Quelques jours en Normandie

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Quelques jours en Normandie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quelques jours en Normandie
Plus Jeune, nous avions environ vingt-cinq ans, nous partions régulièrement en week-end voire un peu plus longtemps suivant les ponts ou nos journées de repos et souvent un peu à l’aventure.
Cette fois-ci nous avions quatre jours devant nous.
Nous avons pris la toile de tente, quelques affaires, la voiture, une R14 (en priant à chaque fois pour qu’elle ne nous lâche pas en route) et nous voilà partis vers les plages normande.
Même en pleine saison, il était assez facile de trouver une place pour notre petite toile de tente dans un camping, ce n’était pas cher et un camping basic juste avec douches et toilettes nous suffisait.
Bien sûr nous n’avions pas l’équipement dernier cri, un matelas pneumatique double, deux sacs de couchage relié entre eux, un petit réchaud à gaz, deux assiettes, deux verres et deux couverts.
Arrivée sur la côte normande, nous avons rapidement trouver une place dans un camping municipal à bon prix.
Ce n’était pas le grand luxe, c’était en général assez bruyant le soir mais on s’en fichait, on n’était pas là pour se coucher à vingt heures.
Il y avait beaucoup de jeunes de notre âge dans ce camping.
A notre droite une grande tente avec trois garçons et deux filles et à gauche une autre avec quatre garçons.
Nous avons très vite sympathisé avec tous ce beau monde, certains nous ont même aidé à installer la tente et planter les piquets.
Nous en avons profité pour leur demander ce qu’il y avait de bien le soir ici pour s’amuser.
« C’est la fête partout ici, dans les bars, dans les tentes partout vous pourrait vous éclater, suivait le bruit » nous a dit l’un de nos voisins.
Nous avons pu le vérifier le soir même, pas besoin de s’incruster, ils sont directement venus nous chercher.
De la musique un peu partout, des bières à gogo tout le monde dansait, chantait et buvait.
Nous sommes rentrés vers deux heures du matin et alors que nous allions nous coucher, nos voisins de gauche nous ont invité à boire un verre.
Tout le monde avait déjà bien bu, mais nous avons quand même accepté.
Après plusieurs verres, nous avons tous prévu d’aller ensemble à la plage le lendemain.
Deux heures plus tard on allait enfin se coucher.
Il devait être midi quand nous nous somme levé.
Petit déjeuner, douche et nous étions prêt pour aller à la plage.
Nos voisins nous attendaient avec la glacière pour partir.
Ils n’étaient que trois, l’un d’eux était malade car il avait trop bu la nuit précédente.
Nous avons chargé la voiture et sommes partis à la plage, un peu tassé à cinq dans la R14.
« Il faudra que je fasse le plein car je suis bientôt à sec »
« Tu pourras le faire au retour il y a une station sur la route en revenant » m’a répondu Pascal.
Pascal était le plus grand de la bande, il est d’ailleurs monté devant d’office, c’était un grand sec, peu musclé, moustachu et avec un physique quelconque.
Hervé lui était petit, trapu et assez beau mec.
Gilles moins musclé mais du même gabarit et très bronzé.
Au bout d’une dizaine de kilomètres nous sommes arrivés à la plage.

Tous les garçons avaient un slip de bain plus ou moins moule burnes et Nathalie un string de bain qui mettait bien en valeur son petit cul, avec un haut de maillot très succin, un léger triangle de tissus cachait juste l’auréole de sa poitrine volumineuse.
Nous avons joué, chahuté une bonne partie de l’après-midi.
Nathalie n’arrêtait pas de remettre en place son haut de maillot ce qui fait qu’a un moment elle l’a carrément viré au grand bonheur de nos trois compères.

La glacière était presque vide, plus de bière, plus de rosé, plus rien.
Je n’avais pris qu’une bière sachant que je conduisais, mais Nathalie et les trois autres s’étaient chargé de vider les bouteilles.

Soudain en quelques minutes un gros orage et arrivé.
Vite fait, nous avons ramassé nos affaires et sommes parti en courant jusqu’à la voiture sous une pluie diluvienne.
Personne ne s’était rhabillé et une fois tout le monde à l’intérieur, j’ai démarré la voiture pour retourner au camping.
A peine quelques kilomètre plus loin, la voiture est tombée en panne d’essence.
J’ai enfilé un short et décidé d’aller à pied jusqu’à la prochaine station.
« Attend, on vient avec toi, on ne va pas te laisser tout seul sous la flotte »
« Allez mon poto on t’accompagne »
C’était Pascal et Gilles pas mal éméché qui se proposait de venir avec moi.
Ça nous a pas mal ralenti car ils titubaient un peu.
En plus, faire du stop de ce temps et à trois, on avait peu de chance d’être pris par un automobiliste.
Il devait y avoir deux kilomètres jusqu’à la station.

Nathalie et Hervé était resté dans la voiture, eux aussi un peu éméché.
Au bout d’un moment, elle s’est allongée en posant la tête sur les cuisses de son voisin en jouant à faire des dessins avec ses pieds sur les carreaux de la portière couvert de buée.
Lui était toujours avec son slip de bain et elle juste avec son string.
Ils ont chahuté un peu en riant des dessins de ma femme sur la vitre.
En tournant la tête légèrement vers lui pour lui demander s’il avait deviné à quoi ressemblait son dessin, elle s’est aperçue que son sexe avait pris beaucoup de volume et qu’il sortait presque de son slip.
« Mais tu bande ? » Lui dit-elle presque surprise.
« Bein oui, voir tes seins bouger comme ça presque sous mon nez, ça m’émoustille un peu » répondit-il.
« Un peu ? » « Qu’est-ce que ça doit être quand c’est beaucoup » dit-elle en riant.
Puis elle renchérit :
« Tu serais mon mec je t’aurais sucé là, ça m’a donné envie »
L’alcool l’avait désinhibée, c’est certainement pour ça qu’elle s’est lâchée si vite.
Sautant sur l’occasion, il lui a répondu :
« Fais comme-ci j’étais ton mec, ne te gêne pas »
« C’est vrai ? » dit-elle « Mais chutttt faudra le dire à personne » et dans un moment de lucidité elle ajouta :
« Surveille si tu ne les vois pas revenir »
Elle a dirigé sa main vers le sexe bien raide d’Hervé pour le sortir complètement de son slip pendant que lui avait les siennes sur les seins de ma femme qu’il peloter sans vergogne.
Tournant la tête vers son torse, elle a commencé à le lécher, puis peu de temps après, s’est relevé, pour se mettre à quatre pattes et le prendre complètement en bouche.
Elle le suçait avec avidité et gourmandise, sa langue lui titillait le gland puis redescendait jusqu’à la base de ses couilles comme si elle voulait le dévorer.
Elle le prenait presque en entier dans sa bouche avant de le ressortir et lécher ce membre comme si c’était une glace.
Ses mains à lui parcouraient tout le corps de ma femme, ses seins, son ventre, ses fesses.
Il glissait parfois ses doigts entre ses lèvres intimes pour jouer avec son clito, pendant qu’elle continuait à le sucer goulûment.
« Tu as une capote ? » lui a-t-elle demandé.
« Non pas là »
« Tant pis je vais te finir avec ma bouche, lâche-toi, je veux te sentir jouir entre mes lèvres »
Presque sitôt dit, sitôt fait, lui tenant la tête avec ses deux mains, il a déversé plusieurs giclées de foutre dans sa bouche.
Ils ont ensuite repris un peu leurs esprits et Natalie voyant la voiture complètement embuée lui a dit :
« Je crois qu’il va falloir ouvrir un peu les fenêtres pour enlever la buée et l’odeur de sperme »
Il s’est mis à rire en disant :
« Pour le sperme ça ne devrait pas sentir vu que tu as tout avalé »
« Ouvre quand même, on ne sait jamais » lui a-t-elle répondu en enfilant son tee-shirt.
Lui en a fait de même et ils ont papoter en nous attendant.
Les effets de l’alcool s’étaient dissipés mais leurs mains se caressaient un peu.
« Il faut qu’on arrête de se toucher sinon je vais rebander et ça la fout mal s’ils arrivent »
« C’est vrai tu as raison »
« Ca va me faire drôle, dès que l’on va se revoir, je ne vais pas pouvoir m’empêcher de penser à ta bouche sur ma queue »
« Chutttt n’y pense plus, parlons d’autres choses » « Ah je crois que c’est eux qui reviennent »

La pluie s’était arrêtée, nous avions trouvé de l’essence et la marche à pied avait dessoulé mes deux compères.
Arrivée à la voiture, j’ai vidé le bidon dans le réservoir et après avoir insisté un peu la R14 à enfin redémarrée.

Quand Gilles est monté à l’arrière, Nathalie a vu qu’il s’était aperçu qu’Hervé avait encore une demi-gaule et que son slip avait une belle auréole.
Il a regardé ma femme avec un petit sourire narquois en lui faisant un clin d’œil.
Un peu gêné, elle a détourné le regard.
Nul doute qu’il allait questionner Hervé sur ce qu’ils avaient fait en nous attendant.

Revenu au camping, nous sommes allés chacun dans nos tentes pour se préparer à descendre aux sanitaires et prendre une douche bien méritée.

Nathalie m’a très vite raconté ce qu’ils avaient fait dans la voiture pendant notre absence.
« Tu commences fort, dès le premier jour » lui dis-je, en souriant et pas mécontent non plus.
« J’ai envie de toi » m’a-t-elle dit en me prenant par la main en direction des douches.

Elle était déchaînée, en à peine cinq minutes elle a eu un premier orgasme alors que je la prenais contre le mur, ses jambes nouées autour de ma taille.
Nous avons squatter une douche pendant une bonne demi-heure durant laquelle elle a jouie au moins six fois et moi deux.

Nous avons mangé un morceau au bar restaurant pizzeria du camping avant de retourner voir ou se passait la fête ce soir.

« J’ai carte blanche ? » m’a-t-elle demandé.
« Oui, pendant tout le séjour si tu veux, mais soit quand même discrète, je ne veux pas passer auprès de tout le camping pour le cocu de service »
En riant, elle m’a répondu :
« T’inquiète, il n’y en aura qu’une partie qui le saura »
« Salope »
« Oui je l’assume et je sais que tu aimes ça »

Vers vingt-deux heures les festivités commençaient un peu partout.
On avait à peine le temps d’arriver près d’une tente, que déjà nos trois, enfin quatre maintenant car Eric, celui qui avait pris une cuite la veille avait repris ses esprits, donc nos quatre voisins nous tendaient des bières.
Il y avait de la musique, certains dansaient, d’autres discutaient ou chantaient et buvaient.

Assez vite nous nous sommes, Nathalie et moi, retrouvé séparé.
Une bière après l’autre, parfois plusieurs en même temps, je n’avais pas le temps de m’inquiéter ou elle pouvait être tellement mes quatre copains de boisson s’occupaient de moi.
D’abord ils étaient quatre, puis trois et enfin deux.
Je me doutais un peu de leur petit jeu et ce n’était pas pour me déplaire, si c’était bien pour faire selon à quoi je pensais.

Hervé s’était doucement éclipsé avec ma femme pour se mettre à l’écart de la fête.
« Depuis cette aprem j’ai envie de toi » lui dit-il en la prenant dans les bras pour l’embrasser.
Puis il a attrapé sa main il l’a emmené jusqu’à leur tente.
Une fois arrivé, il a sorti des capotes de sa poche en lui disant :
« Cette fois-ci, j’ai ce qu’il faut »
« Tu es sûr que personne ne va venir ? » lui a-t-elle demandé.
« Mais non tu as bien vu, ils sont tous occupé à picoler. »
C’était une grande tente avec deux chambres cote à cote.
Il a sorti un matelas pneumatique de deux personnes d’une des chambres pour l’installer au milieu.
« On aura plus de place comme ça » lui dit-il.
Il l’a enlacé, embrassé en la déshabillant puis s’est mis nu à son tour.
Elle s’est agenouillée pour gober sa queue et la faire grossir encore plus.
Ils se sont ensuite allongés, lui sur elle et se sont embrassé et caressé longuement.
Sa bite bien raide frottait contre la vulve de Nathalie.
Il s’est relevé pour attraper et enfiler une capote avant de se recoucher sur elle pour la pénétrer doucement.
Ses va et vient était lent et il allait profondément en elle.
Voulant qu’il aille plus vite, elle a entouré ses jambes autour de sa taille pour lui imprimer un mouvement plus soutenu.
Son premier orgasme a été assez rapide, elle s’est retenue pour ne pas faire trop de bruit.
Tout en continuant ses va et vient en elle, ils ont changé de position.
Ma femme était maintenant accroupie sur lui et c’est elle qui donnait le rythme en s’empalant sur son gros dard bien dur.

Par trois fois il l’a faite jouir dans cette position, il lui malaxait les seins, lui caressait les fesses et le ventre.
Il s’est vidé au fond de son ventre à son tour lorsqu’elle a eu son dernier orgasme.
Toujours empalé sur son pieu et voyant qu’il ne débandait pas, elle lui a dit :
« J’ai encore envie »
« Attends, je change de capote » dit-il.
Pendant ce temps elle s’est mise à quatre pattes pour qu’il la prenne en levrette.
Bien calé contre ses fesses, il s’est de nouveau enfoncé en elle et la baisé avec une cadence beaucoup plus rapide.
Elle tendait bien son cul en arrière pour qu’il la prenne encore plus loin.
Alors qu’elle prenait son pied une nouvelle fois, la fermeture de la tente s’est ouverte, c’était Gilles qui rentrait :
« Je vois qu’on s’éclate bien tous les deux » dit-il.
Nathalie a été un peu surprise, mais la bite de son pote qui la limait lui faisait trop de bien pour qu’elle s’arrête de jouir.
« Tu verrais, elle est trop bonne » dit Hervé.
« Je peux participer ? »
Ma femme qui était bien chaude lui a fait signe que oui.
Il s’est aussitôt déshabillé et lui a présenté son braquemart pour qu’elle le suce.

Elle avait maintenant deux queues pour elle toute seule et elle comptait bien en profiter.
Il se sont relayé à tour de rôle, tantôt dans sa bouche, tantôt dans sa chatte.
Ils ont voulu lui prendre le cul mais elle a refusé.
Elle a joui encore plusieurs fois avant que Gilles ne se vide au fond de son ventre et Hervé de nouveau dans sa bouche.

Ils sont venus nous rejoindre discrètement un peu plus tard, comme-ci de rien n’était.
Nathalie m’a fait comprendre qu’elle venait de se faire sauter par ces deux compères.
Nous avons continué à nous amuser puis avons regagné notre couchage un peu plus tard.

Le lendemain nous ne sommes parti que tous les deux pour aller à la plage et nous promener en ville et dans les environs.

Le soir il y avait tournoi de volley au camping.
Nathalie s’est inscrite mais moi je n’ai pas pu car je m’étais tordu la cheville dans l’après-midi.
Rien de bien méchant mais ça m’empêchait de courir.

Ils ont réussi à faire plusieurs équipes et le jeu a duré plusieurs heures.
Ma femme et son équipe se sont retrouvé éliminé assez rapidement.
Elle m’a dit qu’elle allait prendre une douche et qu’elle me retrouverait au bar.
Les cinq autres joueurs perdant se sont éparpillés et chacun est retourné de son côté.
Dans cette équipe il y avait Eric, notre quatrième voisin de gauche, c’était un black de notre âge, très bien bâti et avec une carrure de grand sportif.
Il est donc remonté en même temps qu’elle jusqu’à sa tente pour prendre des affaires et aller aussi à la douche.
Ils ont papoté tout en marchant, puis se sont dirigés vers les sanitaire ensemble.
Il n’y avait personne à part eux dans les douches.
« Dommage qu’il n’y ai personne, j’aurai été obligé de venir la même cabine que toi » dit-il sur le ton de la plaisanterie.
En le regardant droit dans les yeux, elle lui a répondu :
« Ca n’empêche rien, il y a de la place pour deux »
Il l’a alors suivi et à peine la porte fermée, il s’est collé contre elle pour l’embrasser et la caresser.
Après plusieurs minute de roulage de pelle, pendant lesquelles ils en avaient profité pour se déshabiller mutuellement, Nathalie s’est agenouillée pour prendre sa queue entre ses lèvres.
Sa bite était assez conséquente et elle avait la bouche pleine.
Pendant dix bonnes minutes, elle lui a sucer la queue avec délectation, il semblait apprécier aussi la fellation qu’elle lui prodiguait.
Elle prenait la bite avec ses deux mains tout en lui gobant les couilles puis elle remontait pour lui lécher la hampe et allait titiller son gland avec sa langue.
Elle n’arrivait pas à le prendre en entier dans sa bouche.
« J’ai envie de te prendre » lui dit-il.
« Tu as ce qu’il faut ? »
« Oui, dans mes affaires là »
Il est allé prendre une capote dans sa poche pour la dérouler sur son gourdin.
Nathalie s’est collée à lui en passant une jambe sur ses hanche.
« Doucement, c’est moi qui vais te guider, ta queue est trop grosse et tu vas me déchirer si tu rentres d’un coup »
Elle a saisi son braquemart et l’a doucement fait entrer dans son sexe.
Une fois bien enfoncé, elle s’est accrochée à son cou et a passé son autre jambe autour de sa taille.
Elle était maintenant complètement empalée sur cette colonne de chair.
« Putain elle est énorme ta bite »
C’est elle qui a donné le rythme des vas et viens, d’abord doucement puis de plus en plus rapidement.
A chaque fois que leurs pubis se touchaient, ses yeux étaient révulsés de le sentir si profond en elle.
Très vite elle a joui en l’embrassant à pleine bouche pour ne pas crier trop fort.
Peu après elle est redescendu puis s’est tournée vers le mur en s’appuyant avec ses mains et en écartant bien les jambes.
Il s’est calé derrière elle pour s’enfoncer dans sa chatte.
Cette fois-ci c’est lui qui donnait le rythme et il y allait de bon cœur.
La tenant fermement par les hanches, il la pilonnait copieusement avec des mouvement puissants profonds et rapides.
Elle a joui au moins trois fois de suite avant qu’à son tour il libère un flot de sperme qu’elle pouvait sentir au fond de son ventre même à travers le préservatif.
Une fois leurs esprits repris, ils se sont douchés puis rhabillé.
Elle est venue me rejoindre au bar et nous avons bu un verre tous les deux.
Une fois de plus elle m’a fait comprendre qu’elle venait de se faire baiser par Eric et qu’elle avait bien apprécié bien que sa queue soit un peu trop grosse à son gout.
Un peu plus tard, se sont nos voisins de droite qui sont venus s’installé avec nous pour boire un verre.
Les deux filles qui étaient lesbienne ne sont pas restées longtemps, nous avons donc fait plus connaissance avec nos trois autres voisins.
Je voyais Nathalie qui les détaillait de la tête aux pieds, elle se demandait lequel allé lui servir d’en-cas en premier.
Le problème (enfin ce n’en est pas un) avec elle, c’est que quand je lui donne carte blanche, j’ai l’impression qu’elle veut se taper tous les mecs qui gravitent autour d’elle.
Il y avait donc maintenant avec nous Joël, blond, taille moyenne, assez mignon et bien proportionné ensuite Mehdi, type méditerranéen, pas très grand mais sec, assez vif et musclé et enfin Fabrice, un géant, un mètres quatre-vingt-douze, cent ou cent dix kilos, une gueule sympa et qui faisait un peu nounours.
Nos trois camarades sont restés une bonne partie de la soirée avec nous et je pense qu’ils avaient dû parler avec ceux de l’autre tente car ils regardaient ma femme d’une façon qui voulait dire « Moi aussi je voudrais bien me la taper »
Sa tenue était aussi assez provocante, un mini short en tissus rose, qui laissait voir le globe de ses fesses lorsqu’elle était debout et qui imprimait bien la forme de ses lèvres intimes et un tee-shirt blanc, hyper moulant qui ne demandait qu’à craquer sous la pression de son opulente poitrine.

Il y avait de la musique et certains dansaient.
Medhi a demandé à Nathalie si elle voulait bien danser avec lui et ils sont parti sur la piste qui se trouvait à l’extérieur du bar.
De là ou j’étais assis, je leur tournais le dos et petit à petit je voyais les deux autres, bien qu’assez discrets, qui regardaient de plus en plus vers eux.

A peine sur la piste, Medhi a collé ma femme contre lui pour danser.
Il lui parlait à l’oreille, la complimentant, la faisant rire aussi, bref une drague en bonne et due forme.
Au fur et à mesure ses mains son passées du dos au haut des fesses, puis aux fesses.
Il a continué par des petits bisous dans le cou puis lui a léché les lobes d’oreilles et doucement a glissé vers ses lèvres qu’il a ensuite pénétré de sa langue.
Nathalie s’était laissé faire depuis le départ, elle sentait bien, à travers son Jeans, la bite bien dure de Medhi collé à son sexe et se frottait discrètement contre.
Leurs langues s’entremêlaient avec passion dans un long baiser qui n’en finissait plus.
Mes deux collègues en face de moi devaient voir ce qu’il se passait, moi je mourrais d’envie de me retourner mais ne l’ai pas fait pour ne pas perdre la face.

Medhi a pris ma femme par la main pour s’éloigner, il la emmené jusqu’au parking extérieur du camping.
Sortant de sa poche un jeu de clé, il a ouvert une voiture pour qu’ils montent tous les deux à l’arrière.
C’était sa voiture, il la garait à l’extérieur car on avait le droit qu’a une seule par emplacement et les deux gouines avaient la leur à l’intérieur.

Il a fait sauter le tee-shirt de Nathalie et a aussi fait glisser son short.
Pendant ce temps, elle avait sorti sa queue circoncis pour la branler.
A son tour il s’est mis à poil, pendant qu’elle s’est penchée vers son sexe pour le sucer.
Il lui tenait la tête pour lui baiser la bouche, il avait l’air d’apprécier la langue de ma femme qui jouait avec sa bite.
Il était très excité, il a attrapé une capote qu’il a sorti de la poche de son Jeans en lui disant :
« J’ai trop envie de te baiser, tourne-toi »
A quatre pattes sur la banquette arrière, elle attendait qu’il vienne se placer derrière elle pour la prendre.
Il s’est enfoncé en elle d’un coup, lui faisant presque mal, mais l’excitation l’a emporté et les coups de reins qu’il lui assenait l’on très vite faite jouir.
Il l’a démonté ainsi pendant quinze bonne minute jusqu’à ce qu’il prenne son pied à son tour dans un grognement presque bestial.

Quand ils sont revenus à notre table, ils étaient en sueur.
Nathalie a attrapé mon verre qu’elle a vider d’une traite en disant :
« Ça donne soif de danser »

Nous avons continué à boire une bonne partie de la soirée puis sommes remonté tous ensemble à nos tentes.
Je titubais un peu d’avoir beaucoup bu, mais contrairement à ce que je pouvais laisser croire, j’avais encore tous mes esprits.
Medhi marchait à côté de moi et Nathalie était un peu derrière avec les deux autres, je ne sais pas ce qu’ils se racontaient mais ils riaient beaucoup.
Medhi n’a pas pu s’empêcher de ma dire :
« Elle est sympas ta femme, elle est cool et très… » il s’est arrêtait voyant qu’il allait dire une connerie et s’est repris :
« Très intéressante à discuter avec »
J’ai failli lui dire ce que je crois qu’il pensait, c’est-à-dire « très bonne à baiser » mais me suis retenu.

Une fois à notre campement, j’ai émis l’excuse que j’étais un peu saoul pour aller me coucher.
Faire semblant d’être bourré m’a servi maintes fois jusqu’à nos jours, pour pouvoir m’éclipser et laisser ma femme en compagnie d’autres hommes afin qu’ils puissent s’éclater.

« Je fume une clope et je te rejoins » m’a-t-elle dit.
Je suis donc rentré dans notre petite tente pour aller dormir.
Medhi, qui avait les couilles vide, à dit qu’il retournait au bar, certainement pour laisser ses potes tranquille avec ma femme.

Fabrice lui a proposé de rentrer avec eux dans leur tente pour boire un verre, elle a accepté et ils sont rentrés à l’intérieur.
Ils ont discuté de tout et de rien, puis l’alcool aidant ils ont parlé de choses plus sérieuse.
C’est Joël qui a commencé :
« On t’a vu avec Medhi tout à l’heure quand vous avez dansé, vous étiez très…. Collé, on vous a même vu vous embrasser, tu n’as pas eu peur que ton mari vous surprenne ? »
Alors en riant elle a dit :
« Il nous tournait le dos donc sauf si vous lui avez dit, il ne peut pas le savoir »
« Oh non on n’a rien dit » s’est exclamé Fabrice.
Puis maintenant qu’il était lancé Joël a continué :
« Mais tu trompes ton mec en fait »
« J’aime diversifier mes plaisirs avec plusieurs partenaires, quand je peux » dit-elle « Mais ne dites rien je ne voudrais pas qu’il l’apprenne »
« Non, non ne t’inquiète pas on n’en dira rien » dit Fabrice.
« Surtout si on peut en profiter » renchérit Joël.
Un peu interloquée par cette demande, Nathalie a répondu :
« Ça risque d’être compliqué avec tous ceux qui dorment dans votre tente »
Joël dit alors :
« Tu sais les filles ne dorment jamais ici, je ne sais pas où elles passent leurs nuits mais elles rentrent en général vers six heures du mat et pour Medhi ça ne le choquera pas je pense »
Elle a souri à cette remarque et a simplement dit :
« Ok »

Il faisait bien noir dans le camping, j’avais réussi à sortir discrètement et me trouver un endroit pour me cacher entre une voiture et la haie qui séparait les emplacements.
Malgré le fait qu’ils parlaient tout doucement, j’arrivais à comprendre presque tout ce qu’ils disaient.

Joël, un peu embarrassé lui a demandé :
« On fait comment, tu veux commencer par lequel d’entre nous ? »
« Les deux ensemble » as-t-elle répondue.
« Heuuu ok si tu veux, personnellement je ne l’ai jamais fait mais pourquoi pas, t’es ok Fabrice ? »
« Oui » dit-il timidement.
Nathalie s’est déshabillée aussitôt, se retrouvant à poil devant les deux, ils se sont approchés d’elle pour la caresser et l’embrasser chacun de leur côté.
« On va peut-être aller dans la chambre » dit Fabrice.
« Si vous voulez mais mettez-vous à poil avant, ce sera plus pratique »
Une fois tout le monde nu et dans la chambre, elle s’est agenouillée pour les sucer à tour de rôle.
Très vite leur sexe est devenu bien dur et elle s’est appliquée à bien les prendre en bouche, l’un après l’autre, en jouant avec sa langue.
J’entendais d’où j’étais les bruits de succion et ils avaient l’air d’apprécier ce que leur faisait ma femme.
« Quelqu’un a des capotes ? » leur a-t-elle demandé.
« Moi j’en ai dans la poche de mon Jeans » a répondu Joël.
« Vas-y mets en une et viens me baiser »
Sans se faire prier, il s’est exécuté.
Elle s’est mise à quatre pattes, tout en continuant à sucer la queue de Fabrice et a bien tendue son cul en arrière pour que Joël vienne la prendre.
J’entendais bien les halètements de ma femme à chaque coup de rein de son partenaire.
Il la tenait par les hanches et lui envoyait de grands coups de boutoir.
Lorsqu’elle a joui, il n’a pas pu se retenir et s’est vidé dans un grognement sourd.
Fabrice, qui n’avait pas encore pris son pied, a très vite récupéré une capote et est allé directement prendre la place de son pote, derrière ma femme.
A son tour il s’est déchaîné sur elle pour la démonter comme il se doit, lui procurant deux orgasmes successifs.
Elle avait beau essayé de ne pas faire de bruit, je l’ai quand même entendu gémir.
Fabrice n’a pas tenu longtemps et a éjaculé au fond de son ventre après le deuxième.
Voyant qu’ils n’allaient pas rebander tout de suite, elle s’est levée puis s’est rhabillée pour venir me rejoindre dans la tente.
Je m’étais extirpé de ma cachette pendant qu’elle mettait ses vêtements et l’attendais bien sagement.
« Pffff, des p’tits joueurs » me dit-elle en entrant.
« Je sais, j’écoutais tout près. »
« Franchement ceux de l’autre tente sont plus performants. »

Le lendemain, nous avons de nouveau fait une après-midi plage et cette fois-ci, seuls Hervé et Eric sont venus.
Je m’amusais à regarder discrètement leurs slips de bain qui souvent étaient gonflés, il faut préciser que ma femme n’avait qu’un string en guise de maillot.
Nous avons fait bronzette une bonne partie du temps, la mer n’étant pas très chaude, nous ne nous sommes quasiment pas baignés.

De retour au camping, elle est allée directement aux douches, Eric lui a emboîté le pas.
Alors que j’allais moi aussi les suivre, Hervé m’a proposé une bière, j’ai accepté et nous nous sommes assis sur l’herbe à côté de nos tentes.
Comme la veille, ils sont rentrés dans la même cabine et il l’a de nouveau baisé.
Elle commençait à se faire à la taille de son sexe car elle l’a beaucoup plus apprécié.

Une bière, puis deux, puis trois, il s’est bien passé une bonne demi-heure avant qu’ils ne reviennent.

Eric a dit qu’il allait commander des pizzas et moi je suis partie me doucher à mon tour.
Hervé qui n’avait pas fini sa bière en a proposé une à ma femme.
Une fois seuls et alors qu’il était allé dans la tente pour aller chercher une boisson, il a appelé Nathalie.
Elle l’a rejoint.
Nu comme un ver la bite bien dressée, il lui a dit :
« J’ai envie de ta bouche »
Elle a quand même fermé la tente avant de s’agenouiller devant lui pour avaler sa queue.

Quand je suis revenu, elle sortait de sa tente après avoir avalé toute la semence qu’il lui avait éjaculé dans la bouche.

Notre petit séjour se terminait et nous sommes rentrés chez nous tranquillement le lendemain en fin d’après-midi, non sans être allé faire bronzette sur la plage avant.

Les avis des lecteurs

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Pourquoi juger
Je suis candauliste, ma chérie et moi sommes sur la même longueur d'onde.
J'aime la savoir dans les bras d'un autre ou la voir se faire baiser devant moi.
Où est le mal ?
Nous sommes c un couple candau.
Tu es peut être jaloux, et frustré que ta femme ne se lâche pas comme la mienne ?
En tous cas, nous sommes très heureux ensemble.
Donc vos jugements ne nous atteignent pas !

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C est consternant de lire certains lecteurs qui prennent pour argent content les récits imaginaires publiés sur ce site le pire c est ceux qui se ventent de faire pareille ou même pire que ce qui est racontés dans ces histoires.Comme c est idiot qui prête sa compagne à tous les vieux salauds qui la baisent comme une pute et ce con lui ramasse les miettes pour ne pas dire le foutre de ses amants encore un impuissant une pauvre lopette lamentable un soumis misérable.

Histoire Erotique
Bonjour
J'adore vos récits
Un regret il y en a peu
Cordialement

Histoire Coquine
Super histoire
Fiction ou pas ?
Tu devrais regarder ta copine se faire baiser sous tes yeux.
C'est magnifique, l'expression du visage, qd elle suce et se fait prendre.
C'est ce que nous faisons régulièrement.
Se sont des expériences qui soudent un couple.
Nous le pratiquons régulièrement.
En + ma chérie qui a 39 ans, a un régulier de 72 ans, qui la baise 3 fois par semaine, et un black de 40 ans, qui l'a prend une ou 2 fois par moi.
+ des amants de passage que l'on choisit parfois ensemble.
Elle a une libido incroyable, et un appétit sexuel de folie.
J'aime la voir ou la savoir entrain de baiser.
On se connait depuis+ de 10 ans, et nous nous aimons chaque jour toujours+.
Incite là voir baiser devant, c'est grandiose.
Tu découvriras ta chérie sous une facette, et tu l'aimeras encore plus.
La complicité est encore plus grande.
Bonne baise et complicité avec ta chérie, et n'hésite pas à lui demander de la regarder en pleine action.

Histoire Erotique
Très beau récit



Texte coquin : Quelques jours en Normandie
Histoire sexe : Une rose rouge
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