Retour aux sources, Ernest le paysan !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Retour aux sources, Ernest le paysan !
Juste après mon service militaire, je suis invité par une tante, à passer un mois chez elle.
Elle a besoin de renvoyer la politesse à mes parents, qui les accueille dans le Sud en vacances.
Comme je n'ai pas encore d'emploi, j'utilise le cumul de quelques mois de solde militaire, pour payer le train et garder un maigre budget, pour là-bas.
Ma petite amie est en vacances, avec ses parents, également.
Les premiers jours se passent à merveille, je me suis toujours bien entendu avec mes deux cousins.
Je me lie d'amitié avec un voisin également.
Ils sont tous plus jeunes que moi, c'est un peu habituel avec moi.
Je commence à bien connaitre le village, et j'aime m'y promener, tôt le matin, et seul, en profitant de la nature.
Cette fois, je change de direction, et passe dans un chemin qui mène à une ferme.
Je contemple un troupeau de vaches, un long moment, puis continue en passant devant la ferme.
Je suis surpris par un agriculteur qui surgit de derrière un mur.
L'homme est très grand, son visage n'est pas très sympathique.
Il doit avoir 50 ans, ou plus.
Il arbore une tenue boueuse, normal, me direz vous, c'est son métier !
"Bonjour ! Tu t'es perdu mon p'tit gars ! C'est pas toi le jeune qui est venu chez lez M...?".
"Euh...Oui, c'est moi ! Non, je me promène ! J'aime bien me balader, ça me rappelles la nature de mon enfance, j'habitais à 20 km !".
"Ou ça ?".
"A G... !".
"Ah d'accord ! T'as déjà vu l'intérieur d'une ferme ?".
Mon appréhension envers lui, a disparu, notre conversation m'a rassuré.
Il me rappelle le paysan de mon village, qui m'offrait des œufs, quand j'étais enfant.
"Non ! Mais j'aimerai bien !".
"Ben, suis moi ! Mon p'tit gars !".
Je marche devant lui, en suivant la direction de la grange.
Naïvement, je ne sais pas qu'il me reluque les fesses avec envie.
Il faut dire que depuis ma sortie de l'armée, je n'ai plus beaucoup de rapports homosexuels.
J'ai enfin eu ma première expérience avec ma petite amie, et notre amour commun est très grisant.
J'avoue que j'ai souvent des pulsions d'envie de plaisir anal, mais je les contiens pour le moment.
Il me montre ses installations, assez vétustes, Je suis étonné et amusé par deux chiens qui copulent devant nous.
"C'est la nature ! Ca aussi ! C'est normal ! En plus, c'est deux males !".
Il vient de me tétaniser ! Je ne sais pas pourquoi, mais une forte envie de me faire baiser, me gagne.
Il scrute mes réactions, avec un sourire malicieux, a-t-il deviné ma nature cachée ?
Qui sait ?
Dès ce moment, je n'ai plus le même comportement.
Malgré moi, je regarde discrètement l'endroit qui cache son appareil génital.
Un frisson m'envahit, quand je constate qu'il déforme son pantalon, avec une bosse, de plus en plus énorme.
Il me fait passer entre deux immenses amas de bottes de paille.
Je tente de me retourner, quand je sens qu'il me touche le cul, mais il est déjà sur moi, et me fais reculer contre la paille.
"Monsieur ! Qu'est que vous faites ?".
"Tu dois bien deviner ! Allez ! Laisses toi faire ! T'en as autant envie que moi !".
Il ouvre sa braguette d'une main, pendant qu'il me maintient fermement devant lui.
Sa grosse bite vient contre mon visage.
"Non ! Attendez ! Pas comme ça !".
Il s'éloigne un peu, et me demande:
"Comment alors ?".
Je prends son sexe à la base, et dépose quelques coups de langue, en disant: "Comme ça !", avant de lui recouvrir la bite, avec ma bouche chaude et humide.
"Oh, la vache ! Ils sont tous comme toi, les p'tits gars de la ville ? Ouhhh ! C'est bon ça !".
Je ne lui réponds pas, cela fait tellement longtemps que je n'ai plus connu ce merveilleux plaisir buccal !
Sa grosse verge m'excite comme un dingue !
Apparemment, il n'a pas l'habitude de se faire sucer de la sorte, il lâche de nombreux râles de plaisir, et cela m'excite encore davantage.
"Oh, non de dieu ! On m'a jamais bouffé la queue comme ça ! Arhhhhhh ! Tu me rends fou, jeune !".
Il me force à m'arrêter.
"Stop ! Ou, je vais t'envoyer mon jus ! J'ai envie de te prendre le cul, avant !".
Je ravale ma salive, et mon désir de sperme.
Mon corps subit un énorme besoin de sexe, je me tords de désir, pendant qu'il me dénude.
Putain, j'ai rarement eu autant envie d'un homme !
J'étale mes vêtements sur la paille, puis colle mon torse en lui offrant mes fesses.
Il crache à plusieurs reprises sur mon cul, et enduit soigneusement son gland de salive.
"Oufff ! Ca fait bien longtemps, que j'ai envie de ça ! Je vais me régaler ! Mon petiot !".
Son gros gland commence déjà sa pénétration, il s'en étonne.
"Eh ! Mais, c'est que, c'est pas ta première fois ! T'en as déjà pris pas mal, dans le cul, mon salaud !".
"Oui, J'adore me faire enculer ! Défonces-moi, s'il te plait, ça fait longtemps aussi, pour moi !".
"Ouh, j'vais pas m'gêner !".
"Arghhhhhhh ! Oui ! Orhh ! J'te sens bien ! C'est bon !".
"T'es une belle salope, dis-moi ! On en voit pas souvent, par ici ! Tu sais !".
Il commence à bien coulisser dans mon cul.
Son gros gland qui frappe fortement dans le fond de mon cul, en prenant de l'amplitude, me fait très rapidement jouir analement.
"Nom de dieu ! Ce que ça me manquait de baiser un cul comme le tien ! Je l'adore ! C'est une vraie chatte, ma parole ! Tiens, ma p'tite salope !".
"Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Je jouis ! Arhhhhhh ! ...".
Malheureusement, l'homme manque de pratique et mon plaisir l'excite trop.
Il se libère de son besoin de jouir également.
Ses spasmes d'éjaculation sont énormes, il m'inonde l'anus avec une abondance étonnante.
Je reste immobile, en attendant qu'il ait terminé de m'inséminer, j'adore ces moments très excitants.
Je prends un énorme plaisir à le contempler, pendant qu'il se tord de jouissance, en moi.
Il s'affale contre mon corps, en m'écrasant.
"Comment tu t'appelles ?".
"Pascal !".
"C'était bon, mon p'tit Pascal ! Ca fait du bien ! Tu reviens demain ?".
"Je sais pas ! Peut-être ! T'es sûr qu'on risque pas de nous voir ?".
"Oh, pas de risque ! Les gens m'aiment pas beaucoup par ici !".
"Bon ! Ok, alors ! Mais je viendrai pas tous les jours, non plus !".
"Tu viens quand tu veux ! A c't' heure là, c'est bien ! Y a personne !".
Il quitte mon cul, puis se tourne, et dirige mon visage vers sa queue brillante de jus anal.
"Ouais ! Mon p'tit ! Laves-moi bien la bite ! Ahh ! C'est bon ! Si tu savais !".
Après cinq bonnes minutes, je lui rends sa grosse verge, propre de tout dépôt de sperme et de jus anal.
De mon coté, je garde mon sphincter fermé.
En retournant chez ma tante, je m'isole dans un chemin boisé, pour me libérer de son foutre.
J'hallucine en constatant qu'il me faut plusieurs poussées pour me vider entièrement.
La dose est énorme, je l'avais bien senti ! Du coup, je sais déjà que je reviendrai demain, avec une grosse envie.
Ma tante m'accueille, elle écosse des petits poids, je l'aide.
"Tu vas ou le matin?".
"Un peu partout, ça me rappelle mon enfance !".
"Ne traines pas trop du coté de la ferme du père S... ! On raconte des choses ! Donc, on ne sait jamais !".
"Ok, Tata !".
Après renseignements, auprès du cousin et ses copains, j'apprends qu'il aurait fait des avances à un jeune, il y a une dizaine d'années, la rumeur a fait son œuvre ensuite !
Donc, le lendemain matin, avant d'emprunter le chemin de la ferme, je fais long un tour d'horizon, avant de m'y engouffrer.
Il m'attend devant la grange, sa main frotte déjà contre sa grosse verge, il est impatient, c'est évident.
Lorsque j'approche, il recule pour m'attirer à l'endroit ou il m'a enculé la veille.
Il a étalé une toile de jute sur la paille.
Il s'empresse de libérer sa grosse queue.
"Déshabilles-toi ! J'en peux plus d'attendre !".
Je souris, j'aime sentir ce désir envers moi.
J'ôte le bas de mes vêtements, puis me baisse sur sa verge pour l'aimer avec ma bouche.
"Orhhh ! Pascal ! C'est bon, encore ! Quel dommage que tu sois pas du coin ! Tu me manges bien la bite !".
"Mmmmm ! Gllllllllllrp ! J'adore te sucer ! Mmmmmm ! Mais je connais même pas ton prénom ! Mmmmmmm ! Glllllrp !".
"Arhhhhhhhh ! Ca va pas te plaire ! C'est Ernest ! Orhhh !".
"J'adore ta bite, Ernest ! Tu m'as excité hier ! Tu m'as bien rempli le cul, j'avais plein de sperme !".
"Orhhh ! Ca te plait d'avoir du jus ? C'est normal, j'avais pas juté depuis un moment ! Mais j'en ai toujours beaucoup, c'est vrai !".
"Mmmm ! J'aimerai que tu me baises encore ! Mais j'aimerai bien le gouter ! Tu peux ?".
"Pour sûr ! Que j'peux ! Allonges toi, j'vais t'baiser !".
Je m'étale sur le dos, en levant les jambes.
Il peut ainsi, plus facilement, me saliver l'anus.
La dureté de son gros gland m'excite fortement, je m'écartèle les fesses pour l'aider à me pénétrer.
Il s'insère en plusieurs courtes tentatives, entrecoupées de dépôts de salive supplémentaires.
Puis, son gland passe ma collerette anale d'un coup et vient s'écraser au fond de mon cul.
Il appuie un long moment pour me faire gémir, plus fort encore.
"C'est bon ? Tu la sens bien ma queue ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh ! Tu m'excites Ernest !".
"Toi aussi, tu m'excites ! J'adore te prendre ton p'tit trou ! Ohhhh ! J'suis trop bien ! C'est bon ! Nom de dieu !".
Ses mouvements s'amplifient, je ne me retiens pas de gémir mon plaisir anal.
"Arhhhhhhhh ! Ernest ! Encore ! Encules-moi plus fort !"
"Ma parole ! T'es une vraie salope, toi ! T'aimes ça ! Ouhhhhhhh ! Ca m'excites !".
"Oui, j'aime ça ! Je suis une salope ! C'est ça ! Profites en ! Défonces-moi !".
"La vache ! J'vais pas m'géner ! Tiens, t'aimes les gros saucissons, c'est ça !".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
Il est bien plus endurant que la veille ! Je prends une succession d'orgasmes en recouvrant sa grosse bite de jus anal.
J'aime jouir en recevant ses puissants coups de gland, un peu douloureux, au fond de mon cul.
Il trouve sa place en me parlant vulgairement, et en m'obligeant à promettre que je viendrai tous les matins pour "Recevoir mon p'tit coup".
Il a compris que j'adore être dominé.
J'accepte ses conditions, même si un rapport de temps en temps, m'aurait suffit.
Il faut avouer que sous l'emprise du plaisir anal, j'aurais tout accepté !
Après presque un quart d'heure de possession de mon cul, et de jeux anaux avec son gros mandrin.
il m'annonce qu'il va bientôt éjaculer.
"Bouffes moi la queue, maintenant ! J'vais te donner mon jus !".
Ca tombe bien ! J'ai assez joui du cul comme ça !
Pendant que je m'accroupi devant sa grosse bite, il m'ordonne:
"Branles toi aussi, je veux pas être le seul à juter !".
J'ai encore de fortes sensations anales, il me faut plus de temps pour bander.
J'ai un besoin irrésistible de toucher l'entrée de mon anus éclaté, en le suçant avec gourmandise.
Ma main est trempée de muqueuses anales.
Enfin ma bite gonfle ! Je me branle énergiquement, et commence à l'accompagner dans ses râles.
Ma prostate, sensibilisée par sa longue défonce anale, décuple mon plaisir pénien.
Mon éjaculation arrive d'un coup, je m'étouffe sur sa grosse verge en me répandant sur la terre battue.
Il m'entend jouir, un gout âpre et salé m'envahit la gorge avec abondance.
Je retiens un réflexe de vomissement, qui passe très vite, lorsque j'avale une première gorgée de foutre.
Je lâche ma queue, qui doit commencer à pendre entre mes cuisses, et laisser couler un filet de sperme.
Je m'accroche aux fesses d'Ernest pour lui permettre de m'abreuver de tout son jus.
Je trouve dommage et excitant d'être obligé d'avaler rapidement.
Je tombe littéralement dingue du gout de son sperme !
Ses cris de jouissance me font craindre qu'on nous entende, mais il est chez lui, après tout !
Après son lent abreuvage de ma gorge, je devine qu'il me fixe entrain de le lécher longuement.
"Hummm ! C'était bien bon ! Mon p'tit gars ! T'es doué !".
"Mmmmm ! Glllllllrp ! Merci !".
Il me soulève, puis, je ne sais pas ce qui lui prend, il me couche à nouveau, et profite que sa grosse bite est encore dure pour me l'insérer.
Il s'active frénétiquement, je suis gagné par une nouvelle montée d'orgasme anal.
Il utilise sa forte fréquence d'assauts pour se faire jouir encore et éviter de débander.
Il me retourne précipitamment et m'encule en position de chienne, sans se soucier de mon plaisir.
Il n'en a pas besoin, je crie mes orgasmes, sans retenue, jusqu'à sa deuxième explosion, cette fois dans mon anus.
A la fin, on est épuisé comme après un 200 m, je dois, comme hier, le supporter sur mon dos, un long moment
Mais j'adore ça !
"Oufff ! Tu m'as vidé mon gars ! J'adore t'enculer !".
"Putain ! Tu m'as épuisé ! Mais c'était trop bon !".
On se remet doucement, je lui parle de la rumeur à son sujet.
"Oui, c'est vrai, ils se doutent bien de quelque chose ! Quand on m'a surpris avec le jeune, J'étais en train de lui sortir ma queue, ils l'ont cru, quand il a raconté que je l'avais forcé ! Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que je le baisais depuis un moment déjà ! Après, il est plus venu, et il est parti à la ville avec sa nouvelle copine !".
"Mais tu fais comment pour rencontrer des mecs ?".
"J'essaie de m'en passer, il y pas beaucoup de mecs qui osent passer à l'acte ! J'vais dans un bois assez loin d'ici, je baise des mecs de mon âge, de temps en temps, mais c'est pas assez souvent ! J'me contente de c'qui se présente !".
Je comprends que je suis une bouffée d'air frais pour lui.
"Bon, si je comprends bien, je dois revenir demain matin !".
"Oui ! J'veux profiter de ton cul, pendant qu't'es là !".
"D'accord ! Si un jour, je viens pas, c'est que j'ai eu un problème ! OK ?".
"Ok ! Bon, j'ai mes vaches qui m'attendent ! A d'main ?".
"A d'main ! Ernest !".
J'attend de rentrer chez ma tante pour me vider l'anus, bien moins rempli que la veille.
Mais j'ai encore le gout de son délicieux sperme dans la gorge.
Il a eu raison de me faire éjaculer, quand je buvais son jus, sinon, je l'aurai fait chez ma tante !
Curieusement, je me suis fait draguer par la fille du voisin, mais je lui ai dit que j'étais en couple déjà.
Cela n'avait par l'air de la gêner ! Mais J'étais bizarrement très fidèle hétéro sexuellement à cette époque !
Par contre, du coté anal, j'étais très accessible !
Ernest m'a enculé quasi quotidiennement, mis à part, les deux Week ends de mes vacances.
Et quelques matins ou j'ai suivi mon cousin, levé tôt, ces jours là !
Le manque produit sur Ernest, se faisait sentir, il me baisait sauvagement, le jour suivant !
J'ai avalé des quantités incroyables de sperme, j'en bande encore en y repensant !
Le dernier jour, j'ai fait croire que j'avais Rendez-vous avec une fille, pour justifier que je partirai très tôt et rentrerai qu'à midi.
Ernest m'a enculé trois fois, de 7 h à 11 h 45 du matin ! Idéal comme adieu !
Notre relation était uniquement d'ordre sexuel, moi aussi, j'avais besoin de profiter de sa bite, avant de retourner à ma routine d'hétéro avec ma copine.
Mon cousin m'a longtemps questionné sur le prénom de la supposée fille !
S'il avait su que c'était Ernest et que c'est moi qui me faisait baiser !
La coïncidence a fait, qu'au retour, dans le train de nuit, j'ai encore baisé avec un inconnu.
Comme j'étais dans mes pensées avec la bite d'Ernest, je me suis touché sans me rendre compte qu'il le voyait.
Il m'a abordé en me proposant un "plaisir mutuel".
Il se branlait lui aussi, en me reluquant, je lui plaisait beaucoup, apparemment !
Il a fini par me baiser en me pilonnant le cul sur ma couchette.
Ce fut bref, mais intense ! Juste assez pour me faire jouir analement.
J'ai du me masturber ensuite, pour me calmer !
La SNCF a du nettoyer les traces de tout ça !
Je ne suis jamais revenu chez ma tante, j'ai jamais su ce qu'était devenu Ernest, mon très viril paysan !
Elle a besoin de renvoyer la politesse à mes parents, qui les accueille dans le Sud en vacances.
Comme je n'ai pas encore d'emploi, j'utilise le cumul de quelques mois de solde militaire, pour payer le train et garder un maigre budget, pour là-bas.
Ma petite amie est en vacances, avec ses parents, également.
Les premiers jours se passent à merveille, je me suis toujours bien entendu avec mes deux cousins.
Je me lie d'amitié avec un voisin également.
Ils sont tous plus jeunes que moi, c'est un peu habituel avec moi.
Je commence à bien connaitre le village, et j'aime m'y promener, tôt le matin, et seul, en profitant de la nature.
Cette fois, je change de direction, et passe dans un chemin qui mène à une ferme.
Je contemple un troupeau de vaches, un long moment, puis continue en passant devant la ferme.
Je suis surpris par un agriculteur qui surgit de derrière un mur.
L'homme est très grand, son visage n'est pas très sympathique.
Il doit avoir 50 ans, ou plus.
Il arbore une tenue boueuse, normal, me direz vous, c'est son métier !
"Bonjour ! Tu t'es perdu mon p'tit gars ! C'est pas toi le jeune qui est venu chez lez M...?".
"Euh...Oui, c'est moi ! Non, je me promène ! J'aime bien me balader, ça me rappelles la nature de mon enfance, j'habitais à 20 km !".
"Ou ça ?".
"A G... !".
"Ah d'accord ! T'as déjà vu l'intérieur d'une ferme ?".
Mon appréhension envers lui, a disparu, notre conversation m'a rassuré.
Il me rappelle le paysan de mon village, qui m'offrait des œufs, quand j'étais enfant.
"Non ! Mais j'aimerai bien !".
"Ben, suis moi ! Mon p'tit gars !".
Je marche devant lui, en suivant la direction de la grange.
Naïvement, je ne sais pas qu'il me reluque les fesses avec envie.
Il faut dire que depuis ma sortie de l'armée, je n'ai plus beaucoup de rapports homosexuels.
J'ai enfin eu ma première expérience avec ma petite amie, et notre amour commun est très grisant.
J'avoue que j'ai souvent des pulsions d'envie de plaisir anal, mais je les contiens pour le moment.
Il me montre ses installations, assez vétustes, Je suis étonné et amusé par deux chiens qui copulent devant nous.
"C'est la nature ! Ca aussi ! C'est normal ! En plus, c'est deux males !".
Il vient de me tétaniser ! Je ne sais pas pourquoi, mais une forte envie de me faire baiser, me gagne.
Il scrute mes réactions, avec un sourire malicieux, a-t-il deviné ma nature cachée ?
Qui sait ?
Dès ce moment, je n'ai plus le même comportement.
Malgré moi, je regarde discrètement l'endroit qui cache son appareil génital.
Un frisson m'envahit, quand je constate qu'il déforme son pantalon, avec une bosse, de plus en plus énorme.
Il me fait passer entre deux immenses amas de bottes de paille.
Je tente de me retourner, quand je sens qu'il me touche le cul, mais il est déjà sur moi, et me fais reculer contre la paille.
"Monsieur ! Qu'est que vous faites ?".
"Tu dois bien deviner ! Allez ! Laisses toi faire ! T'en as autant envie que moi !".
Il ouvre sa braguette d'une main, pendant qu'il me maintient fermement devant lui.
Sa grosse bite vient contre mon visage.
"Non ! Attendez ! Pas comme ça !".
Il s'éloigne un peu, et me demande:
"Comment alors ?".
Je prends son sexe à la base, et dépose quelques coups de langue, en disant: "Comme ça !", avant de lui recouvrir la bite, avec ma bouche chaude et humide.
"Oh, la vache ! Ils sont tous comme toi, les p'tits gars de la ville ? Ouhhh ! C'est bon ça !".
Je ne lui réponds pas, cela fait tellement longtemps que je n'ai plus connu ce merveilleux plaisir buccal !
Sa grosse verge m'excite comme un dingue !
Apparemment, il n'a pas l'habitude de se faire sucer de la sorte, il lâche de nombreux râles de plaisir, et cela m'excite encore davantage.
"Oh, non de dieu ! On m'a jamais bouffé la queue comme ça ! Arhhhhhh ! Tu me rends fou, jeune !".
Il me force à m'arrêter.
"Stop ! Ou, je vais t'envoyer mon jus ! J'ai envie de te prendre le cul, avant !".
Je ravale ma salive, et mon désir de sperme.
Mon corps subit un énorme besoin de sexe, je me tords de désir, pendant qu'il me dénude.
Putain, j'ai rarement eu autant envie d'un homme !
J'étale mes vêtements sur la paille, puis colle mon torse en lui offrant mes fesses.
Il crache à plusieurs reprises sur mon cul, et enduit soigneusement son gland de salive.
"Oufff ! Ca fait bien longtemps, que j'ai envie de ça ! Je vais me régaler ! Mon petiot !".
Son gros gland commence déjà sa pénétration, il s'en étonne.
"Eh ! Mais, c'est que, c'est pas ta première fois ! T'en as déjà pris pas mal, dans le cul, mon salaud !".
"Oui, J'adore me faire enculer ! Défonces-moi, s'il te plait, ça fait longtemps aussi, pour moi !".
"Ouh, j'vais pas m'gêner !".
"Arghhhhhhh ! Oui ! Orhh ! J'te sens bien ! C'est bon !".
"T'es une belle salope, dis-moi ! On en voit pas souvent, par ici ! Tu sais !".
Il commence à bien coulisser dans mon cul.
Son gros gland qui frappe fortement dans le fond de mon cul, en prenant de l'amplitude, me fait très rapidement jouir analement.
"Nom de dieu ! Ce que ça me manquait de baiser un cul comme le tien ! Je l'adore ! C'est une vraie chatte, ma parole ! Tiens, ma p'tite salope !".
"Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Je jouis ! Arhhhhhh ! ...".
Malheureusement, l'homme manque de pratique et mon plaisir l'excite trop.
Il se libère de son besoin de jouir également.
Ses spasmes d'éjaculation sont énormes, il m'inonde l'anus avec une abondance étonnante.
Je reste immobile, en attendant qu'il ait terminé de m'inséminer, j'adore ces moments très excitants.
Je prends un énorme plaisir à le contempler, pendant qu'il se tord de jouissance, en moi.
Il s'affale contre mon corps, en m'écrasant.
"Comment tu t'appelles ?".
"Pascal !".
"C'était bon, mon p'tit Pascal ! Ca fait du bien ! Tu reviens demain ?".
"Je sais pas ! Peut-être ! T'es sûr qu'on risque pas de nous voir ?".
"Oh, pas de risque ! Les gens m'aiment pas beaucoup par ici !".
"Bon ! Ok, alors ! Mais je viendrai pas tous les jours, non plus !".
"Tu viens quand tu veux ! A c't' heure là, c'est bien ! Y a personne !".
Il quitte mon cul, puis se tourne, et dirige mon visage vers sa queue brillante de jus anal.
"Ouais ! Mon p'tit ! Laves-moi bien la bite ! Ahh ! C'est bon ! Si tu savais !".
Après cinq bonnes minutes, je lui rends sa grosse verge, propre de tout dépôt de sperme et de jus anal.
De mon coté, je garde mon sphincter fermé.
En retournant chez ma tante, je m'isole dans un chemin boisé, pour me libérer de son foutre.
J'hallucine en constatant qu'il me faut plusieurs poussées pour me vider entièrement.
La dose est énorme, je l'avais bien senti ! Du coup, je sais déjà que je reviendrai demain, avec une grosse envie.
Ma tante m'accueille, elle écosse des petits poids, je l'aide.
"Tu vas ou le matin?".
"Un peu partout, ça me rappelle mon enfance !".
"Ne traines pas trop du coté de la ferme du père S... ! On raconte des choses ! Donc, on ne sait jamais !".
"Ok, Tata !".
Après renseignements, auprès du cousin et ses copains, j'apprends qu'il aurait fait des avances à un jeune, il y a une dizaine d'années, la rumeur a fait son œuvre ensuite !
Donc, le lendemain matin, avant d'emprunter le chemin de la ferme, je fais long un tour d'horizon, avant de m'y engouffrer.
Il m'attend devant la grange, sa main frotte déjà contre sa grosse verge, il est impatient, c'est évident.
Lorsque j'approche, il recule pour m'attirer à l'endroit ou il m'a enculé la veille.
Il a étalé une toile de jute sur la paille.
Il s'empresse de libérer sa grosse queue.
"Déshabilles-toi ! J'en peux plus d'attendre !".
Je souris, j'aime sentir ce désir envers moi.
J'ôte le bas de mes vêtements, puis me baisse sur sa verge pour l'aimer avec ma bouche.
"Orhhh ! Pascal ! C'est bon, encore ! Quel dommage que tu sois pas du coin ! Tu me manges bien la bite !".
"Mmmmm ! Gllllllllllrp ! J'adore te sucer ! Mmmmmm ! Mais je connais même pas ton prénom ! Mmmmmmm ! Glllllrp !".
"Arhhhhhhhh ! Ca va pas te plaire ! C'est Ernest ! Orhhh !".
"J'adore ta bite, Ernest ! Tu m'as excité hier ! Tu m'as bien rempli le cul, j'avais plein de sperme !".
"Orhhh ! Ca te plait d'avoir du jus ? C'est normal, j'avais pas juté depuis un moment ! Mais j'en ai toujours beaucoup, c'est vrai !".
"Mmmm ! J'aimerai que tu me baises encore ! Mais j'aimerai bien le gouter ! Tu peux ?".
"Pour sûr ! Que j'peux ! Allonges toi, j'vais t'baiser !".
Je m'étale sur le dos, en levant les jambes.
Il peut ainsi, plus facilement, me saliver l'anus.
La dureté de son gros gland m'excite fortement, je m'écartèle les fesses pour l'aider à me pénétrer.
Il s'insère en plusieurs courtes tentatives, entrecoupées de dépôts de salive supplémentaires.
Puis, son gland passe ma collerette anale d'un coup et vient s'écraser au fond de mon cul.
Il appuie un long moment pour me faire gémir, plus fort encore.
"C'est bon ? Tu la sens bien ma queue ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh ! Tu m'excites Ernest !".
"Toi aussi, tu m'excites ! J'adore te prendre ton p'tit trou ! Ohhhh ! J'suis trop bien ! C'est bon ! Nom de dieu !".
Ses mouvements s'amplifient, je ne me retiens pas de gémir mon plaisir anal.
"Arhhhhhhhh ! Ernest ! Encore ! Encules-moi plus fort !"
"Ma parole ! T'es une vraie salope, toi ! T'aimes ça ! Ouhhhhhhh ! Ca m'excites !".
"Oui, j'aime ça ! Je suis une salope ! C'est ça ! Profites en ! Défonces-moi !".
"La vache ! J'vais pas m'géner ! Tiens, t'aimes les gros saucissons, c'est ça !".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
Il est bien plus endurant que la veille ! Je prends une succession d'orgasmes en recouvrant sa grosse bite de jus anal.
J'aime jouir en recevant ses puissants coups de gland, un peu douloureux, au fond de mon cul.
Il trouve sa place en me parlant vulgairement, et en m'obligeant à promettre que je viendrai tous les matins pour "Recevoir mon p'tit coup".
Il a compris que j'adore être dominé.
J'accepte ses conditions, même si un rapport de temps en temps, m'aurait suffit.
Il faut avouer que sous l'emprise du plaisir anal, j'aurais tout accepté !
Après presque un quart d'heure de possession de mon cul, et de jeux anaux avec son gros mandrin.
il m'annonce qu'il va bientôt éjaculer.
"Bouffes moi la queue, maintenant ! J'vais te donner mon jus !".
Ca tombe bien ! J'ai assez joui du cul comme ça !
Pendant que je m'accroupi devant sa grosse bite, il m'ordonne:
"Branles toi aussi, je veux pas être le seul à juter !".
J'ai encore de fortes sensations anales, il me faut plus de temps pour bander.
J'ai un besoin irrésistible de toucher l'entrée de mon anus éclaté, en le suçant avec gourmandise.
Ma main est trempée de muqueuses anales.
Enfin ma bite gonfle ! Je me branle énergiquement, et commence à l'accompagner dans ses râles.
Ma prostate, sensibilisée par sa longue défonce anale, décuple mon plaisir pénien.
Mon éjaculation arrive d'un coup, je m'étouffe sur sa grosse verge en me répandant sur la terre battue.
Il m'entend jouir, un gout âpre et salé m'envahit la gorge avec abondance.
Je retiens un réflexe de vomissement, qui passe très vite, lorsque j'avale une première gorgée de foutre.
Je lâche ma queue, qui doit commencer à pendre entre mes cuisses, et laisser couler un filet de sperme.
Je m'accroche aux fesses d'Ernest pour lui permettre de m'abreuver de tout son jus.
Je trouve dommage et excitant d'être obligé d'avaler rapidement.
Je tombe littéralement dingue du gout de son sperme !
Ses cris de jouissance me font craindre qu'on nous entende, mais il est chez lui, après tout !
Après son lent abreuvage de ma gorge, je devine qu'il me fixe entrain de le lécher longuement.
"Hummm ! C'était bien bon ! Mon p'tit gars ! T'es doué !".
"Mmmmm ! Glllllllrp ! Merci !".
Il me soulève, puis, je ne sais pas ce qui lui prend, il me couche à nouveau, et profite que sa grosse bite est encore dure pour me l'insérer.
Il s'active frénétiquement, je suis gagné par une nouvelle montée d'orgasme anal.
Il utilise sa forte fréquence d'assauts pour se faire jouir encore et éviter de débander.
Il me retourne précipitamment et m'encule en position de chienne, sans se soucier de mon plaisir.
Il n'en a pas besoin, je crie mes orgasmes, sans retenue, jusqu'à sa deuxième explosion, cette fois dans mon anus.
A la fin, on est épuisé comme après un 200 m, je dois, comme hier, le supporter sur mon dos, un long moment
Mais j'adore ça !
"Oufff ! Tu m'as vidé mon gars ! J'adore t'enculer !".
"Putain ! Tu m'as épuisé ! Mais c'était trop bon !".
On se remet doucement, je lui parle de la rumeur à son sujet.
"Oui, c'est vrai, ils se doutent bien de quelque chose ! Quand on m'a surpris avec le jeune, J'étais en train de lui sortir ma queue, ils l'ont cru, quand il a raconté que je l'avais forcé ! Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que je le baisais depuis un moment déjà ! Après, il est plus venu, et il est parti à la ville avec sa nouvelle copine !".
"Mais tu fais comment pour rencontrer des mecs ?".
"J'essaie de m'en passer, il y pas beaucoup de mecs qui osent passer à l'acte ! J'vais dans un bois assez loin d'ici, je baise des mecs de mon âge, de temps en temps, mais c'est pas assez souvent ! J'me contente de c'qui se présente !".
Je comprends que je suis une bouffée d'air frais pour lui.
"Bon, si je comprends bien, je dois revenir demain matin !".
"Oui ! J'veux profiter de ton cul, pendant qu't'es là !".
"D'accord ! Si un jour, je viens pas, c'est que j'ai eu un problème ! OK ?".
"Ok ! Bon, j'ai mes vaches qui m'attendent ! A d'main ?".
"A d'main ! Ernest !".
J'attend de rentrer chez ma tante pour me vider l'anus, bien moins rempli que la veille.
Mais j'ai encore le gout de son délicieux sperme dans la gorge.
Il a eu raison de me faire éjaculer, quand je buvais son jus, sinon, je l'aurai fait chez ma tante !
Curieusement, je me suis fait draguer par la fille du voisin, mais je lui ai dit que j'étais en couple déjà.
Cela n'avait par l'air de la gêner ! Mais J'étais bizarrement très fidèle hétéro sexuellement à cette époque !
Par contre, du coté anal, j'étais très accessible !
Ernest m'a enculé quasi quotidiennement, mis à part, les deux Week ends de mes vacances.
Et quelques matins ou j'ai suivi mon cousin, levé tôt, ces jours là !
Le manque produit sur Ernest, se faisait sentir, il me baisait sauvagement, le jour suivant !
J'ai avalé des quantités incroyables de sperme, j'en bande encore en y repensant !
Le dernier jour, j'ai fait croire que j'avais Rendez-vous avec une fille, pour justifier que je partirai très tôt et rentrerai qu'à midi.
Ernest m'a enculé trois fois, de 7 h à 11 h 45 du matin ! Idéal comme adieu !
Notre relation était uniquement d'ordre sexuel, moi aussi, j'avais besoin de profiter de sa bite, avant de retourner à ma routine d'hétéro avec ma copine.
Mon cousin m'a longtemps questionné sur le prénom de la supposée fille !
S'il avait su que c'était Ernest et que c'est moi qui me faisait baiser !
La coïncidence a fait, qu'au retour, dans le train de nuit, j'ai encore baisé avec un inconnu.
Comme j'étais dans mes pensées avec la bite d'Ernest, je me suis touché sans me rendre compte qu'il le voyait.
Il m'a abordé en me proposant un "plaisir mutuel".
Il se branlait lui aussi, en me reluquant, je lui plaisait beaucoup, apparemment !
Il a fini par me baiser en me pilonnant le cul sur ma couchette.
Ce fut bref, mais intense ! Juste assez pour me faire jouir analement.
J'ai du me masturber ensuite, pour me calmer !
La SNCF a du nettoyer les traces de tout ça !
Je ne suis jamais revenu chez ma tante, j'ai jamais su ce qu'était devenu Ernest, mon très viril paysan !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il ne m'a pas dépucelé, mais j'aurai bien aimé, c'est vrai !
Je vous conterai quelques suites sexuelles avec lui, il le mérite !
Je vous conterai quelques suites sexuelles avec lui, il le mérite !
Belle histoire. Tout jeune, en vacances moi aussi, je me suis fait déniaisé par un agriculteur. Il m'a fait assister à une saillie de son verrat. J'étais très excité;lui aussi. Il en a profité pour me coller, me faire sentir sa queue raide. Je me suis laissé faire... J'ai ressenti un plaisir inouï à me faire introduire. J'ai couiné, j'ai juté, il m'a inséminé de tout son jus. On ne s'est pas posé de question sur cette pulsion qui nous a fait copuler ensemble. Je suis reparti,ravi, le cul élargi et bien gras. Dès le lendemain, sans parler, on est allé au même endroit et il m'a rempli le cul. C'était un homme assez corpulent, bien monté et très poilu. Très bon souvenir
C'était en 1981 ! Je pense que ce merveilleux amant, n'est plus de ce monde ! J'espère lui avoir donné du bonheur !
Donne moi l'adresse de la ferme d'Ernest, j'irai promener autour de sa ferme
Tu as eu de la chance de passer de si bonnes vacances à la campagne
Tu as eu de la chance de passer de si bonnes vacances à la campagne
Superbe histoire.j'aurai bien voulu être à votre place et me faire enculer par Ernest. Merci