Martine 5 - histoire érotique

... J'ouvre les yeux. Je suis dans mon lit. Quelle heure est il ? Je suis confuse. Je ne parviens pas à poser mon esprit. J'ai l'impression d'avoir beaucoup rêver. C'était assez chaud... Heureusement que ça n'est pas arrivé !
Aïe ! Ça me brûle au bas du dos !
Quoi !? Comme dans la fin de mon...
Je cours à la salle de bain... Je regarde mes reins dans la glace ! HORREUR !!! Je suis marquée !
Un coeur avec écrit en travers "blacks" !

Je m'effondre en larmes. Des images me reviennent, mais c'est bizarre. Il y a un voile. Ce sont surtout des sons et des odeurs.
Oh ! J'avais un bandeau sur les yeux. A part mon "danseur", je ne sais même pas qui sont ces types ! Je peux croiser dans la rue les mecs qui m'ont prise dans tous les sens ! Et ...

Mamadou !? Qui est il ? Va t-il mettre à exécution ses menaces ? Cette marque sur mes reins qu'est-ce que ça veut dire ?

Je me rends compte que je suis endolorie aux "points d'impact" ! J'ai vraiment subi tout ça ? En fait, si je me souviens bien, ils ne m'ont pas violé. Mais ils m'ont droguée ! Et Mamadou m'a fait boire un élixir qui m'a rendu folle de sexe !
- Salauds !
Mais j'ai joui, tellement que, rien que d'y repenser, je mouille !
Que va t-il m'arriver à présent !?
Je n'oserai plus sortir de chez moi.

Après quelques heures je n'y tiens plus. Je m'habille pour sortir. Un body blanc en coton, très sage un peu "maman", un chemisier et un jean. Des chaussures à petits talons. Je ne peux pas faire autrement. Je suis trop petite, ça me complexe. Les talons me font gagner quelques centimètres.

Je sors.

Je marche sans but. Chaque fois que je croise un black je ne peux m'empêcher de le dévisager. Je me surprends même, à plusieurs reprises, à fixer leur entrejambe...
Je suis complètement folle !
- Dis donc ma belle, tu as le feu ?
Un noir se place devant moi. Il me déshabille du regard.
- Comment ? Non. Je vais bien merci.
Se plaçant à mon côté, il me prend par la taille. Je n'ose pas lui dire de me laisser. Sa main caresse mes reins.
- Aïe !
Surpris, il soulève mon chemisier et voit la marque...
- Mais tu es une femme à blacks ! Viens ma jolie. J'ai justement un besoin pressant !
Il m'entraîne dans une vieille maison. Il nous fait entrer dans un appartement en désordre. Il y a de la musique.
- Dessape toi. Je veux te voir !
Comme je ne réagis pas, il me donne une gifle.
Je me mets à pleurer. Mais je déboutonne mon chemisier et ôte mon jean.
- Hummm. Pas mal ! C'est rigolo ton dessous. Tourne toi. Penche toi. Tu t'appuies sur le mur et tu fais ressortir ton cul. Écarte les jambes. Hummm ! Dis donc, tu as fais sur toi ou tu mouilles. Le fond de ton body est taché ! Ça moule ta chatte, tu me fais bander ! Viens me sucer !
Je me retourne et je le vois assis dans un vieux fauteuil en train de se branler. Je ne sais pas ce qui me prend, je suis toute tremblante devant ce sexe noir !
Je m'approche de lui je m'accroupis et lèche son gland. Je perds pied. Maintenant je le suce.
- Mets toi en levrette sur le fauteuil !
J'obtempère. Je me cambre bien.
- Tu es une salope à blacks. Putain t'es trempée avant que je te touche !
C'est vrai. Je suis en transe. J'attends la saillie. Je veux sa bite. Il arrache les pressions d'entre jambes de mon body et sans autre forme de procès s'enfonce jusqu'à la garde dans mon vagin. Il me lime vigoureusement.
- Hummm ! Tu es bonne. Ça glisse tout seul.
J'aime ses exclamation de plaisir.
- Oui ! Prends moi ! Je suis là pour toi. J'aime les queues noires !
Je crie. Je vais ameuter tout le quartier.
Et ça arrive ! Voilà trois mecs qui se pointent. Deux blacks et un blanc.
- Venez mes frères. Y a bonne femmelle !
- Oui, mais seulement les blacks !
Que je dis.
Désappointé, le troisième s'en va.
Un des deux restants se précipite, ouvre sa braguette et me met sa verge dans la bouche.
Dans mon con ça s'agite. Le mec grogne et se vide. Ça me fait jouir et je le crie haut et fort !
Changement ! Un des types s'allonge sur un lit.
- Viens t'asseoir sur moi pouliche blanche ! Aussitôt dit aussitôt fait ! Le troisième homme passe derrière moi. Il crache sur ma rondelle. M'enfile un, puis deux doigts. Enfin il pose son gland à l'entrée de mon cul.
- Prête pute à blacks ?
- oui, vas y. Je veux te sentir bien au fond.
Il ne se le fait pas dire deux fois et d'un coup il me pénètre. Les deux garçons me liment, parfois en cadence, parfois pas mais ils me liment !
Après quelques minutes ils larguent leur foutre l'un après l'autre.
Je jouis encore surtout de les avoir soulagés.
Nous nous relevons.
Sympa. À une autre fois sûrement. Casse toi maintenant on a à faire