Martine 7
Récit érotique écrit par il69l [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Martine 7
...
Nous entrons dans une grande salle. Il y a beaucoup de monde. On dirait un genre de boîte.
Mamadou me pose sur le sol au milieu de coussins. Plusieurs femmes en tenues suggestives m'entourent. Elles me regardent. Certaines sourient avec quelque chose de mauvais dans les yeux.
Je suis inquiète, terrorisée !
Mamadou a dit "Tu vas sur la scène et tu baises avec l'autre femme"
- Non , je ne veux pas !
Je vois le regard de mon maître sur moi. Il est dur, terrible ! Je comprends que si je refuse je lui ferai honte et alors il sera obligé de me corriger !
Je me lève. Une autre femme, blanche, d'à peu près mon âge vient vers moi. Son attitude me fait penser qu'elle est dans la même situation. On nous met dans la main une espèce de sexe en caoutchouc. C'est comme un godemiché mais ses deux extrémités se terminent par un gland. Je n'en ai jamais vu de pareil. On nous pousse vers la scène. Nous y allons, nous tenant par ce sextoy.
Sur la scène un lit. Pas de draps, il est recouvert d'un revêtement plastifié. Les projecteurs m'aveuglent. Des cris fusent de la salle...
- Allez les putes blanches roulez vous des pelles !
La femme et moi nous regardons, désemparées.
- MAINTENANT !
Nous avons reconnu SA voix ! Elle nous fait trembler. Nous gardons chacune notre main sur le gode monstrueux et de l'autre nous nous étraignons. Nos visages se rapprochent. Les yeux dans les yeux nous lisons chez l'autre l'angoisse de ce qui nous attend. Jusqu'à où devrons nous aller ?!
Nos bouches se rencontrent. Nous voulons nous soutenir mutuellement, la fraternité des femmes contraintes.
- Celle des deux qui plaira le plus passera la soirée avec moi, l'autre sera battue et jetée en pâture aux heureux gagnants du tirage !
Le maître a parlé ! Le temps de comprendre ce que cela implique et la complicité, la solidarité ont disparues ! C'est une lutte "à mort" !
- Il y a des caméras un peu partout, soignez les détails, les spectateurs en veulent pour leur argent !
Nous voyons un écran géant au dessus de nous. Il fait un gros plan sur nos mains reliées par le sexe en caoutchouc. Puis nouveau gros plan sur nos visages...
La femme m'attrape par les cheveux, brutalement et me roule une pelle. Sa langue rentre dans ma bouche. Je suis désarçonnée, je n'ai jamais embrassé une fille. Elle écarte un peu ses lèvres des miennes tout en laissant sa langue. L'écran saisit la scène qui plaît.
Sa main libre me claque une fesse. Elle frappe fort, pour faire mal ! Les cris me font comprendre qu'elle plaît ! Je vais être battue et surtout être loin de mon maître !
Je la pousse violemment sur le lit. Je serre sa gorge de toutes mes forces pour l'immobiliser. Je lèche puis suce ses seins.
Cette fois les clameurs sont en ma faveur !
Je lache son cou et descends entre ses jambes. Aussitôt ma langue cherche son clito. Elle est surprise. J'introduis un doigt dans son vagin. Il est sec. Je crache sur sa vulve puis aspire son bouton. Ça commence à venir. Elle ne peut empêcher un gémissement. Il y a des micros, toute la salle a entendu. Je marque des points !
La salope sert tout à coup ses cuisses sur ma tête. Elle m'emprisonne. Je ne sais pas comment elle fait, mais je sens qu'elle s'est redressée. Elle me fesse le cul. Elle m'ouvre la raie. S'il y a une caméra dans cet angle, tout le monde a une vue imprenable sur mon con et ma rosette !
Elle rentre brutalement deux doigts dans ma chatte. Elle fait quelques va et vient et, sans crier gare, les plantent dans mon cul ! Elle me fait mal. Le public apprécie !
Les mecs hurlent.
Je sens soudain quelque chose qui me pénètre. Ça ne sont plus les doigts... C'est le double gode ! La salope, elle ne perd pas de temps. Elle est plus lucide que moi.
Quoi faire ? Me débattre ? Je crains que ça ne déplaise à mon maître... Et au public !
Je vais au contraire jouer. J'ai déjà vu ce genre de scènes dans un film porno. Je ne pensais pas en être réduite à ça un jour !
Je me trémousse du cul. Je gémis assez fort à chaque enfoncement du sextoy.
- Houai ! Ça c'est de la bonne pute blanche !
- Mets lui aussi dans le cul !
Je crois que je reprends la main...
Cette garce les prend au mot. Sans sortir le gode de mon vagin, elle plaque l'autre extrémité sur mon œillet.
- Cambre toi bien salope !
- Regarde toi. Voit ton cul et ton con s'ouvrir !
Je lève la tête et je me vois ! C'est au delà de l'indécence. L'écran est partagé en deux. Sur une partie on voit mon visage en gros plan, mes yeux incrédules. Sur l'autre, mes reins cambrés, mes lèvres forcées épousant la forme du sexe en caoutchouc qui me pénètre et le gland à l'entrée de mon cul !
Elle crache sur ma rosette puis appuie. Ça me fait mal. Je sens que mon sphincter va laisser passer l'objet. Je n'oublie pas que c'est une compétition et que j'ai beaucoup à perdre. J'essaie de rendre mon visage expressif. Je roule des yeux. J'ouvre grand la bouche et je râle !
- Quelle chienne !
- Faut qu'elle perde que j'lui mette ma bite !
Ahhhh ! Mes deux trous sont pris ! Je n'éprouve aucun plaisir, mais je bouge ma croupe. Je geins. Je simule.
La fille bouge. Sans retirer le gode, elle se glisse sous moi et en reprenant le mouvement de va et vient du sextoy, elle me lèche et m'aspire le clito.
Tout en agitant mon bassin pour amplifier la pénétration, j'approche ma bouche de sa vulve et lui rend son cuni..
Je n'ai jamais fait ça, même dans l'intimité ! ...
Tout à coup la lumière s'éteint sur la scène. Nous sommes dans le noir. Des mains robustes nous attrapent et nous séparent. Je ne peux pas me relever à cause de l'objet dans mes orifices.
On me passe un gros collier. Quelqu'un tire sur ma laisse. Je suis à quatre pattes, les cuisses écartées j'avance tant bien que mal ; je suis grotesque avec le gode toujours en place. Un projecteur nous prend dans son faisceau. Nous sommes conduites devant une espèce d'instrument de torture. Avant que je n'ai compris de quoi il retourne je suis liée au niveau des poignets et des chevilles.
- Chers amis, c'est vous qui allez décider. La rousse c'est Martine, la blonde c'est Marie. Celle qui vous a le plus fait bander sera pour vous. Mais comme les blancs ont fait avec nous, on la fouettera avant, pour lui rappeler qui sont ses maîtres !
L'autre sera fouettée aussi pour ne pas en avoir assez fait. Puis... Elle sera pour vous également !
- Les gagnants du tirage au sort, avancez !
- Alors laquelle vous a le plus chauffé ?
- Martine ! Martine ! Martine !
- Bien, vos désirs vont être satisfait !
Vous allez chacun votre tour lui donner un coup de fouet. Ici c'est les blancs qui sont esclaves ! La massacrez pas de trop si vous voulez qu'elle soit encore bien vive pour vous satisfaire !
La moitié des mecs m'entourent. Je suis terrorisée.
Mon maître s'approche.
- Tu dois être une gagnante. Tu le fais pour moi ! Si tu bosses bien je m'occuperai de toi après. Ne me déçois pas !
Il me fait boire à la paille. Je reconnais la boisson poivrée...
Le premier mec, un vieux black qui paraît avoir plus de la soixantaine, passe devant moi. Il sourit béatement. Apparremment il n'en revient pas de ce qu'il va s'offrir. Il tient une espèce de martinet avec de longues lanières.
- Putain, trop bon la salope blanche ! Je vais te remettre à ta place !
Il disparaît derrière moi... Je sais ce qui m'attend.
J'entends siffler le cuir avant d'en sentir la morsure sur mes fesses.
-Aïe !
Les hommes rient.
Un autre. Plus jeune.
- Tu es à ta place. Les femmes doivent donner du plaisir à l'homme. Les femmelles blanches doivent crier leur soumission à la queue noire... Et tu vas crier !
Il passe derrière...
À nouveau le sifflement et la griffure des lanières.
- Dis que tu es là pour notre plaisir. Que tu es faites pour être prise violemment par les vrais mâles !
Je ne sais pas ce qui me prend..
- Oui, je suis là pour mon maître et il me donne à vous...
Une quinzaine de types de tous âges m'ont fouettée. Les fesses me brûlent, mais je sens en même temps mes nerfs tendus à se rompre. J'en veux plus, plus fort. Je tortille mon cul, j'appelle les mâles ! J'ai croisé le regard de Mamadou. Il m'a fait un petit signe de la tête.
Allez y messieurs, faites vous plaisir !
...
Nous entrons dans une grande salle. Il y a beaucoup de monde. On dirait un genre de boîte.
Mamadou me pose sur le sol au milieu de coussins. Plusieurs femmes en tenues suggestives m'entourent. Elles me regardent. Certaines sourient avec quelque chose de mauvais dans les yeux.
Je suis inquiète, terrorisée !
Mamadou a dit "Tu vas sur la scène et tu baises avec l'autre femme"
- Non , je ne veux pas !
Je vois le regard de mon maître sur moi. Il est dur, terrible ! Je comprends que si je refuse je lui ferai honte et alors il sera obligé de me corriger !
Je me lève. Une autre femme, blanche, d'à peu près mon âge vient vers moi. Son attitude me fait penser qu'elle est dans la même situation. On nous met dans la main une espèce de sexe en caoutchouc. C'est comme un godemiché mais ses deux extrémités se terminent par un gland. Je n'en ai jamais vu de pareil. On nous pousse vers la scène. Nous y allons, nous tenant par ce sextoy.
Sur la scène un lit. Pas de draps, il est recouvert d'un revêtement plastifié. Les projecteurs m'aveuglent. Des cris fusent de la salle...
- Allez les putes blanches roulez vous des pelles !
La femme et moi nous regardons, désemparées.
- MAINTENANT !
Nous avons reconnu SA voix ! Elle nous fait trembler. Nous gardons chacune notre main sur le gode monstrueux et de l'autre nous nous étraignons. Nos visages se rapprochent. Les yeux dans les yeux nous lisons chez l'autre l'angoisse de ce qui nous attend. Jusqu'à où devrons nous aller ?!
Nos bouches se rencontrent. Nous voulons nous soutenir mutuellement, la fraternité des femmes contraintes.
- Celle des deux qui plaira le plus passera la soirée avec moi, l'autre sera battue et jetée en pâture aux heureux gagnants du tirage !
Le maître a parlé ! Le temps de comprendre ce que cela implique et la complicité, la solidarité ont disparues ! C'est une lutte "à mort" !
- Il y a des caméras un peu partout, soignez les détails, les spectateurs en veulent pour leur argent !
Nous voyons un écran géant au dessus de nous. Il fait un gros plan sur nos mains reliées par le sexe en caoutchouc. Puis nouveau gros plan sur nos visages...
La femme m'attrape par les cheveux, brutalement et me roule une pelle. Sa langue rentre dans ma bouche. Je suis désarçonnée, je n'ai jamais embrassé une fille. Elle écarte un peu ses lèvres des miennes tout en laissant sa langue. L'écran saisit la scène qui plaît.
Sa main libre me claque une fesse. Elle frappe fort, pour faire mal ! Les cris me font comprendre qu'elle plaît ! Je vais être battue et surtout être loin de mon maître !
Je la pousse violemment sur le lit. Je serre sa gorge de toutes mes forces pour l'immobiliser. Je lèche puis suce ses seins.
Cette fois les clameurs sont en ma faveur !
Je lache son cou et descends entre ses jambes. Aussitôt ma langue cherche son clito. Elle est surprise. J'introduis un doigt dans son vagin. Il est sec. Je crache sur sa vulve puis aspire son bouton. Ça commence à venir. Elle ne peut empêcher un gémissement. Il y a des micros, toute la salle a entendu. Je marque des points !
La salope sert tout à coup ses cuisses sur ma tête. Elle m'emprisonne. Je ne sais pas comment elle fait, mais je sens qu'elle s'est redressée. Elle me fesse le cul. Elle m'ouvre la raie. S'il y a une caméra dans cet angle, tout le monde a une vue imprenable sur mon con et ma rosette !
Elle rentre brutalement deux doigts dans ma chatte. Elle fait quelques va et vient et, sans crier gare, les plantent dans mon cul ! Elle me fait mal. Le public apprécie !
Les mecs hurlent.
Je sens soudain quelque chose qui me pénètre. Ça ne sont plus les doigts... C'est le double gode ! La salope, elle ne perd pas de temps. Elle est plus lucide que moi.
Quoi faire ? Me débattre ? Je crains que ça ne déplaise à mon maître... Et au public !
Je vais au contraire jouer. J'ai déjà vu ce genre de scènes dans un film porno. Je ne pensais pas en être réduite à ça un jour !
Je me trémousse du cul. Je gémis assez fort à chaque enfoncement du sextoy.
- Houai ! Ça c'est de la bonne pute blanche !
- Mets lui aussi dans le cul !
Je crois que je reprends la main...
Cette garce les prend au mot. Sans sortir le gode de mon vagin, elle plaque l'autre extrémité sur mon œillet.
- Cambre toi bien salope !
- Regarde toi. Voit ton cul et ton con s'ouvrir !
Je lève la tête et je me vois ! C'est au delà de l'indécence. L'écran est partagé en deux. Sur une partie on voit mon visage en gros plan, mes yeux incrédules. Sur l'autre, mes reins cambrés, mes lèvres forcées épousant la forme du sexe en caoutchouc qui me pénètre et le gland à l'entrée de mon cul !
Elle crache sur ma rosette puis appuie. Ça me fait mal. Je sens que mon sphincter va laisser passer l'objet. Je n'oublie pas que c'est une compétition et que j'ai beaucoup à perdre. J'essaie de rendre mon visage expressif. Je roule des yeux. J'ouvre grand la bouche et je râle !
- Quelle chienne !
- Faut qu'elle perde que j'lui mette ma bite !
Ahhhh ! Mes deux trous sont pris ! Je n'éprouve aucun plaisir, mais je bouge ma croupe. Je geins. Je simule.
La fille bouge. Sans retirer le gode, elle se glisse sous moi et en reprenant le mouvement de va et vient du sextoy, elle me lèche et m'aspire le clito.
Tout en agitant mon bassin pour amplifier la pénétration, j'approche ma bouche de sa vulve et lui rend son cuni..
Je n'ai jamais fait ça, même dans l'intimité ! ...
Tout à coup la lumière s'éteint sur la scène. Nous sommes dans le noir. Des mains robustes nous attrapent et nous séparent. Je ne peux pas me relever à cause de l'objet dans mes orifices.
On me passe un gros collier. Quelqu'un tire sur ma laisse. Je suis à quatre pattes, les cuisses écartées j'avance tant bien que mal ; je suis grotesque avec le gode toujours en place. Un projecteur nous prend dans son faisceau. Nous sommes conduites devant une espèce d'instrument de torture. Avant que je n'ai compris de quoi il retourne je suis liée au niveau des poignets et des chevilles.
- Chers amis, c'est vous qui allez décider. La rousse c'est Martine, la blonde c'est Marie. Celle qui vous a le plus fait bander sera pour vous. Mais comme les blancs ont fait avec nous, on la fouettera avant, pour lui rappeler qui sont ses maîtres !
L'autre sera fouettée aussi pour ne pas en avoir assez fait. Puis... Elle sera pour vous également !
- Les gagnants du tirage au sort, avancez !
- Alors laquelle vous a le plus chauffé ?
- Martine ! Martine ! Martine !
- Bien, vos désirs vont être satisfait !
Vous allez chacun votre tour lui donner un coup de fouet. Ici c'est les blancs qui sont esclaves ! La massacrez pas de trop si vous voulez qu'elle soit encore bien vive pour vous satisfaire !
La moitié des mecs m'entourent. Je suis terrorisée.
Mon maître s'approche.
- Tu dois être une gagnante. Tu le fais pour moi ! Si tu bosses bien je m'occuperai de toi après. Ne me déçois pas !
Il me fait boire à la paille. Je reconnais la boisson poivrée...
Le premier mec, un vieux black qui paraît avoir plus de la soixantaine, passe devant moi. Il sourit béatement. Apparremment il n'en revient pas de ce qu'il va s'offrir. Il tient une espèce de martinet avec de longues lanières.
- Putain, trop bon la salope blanche ! Je vais te remettre à ta place !
Il disparaît derrière moi... Je sais ce qui m'attend.
J'entends siffler le cuir avant d'en sentir la morsure sur mes fesses.
-Aïe !
Les hommes rient.
Un autre. Plus jeune.
- Tu es à ta place. Les femmes doivent donner du plaisir à l'homme. Les femmelles blanches doivent crier leur soumission à la queue noire... Et tu vas crier !
Il passe derrière...
À nouveau le sifflement et la griffure des lanières.
- Dis que tu es là pour notre plaisir. Que tu es faites pour être prise violemment par les vrais mâles !
Je ne sais pas ce qui me prend..
- Oui, je suis là pour mon maître et il me donne à vous...
Une quinzaine de types de tous âges m'ont fouettée. Les fesses me brûlent, mais je sens en même temps mes nerfs tendus à se rompre. J'en veux plus, plus fort. Je tortille mon cul, j'appelle les mâles ! J'ai croisé le regard de Mamadou. Il m'a fait un petit signe de la tête.
Allez y messieurs, faites vous plaisir !
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Tres bon récit