Monique se libère 2 - Une première avec un inconnu.

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Monique se libère 2 - Une première avec un inconnu. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Monique se libère 2 - Une première avec un inconnu.
Dès le petit déjeuner pris, on profite de la bise matinale pour quitter la crique où nous avons mouillé et mettre le cap sur Syros, une île visible à l'horizon.
Yanis est à la barre et moi à l'intérieur, je remets de l'ordre dans la chambre et le carré. Monique et Olivier sont sur la plage avant du voilier, j'entends leurs cris par le vasistas de la chambre, ils règlent leurs comptes après la partie de ce matin.
Après une heure de rangement j'apparais dans le cockpit. Yanis debout tient la barre, les maisons de l'île commencent à être visibles. A l'avant du bateau je vois notre couple d'amis allongé, Olivier penché sur Monique. Un calme relatif semble être revenu, un regard interrogateur à Yanis me vaut son pouce levé.... Ainsi la situation semble moins tendue que je ne le craignais. Avec prudence je m'avance sous la bôme et voyant le visage détendu de Monique je m'accroupis, tranquillisée, à leurs têtes.

— Coucou mes chéris, je ne vous dérange pas ? Et là, je vois Olivier me tirer la gueule.
— Pas du tout, me répond Monique gaiment, viens près de nous !, c'est vraiment Jean qui pleure Jean qui rit.
— Euh oui... Ça va Olivier ?... Attention, tu vas prendre un coup de soleil, alors que je lui caresse les épaules et le dos brûlants... Toi aussi d'ailleurs Monique regarde ta poitrine ! Allez les enfants, venez à l'arrière on va installer le taud. Alors que Olivier reste prostré, je le tire par la main et lui chuchote. Allez, viens, regarde comme Yanis te sourit, il t'attend.

On se retrouve tous les quatre entre copains à l'arrière. Yanis invite Olivier à prendre la barre, alors qu'il installe la toile pour nous protéger du soleil, j'entraîne Monique à l'intérieur pour lui mettre de la crème solaire et surtout connaître l'état d'esprit de son mari. « Comment va-t-il ? »

— Il était furieux, il m'a traitée de gouine, de salope et que sais-je encore. Alors je me suis rebellée, je lui suis rentré dedans en lui disant que c'était un sale pédé soumis à une sale bonne femme, que j'étais au courant par une copine de ses frasques, que je savais qu'il me trompait depuis le début de notre mariage alors que j'étais fidèle, que j'étais une grenouille de bénitier comme il se félicitait jusqu'à ce que je te rencontre l'année dernière.
Je lui ai dit aussi que tu m'as fait découvrir l'amour et que ce matin j'étais heureuse d'offrir ma pastille à ton mari. Oui s'il veut je suis une salope, une pute et tout et tout. Oui j'aime l'amour, oui j'aime le sexe avec toi, avec ton mari. Aujourd'hui les choses sont ainsi et lui n'a qu'à m'accepter telle que ou foutre le camp...
Alors imagine-toi que ce salaud est devenu tout mielleux, me demandant pardon, me disant qu'il était prêt à accepter tout de moi... Un long silence, elle semble furieuse et en même temps a une larme à l’œil.
Tu sais ma chérie, vraiment je lui en veux beaucoup, j'ai perdu vingt ans de plaisir et j'ai bien idée de lui faire payer ce temps perdu.
— T'inquiète ma chérie tu auras l'occasion. Le temps perdu ne se rattrape pas mais tu mettras des bouchées doubles à l'avenir ! A ce moment Monique éclate de rire.
— J'aime quand tu parles de bouchées doubles, tu penses triolisme ?
— OH ! MOOONIIQUE !!!, criè-je indignée. T'es vraiment une sacrée salope comme il dit. Allez, viens dehors et reste à l'ombre tu es déjà toute rouge.

De nouveau dans le cockpit, la toile nous protège du soleil qui devient très chaud. On est encore loin du port, Olivier tient la barre sous la surveillance de Yanis qui le tient par les épaules, collé à son dos. Les salauds, sans baiser ils se frottent l'un à l'autre, punaise ce mec c'est vraiment une tarlouse. Monique est allongée à poil sur la banquette arrière, les mains sous la tête profitant de la brise marine. Je la couvre d'huile au monoï, sa fragrance sucrée et florale me porte en rêve vers d'autres îles. Je la caresse, masse ses seins qui me paraissent plus gros, plus fermes, excite sa vulve bien ourlée maintenant, elle s'offre, relève le bassin, écarte les cuisses, gémit sous le regard contrarié de l'un ou intéressé de l'autre. Je lui fais un bisou et lui suggère

— Tu devrais t'épiler, crois-moi ma chérie sentir la chaleur du soleil sur l'abricot fendu est pur bonheur !
— Vrai ? Pourquoi pas ? ... OK ! Tu me le fais ? Répond-elle avec enthousiasme
— Heu... Monique ! Plainte sourde d'Olivier que je n'entends pas.
— Vraiment !... Tu veux maintenant ?

Elle acquiesce d'un signe de tête et d'un sourire. Elle me surprend encore comme elle ignore son mari et comme elle s'offre sans aucune retenue. Je m'équipe de la crème dépilatoire et de la spatule. En une demi-heure elle a un ventre de bébé.

— Mets-toi en levrette que je m'occupe du petit trou.

Là encore, elle me sidère, le plus naturellement du monde elle se met à genoux sur la banquette, la tête sur le matelas et de ses deux mains elle écarte ses fesses de manière indécente, elle a l'anus encore enflammé. Elle défit son mari du regard et lui l'observe la mine défaite, silencieux. Il se rend compte alors que sa femme lui a échappée. En deux coups de spatule elle perd son duvet et d'un coup de gant de toilette toute trace de crème. Je termine en lui massant la rosette d'une crème apaisante
Monique devient une vraie salope, elle se caresse l'oignon avec délectation sous le regard des deux mâles et elle demande à Yanis de vérifier mon travail. Le coquin ne se fait pas prier, il abandonne Olivier « Tiens bon la barre matelot, droit devant ». A mon côté il poursuit le massage des chairs intimes jusqu'à faire disparaître toute trace de crème « Là, vérifie encore ! » insiste-t-elle. Alors sans hésiter il la prend au ventre et lui fait un anulingus très profond. Il se régale, son jugement est sans appel :

— Parfait ! Tu es délicieuse...

Puis en regardant Olivier lui dit « Barre à tribord... A droite moussaillon ! On va aller mouiller dans cette crique pour la nuit. »
Dans l'anse ombragée, la mer est d'un bleu intense. Il y a déjà un bateau aux voiles affalées et Yanis décide de jeter l'ancre à une dizaine de brasses de lui. L'eau est cristalline, dans un bruit d'enfer on voit la chaîne filer vers le fonds et l'ancre se fixer dans le sable blanc. Après le vacarme tout devient calme, on entend le chant des cigales au loin et le clapotis de l'eau sur la coque. Sur le voilier d'à côté un couple apparaît et nous fait signe de leurs bras. Comme pour nous, la nudité est leur mode de vie.

— Kalimera !

Yanis entame la conversation en grec et rapidement les deux plongent pour nous rejoindre alors que Yanis met l'échelle de coupée. Trois minutes après ils sont à bord et on se salue par une poignée de main suivie d'une embrassade. Lina et Gregorios ont à peine une trentaine d'années, ils parlent un peu français mais surtout sont charmants.

Je ne sais pas ce qu'ils se disent avec Yanis mais ils sont très à l'aise avec nous et particulièrement Yanis avec Lina tandis que Gregorios fait déjà gentiment la cour à Monique. En une demi-heure on sait qu'ils sont athéniens, lui est avocat et elle commerçante. Ils ont l'habitude de naviguer dans les Cyclades et de faire la fête jusqu'au bout de la nuit. On décide de déjeuner ensemble.

Les trois hommes font avec l'annexe le transfert du repas de l'autre bateau jusqu'au nôtre, alors que nous, les trois filles, faisons un peu plus connaissance assises côte-côte sur la banquette arrière. Lina a une peau olivâtre, une chevelure noire et frisée jusqu'au milieu du dos, visiblement elle est sportive avec une toute petite poitrine aux tétons proéminents brun-noir. Même avec la difficulté de communiquer se crée entre nous trois un climat de franche amitié.

Yanis traduit certainement l'exclamation de Gregorios au retour de l'annexe :

— Ohé les copines, attendez-nous !!!.
— Les copines vous préparent le repas, lui répondè-je en éclatant de rire et embrassant Lina sur les lèvres.
— On a le temps de piquer une tête avant de manger ? Demande Yanis.
— OUI BIEN SUR ! crie Monique tout en plongeant dans l'eau, suivie immédiatement par Gregorios.

Les deux s'éloignent du bateau. A mon tour, je tiens Lina par la main pour sauter, nous remontons à la surface et ressortons de l'eau en éclatant de rire. Ses bras et ses jambes s'enroulent autour de moi comme des lianes et notre simple bisou devient un baiser gourmand avec la langue. Lina s'échappe de mes mains, plonge, disparaît puis revient sur moi en me prenant par le sexe. On rit à perdre haleine en jouant et s'éclaboussant comme des gamines. Nous nageons jusqu'au rivage où nous nous allongeons, moi sur le dos elle contre moi. On se sourit, on partage les mêmes désirs, sa main ne cesse de me découvrir, elle aime mes gros seins, on se parle peu. Elle vient entre mes jambes, sa bouche sur mon ventre, je m'abandonne à ses lèvres à l'ombre des pins et bercée par le chant assourdissant des cigales.
Quelques temps après Yanis et Olivier qui sont restés sur le bateau, nous appellent :

— Ohé les filles, le repas est servi.

On rentre, Lina nage mieux que moi, elle est sur le bateau alors que je rejoins seulement l'échelle de coupée. C'est elle qui me tend la serviette quand j'arrive enfin sur le pont. Gregorios et Monique déjà arrivés semblent s'être liés d'une grande amitié.
Sous le taud, Yanis et Olivier ont préparé les salades de tomates, de féta, d'olives, il y a aussi des tzatziki et de la pastèque. Le retsiné est frais par contre l'ambiance est chaude. Le repas sitôt avalé, Monique et Gregorios qui ne se sont quittés, vont conjuguer le verbe aimer dans la cabine. Yanis parle en grec avec Lina et je retiens Olivier près de moi. Je vais enfin savoir ce qu'il a dans le ventre.
On s'allonge tous les deux sur la banquette arrière du cockpit. A notre tête sur la banquette latérale se sont installés Lina et Yanis.
Avec Olivier nous nous câlinons côte-côte et entre deux bisous du bout des lèvres, sous le feu de mes questions il me confirme sa soumission à une femme qui le conduit dans des soirées libertines...

— Et vis à vis de ta femme ?
— J'ai été un connard, je la croyais pudibonde. Tu ne connais pas son milieu de naissance, son père Pasteur, sa mère présidente des bonnes œuvres protestantes, moi-même je suis né dans une famille collet monté... sans qu'ils sachent qu'au pensionnat j'étais devenu un petit vicieux et... Je ne pouvais imaginer les désirs de Monique, elle était vierge, ne connaissais rien du sexe, je me suis trompé, je n'ai pas su l'aimer...
— Ouais t'es vraiment un connard ! Et maintenant la voir ainsi faire l'amour, la savoir en ce moment avec ce p'tit jeune ?
— Horrifié ! Humilié... J'ai honte. Après un long silence il marmonne, en même temps ça m'excite !... Comme ce matin avec Yanis
— Pourtant ce matin tu n'avais pas fière allure
— Non je me sentais tellement humilié... Mais en même temps la voir comme les filles des revues pornos, tu ne peux comprendre
— Tu en connaîtras d'autres humiliations.... Pour l'instant, imagine que je sois ta Maîtresse, elle est sévère ? Je le prends au cou et lui donne une gifle, elle te tape comme çà ?
— Oui mais c'est pour jouer... Elle me donne une fessée si je ne fais pas ce qu'elle veut
— Alors SUCE-MOI ! Que je dis en levant le ton. Fais-moi jouir ou je te fesse comme jamais elle ne t'a fessé.

Il m'embrasse avec la langue, pas terrible, puis va sur ma poitrine trop rapidement, me tète sans me faire bander, puis d'un coup se retrouve sur mon ventre. Quel piètre amant.
Pendant ce temps à ma tête mon mari et Lina se font plaisir, ça m'excite, j'ai envie. J'ouvre grand mes cuisses, prends la tête d'Olivier et la colle à ma chatte. Je lui crie « Mieux que ça ! » en lui donnant à nouveau une gifle
Et là, tout change, le coquin aime jouer, se faire battre, sa langue peu agile jusqu'à présent, vibre comme celle d'un serpent, ses mains inertes sur mes genoux, deviennent brûlantes sur mes cuisses, éclatent ma vulve, étirent mon clito et le décapuchonnent, il me tète le bouton bien mieux qu'il ne le faisait avec mon téton, putain le salaud me met le feu au ventre, je tremble, je suis prise de spasme, je grogne « Oh oui ! Viens, viens »
A cet instant, je vois au dessus de moi la tête de Lina à l'envers, sa chevelure épaisse me couvre le visage, ses lèvres se posent sur les miennes, son nez sur mon menton, elle m'embrasse à pleine bouche, pendant que l'autre me bouffe la chatte avec la même ardeur. Elle finit en aspirant ma lèvre inférieure au point de la déchirer « Tu m'as demandée ? » dit-elle en riant.

Je n'ai pas le temps de répondre que telle une chatte, Lina avance à quatre pattes jusqu'à ma poitrine. Mes seins retiennent son attention, en même temps elle m'offre les siens, deux petits cônes aux pointes saillantes. Elle m'embrasse, me tète, me lèche. Sa longue chevelure me caresse, me fait frisonner. Je m'amuse avec ses deux œufs sur le plat et l'autre amoureux à mes pieds continue de me bouffer la cramouille. 

Lina poursuit son avancée sur mon ventre, rencontre Olivier, un moment ce sont deux bouches gourmandes qui se partagent mon abricot puis une seule quand j'entends un grognement rauque « Viens ici ! » suivi d'une paire de claques. Je vois entre les cuisses de Lina Yanis relevant Olivier et le poussant contre le bastingage. Il le rudoie, lui fait baisser la tête son autre main lui trifouille les fesses. Les sauts de carpe d'Olivier laissent penser qu'il le doigte profond :

— Ouais salope, t'aime ça hein, tu la veux ma grosse queue comme hier... REPONDS ! Une violente claque résonne suivi d'un "Ui" plaintif... PARDON ?? à nouveau deux claques puis une gueulante : Comment on dit ?
— Oui, Monsieur s'il vous plaît.

Incroyable, comme Yanis le traite et lui, en obéissant garçon, corrige immédiatement sa position, cuisses écartées, reins creusés. Yanis est contre lui, un silence, une plainte... et tout de suite il le sodomise à grands coups de reins et de "Han !... Han !..." audibles dans tout le bateau.
Lina me bouffe l'abricot, suce, lèche, aspire... De mon côté je m'enivre dans sa toison crépue, ma langue découvre une ligne de crête, deux lèvres épaisses et fermes réunies par un bourgeon brun foncé. Ma langue glisse dans la vallée et trouve une faille étroite débordante d'un sirop légèrement salé. Et là l'une et l'autre, inventons, copions. Débute un concours de la langue la plus sensuelle, la plus savoureuse, la plus agile, la plus excitante.

Chaque couple se fait plaisir à sa manière et après avoir atteint le nirvana, se repose.

En milieu d'après-midi, tandis que les hommes se reposent chacun couché sur une banquette latérale, avec Lina nous nous câlinons heureuses du moment passé, face à la porte donnant sur le carré. Nous voyons Monique sortir de l'habitacle en se tirant à la rampe. Elle semble fatiguée, les yeux dans le vague. Elle est rouge, en sueur, la chevelure ébouriffée, elle porte des traces écarlates sur tout le corps de suçons, de griffures, marques d'amour sauvages. Sans nous regarder elle saute dans l'eau, je la suis du regard, dès que les milliers de bulles liées à la chute se sont dissipées, je la vois nager vers le fond. Elle est agile, sa peau blanche est resplendissante, ses cheveux blonds ondoient dans l'eau cristalline, sa taille étroite fait ressortir ses hanches. Elle touche le sable et telle une sirène, d'un battement de pieds, les bras le long du corps, la tête tournée vers nous, elle remonte et jaillit hors de l'eau en éclatant de rire « Ah ! Ah ! Ah ! ».

J'enjambe le bastingage quand Gregorios sort à son tour mouillé après avoir pris une douche.

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