Mon Boss

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de envie2gay ont reçu un total de 17 742 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 425 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon Boss
C’était en 1990, j’avais 29 ans, un ptit cul et une coupe de cheveux de ptit pédé (sans même m'en rendre compte, c'était la mode).
Je pesais 66 kilos tout mouillé et portais des pantalons à pinces taille 34 (LOL). Avec ça, je bandais pour un oui un non et avais une vie d'hétéro. Mais, sans avoir jamais osé franchir le pas, j’avais des envies de queues.
Mon boss de l’époque était un mec viril. 42 ans, sûr de lui, un physique massif de rugbyman mais toujours tiré à quatre épingles, persuasif mais courtois, aimable mais cash, bref un mec intimidant à qui on ne la faisait pas.
Un jour, il m’a convoqué dans son bureau pour un « point RH ». Un peu inquiet – car ces rendez-vous ne présagent jamais rien de bon –, je m’y suis rendu, évidemment. Pas le choix.
- Tes résultats trimestriels sont largement insuffisants, m’a-t-il annoncé d’emblée.
J’ai essayé de me justifier – le marché, le pouvoir d’achat, je suis même allé jusqu’à prétexter la guerre du Golfe, une excuse qui n’avait aucun rapport avec mon travail et dont il n’a pas été dupe – mais il m’a coupé en m’annonçant :
- De deux choses l’une, soit je te vire, soit je te garde mais à mes conditions.
Je lui ai demandé lesquelles.
Il a sorti sa grosse queue, qui était déjà dure et m’a dit que si je voulais garder ce job, il faudrait que je me donne un peu plus que ça.
- Mais je ne suis pas homo !, objecté-je.
Là encore, il m’interrompit :
- Je sais reconnaître un ptit pédé qui rougit quand j’en vois un. J’ai besoin d’une lope qui m’aide à me détendre après le boulot. Donc tu vas faire ce que je te dis. Tu me suces à la pause de midi et tu te fais enculer le soir en heures sup’ non payées. À en juger par ton petit sourire, je suis certain qu’à poil et à genoux sous mon bureau, tu seras bien plus productive qu’assise derrière le tien. Et c’est non négociable.
Il m’avait démasquée ! Son injonction venait de concrétiser mon fantasme d'appartenir à un homme. Je n’avais pas réussi à dissimuler le fait que j'étais d'accord d'être à lui.
- Mais vous êtes homo ?, me risqué-je à lui demander.
- Ferme ta gueule et viens me sucer, maintenant.
J’avais besoin de ce boulot. Et de l’argent qu’il me procurait. Mais ça, ce n’était qu’un prétexte. Au fond de moi, je n’attendais que ça pour donner libre cours à ma nature profonde.
Je me suis donc levée et L'ai sucé, sous Son bureau, assumant un statut que je me suis appliquée à conserver.
Peu de temps après, constatant que j'avais plus à cœur de Le satisfaire qu'à faire mon travail, Il m'a promue au poste de secrétaire particulière, avec une place de « travail » dans Son bureau, pour me garder auprès de Lui. Une secrétaire très particulière qui s'est donnée à fond, inutile de le préciser.
Dès l’âge de 9 ans, j’ai été attirée par le bondage. Je me souviens d’avoir fantasmé sur ma demi-sœur qui avait 11 ans de plus que moi. J’avais rêvé que je l’attachais.
À 18 ans, j’ai attaché ma première petite amie.
Puis j’ai rencontré une femme qui m’a attachée. Et j’ai adoré ça.
À côté de ça, depuis l’adolescence, je suis obsédée par la queue et par l’idée d’appartenir à un Homme.
Le bonheur, avec mon Boss, c’est qu’Il pratiquait aussi le bondage.
Il m’attachait presque tous les jours et me laissait à genoux sous Son bureau pendant qu’Il travaillait, téléphonait ou recevait ses fournisseurs. Parfois même, je Le suçais attachée sous son bureau, alors qu’Il discutait avec un subalterne qui passait Lui donner un document. Je me suis toujours demandé si le personnel savait. Mais Il a su rester discret car je n’ai jamais souffert de regards ni de remarques lors des apéros entre collègues.
J’ai vécu cette histoire durant un an et demi, entre fellations attachées le midi et sodomies bâillonnées le soir. Parfois, Il ne m’enculait pas et me laissait attachée nue en hogtie strict sur le canapé de Son bureau. D’autres fois, j’étais écartelée à plat ventre sur Son bureau, d’autres fois encore, j’étais attachée debout dans le local technique du sous-sol où Il ne venait me délivrer que vers minuit. Une fois, Il a simplement attaché mes couilles à l’un des pieds de Son bureau, m’obligeant à me tenir tranquille.
Je Lui étais totalement soumise, Le laissant me manipuler à Sa guise. Il m’a enseigné où était ma place et m’a appris à obéir, c’est-à-dire à bien fermer ma gueule (tout en ouvrant bien la bouche) et à être disponible tout le temps.
Et puis Il a dû se lasser car un « beau » jour, Il a engagé un petit stagiaire plus jeune et plus féminin que moi qui a eu raison de ma « position » de « secrétaire particulière ».
J’ai mis du temps à m’en remettre, d’autant que le sexe, le bondage et l’autorité d’un Homme me manquaient affreusement. Désormais, j’étais éduquée à servir et être la Propriété d’un Homme faisait partie de moi. Désormais, je ne voulais plus être attachée que par un homme.
J’ai donc fait des rencontres, espérant retrouver cette plénitude – je ne sais pas combien j’ai sucé de queues, je ne sais pas combien d’hommes ont fait de moi leur lope –, mais je ne l’ai jamais retrouvée. D’autant que je ne leur faisais pas assez confiance pour me livrer à eux pieds et poings liés.
Il ne faut jamais dire jamais, vous me direz, mais « a good man is hard to find », comme on dit.
Et puis j'ai rencontré Marc.
La suite dans "Soumise Ava"
Je pesais 66 kilos tout mouillé et portais des pantalons à pinces taille 34 (LOL). Avec ça, je bandais pour un oui un non et avais une vie d'hétéro. Mais, sans avoir jamais osé franchir le pas, j’avais des envies de queues.
Mon boss de l’époque était un mec viril. 42 ans, sûr de lui, un physique massif de rugbyman mais toujours tiré à quatre épingles, persuasif mais courtois, aimable mais cash, bref un mec intimidant à qui on ne la faisait pas.
Un jour, il m’a convoqué dans son bureau pour un « point RH ». Un peu inquiet – car ces rendez-vous ne présagent jamais rien de bon –, je m’y suis rendu, évidemment. Pas le choix.
- Tes résultats trimestriels sont largement insuffisants, m’a-t-il annoncé d’emblée.
J’ai essayé de me justifier – le marché, le pouvoir d’achat, je suis même allé jusqu’à prétexter la guerre du Golfe, une excuse qui n’avait aucun rapport avec mon travail et dont il n’a pas été dupe – mais il m’a coupé en m’annonçant :
- De deux choses l’une, soit je te vire, soit je te garde mais à mes conditions.
Je lui ai demandé lesquelles.
Il a sorti sa grosse queue, qui était déjà dure et m’a dit que si je voulais garder ce job, il faudrait que je me donne un peu plus que ça.
- Mais je ne suis pas homo !, objecté-je.
Là encore, il m’interrompit :
- Je sais reconnaître un ptit pédé qui rougit quand j’en vois un. J’ai besoin d’une lope qui m’aide à me détendre après le boulot. Donc tu vas faire ce que je te dis. Tu me suces à la pause de midi et tu te fais enculer le soir en heures sup’ non payées. À en juger par ton petit sourire, je suis certain qu’à poil et à genoux sous mon bureau, tu seras bien plus productive qu’assise derrière le tien. Et c’est non négociable.
Il m’avait démasquée ! Son injonction venait de concrétiser mon fantasme d'appartenir à un homme. Je n’avais pas réussi à dissimuler le fait que j'étais d'accord d'être à lui.
- Mais vous êtes homo ?, me risqué-je à lui demander.
- Ferme ta gueule et viens me sucer, maintenant.
J’avais besoin de ce boulot. Et de l’argent qu’il me procurait. Mais ça, ce n’était qu’un prétexte. Au fond de moi, je n’attendais que ça pour donner libre cours à ma nature profonde.
Je me suis donc levée et L'ai sucé, sous Son bureau, assumant un statut que je me suis appliquée à conserver.
Peu de temps après, constatant que j'avais plus à cœur de Le satisfaire qu'à faire mon travail, Il m'a promue au poste de secrétaire particulière, avec une place de « travail » dans Son bureau, pour me garder auprès de Lui. Une secrétaire très particulière qui s'est donnée à fond, inutile de le préciser.
Dès l’âge de 9 ans, j’ai été attirée par le bondage. Je me souviens d’avoir fantasmé sur ma demi-sœur qui avait 11 ans de plus que moi. J’avais rêvé que je l’attachais.
À 18 ans, j’ai attaché ma première petite amie.
Puis j’ai rencontré une femme qui m’a attachée. Et j’ai adoré ça.
À côté de ça, depuis l’adolescence, je suis obsédée par la queue et par l’idée d’appartenir à un Homme.
Le bonheur, avec mon Boss, c’est qu’Il pratiquait aussi le bondage.
Il m’attachait presque tous les jours et me laissait à genoux sous Son bureau pendant qu’Il travaillait, téléphonait ou recevait ses fournisseurs. Parfois même, je Le suçais attachée sous son bureau, alors qu’Il discutait avec un subalterne qui passait Lui donner un document. Je me suis toujours demandé si le personnel savait. Mais Il a su rester discret car je n’ai jamais souffert de regards ni de remarques lors des apéros entre collègues.
J’ai vécu cette histoire durant un an et demi, entre fellations attachées le midi et sodomies bâillonnées le soir. Parfois, Il ne m’enculait pas et me laissait attachée nue en hogtie strict sur le canapé de Son bureau. D’autres fois, j’étais écartelée à plat ventre sur Son bureau, d’autres fois encore, j’étais attachée debout dans le local technique du sous-sol où Il ne venait me délivrer que vers minuit. Une fois, Il a simplement attaché mes couilles à l’un des pieds de Son bureau, m’obligeant à me tenir tranquille.
Je Lui étais totalement soumise, Le laissant me manipuler à Sa guise. Il m’a enseigné où était ma place et m’a appris à obéir, c’est-à-dire à bien fermer ma gueule (tout en ouvrant bien la bouche) et à être disponible tout le temps.
Et puis Il a dû se lasser car un « beau » jour, Il a engagé un petit stagiaire plus jeune et plus féminin que moi qui a eu raison de ma « position » de « secrétaire particulière ».
J’ai mis du temps à m’en remettre, d’autant que le sexe, le bondage et l’autorité d’un Homme me manquaient affreusement. Désormais, j’étais éduquée à servir et être la Propriété d’un Homme faisait partie de moi. Désormais, je ne voulais plus être attachée que par un homme.
J’ai donc fait des rencontres, espérant retrouver cette plénitude – je ne sais pas combien j’ai sucé de queues, je ne sais pas combien d’hommes ont fait de moi leur lope –, mais je ne l’ai jamais retrouvée. D’autant que je ne leur faisais pas assez confiance pour me livrer à eux pieds et poings liés.
Il ne faut jamais dire jamais, vous me direz, mais « a good man is hard to find », comme on dit.
Et puis j'ai rencontré Marc.
La suite dans "Soumise Ava"
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par envie2gay
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

