Poursuite Policière

Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Poursuite Policière
Enfin l’été ! me dis-je. Enfin, car avec l’arrivée des beaux jours, les sourires refleurissent et les corps se dévoilent un peu, laissant entrevoir le meilleur de ce qui reste caché — offrant à nos esprits, déjà bien éveillés à la salacité, de quoi se rincer l’œil, ou mieux encore, rêvasser.
J’adore la belle saison, surtout pour ses virées à vélo. C’est l’excuse idéale pour admirer des mecs canons aux mollets, cuisses et fessiers sculptés.
Ce matin-là, malgré une chaleur persistante en cette journée de congé, je décide de me lancer sur les pistes cyclables pour une rando d’environ 50 km. J’enfourche ma bécane, prêt pour l’aventure. Car aventure il y aura.
Je suis particulièrement en forme et j’avale les premiers kilomètres avec une certaine aisance. L’air est limpide, le ciel d’un bleu éclatant, et le thermomètre oscille autour de 24 degrés. Que pourrait-on espérer de mieux ?
Après une vingtaine de bornes, un cycliste me lance : « Attention à votre gauche ! » Je tourne légèrement la tête pour apercevoir celui qui tente de me dépasser : un homme d’environ quarante ans, belle carrure, peau basanée, bien en selle sur une monture qui, ma foi, vaut son pesant d’or. Je lui souris pour lui signifier que j’ai reçu le message. Il me rend la politesse, dévoilant une dentition d’une blancheur immaculée.
Pendant qu’il effectue son dépassement, j’en profite pour observer sa monture... mais surtout le cavalier, moulé dans son armure de spandex. Ses bras musclés, son maillot entrouvert laissent entrevoir un torse superbe, discrètement couvert d’une fine toison. Comme dans un film, il passe lentement à mes côtés, me laissant tout le loisir d’examiner la marchandise.
Il me jette un rapide coup d’œil, s’assure que je suis bien derrière lui, puis revient dans la voie de droite. Ses fesses, qui ondulent au rythme du pédalier, sont un véritable rêve. Ses mollets, tout autant. J’essaie de le suivre. Mais il est plus rapide que moi. Il s’éloigne, lentement, à regret… jusqu’à devenir une petite tache jaune à l’horizon. Quel dommage !
Je poursuis ma route en accélérant le rythme. À peine cinq kilomètres plus loin, je le retrouve. Lui, dans sa combinaison jaune éclatante, immobile. Il est assis sur un banc au bord de la piste. Sa chevelure noire, dense et brillante, encadre une barbe soigneusement taillée, lui donnant ce charme latino qui électrise les sens. Ses bras reposent sur le dossier, les pieds bien ancrés au sol, la tête levée pour capter ces rayons de soleil salutaires.
Je me demande que faire. Ralentir à l’approche de sa position ou continuer ? Je suis indécis. Ce sourire aperçu plus tôt… était-ce mon imagination ? Je ne sais plus. J’aimerais tant avoir un indice, un signe pour confirmer. Je tente ma chance et ralentis. Je ne suis plus qu’à cent mètres de lui. Que lui dire ? Mon cœur s’emballe. Mon esprit s’embrouille. J’ai peur de balbutier des incohérences.
Plus que cinquante mètres. Je cesse de pédaler. Le dérailleur émet ce bruit caractéristique. Ça semble fonctionner. Il tourne la tête, me regarde… et sourit. Je freine et pose les pieds au sol, ma bécane en califourchon devant son banc. Je lui rends son sourire.
— Tu en a mis du temps ! me lance-t-il amicalement.
— Bien, je crois que je ne suis pas de taille. Tu as une superbe monture !
— Tu n’as pas tort, me dit-il en se levant.
Je descends de mon vélo et abaisse la béquille.
— Moi, c’est Alain , me dit le mec en m’effleurant le bras pour attirer mon attention et me fait la bise.
Mon cœur s’emballe d’un coup. Je sens venir une érection. Aucun doute, il me kiffait.
— Jay ! lui ai-je répondu, tout simplement.
Puis, on a discuté vélo. Il s’était rassis. Je suis resté debout devant lui. Il était joliment masculin et viril dans sa gestuelle. Je pouvais sentir mon cœur battre dans ma poitrine tant qu’il me plaisait. Je tombais sous on emprise et inutile de dire qu’il le savait. Il n’était pas à sa première séance de séduction.
Je l’ai invité à poursuivre la randonnée ensemble—ce qu’il a accepté illico. Nous avons enfourché nos vélos et roulé côte à côte, lentement, un moment—le temps de s’échauffer. J’en ai profité pour lui lancer quelques regards au fil de la conversation, cherchant une accroche subtile pour l’inviter chez moi, indéniablement sous son charme.
— Tu habites dans le coin, me demanda Alain en me devançant.
— Je dirais à cinq kilomètres d’ici. Et toi ?
— Chez toi ou chez moi ? me dit-il, d’un ton direct qui ne laissait aucun doute sur la suite.
— Hum ! Chez toi ? lui-répondit-je sur un ton coquin.
— D’accord ! Mais ça ne sera pas sans efforts, répondit Alain, en s’élançant, m’obligeant à le poursuivre.
La réalité, heureusement, c’est qu’il habitait tout près de notre point de rencontre. J’ai compris par la suite qu’il faisait simplement une pause avant de rentrer chez lui tranquillement, à la fin de sa rando. Alors, en moins de dix minutes, on entrait dans son appart, après avoir verrouillé nos vélos.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait dans la vie en refermant la porte derrière moi. « Policier », m’a-t-il répondu. Je lui ai souri et demandé si j’étais interpellé pour excès de vitesse. Il m’a répondu que non… mais qu’il devait tout de même procéder à une fouille corporelle. Sa proposition déclencha un frémissement de plaisir qui parcourut mon échine, de ma nuque à mes testicules.
Il s’est approché de moi avec son sourire enjôleur et a posé doucement ses mains sur mes hanches. J’étais appuyé contre l’îlot de la cuisine. Il a plongé son regard intensément dans le mien ; une onde sensuelle s’empara de tout mon corps. Il déposa ses belles lèvres aubergine, pulpeuses, sur les miennes et glissa sa langue dans ma bouche, trop heureuse de l’accueillir.
Je l'ai enlacé et serré contre moi pendant que sa langue dansait avec la mienne. Fortement excité par son étreinte, mes mains explorèrent sa nuque, glissèrent le long de son dos et s'égaraient dans sa chevelure. Il retira sa bouche en suçant ma langue, telle une ventouse. Puis, ses lèvres sculptèrent la ligne de mon cou en commençant par mon oreille. Ses mains se glissèrent sous mon maillot, déterminées à le retirer. Il caressa mes mamelons au passage et tira légèrement sur le piercing que je portais. J’étais de plus en plus affolé.
Je dézippai sa combinaison, épousant son corps. Il en extirpa ses bras, dévoilant de belles épaules bien musclées. Je l'embrassai de plus belle, sensuellement, malaxant ses fesses bien rondes. Je le tirais vers moi pour mieux sentir son pénis presser le mien. Il prit ma tête entre ses mains, délicatement, et dévora ma bouche. Puis, il se retira, en me regardant droit dans les yeux. Je haletais fortement.
Il descendit lentement pour s’agenouiller tout en faisant quelques pauses pour mordiller mon cou, lécher mes pecs, mes mamelons et traîner sa langue jusqu’à mon pubis. Il sortit ma bite de sa cachette, me regarda pendant que je caressais sa tête. Il déposa sa langue sur mon méat, du bout cueillit une perle de nectar. Je basculai ma tête vers l'arrière, en proie à des spasmes incontrôlables. Il lécha ma queue, des couilles au gland, laissant une fine pellicule buccale, et la prit dans sa bouche lentement pour la faire disparaître. Je ne pus m'empêcher de bruire de plaisir.
Ma queue ressortit de sa ventouse aussi lentement qu’elle y était entrée. Il s’attarda sur le bout de mon gland avec la pointe de sa langue. Je haletais fortement, cherchant à réprimer une montée de sève. C’était divin comme fellation. Heureusement, il sentit l’urètre se gonfler et donner des à-coups. Il se retira momentanément, me laissant redescendre, tenant fermement ma bite dans son poing. Il me regardait, agenouillé devant moi, un regard plein de passion. Il sortit sa langue et frotta mon gland dessus, provoquant une énorme onde érotique dans tout mon corps.
Alain sourit de l'effet que cette dernière caresse, savourant l'emprise qu'il avait sur moi. Il se releva, me prit par la main et, sans mot dire, se dirigea vers la salle de bain. La baise ne faisait que commencer.
Alain m'entraîna sous la douche aux murs de verre. On s'embrassa éperdument, toujours affamés l'un pour l'autre. Les jets d'eau tiède vinrent érotiser l'étreinte davantage. Qu’il était délicieux à regarder avec toute cette eau qui perlait sur son corps velu. Je m'agenouillai devant lui, le regardant, bouche moite entrouverte. Son regard lascif quémandant que je le suce. Je saisis ses bourses pour les cajoler et remontai sa jolie verge bien pointée vers le ciel avec ma langue. Je la léchai longuement en faisant des arrêts pour gober ses couilles et sucer son gland. Son zob suintait du pré-sperme, abondamment. Je m'en régalais. J'ai sucé Alain jusqu'à ce qu'il soit au bord du précipice. Le laissant redescendre avant de le faire remonter de nouveau, sans toutefois qu'il jute. J'avais trop envie de lui. De son nectar. Fallait qu'il le réserve pour moi. Pour plus tard, lorsqu'il me prendrait.
Alain m’intima de me relever. Il n’en pouvait plus du supplice. J’étais ravi de l’avoir enjôlé. Il était fou d’amour. Ses yeux et sa bouche mi-ouverts ne mentaient pas. Il me désirait plus que tout à ce moment précis. Il voulait sonder la profondeur de son désir et je ne m’y opposerais pas. Je lui tournai le dos et je cambrai mon bassin, mettant en évidence mes fesses. Il m'assaillit, me tira vers lui et resserra son étreinte. Son poing se ferma sur ma bite gonflée, prête à éjaculer à tout moment, et son autre main saisit mon pectoral percé. Je sentais son souffle court sur mon cou. Il était si excité. Il pressait son pénis entre mes fesses et frotta ma rondelle langoureusement. J’étais passablement échauffé et en attente d’une merveilleuse et ultime étreinte.
Alain coupa l'eau, déposa ses mains sur mes épaules et caressa mes bras jusqu'à mes mains qu'il déposa sur le mur devant moi. Il laissa échapper un long filament de salive sur ma raie, qui coula jusque sur mon fion. Il testa la souplesse avec son majeur. Le sphincter céda. J'imaginais le prochain geste. Je l'espérais. Je retournai ma tête. Nos regards se croisèrent. Alain sourit malicieusement et me pénétra, provoquant une secousse électrisante tout le long de mon échine. Puis, il m'enfonça lentement, jusqu'à se coller complètement contre moi. Il me susurra : « Accroche-toi, Jay. Je te désire tellement.» Et commença à me limer sensuellement, caressant mon dos, mes flancs. Je couinais, complètement troublé par l'assaut.
Littéralement enivré de plaisir, Alain me sodomisa sans merci, parfois rapidement, parfois lentement, afin de laisser durer le plaisir. Une frénésie incontrôlable s’était emparée de mon corps, causée par ses viriles pénétrations. Puis, j'ai senti Alain m'enfoncer plus profondément. Ses doigts s’enfonçaient dans les muscles de mes hanches. Ses poumons se vidaient dans un profond gémissement. Puis, une douce chaleur se répandit en mon rectum.
Il resta en moi un moment. Le front appuyé sur la nuque, reprenant ses esprits, essoufflé comme après un sprint. Il se retira et sourit de satisfaction. Je m’agenouillai pour me régaler de cette queue luisante à souhait. Je la léchai goulument, avant de me relever et partager sa semence avec lui. Son corps en proie à des secousses.
Je brisai l’étreinte, m’appuyai le dos au mur, lui souris.
— Quelle fouille corporelle ! lui dis-je.
Il sourit à son tour.
— Tout à fait légal, me dit-il.
J’adore la belle saison, surtout pour ses virées à vélo. C’est l’excuse idéale pour admirer des mecs canons aux mollets, cuisses et fessiers sculptés.
Ce matin-là, malgré une chaleur persistante en cette journée de congé, je décide de me lancer sur les pistes cyclables pour une rando d’environ 50 km. J’enfourche ma bécane, prêt pour l’aventure. Car aventure il y aura.
Je suis particulièrement en forme et j’avale les premiers kilomètres avec une certaine aisance. L’air est limpide, le ciel d’un bleu éclatant, et le thermomètre oscille autour de 24 degrés. Que pourrait-on espérer de mieux ?
Après une vingtaine de bornes, un cycliste me lance : « Attention à votre gauche ! » Je tourne légèrement la tête pour apercevoir celui qui tente de me dépasser : un homme d’environ quarante ans, belle carrure, peau basanée, bien en selle sur une monture qui, ma foi, vaut son pesant d’or. Je lui souris pour lui signifier que j’ai reçu le message. Il me rend la politesse, dévoilant une dentition d’une blancheur immaculée.
Pendant qu’il effectue son dépassement, j’en profite pour observer sa monture... mais surtout le cavalier, moulé dans son armure de spandex. Ses bras musclés, son maillot entrouvert laissent entrevoir un torse superbe, discrètement couvert d’une fine toison. Comme dans un film, il passe lentement à mes côtés, me laissant tout le loisir d’examiner la marchandise.
Il me jette un rapide coup d’œil, s’assure que je suis bien derrière lui, puis revient dans la voie de droite. Ses fesses, qui ondulent au rythme du pédalier, sont un véritable rêve. Ses mollets, tout autant. J’essaie de le suivre. Mais il est plus rapide que moi. Il s’éloigne, lentement, à regret… jusqu’à devenir une petite tache jaune à l’horizon. Quel dommage !
Je poursuis ma route en accélérant le rythme. À peine cinq kilomètres plus loin, je le retrouve. Lui, dans sa combinaison jaune éclatante, immobile. Il est assis sur un banc au bord de la piste. Sa chevelure noire, dense et brillante, encadre une barbe soigneusement taillée, lui donnant ce charme latino qui électrise les sens. Ses bras reposent sur le dossier, les pieds bien ancrés au sol, la tête levée pour capter ces rayons de soleil salutaires.
Je me demande que faire. Ralentir à l’approche de sa position ou continuer ? Je suis indécis. Ce sourire aperçu plus tôt… était-ce mon imagination ? Je ne sais plus. J’aimerais tant avoir un indice, un signe pour confirmer. Je tente ma chance et ralentis. Je ne suis plus qu’à cent mètres de lui. Que lui dire ? Mon cœur s’emballe. Mon esprit s’embrouille. J’ai peur de balbutier des incohérences.
Plus que cinquante mètres. Je cesse de pédaler. Le dérailleur émet ce bruit caractéristique. Ça semble fonctionner. Il tourne la tête, me regarde… et sourit. Je freine et pose les pieds au sol, ma bécane en califourchon devant son banc. Je lui rends son sourire.
— Tu en a mis du temps ! me lance-t-il amicalement.
— Bien, je crois que je ne suis pas de taille. Tu as une superbe monture !
— Tu n’as pas tort, me dit-il en se levant.
Je descends de mon vélo et abaisse la béquille.
— Moi, c’est Alain , me dit le mec en m’effleurant le bras pour attirer mon attention et me fait la bise.
Mon cœur s’emballe d’un coup. Je sens venir une érection. Aucun doute, il me kiffait.
— Jay ! lui ai-je répondu, tout simplement.
Puis, on a discuté vélo. Il s’était rassis. Je suis resté debout devant lui. Il était joliment masculin et viril dans sa gestuelle. Je pouvais sentir mon cœur battre dans ma poitrine tant qu’il me plaisait. Je tombais sous on emprise et inutile de dire qu’il le savait. Il n’était pas à sa première séance de séduction.
Je l’ai invité à poursuivre la randonnée ensemble—ce qu’il a accepté illico. Nous avons enfourché nos vélos et roulé côte à côte, lentement, un moment—le temps de s’échauffer. J’en ai profité pour lui lancer quelques regards au fil de la conversation, cherchant une accroche subtile pour l’inviter chez moi, indéniablement sous son charme.
— Tu habites dans le coin, me demanda Alain en me devançant.
— Je dirais à cinq kilomètres d’ici. Et toi ?
— Chez toi ou chez moi ? me dit-il, d’un ton direct qui ne laissait aucun doute sur la suite.
— Hum ! Chez toi ? lui-répondit-je sur un ton coquin.
— D’accord ! Mais ça ne sera pas sans efforts, répondit Alain, en s’élançant, m’obligeant à le poursuivre.
La réalité, heureusement, c’est qu’il habitait tout près de notre point de rencontre. J’ai compris par la suite qu’il faisait simplement une pause avant de rentrer chez lui tranquillement, à la fin de sa rando. Alors, en moins de dix minutes, on entrait dans son appart, après avoir verrouillé nos vélos.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait dans la vie en refermant la porte derrière moi. « Policier », m’a-t-il répondu. Je lui ai souri et demandé si j’étais interpellé pour excès de vitesse. Il m’a répondu que non… mais qu’il devait tout de même procéder à une fouille corporelle. Sa proposition déclencha un frémissement de plaisir qui parcourut mon échine, de ma nuque à mes testicules.
Il s’est approché de moi avec son sourire enjôleur et a posé doucement ses mains sur mes hanches. J’étais appuyé contre l’îlot de la cuisine. Il a plongé son regard intensément dans le mien ; une onde sensuelle s’empara de tout mon corps. Il déposa ses belles lèvres aubergine, pulpeuses, sur les miennes et glissa sa langue dans ma bouche, trop heureuse de l’accueillir.
Je l'ai enlacé et serré contre moi pendant que sa langue dansait avec la mienne. Fortement excité par son étreinte, mes mains explorèrent sa nuque, glissèrent le long de son dos et s'égaraient dans sa chevelure. Il retira sa bouche en suçant ma langue, telle une ventouse. Puis, ses lèvres sculptèrent la ligne de mon cou en commençant par mon oreille. Ses mains se glissèrent sous mon maillot, déterminées à le retirer. Il caressa mes mamelons au passage et tira légèrement sur le piercing que je portais. J’étais de plus en plus affolé.
Je dézippai sa combinaison, épousant son corps. Il en extirpa ses bras, dévoilant de belles épaules bien musclées. Je l'embrassai de plus belle, sensuellement, malaxant ses fesses bien rondes. Je le tirais vers moi pour mieux sentir son pénis presser le mien. Il prit ma tête entre ses mains, délicatement, et dévora ma bouche. Puis, il se retira, en me regardant droit dans les yeux. Je haletais fortement.
Il descendit lentement pour s’agenouiller tout en faisant quelques pauses pour mordiller mon cou, lécher mes pecs, mes mamelons et traîner sa langue jusqu’à mon pubis. Il sortit ma bite de sa cachette, me regarda pendant que je caressais sa tête. Il déposa sa langue sur mon méat, du bout cueillit une perle de nectar. Je basculai ma tête vers l'arrière, en proie à des spasmes incontrôlables. Il lécha ma queue, des couilles au gland, laissant une fine pellicule buccale, et la prit dans sa bouche lentement pour la faire disparaître. Je ne pus m'empêcher de bruire de plaisir.
Ma queue ressortit de sa ventouse aussi lentement qu’elle y était entrée. Il s’attarda sur le bout de mon gland avec la pointe de sa langue. Je haletais fortement, cherchant à réprimer une montée de sève. C’était divin comme fellation. Heureusement, il sentit l’urètre se gonfler et donner des à-coups. Il se retira momentanément, me laissant redescendre, tenant fermement ma bite dans son poing. Il me regardait, agenouillé devant moi, un regard plein de passion. Il sortit sa langue et frotta mon gland dessus, provoquant une énorme onde érotique dans tout mon corps.
Alain sourit de l'effet que cette dernière caresse, savourant l'emprise qu'il avait sur moi. Il se releva, me prit par la main et, sans mot dire, se dirigea vers la salle de bain. La baise ne faisait que commencer.
Alain m'entraîna sous la douche aux murs de verre. On s'embrassa éperdument, toujours affamés l'un pour l'autre. Les jets d'eau tiède vinrent érotiser l'étreinte davantage. Qu’il était délicieux à regarder avec toute cette eau qui perlait sur son corps velu. Je m'agenouillai devant lui, le regardant, bouche moite entrouverte. Son regard lascif quémandant que je le suce. Je saisis ses bourses pour les cajoler et remontai sa jolie verge bien pointée vers le ciel avec ma langue. Je la léchai longuement en faisant des arrêts pour gober ses couilles et sucer son gland. Son zob suintait du pré-sperme, abondamment. Je m'en régalais. J'ai sucé Alain jusqu'à ce qu'il soit au bord du précipice. Le laissant redescendre avant de le faire remonter de nouveau, sans toutefois qu'il jute. J'avais trop envie de lui. De son nectar. Fallait qu'il le réserve pour moi. Pour plus tard, lorsqu'il me prendrait.
Alain m’intima de me relever. Il n’en pouvait plus du supplice. J’étais ravi de l’avoir enjôlé. Il était fou d’amour. Ses yeux et sa bouche mi-ouverts ne mentaient pas. Il me désirait plus que tout à ce moment précis. Il voulait sonder la profondeur de son désir et je ne m’y opposerais pas. Je lui tournai le dos et je cambrai mon bassin, mettant en évidence mes fesses. Il m'assaillit, me tira vers lui et resserra son étreinte. Son poing se ferma sur ma bite gonflée, prête à éjaculer à tout moment, et son autre main saisit mon pectoral percé. Je sentais son souffle court sur mon cou. Il était si excité. Il pressait son pénis entre mes fesses et frotta ma rondelle langoureusement. J’étais passablement échauffé et en attente d’une merveilleuse et ultime étreinte.
Alain coupa l'eau, déposa ses mains sur mes épaules et caressa mes bras jusqu'à mes mains qu'il déposa sur le mur devant moi. Il laissa échapper un long filament de salive sur ma raie, qui coula jusque sur mon fion. Il testa la souplesse avec son majeur. Le sphincter céda. J'imaginais le prochain geste. Je l'espérais. Je retournai ma tête. Nos regards se croisèrent. Alain sourit malicieusement et me pénétra, provoquant une secousse électrisante tout le long de mon échine. Puis, il m'enfonça lentement, jusqu'à se coller complètement contre moi. Il me susurra : « Accroche-toi, Jay. Je te désire tellement.» Et commença à me limer sensuellement, caressant mon dos, mes flancs. Je couinais, complètement troublé par l'assaut.
Littéralement enivré de plaisir, Alain me sodomisa sans merci, parfois rapidement, parfois lentement, afin de laisser durer le plaisir. Une frénésie incontrôlable s’était emparée de mon corps, causée par ses viriles pénétrations. Puis, j'ai senti Alain m'enfoncer plus profondément. Ses doigts s’enfonçaient dans les muscles de mes hanches. Ses poumons se vidaient dans un profond gémissement. Puis, une douce chaleur se répandit en mon rectum.
Il resta en moi un moment. Le front appuyé sur la nuque, reprenant ses esprits, essoufflé comme après un sprint. Il se retira et sourit de satisfaction. Je m’agenouillai pour me régaler de cette queue luisante à souhait. Je la léchai goulument, avant de me relever et partager sa semence avec lui. Son corps en proie à des secousses.
Je brisai l’étreinte, m’appuyai le dos au mur, lui souris.
— Quelle fouille corporelle ! lui dis-je.
Il sourit à son tour.
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