Martine 8
Récit érotique écrit par il69l [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Martine 8
...
Alors le petit vieux s'est précipité derrière moi.
- Donne moi s'en pour mon argent la putain blanche !
A peine quelques secondes et je sens son sexe contre ma vulve. Je suis à la fois paniquée, terrorisée d'être offerte devant cette foule et, ce qui ne m'affole pas moins, excitée ! Je sens que je mouille. Quelle honte pour moi !
- O la salope, elle est trempée ! hurle le vieux black.
Tous rient et crient.
- Dépêche toi papy, y a la queue !
Alors il m'enfile. J'ai l'impression d'être une volaille à la broche ! Il a de l'énergie.
Ça me brûle. J'ai le vagin en feu. C'est comme une démangeaison. Mais chaque fois que son gland coulisse en moi j'éprouve une jouissance qui se renouvelle à chaque passage !
Je ne peux pas m'empêcher de geindre et même de crier. Il y a trop d'énergie dans mon corps, si je ne hurle pas je vais éclater !
La bite sort. Le vieux retire son préservatif et se branle au dessus de mon visage. Après quelques secondes il me crache sa semence. Je sens que ça coule mais je n'ai guère le temps d'y penser un autre gland est entré...
Après quelques minutes de va et vient j'ai perdu pied. Je suis dans un état second. Des doigts me lubrifient la rosette et entrent. J'ai l'impression qu'ils tapissent mon boyau. Le sexe sort, mais je comprends que c'est pour s'insinuer dans mon cul. Je ne sais pas ce qu'ils m'ont mis, mais ça me chauffe à l'intérieur.
Je sens le gland qui appuie pour entrer.
- Empale toi chienne blanche !
Je n'en peux plus. Autant que me le permet la machine sur laquelle je suis attachée, je me cambre et pousse ma croupe en arrière.
Le sexe ouvre mon cul. Il s'enfonce complètement. Rapidement il s'agite. C'est douloureusement bon ! Chaque enfilade me donne des radiations de plaisir et en même temps m'excite, m'exaspère en sorte que c'est sans fin. Je ne peux pas supporter que ça s'arrête, et chaque coup de bite me démange à m'en faire mal ! Comme un bouton de moustique qu'on gratte jusqu'au sang. Ça soulage de se gratter, mais ça démange en même temps de plus en plus !
Je hurle ma jouissance, ma honte a été depuis longtemps emportée par le plaisir. Je sombre dans une espèce de comas jouissif.
Je me réveille car je perçois qu'on me fait tourner. Me voilà sur le dos. Ma tête penche en arrière mais c'est confortable. Un peu comme chez le dentiste mais mon crâne est incliné vers l'arrière. Je comprends vite l'utilité de cette position : Une belle bite noire se présente à ma bouche ; je la gobe !
Pendant ce temps là ça bouge de l'autre côté. Mon bassin est relevé à la verticale. Un mec passe ses cuisses de chaque côté de mes hanches et plante son sexe en moi. Hummm ! Je ne suis pas rassasiée. Mais je crois que ça n'est pas tout. Un autre mâle toque à la porte de mon cul ! Le voilà entré !
Ô, j'en ai partout ! Je suis remplie ! Je tremble. Mes mains sont détachées et d'elles même elles attirent les bites en moi. Je caresse ce que je peux attraper de ces corps d'ébène. Les queues en moi changent, d'autres les remplacent. Elles viennent déverser leur foutre sur moi. Je suis si fière de les faire jouir !
... Je crois que j'ai perdu connaissance. Je rouvre les yeux. Mon maître est là, il se penche sur moi...
Alors le petit vieux s'est précipité derrière moi.
- Donne moi s'en pour mon argent la putain blanche !
A peine quelques secondes et je sens son sexe contre ma vulve. Je suis à la fois paniquée, terrorisée d'être offerte devant cette foule et, ce qui ne m'affole pas moins, excitée ! Je sens que je mouille. Quelle honte pour moi !
- O la salope, elle est trempée ! hurle le vieux black.
Tous rient et crient.
- Dépêche toi papy, y a la queue !
Alors il m'enfile. J'ai l'impression d'être une volaille à la broche ! Il a de l'énergie.
Ça me brûle. J'ai le vagin en feu. C'est comme une démangeaison. Mais chaque fois que son gland coulisse en moi j'éprouve une jouissance qui se renouvelle à chaque passage !
Je ne peux pas m'empêcher de geindre et même de crier. Il y a trop d'énergie dans mon corps, si je ne hurle pas je vais éclater !
La bite sort. Le vieux retire son préservatif et se branle au dessus de mon visage. Après quelques secondes il me crache sa semence. Je sens que ça coule mais je n'ai guère le temps d'y penser un autre gland est entré...
Après quelques minutes de va et vient j'ai perdu pied. Je suis dans un état second. Des doigts me lubrifient la rosette et entrent. J'ai l'impression qu'ils tapissent mon boyau. Le sexe sort, mais je comprends que c'est pour s'insinuer dans mon cul. Je ne sais pas ce qu'ils m'ont mis, mais ça me chauffe à l'intérieur.
Je sens le gland qui appuie pour entrer.
- Empale toi chienne blanche !
Je n'en peux plus. Autant que me le permet la machine sur laquelle je suis attachée, je me cambre et pousse ma croupe en arrière.
Le sexe ouvre mon cul. Il s'enfonce complètement. Rapidement il s'agite. C'est douloureusement bon ! Chaque enfilade me donne des radiations de plaisir et en même temps m'excite, m'exaspère en sorte que c'est sans fin. Je ne peux pas supporter que ça s'arrête, et chaque coup de bite me démange à m'en faire mal ! Comme un bouton de moustique qu'on gratte jusqu'au sang. Ça soulage de se gratter, mais ça démange en même temps de plus en plus !
Je hurle ma jouissance, ma honte a été depuis longtemps emportée par le plaisir. Je sombre dans une espèce de comas jouissif.
Je me réveille car je perçois qu'on me fait tourner. Me voilà sur le dos. Ma tête penche en arrière mais c'est confortable. Un peu comme chez le dentiste mais mon crâne est incliné vers l'arrière. Je comprends vite l'utilité de cette position : Une belle bite noire se présente à ma bouche ; je la gobe !
Pendant ce temps là ça bouge de l'autre côté. Mon bassin est relevé à la verticale. Un mec passe ses cuisses de chaque côté de mes hanches et plante son sexe en moi. Hummm ! Je ne suis pas rassasiée. Mais je crois que ça n'est pas tout. Un autre mâle toque à la porte de mon cul ! Le voilà entré !
Ô, j'en ai partout ! Je suis remplie ! Je tremble. Mes mains sont détachées et d'elles même elles attirent les bites en moi. Je caresse ce que je peux attraper de ces corps d'ébène. Les queues en moi changent, d'autres les remplacent. Elles viennent déverser leur foutre sur moi. Je suis si fière de les faire jouir !
... Je crois que j'ai perdu connaissance. Je rouvre les yeux. Mon maître est là, il se penche sur moi...
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