PORTUGAL - FRANCE. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : PORTUGAL - FRANCE. (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PORTUGAL - FRANCE. (2/2)
Hier au soir, lors du match France contre le Portugal, Sergio témoin de mariage de Sylvain celui que j’ai épousé samedi suivant, s’est permis de me faire jouir avec sa main.
J’aurais dû le repousser, mais étrangement j’ai avancé mon bassin pour qu’il me pénètre plus profondément.
Ce matin, nous avons fait l’amour sans que je ressente le moindre remords d’avoir déchiré mon contrat de mariage après quelques jours seulement.

Sergio vient de partir à la préfecture pour ses papiers évitant de rencontrer son ami qu’il a trahi avant qu’il ne revienne de son jogging.

C’est le cas dix minutes après. Il est en sueur et commence par prendre une douche avant de venir me prendre dans ses bras et m’empêchant, lui aussi de finir ma vaisselle me porter sur le canapé ou dans la même position qu’un peu plus tôt il me pénètre m’amenant vers l’orgasme par des chemins plus doux que Sergio tout à l’heure.
Mon mari lui aussi envoie ses jets de sperme dans ma chatte, mélangeant son liquide séminal avec celui de mon amant.
En quelques heures je viens de passer d’une jeune femme aimant le sexe à une salope qui trompe son mari sans aucun scrupule et qui en redemande.
J’ai beaucoup aimé l’interdit dépassé et je me demande comment je vais pouvoir revenir à la situation précédant ce maudit match Portugal France.

Cette situation se prolonge sans que je fasse rien pour l’empêcher aimant qu’ils me fassent prendre mon plaisir chaque fois que l’un d’entre eux se trouve seul avec moi.
Chaque fois mon corps répond et jamais je n’ai autant joui.
Par moments j’ai un doute d’une connivence, car lorsque l’un m’enfile sur le canapé dans ma chatte, l’autre trouve le moyen de me la mettre au même endroit peu de temps apprêt.
Mais les partager est tellement jouissif qu’en quelques secondes j’oublie et aspire à les recevoir selon leur bon vouloir.
Le samedi matin Sergio profite de ce que Sylvain soit reparti jogger pour me faire cette demande.

• Je peux t’enculer.
• J’allais te le demander, tu seras le premier, je suis pucelle du cul.
• Merci joli cadeau, je vais faire cela proprement pour que tu sois satisfaite de te donner.

Comme il le dit, son gland bien bandé sur ma rosette passe sans problème et quelques secondes après je sens ses couilles taper mon clito.
Pas de jouissance comme je l’ai entendu dire par des copines sauf lorsqu'il place sa main sous le ventre et qu’il me prend mon excroissance entre ses doigts.

Tout de même il peut y avoir connivence, car Sylvain jusqu'à ce jour avait des exigences plus traditionnelles de ce qu’il me propose ce matin.
En avait-il envie depuis longtemps et profite-t-il que Sergio soit parti voir jouer les Lusitanos de Saint-Maur pour me faire cette demande ?

• Je peux t’enculer, tu vas voir, je vais être doux et tu vas en retirer un plaisir différent de celui que je te donne dans ta chatte depuis des mois que nous faisons l’amour.

Comment refuser à l’un, qui plus est celui qui est légitime ce que j’accepte de l’autre qui est mon amant, ma réponse est assurément ?

• Oui.

Il me pénètre doucement ce qui l’empêche de voir que son copain avait ouvert la voie et qu’il peut entrer sans aucun problème pour lui ou pour moi.
Dans ce moment, je suis comblée, j’aimerais que cette situation se prolonge le plus longtemps possible, mais je sais que les situations comme la nôtre sont temporaires et qu’elles se finissent souvent en drame.

Le dimanche après-midi, ils tiennent à m’emmener nous promener à la foire du trône.
Dans le métro dans les dernières stations, nous sommes debout et cernés par des gens, je sens une main écarter l’imper que je porte, passer ma jupe portefeuille et caresser ma chatte à travers mon cache-sexe.
Ignorer qui de l’un ou de l’autre de mes amants a placé sa main sur ma vulve décuple le frisson qui parcourt mon corps et surtout mon dos.
Il faut descendre comme la masse des gens qui vont s’amuser comme nous.
J’adore faire en alternance des auto-tamponneuses car les sauts de cabris que nous faisons nous permettant des caresses sur mes seins mes genoux et même sur ma chatte lorsque Sergio arrive à passer sa main dans ma jupe.
Le train fantôme est sujet à des embrassades à bouche que veux-tu, par l’un et par l’autre ayant fait les deux tours.
Enfin, les jeux de l’extrême me permettent de tomber dans les bras indifféremment de mes chéris sous le couvert de la peur que me procure ce type de manège.
Retour en métro avec moins de monde donc sagement assis auprès de mon mari, mais lorsque à une station Sylvain regarde par la fenêtre le quai, j’écarte mes cuisses afin que Sergio qui est placé sur le siège face au mien ait la vision de ma chatte dénudée, car aux toilettes de la porte Dorée où nous avons bu un café, je l’ai enlevée.
Le plus drôle c’est l’homme qui est assis sur le strapontin face à moi qui profite, lui aussi du court spectacle sans tourner les yeux bien sûr.
Arrivée à l’appart, je file sous la douche pour effacer toutes les traces de mes petits plaisirs solitaires que mes deux hommes m’ont procurés.

Le lendemain lundi, je me retrouve seule avec Sergio, Sylvain étant parti à son lycée où il est professeur de mathématiques après ses quinze jours de vacances scolaires.
La date du mariage a été choisie justement pendant ses vacances pour pouvoir profiter de quelques jours de vacances même si nos moyens financiers nous privent de partir comme beaucoup de personnes en vacances.
Pour en profiter, lorsque je regarde ma vie depuis ces quelques derniers jours, il serait difficile de dire que j’en suis au même point qu’au moment de mon oui à mon mari.
Quinze jours, un mari, un amant, devenue exhibitionniste dans le métro, où vais-je m’arrêter.

Une fois Sylvain parti, il faut que je reconnaisse que c’est moi qui appelle Sergio à venir me voir dans ma chambre.
Lorsqu'il arrive, il trouve une femelle en chaleur attendant de se faire couvrir par son sexe dominateur.
J’ai bien dit une salope, car lorsqu'il arrive, je suis en position de levrette, ma chatte tournée vers la porte.

• Viens, deux jours où tu me caresses lorsque tu le peux alors que je veux ta queue en moi.
Ajoute aussi ma chatte que je t’ai faite voir dans le métro sans conter en allant à la fête ta main que tu as glissé sous ma jupe pour me caresser.
• Ta chatte, je l’ai bien vue et j’ai beaucoup apprécié, mais la main sur ta chatte à l’aller, j’ai du mal à comprendre.

Avant qu’il me pénètre et qu’il me pilonne comme un fou, j’ai le temps de revoir les deux mains de Sylvain tenant la barre.
Qui a bien pu me caresser, l’inconnu qui était sur notre côté ?
Contrairement à ce que je devrais penser, la vision de cet homme me caressant pensant que c’est un autre connu qui le faisait décuple la jouissance emportée par le sexe qui me prend.
Lorsqu'il décharge en moi, c’est avec délice qu’il me faut admettre avoir définitivement franchi le pas de l’infidélité.

Deux jours plus tard je sens une main qui passe sous la couette et qui me tire hors du lit.
Je la suis et c’est dans les toilettes lui assis sur la lunette moi à cheval sur sa queue ma bouche mangeant sa bouche pour étouffer mes cris que la chaleur attendue remplit mon ventre.
Il est très inventif alors que Sylvain dort comme un loir, cette nuit je l’attendais et lorsqu'il est venu, il me la place à hauteur de ma bouche pour que je le suce jusqu'à me remplir pour la première fois et que j’avale son sperme d’un goût très commun mais que j’apprécie.

Ce soir, je suis dans notre lit la porte de communication avec la chambre de Sergio fermée lorsque Sylvain me caresse et lorsque je sens qu’il bande, je pivote sur son pieu, ma chatte vient une nouvelle fois s’emmancher bien au fond.

• Sergio vient, elle est chaude.

Je tombe de haut à l’appel de mon mari vers son copain.
Sergio arrive et monte sur le lit nu comme un ver.

• Prends-la, elle est bien préparée et j’attends depuis longtemps de sentir ta verge au travers des parois de celle qu’on aime.

Il m’encule une nouvelle fois et je sens les deux verges bouger en moi m’apportant un bien-être jamais connu.
Le sommet est atteint quand ensembles tous les trois, nous jouissons en parfaite osmose. Anus ainsi qu’utérus reçoivent la bonne liqueur de mes amants avant que nous nous écroulions enlacés tous les trois.
En bonne maîtresse de maison, je suis la première à être réveillée et mon cœur bas au rythme des cœurs des deux hommes qui ont monté ce stratagème du match de football où Sergio m’a fait comprendre que j’étais à son goût pour mieux que nous vivions tous les trois une vie pleine de plaisir.

Lorsque je retourne dans la chambre pour réveiller Sylvain qui va faire son cours à neuf heures, ils sont mignons tous les deux se tenant chaud avec chacun la bite de l’autre dans la main.
Cette saisie de leur verge pourrait faire penser qu’ils sont homosexuels, mais au fil des jours jamais au grand jamais à part ce geste qu’ils renouvellent souvent, je les surprends à avoir des pratiques autres que celles qui permettent à mon intimité de recevoir tous les jours ma dose de sperme.

Nous vivons ces jours heureux jusqu'au moment où Sergio reçoit ses papiers lui permettant de rester définitivement avec nous et où dans la foulée il reçoit une offre d’emploi à cinq minutes du nouvel appartement que nous avions en vue et qui nous permet d’acheter un lit en 200 de large bien sûr nous permettant de faire nos parties à trois avec plus d’espace.
Les payes de mes deux hommes nous permettent de vivre une vie sans souci.

Un appartement plus grand, plus spacieux mais surtout avec une chambre pour notre futur bébé, qui arrive dans six mois.
Je sais déjà que Caroline sera suivie d’Albano prénom du père de Sergio et là j’hésite, car je pense que la nature nous donnera des jumeaux.
Bref si je suis mariée avec Sylvain, il est anormal que la loi m’interdise d’épouser Sergio aussi, nous avons décidé que, lorsque je serais enceinte pour la deuxième fois, nous divorcerions avec Sylvain, j’épouserais Sergio.
Rien dans la loi n’interdit aux couples de divorcer autant de fois qu’ils le souhaitent pour se remarier.
Ainsi, avec quatre enfants mes maris pourront dire « aller la France et aller le Portugal.»

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