Naturisme… et plus si affinités
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Naturisme… et plus si affinités
Je vais vous raconter une aventure qui est arrivée à mon mari deux ans avant de me connaitre. A l’époque, il vivait avec Marie-Christine, une assistante dentaire qui n’était pas frileuse du côté du cul d’après ce qu’il m’en a raconté, mais qui n’avait pas encore expérimenté les fantaisies sexuelles. Après un appel de Julie, une ancienne amie d’études de Marie-Christine, Ber a demandé des précisions sur cette amie. De fil en aiguille, Marie-Christine a fini par admettre qu’elle avait eu des attirances pour Julie mais n’avait jamais osé aller plus loin qu’un fantasme. Ber lui a suggéré régulièrement de passer à l’acte, et encore mieux, à trois, et finalement elle a cédé. Lors de l'appel suivant de Julie, Marie-Christine lui a proposé de venir passer un week-end à Marseille et elle a accepté.
Je vais essayer de me mettre dans la peau de Julie pour vous raconter ce que Ber m’a rapporté de ce séjour.
Préambule
Bonjour, je m’appelle Julie et j’ai 28 ans. Je suis assistante dentaire et j’habite Digne. Je suis assez petite et menue, avec peu de poitrine et de fesses, et je suis rousse.
Quand on n’est pas super à l'aise pour faire du topless à la plage, faire tomber le haut relève de l’exploit. Et pourtant, j'ai expérimenté bien plus que ça ce printemps, je vous raconte tout.
La première question qu'on se pose, c'est comment on en arrive à faire du naturisme ? Moi j'ai été élevée dans une famille assez pudibonde. Je n'ai jamais vu mes parents nus, et même avec ma grande sœur on ne se déshabillait pas l’une devant l’autre, c'est vous dire que je pars avec un gros handicap dans ce domaine.
Puis fin mai, une amie d’études dentaires avec qui j'ai gardé le contact et qui habite à Marseille m’a invitée à passer un week-end chez elle en juin. Quelques jours près de la mer, plutôt une bonne idée quand on a bossé toute une année dans un cabinet.
Dans la conversation, Marie-Christine m'a prévenue :
— Tu sais, là où on va dans les Calanques, c’est naturiste. Ça te gêne pas ?
Je suis devenue livide. Je m'imaginais avec Marie-Christine et son mec Bernard, tous à poil en train de gambader dans les rochers et c'était totalement inconcevable sur le moment. Mais je n'ai pas répondu tout de suite, ça demandait réflexion. Le lendemain, épuisée par le boulot, je l’ai rappelée et j'ai finalement répondu en me forçant à paraître assez enthousiaste :
— Non, non, c’est bon !
J'aurais voulu hurler que ça me terrorisait, mais après tout, on verrait sur place. Et pourquoi pas ne pas faire n'importe quoi, tant que je ne suis plus dans ce bureau.
Puis j'ai un peu mis ça de côté dans ma tête, jusqu'à quelques jours avant le départ où je me suis souvenue que j'avais osé dire oui à cette proposition improbable. Mais nous n'en avions plus parlé avec Marie-Christine.
Vendredi 10 juin 1983
Une fois arrivée sur place en fin d'après-midi, je suis reçue dans leur petite cour par mon amie qui est simplement vêtue d'un string de bain noué sur les hanches et d'une espèce de châle en soie jeté sur son cou et qui lui masque plus ou moins les seins. Elle me fait la bise et me demande :
— Ça te fait rien si je me mets à l'aise, j'espère ?
Et sans attendre ma réponse, elle enlève ce châle sans paraître gênée. J'avais presque complètement zappé l’histoire du naturisme. Elle me présente à Bernard que je n'avais jamais rencontré auparavant. Lui aussi porte un string pour tout vêtement mais ne semble pas s'en soucier pour venir me faire la bise. Marie-Christine m'installe et me fait la visite de la maison avant le premier apéro. J'ai envie de lui faire remarquer qu'ils me semblent vraiment à l'aise de recevoir dans cette tenue, mais je ne veux pas faire la vieille mégère. Donc je m'abstiens. C'est Bernard qui remet le sujet sur la table, entre deux tranches de saucisson et un pastis :
— Bon, j'espère que tu n'a pas été trop gênée de nous voir si peu vêtus d'entrée de jeu ?
— Euh… un peu surprise, mais ça va, j'étais un peu prévenue de vos habitudes.
— C'est pour ça qu'on a préféré enfiler quelque chose.
— Merci, c'est sympa d'y avoir pensé.
— Alors, tu es partante pour faire un tour sur notre petit coin naturiste ? Il parait que tu n’as jamais essayé…
Je reste muette un instant, puis ne voulant pas me dégonfler, je m’entends répondre:
— Non, jamais, mais ça doit pas être si dingue que ça.
Marie-Christine répond simplement :
— Bravo, demain ce sera l’occasion pour toi de t'y mettre. Tu vas voir : au début, ça fait un peu bizarre, mais au bout de deux minutes on s'en rend plus compte.
— Mouais, je suis sceptique.
Samedi 11 juin 1983
Ce matin au petit déjeuner, je remarque que mes hôtes portent toujours - et seulement - un string, mais dont la taille a rétrécI. Pour Marie-Christine, il ne s'agit plus que d'un ridicule cache-sexe format portion de vache-qui-rit qui ne masque rien de son pubis dont l'épilation parait extrême. Nous nous habillons légèrement et partons dans les Calanques, qui sont à une demi-heure de leur maison. Nous longeons toutes les plages de la Corniche, fréquentées par les touristes, et elles sont très chargées. On est seulement en juin et ça semble déjà irrespirable.
Arrivés à Luminy, Bernard trouve une place miraculeuse à l'ombre d'un pin pour se garer, puis nous descendons un sentier long mais pas trop accidenté. Pas d’inquiétude pour mes chevilles. Quand soudain, le choc...
Sugiton, une crique magnifique de rochers, pas de sable, mais tout de même beaucoup de gens, et tous en maillot. Nous continuons, et au détour d’un éperon rocheux, un décor paradisiaque, une grande dalle bien plate au bord de l’eau. Et seulement une vingtaine de personnes, toutes entièrement nues. Rien à voir avec la crique bondée d’à côté.
Un peu gênée de voir tant de sexes exposés, je fais l’effort de rester naturelle et je focalise mon attention sur le décor pendant que mes amis disent bonjour à des habitués du coin. Je pense avoir répété dix fois la phrase "mais c'est sublime” pendant l’approche.
Nous nous installons près d'un rocher, à quelques mètres de l’eau. Marie-Christine est la première à se déshabiller, naturellement, rapidement, comme pour montrer l’exemple. Elle a le même âge que moi et le porte bien elle aussi, avec sa crinière brune et ses petits seins qui diffèrent des miens par leurs tétons très pointus.
Elle fait tout pour bien me démontrer que ça n'a pas d'importance. Bernard se déshabille aussi, et se tourne tout de suite vers l'eau, peut-être pour me ménager :
— Je vous laisse entre filles!
On voit bien qu’il fait du sport, car avec un an de plus que nous, il a une silhouette svelte et ses fesses ont l’air bien fermes.
Il m'aura fallu au final quelques secondes pour me décider à suivre moi-même le mouvement, après une grande respiration. Je me retrouve donc à poil, assise sur ma serviette, mais finalement heureuse d'avoir osé. Marie-Christine me dit en souriant :
— Bienvenue au club!
Assez vite la sensation d'être nue me procure un sentiment de liberté qui surpasse la notion de gêne. Evidement, quand Marie-Christine me propose d’aller à l’eau, je mets un peu de temps à me lever, les trois mètres qui m'éloignent du bord me semblant gigantesques, un moment terrible où je suis obligée de me montrer nue, face à tous.
Mais au final, je me rends compte que tout le monde s'en fiche. Personne ne vous regarde, les gens discutent, jouent avec leurs enfants, font trempette, lisent, exactement comme sur une plage classique.
Nous voilà dans l'eau, entièrement nues. Les sensations sont encore plus fortes, l'eau se balade partout autour de vous, jusqu'à des zones généralement plutôt couvertes, et c'est agréable, vraiment. Ça crée un rapport différent au lieu, à l'eau, et à la nature en général. Je comprendre du coup un peu mieux le mot “Naturisme".
Puis je retourne sur la dalle, beaucoup plus détendue et je n'ai pas peur de rester debout pour me sécher. Tout le monde peut me voir, et alors ?
Marie-Christine qui me suit, me fait remarquer qu'elle n'a aucune trace de bronzage parce qu'elle vient plusieurs fois par semaine, et je note enfin son épilation totale qui ne masque rien de sa fente. Ça tranche avec mon triangle de poils fauves que je taille court mais qui est complet.
De même pour Bernard qui nous rejoint à son tour et qui n’a qu’un petit filet de poils sur son pubis. Je me surprends à regarder un peu trop son équipement et je détourne vite les yeux. Il faut dire que ses cloches bien lisses sont assez volumineuses et que le battant est bien plus large et long au repos que les rares que j’ai connus jusqu’à maintenant, même quand ils étaient en forme.
Je finis par ne plus me gêner de porter mon regard vers les autres personnes autour de nous et constate que beaucoup sont épilées entièrement, surtout les femmes.
Le soir, Marie-Christine est la première à aller prendre sa douche et elle ressort à poil :
—Bon, maintenant qu'on s'est tous vus à poil, plus la peine de se gêner !
Pendant que Ber prend la suite, elle me relance sur le sujet pour que moi aussi je le fasse, histoire de continuer à m’habituer à la nudité même à la maison. et que je me sentirais moins gênée qu'en étant habillée entre eux deux. Et à ma grande surprise, j’accepte spontanément. Comme Ber en a fait de même lorsqu'il nous rejoint, je n’ai que peu d’hésitations à ressortir moi-même entièrement nue de la salle de bains. Pendant le repas, la discussion vient sur nos pilosités, et finalement Marie-Christine me convainc de la laisser me réduire la touffe. Elle insiste pour le faire sur-le-champ et m’entraine à la salle de bains où je la laisse opérer. Je lui demande de me laisser au moins un ticket de métro, mais quand elle a fini, je m’aperçois qu’elle a presque tout enlevé, sauf un petit confetti carré. En me regardant dans la glace, vu ma corpulence réduite j’ai l’impression d’être une gamine pré-pubère. Mais c’est assez mignon, bien que ça me gêne un peu que ma fente soit entièrement découverte. Ma nouvelle coupe a l’air de plaire à Bernard car je surprends du coin de l’œil un début d’érection quand nous revenons de la salle de bains.
Dimanche 12 juin 1983
Cette fois, ils m’emmènent à la Calanque de l’Escu, et c’est un chemin beaucoup plus escarpé. La crique est déserte, comme ils me l’avaient annoncé. Comme il n’y a que nous et que je me sens maintenant en totale confiance avec ma nudité, sans aucune pression, je me déshabille rapidement et n’hésite pas à évoluer devant mes amis en plein soleil. On fait même une photo-souvenir avec Ber pour laquelle je préfère tout de même être de dos.
C’est l’insistance du soleil qui est le point de départ de la suite. Alors que je me tourne sur le ventre, Marie-Christine me propose de me passer l’huile solaire dans le dos. J’accepte son aide et elle commence à m’enduire les épaules en massant bien. C’est vraiment bon et je m’abandonne à ses mains.
Ses doigts qui descendent ensuite le long de mon dos pour arriver sur mes reins. Elle passe directement plus bas pour s’occuper de mes jambes, puis revient sur mes fesses. Je ferme les yeux et me laisse aller.
Quand son massage me fait lâcher un soupir d’aise, ses caresses deviennent de plus en plus précises, allant franchement dans ma raie. Je comprends où ça peut nous mener, mais étrangement je me surprends à en avoir envie, bien que ce soit la première fois où je fais ça en plein air, et en plus avec une femme. Devant ma passivité, elle s’attarde un instant sur mon anus avant d’aller explorer ma fente. C’est bon…
Au bout d’un moment, j’ouvre les yeux et vois Bernard qui nous regard en tenant en main sa bite en pleine érection. Il s’approche de nous et je vois en gros plan cette queue impressionnante avec son gros gland entièrement décalotté qu'il caresse doucement.
Marie-Christine me branle un moment, puis Bernard vient prendre sa place et me fait mettre à quatre pattes. Je sens son gland glisser de haut en bas entre mes fesses puis se poser contre ma fente, bien humide maintenant. Je pousse un peu pour lui montrer qu’il peut y aller, et il me pénètre en douceur. Je me sens remplie par ce membre énorme qui commence à s’activer.
Quand je jouis, il se retire et je retombe sur le côté. Je regarde cette bite qui bande toujours à fond et je me demande comment j’ai pu recevoir un tel calibre. Marie-Christine prend le relais pour se faire aussi prendre en levrette et je les regarde en me caressant le clito. Ils se déplacent vers moi, et quand elle me fait mettre sur le dos et écarte mes cuisses pour y plonger sa tête, je la laisse faire. C’est plein de choses que je n’avais jamais imaginée faire un jour - à trois, avec une femme, avec mon amie - et qui m'arrivent d'un coup. Et là, je sens les ondes de sa jouissance que transmet sa langue sur mon clito.
Bernard se retire et elle vient s’assoir contre moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser sur la bouche. Bernard se rapproche, toujours en pleine érection et c’est Marie-Christine qui l’empoigne pour le branler un peu avant de l’emboucher. Je suis fascinée par ce spectacle surréaliste si près de mon visage. Elle le fait coulisser quelque temps entre ses lèvres, puis le ressort et me le propose par un regard. J’envoie timidement la main jusqu’à cette tige dont j’arrive à peine à faire le tour et je fais quelques allers-retours. Puis je me lance à faire ce que je n’ai jamais fait à aucun garçon. Je pose quelques baiser sur la tige en même temps qu'elle continue, puis sur le gland où je sens le goût intime de mon amie mélangé au mien et à celui de Bernard. Enfin, je me décide à gober le gland et à le sucer en suivant les conseil de Marie-Christine qui me le laisse.
Quand il éjacule, j’ai un haut-le cœur et je recrache presque tout, mais ils me disent que c’est normal la première fois. Je retourne à la mer pour nettoyer le sperme sur mes seins et mon cou.
Après le pique-nique, nous remettons ça. cette fois, j'expérimente encore une nouveauté pour moi : c'est moi qui offre un cunnilingus à Marie-Christine qui vient chevaucher ma tête pendant que Ber me prend en force en brouette. Puis en fin d’après-midi, il est temps de rentrer pour que je reprenne la route des Alpes. Mais je compte revenir bien vite les voir.
Et vous, vous avez déjà essayé le naturisme (et le reste) ?
Julie
Je vais essayer de me mettre dans la peau de Julie pour vous raconter ce que Ber m’a rapporté de ce séjour.
Préambule
Bonjour, je m’appelle Julie et j’ai 28 ans. Je suis assistante dentaire et j’habite Digne. Je suis assez petite et menue, avec peu de poitrine et de fesses, et je suis rousse.
Quand on n’est pas super à l'aise pour faire du topless à la plage, faire tomber le haut relève de l’exploit. Et pourtant, j'ai expérimenté bien plus que ça ce printemps, je vous raconte tout.
La première question qu'on se pose, c'est comment on en arrive à faire du naturisme ? Moi j'ai été élevée dans une famille assez pudibonde. Je n'ai jamais vu mes parents nus, et même avec ma grande sœur on ne se déshabillait pas l’une devant l’autre, c'est vous dire que je pars avec un gros handicap dans ce domaine.
Puis fin mai, une amie d’études dentaires avec qui j'ai gardé le contact et qui habite à Marseille m’a invitée à passer un week-end chez elle en juin. Quelques jours près de la mer, plutôt une bonne idée quand on a bossé toute une année dans un cabinet.
Dans la conversation, Marie-Christine m'a prévenue :
— Tu sais, là où on va dans les Calanques, c’est naturiste. Ça te gêne pas ?
Je suis devenue livide. Je m'imaginais avec Marie-Christine et son mec Bernard, tous à poil en train de gambader dans les rochers et c'était totalement inconcevable sur le moment. Mais je n'ai pas répondu tout de suite, ça demandait réflexion. Le lendemain, épuisée par le boulot, je l’ai rappelée et j'ai finalement répondu en me forçant à paraître assez enthousiaste :
— Non, non, c’est bon !
J'aurais voulu hurler que ça me terrorisait, mais après tout, on verrait sur place. Et pourquoi pas ne pas faire n'importe quoi, tant que je ne suis plus dans ce bureau.
Puis j'ai un peu mis ça de côté dans ma tête, jusqu'à quelques jours avant le départ où je me suis souvenue que j'avais osé dire oui à cette proposition improbable. Mais nous n'en avions plus parlé avec Marie-Christine.
Vendredi 10 juin 1983
Une fois arrivée sur place en fin d'après-midi, je suis reçue dans leur petite cour par mon amie qui est simplement vêtue d'un string de bain noué sur les hanches et d'une espèce de châle en soie jeté sur son cou et qui lui masque plus ou moins les seins. Elle me fait la bise et me demande :
— Ça te fait rien si je me mets à l'aise, j'espère ?
Et sans attendre ma réponse, elle enlève ce châle sans paraître gênée. J'avais presque complètement zappé l’histoire du naturisme. Elle me présente à Bernard que je n'avais jamais rencontré auparavant. Lui aussi porte un string pour tout vêtement mais ne semble pas s'en soucier pour venir me faire la bise. Marie-Christine m'installe et me fait la visite de la maison avant le premier apéro. J'ai envie de lui faire remarquer qu'ils me semblent vraiment à l'aise de recevoir dans cette tenue, mais je ne veux pas faire la vieille mégère. Donc je m'abstiens. C'est Bernard qui remet le sujet sur la table, entre deux tranches de saucisson et un pastis :
— Bon, j'espère que tu n'a pas été trop gênée de nous voir si peu vêtus d'entrée de jeu ?
— Euh… un peu surprise, mais ça va, j'étais un peu prévenue de vos habitudes.
— C'est pour ça qu'on a préféré enfiler quelque chose.
— Merci, c'est sympa d'y avoir pensé.
— Alors, tu es partante pour faire un tour sur notre petit coin naturiste ? Il parait que tu n’as jamais essayé…
Je reste muette un instant, puis ne voulant pas me dégonfler, je m’entends répondre:
— Non, jamais, mais ça doit pas être si dingue que ça.
Marie-Christine répond simplement :
— Bravo, demain ce sera l’occasion pour toi de t'y mettre. Tu vas voir : au début, ça fait un peu bizarre, mais au bout de deux minutes on s'en rend plus compte.
— Mouais, je suis sceptique.
Samedi 11 juin 1983
Ce matin au petit déjeuner, je remarque que mes hôtes portent toujours - et seulement - un string, mais dont la taille a rétrécI. Pour Marie-Christine, il ne s'agit plus que d'un ridicule cache-sexe format portion de vache-qui-rit qui ne masque rien de son pubis dont l'épilation parait extrême. Nous nous habillons légèrement et partons dans les Calanques, qui sont à une demi-heure de leur maison. Nous longeons toutes les plages de la Corniche, fréquentées par les touristes, et elles sont très chargées. On est seulement en juin et ça semble déjà irrespirable.
Arrivés à Luminy, Bernard trouve une place miraculeuse à l'ombre d'un pin pour se garer, puis nous descendons un sentier long mais pas trop accidenté. Pas d’inquiétude pour mes chevilles. Quand soudain, le choc...
Sugiton, une crique magnifique de rochers, pas de sable, mais tout de même beaucoup de gens, et tous en maillot. Nous continuons, et au détour d’un éperon rocheux, un décor paradisiaque, une grande dalle bien plate au bord de l’eau. Et seulement une vingtaine de personnes, toutes entièrement nues. Rien à voir avec la crique bondée d’à côté.
Un peu gênée de voir tant de sexes exposés, je fais l’effort de rester naturelle et je focalise mon attention sur le décor pendant que mes amis disent bonjour à des habitués du coin. Je pense avoir répété dix fois la phrase "mais c'est sublime” pendant l’approche.
Nous nous installons près d'un rocher, à quelques mètres de l’eau. Marie-Christine est la première à se déshabiller, naturellement, rapidement, comme pour montrer l’exemple. Elle a le même âge que moi et le porte bien elle aussi, avec sa crinière brune et ses petits seins qui diffèrent des miens par leurs tétons très pointus.
Elle fait tout pour bien me démontrer que ça n'a pas d'importance. Bernard se déshabille aussi, et se tourne tout de suite vers l'eau, peut-être pour me ménager :
— Je vous laisse entre filles!
On voit bien qu’il fait du sport, car avec un an de plus que nous, il a une silhouette svelte et ses fesses ont l’air bien fermes.
Il m'aura fallu au final quelques secondes pour me décider à suivre moi-même le mouvement, après une grande respiration. Je me retrouve donc à poil, assise sur ma serviette, mais finalement heureuse d'avoir osé. Marie-Christine me dit en souriant :
— Bienvenue au club!
Assez vite la sensation d'être nue me procure un sentiment de liberté qui surpasse la notion de gêne. Evidement, quand Marie-Christine me propose d’aller à l’eau, je mets un peu de temps à me lever, les trois mètres qui m'éloignent du bord me semblant gigantesques, un moment terrible où je suis obligée de me montrer nue, face à tous.
Mais au final, je me rends compte que tout le monde s'en fiche. Personne ne vous regarde, les gens discutent, jouent avec leurs enfants, font trempette, lisent, exactement comme sur une plage classique.
Nous voilà dans l'eau, entièrement nues. Les sensations sont encore plus fortes, l'eau se balade partout autour de vous, jusqu'à des zones généralement plutôt couvertes, et c'est agréable, vraiment. Ça crée un rapport différent au lieu, à l'eau, et à la nature en général. Je comprendre du coup un peu mieux le mot “Naturisme".
Puis je retourne sur la dalle, beaucoup plus détendue et je n'ai pas peur de rester debout pour me sécher. Tout le monde peut me voir, et alors ?
Marie-Christine qui me suit, me fait remarquer qu'elle n'a aucune trace de bronzage parce qu'elle vient plusieurs fois par semaine, et je note enfin son épilation totale qui ne masque rien de sa fente. Ça tranche avec mon triangle de poils fauves que je taille court mais qui est complet.
De même pour Bernard qui nous rejoint à son tour et qui n’a qu’un petit filet de poils sur son pubis. Je me surprends à regarder un peu trop son équipement et je détourne vite les yeux. Il faut dire que ses cloches bien lisses sont assez volumineuses et que le battant est bien plus large et long au repos que les rares que j’ai connus jusqu’à maintenant, même quand ils étaient en forme.
Je finis par ne plus me gêner de porter mon regard vers les autres personnes autour de nous et constate que beaucoup sont épilées entièrement, surtout les femmes.
Le soir, Marie-Christine est la première à aller prendre sa douche et elle ressort à poil :
—Bon, maintenant qu'on s'est tous vus à poil, plus la peine de se gêner !
Pendant que Ber prend la suite, elle me relance sur le sujet pour que moi aussi je le fasse, histoire de continuer à m’habituer à la nudité même à la maison. et que je me sentirais moins gênée qu'en étant habillée entre eux deux. Et à ma grande surprise, j’accepte spontanément. Comme Ber en a fait de même lorsqu'il nous rejoint, je n’ai que peu d’hésitations à ressortir moi-même entièrement nue de la salle de bains. Pendant le repas, la discussion vient sur nos pilosités, et finalement Marie-Christine me convainc de la laisser me réduire la touffe. Elle insiste pour le faire sur-le-champ et m’entraine à la salle de bains où je la laisse opérer. Je lui demande de me laisser au moins un ticket de métro, mais quand elle a fini, je m’aperçois qu’elle a presque tout enlevé, sauf un petit confetti carré. En me regardant dans la glace, vu ma corpulence réduite j’ai l’impression d’être une gamine pré-pubère. Mais c’est assez mignon, bien que ça me gêne un peu que ma fente soit entièrement découverte. Ma nouvelle coupe a l’air de plaire à Bernard car je surprends du coin de l’œil un début d’érection quand nous revenons de la salle de bains.
Dimanche 12 juin 1983
Cette fois, ils m’emmènent à la Calanque de l’Escu, et c’est un chemin beaucoup plus escarpé. La crique est déserte, comme ils me l’avaient annoncé. Comme il n’y a que nous et que je me sens maintenant en totale confiance avec ma nudité, sans aucune pression, je me déshabille rapidement et n’hésite pas à évoluer devant mes amis en plein soleil. On fait même une photo-souvenir avec Ber pour laquelle je préfère tout de même être de dos.
C’est l’insistance du soleil qui est le point de départ de la suite. Alors que je me tourne sur le ventre, Marie-Christine me propose de me passer l’huile solaire dans le dos. J’accepte son aide et elle commence à m’enduire les épaules en massant bien. C’est vraiment bon et je m’abandonne à ses mains.
Ses doigts qui descendent ensuite le long de mon dos pour arriver sur mes reins. Elle passe directement plus bas pour s’occuper de mes jambes, puis revient sur mes fesses. Je ferme les yeux et me laisse aller.
Quand son massage me fait lâcher un soupir d’aise, ses caresses deviennent de plus en plus précises, allant franchement dans ma raie. Je comprends où ça peut nous mener, mais étrangement je me surprends à en avoir envie, bien que ce soit la première fois où je fais ça en plein air, et en plus avec une femme. Devant ma passivité, elle s’attarde un instant sur mon anus avant d’aller explorer ma fente. C’est bon…
Au bout d’un moment, j’ouvre les yeux et vois Bernard qui nous regard en tenant en main sa bite en pleine érection. Il s’approche de nous et je vois en gros plan cette queue impressionnante avec son gros gland entièrement décalotté qu'il caresse doucement.
Marie-Christine me branle un moment, puis Bernard vient prendre sa place et me fait mettre à quatre pattes. Je sens son gland glisser de haut en bas entre mes fesses puis se poser contre ma fente, bien humide maintenant. Je pousse un peu pour lui montrer qu’il peut y aller, et il me pénètre en douceur. Je me sens remplie par ce membre énorme qui commence à s’activer.
Quand je jouis, il se retire et je retombe sur le côté. Je regarde cette bite qui bande toujours à fond et je me demande comment j’ai pu recevoir un tel calibre. Marie-Christine prend le relais pour se faire aussi prendre en levrette et je les regarde en me caressant le clito. Ils se déplacent vers moi, et quand elle me fait mettre sur le dos et écarte mes cuisses pour y plonger sa tête, je la laisse faire. C’est plein de choses que je n’avais jamais imaginée faire un jour - à trois, avec une femme, avec mon amie - et qui m'arrivent d'un coup. Et là, je sens les ondes de sa jouissance que transmet sa langue sur mon clito.
Bernard se retire et elle vient s’assoir contre moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser sur la bouche. Bernard se rapproche, toujours en pleine érection et c’est Marie-Christine qui l’empoigne pour le branler un peu avant de l’emboucher. Je suis fascinée par ce spectacle surréaliste si près de mon visage. Elle le fait coulisser quelque temps entre ses lèvres, puis le ressort et me le propose par un regard. J’envoie timidement la main jusqu’à cette tige dont j’arrive à peine à faire le tour et je fais quelques allers-retours. Puis je me lance à faire ce que je n’ai jamais fait à aucun garçon. Je pose quelques baiser sur la tige en même temps qu'elle continue, puis sur le gland où je sens le goût intime de mon amie mélangé au mien et à celui de Bernard. Enfin, je me décide à gober le gland et à le sucer en suivant les conseil de Marie-Christine qui me le laisse.
Quand il éjacule, j’ai un haut-le cœur et je recrache presque tout, mais ils me disent que c’est normal la première fois. Je retourne à la mer pour nettoyer le sperme sur mes seins et mon cou.
Après le pique-nique, nous remettons ça. cette fois, j'expérimente encore une nouveauté pour moi : c'est moi qui offre un cunnilingus à Marie-Christine qui vient chevaucher ma tête pendant que Ber me prend en force en brouette. Puis en fin d’après-midi, il est temps de rentrer pour que je reprenne la route des Alpes. Mais je compte revenir bien vite les voir.
Et vous, vous avez déjà essayé le naturisme (et le reste) ?
Julie
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire, parfaitement écrite, très très érotique, qui me fait rêver à ma jeunesse :
J'ai expérimenté le naturisme il y a fort longtemps sur la côte d'azur, avec mon épouse, puis seul sur une plage fréquentée uniquement par des hommes...
Que du bonheur alors !..
J'ai expérimenté le naturisme il y a fort longtemps sur la côte d'azur, avec mon épouse, puis seul sur une plage fréquentée uniquement par des hommes...
Que du bonheur alors !..
