Martine
Récit érotique écrit par il69l [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Martine
... Je suis étendue sur mon lit. Je rêve éveillée aux quelques jours que je viens de passer...
J'en ai la tête qui tourne.
Je ne suis pas une oie blanche. J'ai la cinquantaine, j'ai vécu. J'ai été mariée, j'ai deux garçons adultes. J'ai eu une quarantaine d'aventures plus ou moins sérieuses, plus ou moins éphémères.
Je suis une femme libre, un "cheval sauvage". Je ne sais pas si c'est un choix ou ma nature, si c'est moi qui choisit ma route ou si je suis condamnée à errer au fond des bois comme le loup de la fable, parce que je ne supporte aucun collier ! Ça m'a conduit dans bien des tourments. J'ai eu ma part de galères... Des bons moments aussi !
J'ai la nuque raide. Je n'aime pas baisser la tête. Je ne sais pas être diplomate, éviter les situations conflictuelles, faire des compromis. J'ai été blessée, humiliée et je ne me laisse plus mettre le mord quitte à devoir régler l'addition.
J'aime danser. C'est à cette occasion que tout à commencer. Je recherche les hommes qui savent mettre en valeur leur cavalière.
Lui il sait ! Bien plus jeune que moi. C'est lui qui dirige. Il me guide, me fait tourner, me pousse, me tire dans ses bras. Son regard sur moi est celui du maître, du maître de la danse car je refuse tout autre maître !
Il a par moment, furtivement, les yeux malicieux, ironiques. Comme s'il me disait "je fais ce que je veux avec toi. Je te fais perdre la tête. Je te domine."
NON ! Tu ne me domines pas. Je danse autour de toi parce que JE le veux !
Tu m'offres un verre. C'est vrai que je suis essoufflée. Tu es un très bon danseur.
Plus tard, bientôt l'aube, tu me reconduis chez moi. Pendant le trajet tu souris en me regardant.
- Quoi ?
- Je me disais que tu es trop coincée pour envisager qu'on se fasse une partie de jambes en l'air. Tu craindrais de passer pour une cougar et tes préjugés te privent d'un bon moment !
Je ne suis pas sûre que ça soit une bonne idée. Mais laisser croire à ce gamin que des préjugés bourgeois et matchos m'interdisent de baiser me poussent à répondre à sa provocation.
- Arrête toi là !
Il me regarde surpris. Il pense que je veux descendre parce qu'il m'a choquée. Et bien regarde !
À peine la voiture stoppée, je descends, fais le tour, ouvre sa portière et, le prenant par la main, l'entraîne derrière un petit bosquet. Je lui roule une pelle en le regardant dans les yeux et en même temps je défais sa ceinture, ouvre son pantalon.
Je m'agenouille et commence à lécher son gland. Son sexe est dur. Je le prends en bouche et le suce en le faisant glisser sur ma langue.
Je le sors un instant :
- Alors ?
- Wahou !
Je me remets à l'ouvrage.
- Attends, je veux t'enfiler !
Il me prend la tête entre ses mains et me retire son sexe de la bouche.
- Quoi ? Une pipe oui, mais te faire mettre c'est trop pour toi ?
Il me provoque avec son petit air insolent. Je ne devrais pas mais je ne peux pas m'empêcher de lui prouver que je suis libre. Je me relève, ote le shorty que je porte sous ma jupe. Je suis en string.
- Montre moi que tu es un homme !
Je me retourne. Je prends appuie sur une branche basse écarte les jambes, me cambre pour lui offrir l'accès.
Il ne perd pas de temps. Son gland appuie à l'entrée de ma chatte. D'une main il me tient par la hanche, de l'autre il caresse mon clito.
- Allez viens, empale toi !
Mais qu'est ce que je fais. Je me comporte en vraie salope uniquement pour ne pas perdre la face devant ce gamin !
Il appuie un peu, mais sans forcer. Ses doigts sur mon bouton commencent à me faire de l'effet.
Je tourne la tête autant que je peux pour le voir et je m'empale sur sa queue !
- Ahhh ! Ouiiii ! Hummmm ;
Il sourit, moqueur.
- Tu aimes ça, coquine ! Je vais te mettre le compte.
Il se met à me prendre de plus en plus fort. Avec ses mains il me cambre encore plus. Il pousse et s'enfonce bien au fond...
- Ô putain c'est bon. T'arrêtes pas
je ne sais plus depuis combien de temps il me ramone. Je tourne. Je suis prise de tremblements. Ça monte. Je vais jouir. Je ne peux pas m'empêcher de le lui dire :
- Je jouis ! Oui ouiiii !
Il s'est arrêté. Je peine à reprendre mon souffle. Il est toujours en moi, bien dur.
- Maintenant je vais te féconder. Tu es ma femmelle !
Je voudrais l'en empêcher. Je n'en ai pas la force.
Il reprend son va et vient. Il est brutal. Il me donne des claques violentes sur les fesses. Je ne parviens pas à lui échapper.
- Voilà ça vient. Prends ça !
S'enfonçant au plus profond de moi, je sens les soubresauts de son sexe qui se vide en moi. Je sens son foutre.
Il se retire. Il me remet face à lui et m'embrasse à pleine bouche. Je sens son jus couler le long de mes cuisses. Sa verge, au repos, reste de belle taille. Il se rahabille.
Dans la voiture, avec son sourire moqueur...
- Il faudra qu'on remette ça... Danser je veux dire !
J'en ai la tête qui tourne.
Je ne suis pas une oie blanche. J'ai la cinquantaine, j'ai vécu. J'ai été mariée, j'ai deux garçons adultes. J'ai eu une quarantaine d'aventures plus ou moins sérieuses, plus ou moins éphémères.
Je suis une femme libre, un "cheval sauvage". Je ne sais pas si c'est un choix ou ma nature, si c'est moi qui choisit ma route ou si je suis condamnée à errer au fond des bois comme le loup de la fable, parce que je ne supporte aucun collier ! Ça m'a conduit dans bien des tourments. J'ai eu ma part de galères... Des bons moments aussi !
J'ai la nuque raide. Je n'aime pas baisser la tête. Je ne sais pas être diplomate, éviter les situations conflictuelles, faire des compromis. J'ai été blessée, humiliée et je ne me laisse plus mettre le mord quitte à devoir régler l'addition.
J'aime danser. C'est à cette occasion que tout à commencer. Je recherche les hommes qui savent mettre en valeur leur cavalière.
Lui il sait ! Bien plus jeune que moi. C'est lui qui dirige. Il me guide, me fait tourner, me pousse, me tire dans ses bras. Son regard sur moi est celui du maître, du maître de la danse car je refuse tout autre maître !
Il a par moment, furtivement, les yeux malicieux, ironiques. Comme s'il me disait "je fais ce que je veux avec toi. Je te fais perdre la tête. Je te domine."
NON ! Tu ne me domines pas. Je danse autour de toi parce que JE le veux !
Tu m'offres un verre. C'est vrai que je suis essoufflée. Tu es un très bon danseur.
Plus tard, bientôt l'aube, tu me reconduis chez moi. Pendant le trajet tu souris en me regardant.
- Quoi ?
- Je me disais que tu es trop coincée pour envisager qu'on se fasse une partie de jambes en l'air. Tu craindrais de passer pour une cougar et tes préjugés te privent d'un bon moment !
Je ne suis pas sûre que ça soit une bonne idée. Mais laisser croire à ce gamin que des préjugés bourgeois et matchos m'interdisent de baiser me poussent à répondre à sa provocation.
- Arrête toi là !
Il me regarde surpris. Il pense que je veux descendre parce qu'il m'a choquée. Et bien regarde !
À peine la voiture stoppée, je descends, fais le tour, ouvre sa portière et, le prenant par la main, l'entraîne derrière un petit bosquet. Je lui roule une pelle en le regardant dans les yeux et en même temps je défais sa ceinture, ouvre son pantalon.
Je m'agenouille et commence à lécher son gland. Son sexe est dur. Je le prends en bouche et le suce en le faisant glisser sur ma langue.
Je le sors un instant :
- Alors ?
- Wahou !
Je me remets à l'ouvrage.
- Attends, je veux t'enfiler !
Il me prend la tête entre ses mains et me retire son sexe de la bouche.
- Quoi ? Une pipe oui, mais te faire mettre c'est trop pour toi ?
Il me provoque avec son petit air insolent. Je ne devrais pas mais je ne peux pas m'empêcher de lui prouver que je suis libre. Je me relève, ote le shorty que je porte sous ma jupe. Je suis en string.
- Montre moi que tu es un homme !
Je me retourne. Je prends appuie sur une branche basse écarte les jambes, me cambre pour lui offrir l'accès.
Il ne perd pas de temps. Son gland appuie à l'entrée de ma chatte. D'une main il me tient par la hanche, de l'autre il caresse mon clito.
- Allez viens, empale toi !
Mais qu'est ce que je fais. Je me comporte en vraie salope uniquement pour ne pas perdre la face devant ce gamin !
Il appuie un peu, mais sans forcer. Ses doigts sur mon bouton commencent à me faire de l'effet.
Je tourne la tête autant que je peux pour le voir et je m'empale sur sa queue !
- Ahhh ! Ouiiii ! Hummmm ;
Il sourit, moqueur.
- Tu aimes ça, coquine ! Je vais te mettre le compte.
Il se met à me prendre de plus en plus fort. Avec ses mains il me cambre encore plus. Il pousse et s'enfonce bien au fond...
- Ô putain c'est bon. T'arrêtes pas
je ne sais plus depuis combien de temps il me ramone. Je tourne. Je suis prise de tremblements. Ça monte. Je vais jouir. Je ne peux pas m'empêcher de le lui dire :
- Je jouis ! Oui ouiiii !
Il s'est arrêté. Je peine à reprendre mon souffle. Il est toujours en moi, bien dur.
- Maintenant je vais te féconder. Tu es ma femmelle !
Je voudrais l'en empêcher. Je n'en ai pas la force.
Il reprend son va et vient. Il est brutal. Il me donne des claques violentes sur les fesses. Je ne parviens pas à lui échapper.
- Voilà ça vient. Prends ça !
S'enfonçant au plus profond de moi, je sens les soubresauts de son sexe qui se vide en moi. Je sens son foutre.
Il se retire. Il me remet face à lui et m'embrasse à pleine bouche. Je sens son jus couler le long de mes cuisses. Sa verge, au repos, reste de belle taille. Il se rahabille.
Dans la voiture, avec son sourire moqueur...
- Il faudra qu'on remette ça... Danser je veux dire !
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