Martine 7 - histoire érotique

...
J'ouvre les yeux...

Ça n'est pas possible ! C'est un cauchemar ! Ma vie plonge dans un tunnel obscur. Je perds le contrôle.

Je ne suis pas une féministe enragée, mais je ne supporte pas qu'on nous fasse du tord ! Je méprise les mecs qui pensent que leur cerveau est directement connecté à leur bite ! ...

Que m'arrive t-il ? Je n'ai pas honte d'aimer baiser, mais me voilà à présent complètement asservie aux désirs sexuels de mecs qui ne me sont rien ! Je suis leur jouet, leur sextoy !
Ce qui me donne la nausée c'est qu'à un moment mon corps me trahit. Je me comporte en chienne ! On n'a même pas besoin de me contraindre. Je suis comme un drogué en manque capable de vendre père et mère pour une dose !

Je suis une femme qui sait se tenir. Je ne fais pas honte à mes amis en public...
Mais quand l'image d'un sexe noir prend place dans ma tête je deviens folle !
Je ne cherche pas le plaisir dans le coït, le contact, le frottement des chaires. Non ! Je hurle d'un plaisir douloureux quand je fais jouir, quand le sperme d'une bite noire s'épanche !
Je suis envoûtée !

Je vais me reprendre. Je vais éviter les situations à risques pendant un certain temps jusqu'à ce que mes tensions intérieures se calment.

... Tiens, un SMS !
Ça doit être Véro, ma copine. Elle va m'aider à sortir de cette spirale infernale.

-"Salut ma poupée blanche ! Tu vas venir me voir. Je t'envoie l'adresse. Soit là à 22 heures. Fais toi belle !"
Mamadou

Ô non ! ... Je n'irai pas !

Je vais penser à autre chose. J'allume la télé. Une émission animalière en Afrique... Les gardes du parc sont des locaux. Putain, ils sont bien foutus ! Je commence à m'imaginer en safari. La halte, à la nuit tombée. Je me glisse sous la tente des guides. Je cherche leurs membres dans les sacs de couchage. Il s'en suit 2 heures de folie. Ils m'en mettent partout...
Mais merde ! STOP !

Je change de chaîne. Un match de foot. C'est pas vraiment mon truc. Mais y a pas à dire, y a de beaux mâles blacks ! Je me verrais bien les accompagner dans les vestiaires ! ...

Vite, une autre chaîne : Un reportage sur Cuba. Mais tout le monde s'est ligué contre moi ! Il y a des centaines de mâles ! J'en mourrais si j'y habitais ! ...

Un nouveau SMS !
-" Viens plus tôt, je veux te présenter à quelques potes ! Ne me fait pas attendre !"

Il faut que je résiste !


À 21 heures 30, coup de sonnette...

- Oui ?
- On vient te chercher.
- Qui êtes vous ?
- Mamadou n'est pas content ! Tu vas être en retard. Si tu n'es pas en bas dans 5 minutes on monte !

Je vais appeler la police. Non, ils ne me comprendront pas. Véro. . Mais que pourra-t-elle faire ?!
Je vais y aller et lui dire que l'autre fois c'était bien, mais c'était juste une expérience. Ça n'est pas mon truc. J'ai une vie rangée qui me convient tout à fait . Voilà je vais faire ça !

Quelques minutes plus tard je suis dans une voiture. Grand luxe. Sièges en cuir, confort. Je suis montée à l'avant.
Le conducteur se frotte l'entrejambe régulièrement. Je ne peux m'empêcher de le regarder. Je me rends compte qu'il a vu que je l'observais. Il a un petit sourire en coin.
- On ne se refait pas hein !!

Il stoppe la voiture près d'une immense maison.
...

Salut ma poule blanche !
Enfin je le vois ! Il est bien bâti, c'est un athlète, mais... Je ne le reconnais pas vraiment. Bien sûr je ne l'ai jamais vu, mais sa voix, son assurance, son autorité, je ne les ressens pas comme l'autre jour. C'est sûrement parce qu'ils m'avaient drogués les salauds ! En fait sans ça ils n'auraient pas pu profiter de moi. Je n'étais pas dans mon état normal. J'aime faire l'amour, mais avec un partenaire que j'ai choisi. Je préfère l'affection à la technique. Je ne suis pas cette trainée qu'ils ont fait de moi avec leurs produits chimiques.

Il me fait entrer dans une grande pièce. Une dizaine d'hommes sont assis dans des fauteuils. Je suis surprise : près de la moitié sont blancs.
- Vient ma belle.
Il me conduit par la main. Il se laisse tomber dans un fauteuil.
- Assies toi.
Je ne vois aucune place...
- Où ?
- Sur mes genoux.
- Il n'en est pas question !
Je suis soudain attrapée, littéralement balancée sur ses genoux, ma robe est relevée, mon shorty baissé, entraînant ma culotte. Je me retrouve les fesses à l'air devant tout ces hommes. Une main me maintient les bras de telle façon que mon visage se trouve enfoncé à hauteur du sexe de l'homme et la fessée commence !
J'ai mal. Les coups sont violents. Mais je trouve le temps de sentir le sexe durcir dans le pantalon sous mon visage. Je suis en train de basculer. La douleur passe au second degré.
La fessée a cessée. Je ne m'en suis même pas rendu compte.
- Tu es vraiment une chienne blanche ! Tu es déjà toute mouillée ! Tu me fais honneur, c'est bien. Ces messieurs apprécient ta fente qui suinte.
Nous allons jouer. Tu vas goûter toutes nos bites et tu nous diras celles qui sont noires et les autres !

On me met un bandeau. On me retire ma robe puis je comprends qu'on me passe une guêpière, des bas qui y sont clippés. Un collier large est passé à mon cou.

- Te voilà prête pour ta prestation ! Allez, on commence !

Par la laisse qui tire sur mon collier je suis positionnée à genoux sur un fauteuil, chevilles sur un accoudoir, cou sur l'autre.
- Que penses tu de celle là ?
Un sexe s'introduit dans ma bouche.
Ça ne me fait aucun effet.
- Une autre...
- Voyez cette coquine ! Elle se trémousse. Elle a reconnu la force noire !
Après quelques autres "tests" ...
- C'est trop facile pour elle. On va tester ses connaissances par l'autre côté !
Un premier gland se positionne à l'entrée de ma grotte... Il force un peu. J'essaie de résister, mais comment le pourrais je !?
Je subis. Ma réaction ne leur laisse pas de doute.
- Monsieur n'en est pas ! Suivant.
Un nouveau sexe s'introduit en moi. C'est incroyable ! Mon corps s'enflamme aussitôt. Le membre dur, fiché dans mon vagin reste immobile. Je gémis d'impatience. Je bouge mon bassin.
- Vient ! Tire moi !
- Excellent ! Le moment n'est pas venu de t'ensemencer. Suivant !

Tout les hommes présents s'immiscent en moi : Je n'ai même pas besoin de parler ; chaque fois que le membre n'est pas noir, la pénétration m'est pénible, désagréable, douloureuse, mais quand c'est une bite d'ébène je fonds.

- Le résultat est sans appel ! C'est une chienne à blacks ! Avant d'aller s'amuser, je vais vous faire assister à une scène extraordinaire. Asseyez vous...

À ce moment j'entends une voix... SA voix !
- Viens ma petite chienne blanche.
Je me précipite vers lui. Je heurte un meuble et tombe. Je me relève aussitôt.
- Où ?
- Ici.
Je reprends ma course, en aveugle, mains en avant, et je le touche !
Je tremble. Mes doigts parcourent son torse si fort.
Alors, sans aucune retenue, aucune pudeur, je me jette à son cou. Je sens son odeur. Je lèche sa peau. Je pousse de petits gémissements. Je cherche ses lèvres qui viennent à ma rencontre. Sa langue prend possession de ma bouche. Je sens son pouce en moi. Je m'empale sur lui. Je hurle ma jouissance dans sa gorge...
J'entends confusément des rires et des applaudissements. Je n'en ai que faire.

Il marche. Je m'agrippe à lui. Il me parle à l'oreille.
- Tu vas me faire honneur hein ?
- Oui, je suis à toi.
- Tu feras comme je te dis.
- Oui
- Pense toujours que tu le fais pour moi. J'ai d'autres chiennes et tu dois bien t'entendre avec elles.
Je suis triste de devoir le partager. Mais je redoute plus encore qu'il me rejette...