Maximilien testé comme sodomite
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maximilien testé comme sodomite
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°673) - Maximilien testé comme sodomite -
Par un savant bondage, soumise Estelle et Endymion MDE étaient tenus plaqués l’un contre l’autre, couchés en chien de fusil, sur le côté, tête-bêche, le ‘museau’ de l’un coincé entre les jambes tenues fermement attachées de l’autre et réciproquement. Chacun d’eux, avait une vision sur l’intimité de l’autre, un gros plan sur une chatte et un cul pour l’un ou des burnes et un trou de balle pour l’autre. De temps en temps, pour aiguiser leur appétit et titiller leurs sens, les skippers leur ordonnaient de se bouffer la raie, de glisser leur langue sur et dans l’anus, pour se lubrifier mutuellement. De temps à autre, un doigt les pénétrait pour vérifier si leur intérieur était suffisamment « huiler » et prêt à l’emploi… C’est ainsi que les Dominants, à leur retour, retrouvèrent leur chienne et esclave. Les bras chargés de divers cadeaux, ils se laissèrent tomber épuisés sur les sofas. Le Maître semblait gai et joyeux. Il caressa avec la pointe de ses pieds nus, gentiment les deux soumis posés à terre.
- Bien beau bondage !… mais il va être difficile d’exiger d’eux qu’ils nous servent à boire ! Fit-il remarquer malicieusement aux deux skippers.
Maximilien se précipita alors en cuisine et revint avec quelques bouteilles et jus de fruits frais.
- Holà cher ami, pas d’alcool pour moi, avec cette chaleur, un bon verre de jus de fruit bien frais me suffira.
Maximilien, très dévoué, servit d’abord Monsieur le Marquis, puis ensuite ses hôtes. Tous réclamèrent un second verre de ce divin et rafraichissant breuvage.
- Tenez approchés Messieurs, voilà pour vous remercier… Vous avez été un excellent équipage, nous tous tenons à vous gratifier d’un petit présent en sus de votre salaire bien mérité.
Monsieur le Marquis tendit à Étienne et Maximilien deux coffrets dans lequel se trouvait une bouteille de rhum mais également de gros cigares de la Havane et dans chacun des coffrets, il y avait aussi un ‘’pourboire’’ de 500 euros pour chacun d’eux…
- Tout ça, à consommer avec modération bien sûr, contrairement à nos esclaves à consommer sans modération ! Reprenait Monsieur Henri avec humour, ce qui fit rire toute l’assemblée...
Étienne et Maximilien étaient émus, très touchés ils remercièrent sincèrement et chaleureusement les quatre Dominants.
- Vous nous avez fait vivre d’intenses et d’excellents moments vous tous, ce n’est pas si souvent que des croisières comme la vôtre nous régale autant. En plus, vos deux salopes nous ont bien gentiment occupé, et pas que l’esprit ! Riait Étienne.
- Qu’allez-vous faire après notre retour ! Questionnait le Maître.
- Pour ma part, reprit Étienne, une autre croisière, sans doute beaucoup moins… comment dire… fun et frugale, des septuagénaires et octogénaires à transporter d’iles en iles, ce sera redevenu la routine !
Étienne semblait quelque peu dépité…
- Et toi Maximilien ? interrogeait encore le Noble.
- Pour moi, Monsieur le Marquis, c’est un peu plus flou, l’inconnu même… Je n’ai pas de boulot en vue. Peut-être vais-je rentrer en Métropole. Peut-être que là-bas j’aurai un peu plus de chance. Je sais tout faire de mes dix doigts, alors…
Le Maître regardait sérieusement Maximilien…
- Tu n’as plus de travail, et tu me dis vouloir en chercher en Métropole, c’est bien ça ?
- Oui Monsieur le Marquis.
Le Maître resta silencieux quelques instants, il réfléchissait longuement.
- Peut-être, aurai-je du travail pour toi, en mon Auguste Demeure.
- Ah oui ? vraiment Monsieur le Marquis ? Les yeux sombres de Maximilien s’éclairaient de nouveau avec un large sourire.
- Tu me dis savoir tout faire de tes mains ?
- Oui, exactement Monsieur le Marquis, j’aime bricoler, je sais faire de la menuiserie, de la maçonnerie, poser du carrelage, de la plomberie, du jardinage, toute maintenance quoi ! mais aussi…- … Aussi très bien t’occuper de soumis et soumises, de chiennes et chiens sinon d’esclaves ! Dit le Maître toujours sur un ton très sérieux.
- J’aime ça aussi Monsieur le Marquis ! Répondit d’une façon amusée mais perverse Maximilien.
- Je pense que je pourrai te nommer responsables des gardes de mon Domaine, sous la hiérarchie directe de mon Cher Walter, le Majordome du Château qui reste le grand patron en mon absence. Il sera certainement très content d’avoir un homme de main sur lequel il puisse compter et se sentir épaulé car aujourd’hui, il est un peu surbooké, notre Homme, avec tout ce que je lui demande de faire pour Moi. Crois-tu qu’un travail comme celui que je te propose puisse t’intéresser ?
- Je le crois sérieusement Monsieur le Marquis, sincèrement.
- Bien, nous allons en reparler ce soir. Tu viendras dans ma cabine après le dîner pour déterminer quelques modalités supplémentaires.
- A vos ordres Monsieur le Marquis et je vous remercie déjà de votre aimable proposition si intéressante en temps de crise de l’emploi !
Les deux skippers regagnèrent la cabine de pilotage. Monsieur le Marquis continua cet échange avec Madame Marie restée près de lui, alors que Madame Gabriella et Monsieur Henri s’étaient retirés discrètement tous deux, prendre une douche et se changer.
- Que penses-tu de ma décision ma Chère Marie ?
- Excellente initiative, j’en connais un qui va être heureux !
- Notre Ami Walter ?
- Oui, notre Ami Walter, depuis le temps qu’il me disait qu’il ne s’en sortait plus… Manager ces lourdauds de gardes, ce n’est pas toujours évident.
- Je l’apprécie bien ce petit Maximilien, il parle peu, semble être discret, pour autant efficace, et lorsque je le vois faire, il sait prendre des initiatives. Son seul défaut sa jeunesse… quel âge a-t’il à ton avis ?
- Je lui donne une petite trentaine…- Crois-tu qu’il saura s’imposer avec mes rustres gardes plus âgés ?
- Je le crois manager, avec un savoir-faire sans doute efficace, je l’ai vu œuvré auprès de son coéquipier, auprès de ces deux salopes vautrées à nos pieds. Et puis, il ne manque pas de charme, ni de perversité…- Allons, allons Marie… je te parle sérieusement, et toi, vicieuse comme tu es, tu le vois déjà dans ton lit ! Mais bon, je dois bien le constater, il est assez mignon… et qui plus est, parfaitement bisexuel, un atout supplémentaire pour s’occuper de Mon cheptel, sans distinction de sexe !
La conversation s’arrêta là, Madame Marie la cuisinière se retira, Monsieur le Marquis s’intéressa à ceux couchés devant lui. Toujours la tête dans le cul l’un de l’autre, la soumise Estelle et l’esclave MDE frémirent au passage de la main du Maitre sur leur corps ficelé. Deux biens beaux spécimens ces deux-là, une simple caresse les transcendait… Il leur en fallait bien peu… Maximilien revenait et passait par là pour desservir le plateau contenant les verres et les bouteilles d’alcool et de jus de fruit. Le Maître le stoppa dans son élan :
- Approche près de moi Maximilien !
Le skipper avança sans hésiter :
- Que puis-je pour vous Monsieur le Marquis ?
- J’aimerai te voir utiliser ces deux chiennes, j’aimerai te voir les prendre devant moi. As-tu la forme nécessaire pour les enculer copieusement, l’un et l’autre ?
- Oh, je ne me fais pas de souci pour ça ! Je suis en pleine force de l’âge ! Je vais la trouver… la forme… Monsieur le Marquis ! lui répondit Maximilien avec un sourire illuminant son visage.
- Approche-toi de moi !
Le skipper avança encore de deux pas et lorsqu’il fut juste devant le Maître, celui-ci, tâta son entrejambes en soupesant ses couilles au travers de son caleçon de bain. Maximilien sans sourciller se laissait faire, sans l’ombre d’une quelconque pudeur. Il ne bougea pas non plus d’un iota lorsque Monsieur le Marquis lui baissa son slip de bain pour dégager sa queue semi-molle. Il ferma simplement les yeux, lorsqu’Il lui happa sa queue avec ses Nobles lèvres. Monsieur le Marquis voulait-il simplement le tester, tester son dévouement, son comportement ? Sa bite prit vite de l’ampleur et lorsqu’elle atteignit son paroxysme le Maitre s’en dégagea et ordonna :
- Encule d’abord cette chienne d’Estelle !
Là encore, sans hésiter, il s’agenouilla près du cul de la femelle soumise et pointa son sexe dru et luisant de la salive du Maître, sur la rondelle de la chienne. Son chibre l’emboita d’un trait sous le regard du Maître mais aussi et surtout de celui de l’esclave MDE. L’esclave n’avait jamais vu une sodomie d’aussi près. A chaque fois que la grosse bite de Maximilien la pénétrait, elle frôlait le museau de l’esclave MDE. Il voyait ce gros calibre entrer et sortir, fourailler ses entrailles déjà bien dilatées. Pour ne pas gueuler comme une hyène en chaleur, Estelle se mordit les lèvres, et, sans y prendre garde, tant elle était assaillie, avec sa bouche elle pinça le scrotum de son congénère. Impossible de bouger, impossible de remuer, d’onduler du bassin, soumise Estelle était secouée, ébranlée, bousculée, enculée. Ses terribles saccades s’imprimaient sur le corps d’Endymion MDE, lui aussi, par la violence profonde de ce coït était chahuté, chaviré et ébranlé…
- C’est bien Maximilien, prends-là bien à fond cette petite salope, elle aime ça ! Haranguait le Maître.
En effet soumise Estelle mouillait d’excitation de cette sodomie sauvage et bestiale. L’effet fut impressionnant dans l’énergie produite du sodomite, avec des coups de reins et de butoirs inouïs, puissants, un véritable étalon pour une saillie des plus animales. Maximilien défonçait ce cul frénétiquement… En haletant, il interpella le Maître.
- Dois jouir, Monsieur le Marquis ?
Le Maître ne le voulait pas, il demanda alors à Maximilien de se dégager de la femelle et d’aller remplir l’autre cul à disposition, celui de Son esclave MDE. Ni une ni deux, la queue de Maximilien changea d’orifice et de soumis, la pénétration fut de même puissance, insensée, démente, tel un forcené, il besognait, niquait ardemment, mécaniquement avec toujours cette vigueur incroyable. Une virilité exceptionnelle aux yeux du Noble. Le corps d’Endymion MDE tremblait de la tête aux pieds. Ses chairs intimes lui semblaient être à vif, pourtant sa queue cherchait désespérément à se frayer un chemin contre la joue et sous le cou d’Estelle. Pour ne pas gueuler tel un veau qu’on allait abattre, il happait le sexe de la femelle, se trouvant juste à portée de bouche. Il se mit à l’aspirer, à gober ce petit morceau de chair tendue et fort humide. En un éclair, alors que Maximilien lui arrosait le cul copieusement, soumise Estelle s’épanchait dans sa bouche en laissant couler un flot ininterrompu de cyprine. Le soumis MDE eut bien du mal à se remettre d’un tel coït, pendant une bonne dizaine de minute, son corps continua à trembler, à frémir et flageoler et cela l’excitait grandement…
- C’est bien mon Cher Maximilien, tu as su remplir ta mission avec fougue et détermination… J’apprécie.
Maximilien avait mis du cœur à l’ouvrage, il était désormais sûr et certain que Monsieur le Marquis d’Evans venait de le tester, de tester tout au moins ses capacités sexuelles et donc c’était un véritable plus pour l’emploi proposé au Château en France ...
(A suivre…)
Par un savant bondage, soumise Estelle et Endymion MDE étaient tenus plaqués l’un contre l’autre, couchés en chien de fusil, sur le côté, tête-bêche, le ‘museau’ de l’un coincé entre les jambes tenues fermement attachées de l’autre et réciproquement. Chacun d’eux, avait une vision sur l’intimité de l’autre, un gros plan sur une chatte et un cul pour l’un ou des burnes et un trou de balle pour l’autre. De temps en temps, pour aiguiser leur appétit et titiller leurs sens, les skippers leur ordonnaient de se bouffer la raie, de glisser leur langue sur et dans l’anus, pour se lubrifier mutuellement. De temps à autre, un doigt les pénétrait pour vérifier si leur intérieur était suffisamment « huiler » et prêt à l’emploi… C’est ainsi que les Dominants, à leur retour, retrouvèrent leur chienne et esclave. Les bras chargés de divers cadeaux, ils se laissèrent tomber épuisés sur les sofas. Le Maître semblait gai et joyeux. Il caressa avec la pointe de ses pieds nus, gentiment les deux soumis posés à terre.
- Bien beau bondage !… mais il va être difficile d’exiger d’eux qu’ils nous servent à boire ! Fit-il remarquer malicieusement aux deux skippers.
Maximilien se précipita alors en cuisine et revint avec quelques bouteilles et jus de fruits frais.
- Holà cher ami, pas d’alcool pour moi, avec cette chaleur, un bon verre de jus de fruit bien frais me suffira.
Maximilien, très dévoué, servit d’abord Monsieur le Marquis, puis ensuite ses hôtes. Tous réclamèrent un second verre de ce divin et rafraichissant breuvage.
- Tenez approchés Messieurs, voilà pour vous remercier… Vous avez été un excellent équipage, nous tous tenons à vous gratifier d’un petit présent en sus de votre salaire bien mérité.
Monsieur le Marquis tendit à Étienne et Maximilien deux coffrets dans lequel se trouvait une bouteille de rhum mais également de gros cigares de la Havane et dans chacun des coffrets, il y avait aussi un ‘’pourboire’’ de 500 euros pour chacun d’eux…
- Tout ça, à consommer avec modération bien sûr, contrairement à nos esclaves à consommer sans modération ! Reprenait Monsieur Henri avec humour, ce qui fit rire toute l’assemblée...
Étienne et Maximilien étaient émus, très touchés ils remercièrent sincèrement et chaleureusement les quatre Dominants.
- Vous nous avez fait vivre d’intenses et d’excellents moments vous tous, ce n’est pas si souvent que des croisières comme la vôtre nous régale autant. En plus, vos deux salopes nous ont bien gentiment occupé, et pas que l’esprit ! Riait Étienne.
- Qu’allez-vous faire après notre retour ! Questionnait le Maître.
- Pour ma part, reprit Étienne, une autre croisière, sans doute beaucoup moins… comment dire… fun et frugale, des septuagénaires et octogénaires à transporter d’iles en iles, ce sera redevenu la routine !
Étienne semblait quelque peu dépité…
- Et toi Maximilien ? interrogeait encore le Noble.
- Pour moi, Monsieur le Marquis, c’est un peu plus flou, l’inconnu même… Je n’ai pas de boulot en vue. Peut-être vais-je rentrer en Métropole. Peut-être que là-bas j’aurai un peu plus de chance. Je sais tout faire de mes dix doigts, alors…
Le Maître regardait sérieusement Maximilien…
- Tu n’as plus de travail, et tu me dis vouloir en chercher en Métropole, c’est bien ça ?
- Oui Monsieur le Marquis.
Le Maître resta silencieux quelques instants, il réfléchissait longuement.
- Peut-être, aurai-je du travail pour toi, en mon Auguste Demeure.
- Ah oui ? vraiment Monsieur le Marquis ? Les yeux sombres de Maximilien s’éclairaient de nouveau avec un large sourire.
- Tu me dis savoir tout faire de tes mains ?
- Oui, exactement Monsieur le Marquis, j’aime bricoler, je sais faire de la menuiserie, de la maçonnerie, poser du carrelage, de la plomberie, du jardinage, toute maintenance quoi ! mais aussi…- … Aussi très bien t’occuper de soumis et soumises, de chiennes et chiens sinon d’esclaves ! Dit le Maître toujours sur un ton très sérieux.
- J’aime ça aussi Monsieur le Marquis ! Répondit d’une façon amusée mais perverse Maximilien.
- Je pense que je pourrai te nommer responsables des gardes de mon Domaine, sous la hiérarchie directe de mon Cher Walter, le Majordome du Château qui reste le grand patron en mon absence. Il sera certainement très content d’avoir un homme de main sur lequel il puisse compter et se sentir épaulé car aujourd’hui, il est un peu surbooké, notre Homme, avec tout ce que je lui demande de faire pour Moi. Crois-tu qu’un travail comme celui que je te propose puisse t’intéresser ?
- Je le crois sérieusement Monsieur le Marquis, sincèrement.
- Bien, nous allons en reparler ce soir. Tu viendras dans ma cabine après le dîner pour déterminer quelques modalités supplémentaires.
- A vos ordres Monsieur le Marquis et je vous remercie déjà de votre aimable proposition si intéressante en temps de crise de l’emploi !
Les deux skippers regagnèrent la cabine de pilotage. Monsieur le Marquis continua cet échange avec Madame Marie restée près de lui, alors que Madame Gabriella et Monsieur Henri s’étaient retirés discrètement tous deux, prendre une douche et se changer.
- Que penses-tu de ma décision ma Chère Marie ?
- Excellente initiative, j’en connais un qui va être heureux !
- Notre Ami Walter ?
- Oui, notre Ami Walter, depuis le temps qu’il me disait qu’il ne s’en sortait plus… Manager ces lourdauds de gardes, ce n’est pas toujours évident.
- Je l’apprécie bien ce petit Maximilien, il parle peu, semble être discret, pour autant efficace, et lorsque je le vois faire, il sait prendre des initiatives. Son seul défaut sa jeunesse… quel âge a-t’il à ton avis ?
- Je lui donne une petite trentaine…- Crois-tu qu’il saura s’imposer avec mes rustres gardes plus âgés ?
- Je le crois manager, avec un savoir-faire sans doute efficace, je l’ai vu œuvré auprès de son coéquipier, auprès de ces deux salopes vautrées à nos pieds. Et puis, il ne manque pas de charme, ni de perversité…- Allons, allons Marie… je te parle sérieusement, et toi, vicieuse comme tu es, tu le vois déjà dans ton lit ! Mais bon, je dois bien le constater, il est assez mignon… et qui plus est, parfaitement bisexuel, un atout supplémentaire pour s’occuper de Mon cheptel, sans distinction de sexe !
La conversation s’arrêta là, Madame Marie la cuisinière se retira, Monsieur le Marquis s’intéressa à ceux couchés devant lui. Toujours la tête dans le cul l’un de l’autre, la soumise Estelle et l’esclave MDE frémirent au passage de la main du Maitre sur leur corps ficelé. Deux biens beaux spécimens ces deux-là, une simple caresse les transcendait… Il leur en fallait bien peu… Maximilien revenait et passait par là pour desservir le plateau contenant les verres et les bouteilles d’alcool et de jus de fruit. Le Maître le stoppa dans son élan :
- Approche près de moi Maximilien !
Le skipper avança sans hésiter :
- Que puis-je pour vous Monsieur le Marquis ?
- J’aimerai te voir utiliser ces deux chiennes, j’aimerai te voir les prendre devant moi. As-tu la forme nécessaire pour les enculer copieusement, l’un et l’autre ?
- Oh, je ne me fais pas de souci pour ça ! Je suis en pleine force de l’âge ! Je vais la trouver… la forme… Monsieur le Marquis ! lui répondit Maximilien avec un sourire illuminant son visage.
- Approche-toi de moi !
Le skipper avança encore de deux pas et lorsqu’il fut juste devant le Maître, celui-ci, tâta son entrejambes en soupesant ses couilles au travers de son caleçon de bain. Maximilien sans sourciller se laissait faire, sans l’ombre d’une quelconque pudeur. Il ne bougea pas non plus d’un iota lorsque Monsieur le Marquis lui baissa son slip de bain pour dégager sa queue semi-molle. Il ferma simplement les yeux, lorsqu’Il lui happa sa queue avec ses Nobles lèvres. Monsieur le Marquis voulait-il simplement le tester, tester son dévouement, son comportement ? Sa bite prit vite de l’ampleur et lorsqu’elle atteignit son paroxysme le Maitre s’en dégagea et ordonna :
- Encule d’abord cette chienne d’Estelle !
Là encore, sans hésiter, il s’agenouilla près du cul de la femelle soumise et pointa son sexe dru et luisant de la salive du Maître, sur la rondelle de la chienne. Son chibre l’emboita d’un trait sous le regard du Maître mais aussi et surtout de celui de l’esclave MDE. L’esclave n’avait jamais vu une sodomie d’aussi près. A chaque fois que la grosse bite de Maximilien la pénétrait, elle frôlait le museau de l’esclave MDE. Il voyait ce gros calibre entrer et sortir, fourailler ses entrailles déjà bien dilatées. Pour ne pas gueuler comme une hyène en chaleur, Estelle se mordit les lèvres, et, sans y prendre garde, tant elle était assaillie, avec sa bouche elle pinça le scrotum de son congénère. Impossible de bouger, impossible de remuer, d’onduler du bassin, soumise Estelle était secouée, ébranlée, bousculée, enculée. Ses terribles saccades s’imprimaient sur le corps d’Endymion MDE, lui aussi, par la violence profonde de ce coït était chahuté, chaviré et ébranlé…
- C’est bien Maximilien, prends-là bien à fond cette petite salope, elle aime ça ! Haranguait le Maître.
En effet soumise Estelle mouillait d’excitation de cette sodomie sauvage et bestiale. L’effet fut impressionnant dans l’énergie produite du sodomite, avec des coups de reins et de butoirs inouïs, puissants, un véritable étalon pour une saillie des plus animales. Maximilien défonçait ce cul frénétiquement… En haletant, il interpella le Maître.
- Dois jouir, Monsieur le Marquis ?
Le Maître ne le voulait pas, il demanda alors à Maximilien de se dégager de la femelle et d’aller remplir l’autre cul à disposition, celui de Son esclave MDE. Ni une ni deux, la queue de Maximilien changea d’orifice et de soumis, la pénétration fut de même puissance, insensée, démente, tel un forcené, il besognait, niquait ardemment, mécaniquement avec toujours cette vigueur incroyable. Une virilité exceptionnelle aux yeux du Noble. Le corps d’Endymion MDE tremblait de la tête aux pieds. Ses chairs intimes lui semblaient être à vif, pourtant sa queue cherchait désespérément à se frayer un chemin contre la joue et sous le cou d’Estelle. Pour ne pas gueuler tel un veau qu’on allait abattre, il happait le sexe de la femelle, se trouvant juste à portée de bouche. Il se mit à l’aspirer, à gober ce petit morceau de chair tendue et fort humide. En un éclair, alors que Maximilien lui arrosait le cul copieusement, soumise Estelle s’épanchait dans sa bouche en laissant couler un flot ininterrompu de cyprine. Le soumis MDE eut bien du mal à se remettre d’un tel coït, pendant une bonne dizaine de minute, son corps continua à trembler, à frémir et flageoler et cela l’excitait grandement…
- C’est bien mon Cher Maximilien, tu as su remplir ta mission avec fougue et détermination… J’apprécie.
Maximilien avait mis du cœur à l’ouvrage, il était désormais sûr et certain que Monsieur le Marquis d’Evans venait de le tester, de tester tout au moins ses capacités sexuelles et donc c’était un véritable plus pour l’emploi proposé au Château en France ...
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