. Mais si je laisse mes pensées s'y attarder, je sens des piqotements dans mon ventre.
Bien sûr je n'irai pas dans la boîte où je risque de rencontrer le mec qui m'a entraîné dans tout ça.
Anxieuse quand même, j'essaie une nouvelle boîte. Je sais qu'on y trouve de vrais danseurs. Je n'y suis jamais allée et compte la dessus pour ne pas faire de mauvaises rencontres.
Il est tard quand j'entre. Je pourrais mieux me fondre dans la masse.
J'observe le monde autour de moi. Plutôt mûrs dans l'ensemble, quelques plus jeunes. Évidemment beaucoup plus d'hommes que de femmes !
- Vous dansez ?
Très "monde d'avant". J'hésite. Son approche très correct me plaît. Il est un peu plus âgé que moi, plus de la la cinquantaine . Compte tenu de mes récentes mésaventures, ça me rassure. J'accepte.
J'ai de la chance. Il est prévenant, sachant qu'on ne se connait pas, il danse sobrement. Il me suggère des passes, il m'invite. Ça me plaît. Nous enchaînons plusieurs danses. Petit à petit je m'engage dans des pas plus sophistiqués, il répond.
Il est très bien éduqué. Il ne profite pas des moments où nous nous frolons. Pas de gestes déplacés : Un gentleman !
Enfin il me raccompagne vers le bord de la piste.
- Patrick, me dit-il.
- Martine.
- Enchanté ! Vous dansez merveilleusement. C'est très agréable d'être votre partenaire. Je ne vous ai jamais vu ici, pourtant vous pratiquez régulièrement ça se voit ! Vous n'êtes pas de Marseille ?
- C'est une longue histoire... J'ai aussi apprécié.
- Puis je vous offrir un verre ?
- Volontiers. Un whisky Coca.
- J'y vais, vous serez encore là quand je reviens ?
- Bien sûr, pour qui me prenez vous ?
- Je vous prie de m'excuser...
Quelques instants plus tard il est de retour avec les verres. Il nous trouve un coin pour nous assoir. Il est vraiment sympa. J'ai de la chance. Je l'écoute. Il parle un peu de lui, me pose des questions sur moi, n'insiste pas quand je ne réponds pas.
Je suis bien. Je ne croyais pas que mon "retour sur terre" serait si cool.
Une main ferme m'agrippe le bras et me contraint à me lever.
- Excuse la un moment, je dois lui parler, dit un grand noir à Patrick.
- Il vous importune ? me demande ce dernier.
J'hésite. J'ai peur. Je vais dire à mon partenaire de venir à mon secours... Mais déjà je faiblis. Je me ramollis. Je sens des piqotements dans mon ventre. Je regarde le visage du black, je ne peux empêcher mes yeux de fixer son entrejambe.
- Non, tout va bien Patrick, c'est un ami. Si vous avez la patience de m'attendre à plus tard, sinon à une autre fois...
Le mec m'entraîne hors de la boîte. Il bifurque et nous voilà derrière les voitures.
- J'ai senti ce que tu es. En plus j'ai vu le signe sur tes reins quand tu dansais. Baisse toi et commence par me sucer !
Je défais son pantalon. Je suis déjà tremblante. Hummm ! Une belle bite noire ! Je la caresse avec mes mains, je soupèse ses bourses. Je lèche le gland. Je remonte toute la tige avec ma langue.
Je pense que pour un drogué accro ça doit être la même chose. Lui c'est la seringue, moi c'est ce phallus noir !
À partir de maintenant il peut faire ce qu'il veut de moi ! Je suis tellement excitée que je pourrais jouir sans qu'il ne me touche !
Il me relève, me retourne, descend mon shorty. Ma culotte vient avec. Il me pousse sur le capot de la voiture. Pour mieux me cambrer pour le recevoir, j'écrase mes seins sur la tôle. De cette façon mon con et mon cul sont offerts !
Il ne tergiverse pas. Il se plante au fond de mon vagin.
- Rhaaaaa ! Hummm ! Oui !
Je passe ma main entre mes jambes pour attraper ses couilles. Je les malaxe pendant qu'il me besogne. C'est incroyablement bon ! Je ne sens plus rien d'autre que sa bite en moi !
- Tu es bonne, pute blanche. Tu n'es pas seulement mouillée, tu ruisselles ! Je vais te balancer ma sauce !
- Déjà !! Non encore !
- Attends, j'appelle deux potes, tu auras ton compte comme ça !
Il passe un rapide coup de téléphone.
Il me fait retourner face à lui. Il me roule une pelle monumentale, puis me fait nettoyer son sexe.
J'en suis là quand ses copains arrivent.
- Bouge pas salope !
Je quitte le sexe propre et me jette sur le suivant. Je palpe les bourses. J'aime ça. C'est de là que va jaillir le foutre qui honore ma prestation.
Des mains me font relever les fesses. Comme ça je suis à hauteur pour recevoir le troisième larron. Et je le reçois ! Pas mal membré ! Je le sens bien ! Il me laboure. Je comprends qu'on n'est pas dans un plan à se donner mutuellement du plaisir. C'est juste le leur. Mais le mien, ce qui me fait jouir, c'est d'être leur jouet. Faire éjaculer une bite noire ça me rend folle. Que ça soit dans mon vagin, dans mon cul, dans ma bouche, dans mes mains sur mon visage : j'ai un véritable orgasme !
Ça tombe bien parce que mes deux lascars ne se préoccupent guère de moi. Ils inversent leur place. Derrière moi, le vien change de trou. Il s'introduit sans ménagement. Ça me fait mal, mais j'aime ça !
J'entends qu'ils vont me lâcher leur purée. Ils grognent et je reçois leur foutre. J'en ai dans tous les trous. J'avale ce qui se trouve dans ma bouche, mais le reste coule le long de mes cuisses.
Ils sont déjà partis.
Je m'essuie avec mon shorty. Je remets ma culotte et je rentre dans la boîte.
Je cherche Patrick du regard sans grand espoir. Je n'ai aucune idée du temps passé. À ces moments là je perds tout mes repères.
Ne l'apercevant pas, je décide de rentrer chez moi. Je m'approche de ma voiture quand je l'entends derrière moi.
- Martine !? Tu allais partir sans me dire au revoir ?
- Je suis très fatiguée. Laisse moi ton numéro, je t'appellerai.
Je vois bien qu'il est surpris.
Je prends une douche chaude et à peine coucher je sombre dans le sommeil.
...
C'est une des choses qui me plaisent chez lui. La première fois que nous avons couché ensemble c'était agréable parce qu'il paraissait émerveillé de me tenir dans ses bras. Il me donnait l'impression d'être une star.
Ce qui m'ennuie c'est qu'il culpabilise presque tout le temps. Il voudrait tenir ma main dans la rue, me prendre par la taille au vue et au su de tout le monde. Mais je ne crois pas qu'il puisse se séparer de sa femme.
Il aime la lingerie. Il est émoustillé par mes guêpières ! J'ai essayé de lui faire comprendre que je suis sensible au niveau du "point G", que j'aimerais qu'il me sodomise. Mais il n'ose pas et moi l'y amener ça éteint mon désir.
Au travail nous nous isolons quelques secondes pour nous embrasser, nous échangeons des SMS. Il a fini par me dire :"Je t'aime" ! Je sais que ça lui a été difficile, parce qu'il ne l'a pas dit en l'air.
Il ne peut pas m'accompagner en boîte. Il ne sort pas ; famille oblige. J'ai essayé de lui montrer quelques pas, mais il est "fâché avec son corps" comme il dit, et c'est assez vrai...
Je mesure l'écart entre mes trois vies.
La première je suis une femme seule, avec un garçon adulte à la maison. Je travaille, je fais mes courses...
La seconde j'ai un petit copain, un "gentil" amant. Nous vivons cette relation cachés et nous croisons au travail en espérant ne pas éveiller les soupçons.
La troisième... Ça m'est tombé dessus. Je suis honteuse. Elle est incompatible avec les deux autres. J'essaie de m'en extraire. Mais si je peux décider de ne plus faire ces choses, je crains de ne pouvoir résister quand la situation va se présenter à moi ! En fait je suis complètement accro ! Rien que d'y penser, je sens l'excitation monter, je mouille !
Il faut que je vive m'a dit une copine à qui je n'ai pas raconté toute la réalité.
...
Quelques jours plus tard j'ai envie d'aller danser. Je suis folle.
- Tu as vu où ça t'a menée ? Me dis-je.
Quand je suis calme, cette aventure m'écoeure, me fait honte. Mais si je laisse mes pensées s'y attarder, je sens des piqotements dans mon ventre.
Bien sûr je n'irai pas dans la boîte où je risque de rencontrer le mec qui m'a entraîné dans tout ça.
Anxieuse quand même, j'essaie une nouvelle boîte. Je sais qu'on y trouve de vrais danseurs. Je n'y suis jamais allée et compte la dessus pour ne pas faire de mauvaises rencontres.
Il est tard quand j'entre. Je pourrais mieux me fondre dans la masse.
J'observe le monde autour de moi. Plutôt mûrs dans l'ensemble, quelques plus jeunes. Évidemment beaucoup plus d'hommes que de femmes !
- Vous dansez ?
Très "monde d'avant". J'hésite. Son approche très correct me plaît. Il est un peu plus âgé que moi, plus de la la cinquantaine . Compte tenu de mes récentes mésaventures, ça me rassure. J'accepte.
J'ai de la chance. Il est prévenant, sachant qu'on ne se connait pas, il danse sobrement. Il me suggère des passes, il m'invite. Ça me plaît. Nous enchaînons plusieurs danses. Petit à petit je m'engage dans des pas plus sophistiqués, il répond.
Il est très bien éduqué. Il ne profite pas des moments où nous nous frolons. Pas de gestes déplacés : Un gentleman !
Enfin il me raccompagne vers le bord de la piste.
- Patrick, me dit-il.
- Martine.
- Enchanté ! Vous dansez merveilleusement. C'est très agréable d'être votre partenaire. Je ne vous ai jamais vu ici, pourtant vous pratiquez régulièrement ça se voit ! Vous n'êtes pas de Marseille ?
- C'est une longue histoire... J'ai aussi apprécié.
- Puis je vous offrir un verre ?
- Volontiers. Un whisky Coca.
- J'y vais, vous serez encore là quand je reviens ?
- Bien sûr, pour qui me prenez vous ?
- Je vous prie de m'excuser...
Quelques instants plus tard il est de retour avec les verres. Il nous trouve un coin pour nous assoir. Il est vraiment sympa. J'ai de la chance. Je l'écoute. Il parle un peu de lui, me pose des questions sur moi, n'insiste pas quand je ne réponds pas.
Je suis bien. Je ne croyais pas que mon "retour sur terre" serait si cool.
Une main ferme m'agrippe le bras et me contraint à me lever.
- Excuse la un moment, je dois lui parler, dit un grand noir à Patrick.
- Il vous importune ? me demande ce dernier.
J'hésite. J'ai peur. Je vais dire à mon partenaire de venir à mon secours... Mais déjà je faiblis. Je me ramollis. Je sens des piqotements dans mon ventre. Je regarde le visage du black, je ne peux empêcher mes yeux de fixer son entrejambe.
- Non, tout va bien Patrick, c'est un ami. Si vous avez la patience de m'attendre à plus tard, sinon à une autre fois...
Le mec m'entraîne hors de la boîte. Il bifurque et nous voilà derrière les voitures.
- J'ai senti ce que tu es. En plus j'ai vu le signe sur tes reins quand tu dansais. Baisse toi et commence par me sucer !
Je défais son pantalon. Je suis déjà tremblante. Hummm ! Une belle bite noire ! Je la caresse avec mes mains, je soupèse ses bourses. Je lèche le gland. Je remonte toute la tige avec ma langue.
Je pense que pour un drogué accro ça doit être la même chose. Lui c'est la seringue, moi c'est ce phallus noir !
À partir de maintenant il peut faire ce qu'il veut de moi ! Je suis tellement excitée que je pourrais jouir sans qu'il ne me touche !
Il me relève, me retourne, descend mon shorty. Ma culotte vient avec. Il me pousse sur le capot de la voiture. Pour mieux me cambrer pour le recevoir, j'écrase mes seins sur la tôle. De cette façon mon con et mon cul sont offerts !
Il ne tergiverse pas. Il se plante au fond de mon vagin.
- Rhaaaaa ! Hummm ! Oui !
Je passe ma main entre mes jambes pour attraper ses couilles. Je les malaxe pendant qu'il me besogne. C'est incroyablement bon ! Je ne sens plus rien d'autre que sa bite en moi !
- Tu es bonne, pute blanche. Tu n'es pas seulement mouillée, tu ruisselles ! Je vais te balancer ma sauce !
- Déjà !! Non encore !
- Attends, j'appelle deux potes, tu auras ton compte comme ça !
Il passe un rapide coup de téléphone.
Il me fait retourner face à lui. Il me roule une pelle monumentale, puis me fait nettoyer son sexe.
J'en suis là quand ses copains arrivent.
- Bouge pas salope !
Je quitte le sexe propre et me jette sur le suivant. Je palpe les bourses. J'aime ça. C'est de là que va jaillir le foutre qui honore ma prestation.
Des mains me font relever les fesses. Comme ça je suis à hauteur pour recevoir le troisième larron. Et je le reçois ! Pas mal membré ! Je le sens bien ! Il me laboure. Je comprends qu'on n'est pas dans un plan à se donner mutuellement du plaisir. C'est juste le leur. Mais le mien, ce qui me fait jouir, c'est d'être leur jouet. Faire éjaculer une bite noire ça me rend folle. Que ça soit dans mon vagin, dans mon cul, dans ma bouche, dans mes mains sur mon visage : j'ai un véritable orgasme !
Ça tombe bien parce que mes deux lascars ne se préoccupent guère de moi. Ils inversent leur place. Derrière moi, le vien change de trou. Il s'introduit sans ménagement. Ça me fait mal, mais j'aime ça !
J'entends qu'ils vont me lâcher leur purée. Ils grognent et je reçois leur foutre. J'en ai dans tous les trous. J'avale ce qui se trouve dans ma bouche, mais le reste coule le long de mes cuisses.
Ils sont déjà partis.
Je m'essuie avec mon shorty. Je remets ma culotte et je rentre dans la boîte.
Je cherche Patrick du regard sans grand espoir. Je n'ai aucune idée du temps passé. À ces moments là je perds tout mes repères.
Ne l'apercevant pas, je décide de rentrer chez moi. Je m'approche de ma voiture quand je l'entends derrière moi.
- Martine !? Tu allais partir sans me dire au revoir ?
- Je suis très fatiguée. Laisse moi ton numéro, je t'appellerai.
Je vois bien qu'il est surpris.
Je prends une douche chaude et à peine coucher je sombre dans le sommeil.
...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par il69l
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ceci est une histoire. Les fantasmes n'ont que faire des nécessités et des règles, ces "tuent-l'amour". Si je lis l'histoire de ce que je fais ça n'a guère d'intérêt.
Dis c'est toi Martine qui a écrit le méchant commentaire ?
Dis c'est toi Martine qui a écrit le méchant commentaire ?
J'écris cette histoire que Martine m'a racontée. Il n'est écrit nul part qu'il n'est pas fait usage de préservatifs.
C'est un attrait assez répandu que le plaisir dans la domination, la soumission.
Mais chacun son ou ses plaisirs, dans le cadre de personnes majeures et consentantes...
C'est un attrait assez répandu que le plaisir dans la domination, la soumission.
Mais chacun son ou ses plaisirs, dans le cadre de personnes majeures et consentantes...
Donc elle est assez taree pour niquer sans capotes et se faire tatouer sans rien savoir sérieux !!!
Quand aux casos on est en 2023 il serait temps de le comprendre histoire de ne pas traiter les femmes comme de la merde.
Quand aux casos on est en 2023 il serait temps de le comprendre histoire de ne pas traiter les femmes comme de la merde.
Un délice