S.W.A.T.X : Opération ALPHA (1)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (1)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (1)
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Cette histoire reprend les personnages de la série américaine S.W.A.T. Il s'agit ici des trois acteurs principaux masculins:
Le Sergent-Chef Daniel Harrelson, surnommé '' Hondo''. 45 ans, grand, musclé, de père Portoricain, visage ovale, petit bouc, crâne rasé.
Il est chargé de monter une unité spéciale qualifiée pour résoudre les crimes dans la ville de Los Angeles.
Le Sergent David Kay, surnommé ''Deacon''. 41 ans, grand, musclé, type caucasien, cheveux coupés courts en brosse et barbe poivre-sel, mâchoires carrées, yeux marron foncés.
L'officier de police Jim Street. 24 ans, blond, visage poupon avec deux petites fossettes, yeux bleus. Physique fin mais tonique.
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- PREMIÈRE PARTIE -
Le Sergent-Chef Daniel Harrelson conduisait le fourgon du Trésor Fédéral.
Il jeta un œil dans le rétroviseur, l'air inquiet. La voiture de police chargée de les escorter suivait sagement derrière. Il tenta de se détendre en tambourinant des doigts sur le volant.
Ce n'était pas à proprement parler dans les attributions du SWAT de convoyer 2 millions de $ à travers les rues de Los Angeles, mais les autorités de la ville, après mure réflexion, s'étaient résolues à faire appel à eux. Ils formaient l'unité d'élite de la ville et le maire comptait sur leur professionnalisme pour mener à bien cette périlleuse mission.
La nervosité d'Harrelson reprit le dessus. Ils allaient bientôt traverser Inglewood, situé au sud de la ville. La réputation de ce quartier n'était plus à faire. Trafic de drogues, prostitution, violence de ses gangs, rien ne semblait pouvoir arrêter les délinquants de cette zone.
Il se souvenait avoir monté des opérations ''coup-de-poing'' dans ce secteur. Chaque intervention s'apparentait à une guérilla urbaine. Il avait même perdu un officier de réserve au cours de ces missions.
Il se saisit du talky-walky posé sur le siège passager.
- Allô, Jim, David,... vous m'entendez?!
- Affirmatif. Tout se passe bien à l'intérieur, les billets sont entre de bonnes mains. Mais par contre, on se les caille, ici.
Harrelson sourit malgré lui.
- Ben avec vos uniformes aussi épais qu'un papier à cigarette, ça va pas aider, les gars. Bon, je vais voir si je trouve le bouton de chauffage, peut-être que l'intérieur du fourgon est chauffé.
Il quitta la route du regard quelques secondes, à la recherche d'un hypothétique thermostat. Lorsqu'il reporta les yeux sur l'avenue, il constata que la voiture derrière eux ne suivait plus. Il voulut prévenir ses deux partenaires lorsqu'un énorme poids-lourd déboucha d'une rue parallèle et vint s'encastrer dans la carcasse métallique du fourgon blindé.
La puissance du choc lui fit perdre connaissance.
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( Quelque part dans Inglewood. )
- Alors?!
- Mission accomplie, chef. Ils sont sains et sauf. Enfin,... le conducteur est dans un sale état.
- Et le coffre?
- Nous avons réussi à l'extraire du fourgon. Il est dans le hangar.
- Parfait. Nous pouvons passer à la phase 2 de l'opération ''ALPHA''.
( État des lieux. )
Une pièce vide, sans fenêtres, uniquement éclairée par un néon. le sergent David Kay (41 ans) est allongé sur un matelas, sans connaissance.
Quatre hommes afro-américains pénètrent dans la pièce.
- Nous allons le cuisiner un peu.
- Sauf s'il nous livre le code d'accès au coffre.
- N'y compte pas trop! Regarde ses trois barrettes sur son uniforme, ça veut dire qu'il est dans les SWAT depuis plus de 15 ans. C'est un dur à cuire, je te dis.
Le plus costaud des trois s'approche du sergent et lui passe une fiole sous le nez. Petit à petit, l'officier retrouve ses esprits.
- Allez, réveille-toi. Tu vas pas dormir pendant qu'on te donnera du plaisir.
Alors que les trois autres rigolent, le beau quadragénaire redresse la tête. Mille pensées traversent son esprit. Il revoit le choc, le bruit assourdissant... Il les dévisage attentivement avant de demander.
- Qui êtes-vous?
- Peu importe. Mais tu as quelque chose qui nous intéresse.
- …
- Les huit chiffres du coffre-fort.
Soudain, Kay réalise la gravité de la situation. Il se retrouve prisonnier d'un Gang qui en veut aux 2 millions de $ du Trésor Fédéral.
- Où sont mes collègues? Qu'est-ce que vous avez fait à Daniel et Jim???
- C'est du donnant-donnant. Tu nous livres le code et on te dit où ils sont.
Après un moment d'hésitation.
- Allez vous faire voir, je ne dirai rien.
Quatre bras puissants le saisissent et lui lient les mains derrière le dos.
- Tu vois, tu as bien fait d'amener tes menottes. Tu pensais pas qu'elles serviraient à te ficeler comme un... poulet.
Nouveaux rires dans la pièce. Celui qui semble être le meneur s'approche et laisse ses mains parcourir le torse puissant du policier. Le T-shirt de Kay est moulant, il met bien en valeur ses pectoraux musclés ou pointent deux petits tétons. Il est fier de son physique. Surtout pour un gars de 41 ans.
Le chef du Gang passe ensuite ses gosses paluches noires sous le vêtement et s'attarde sur les abdominaux qu'il caresse avec gourmandise. Il les délaisse pour prendre possession des deux tétines perdues dans une forêt de poils drus.
- Humm! Comme je les aime.
L'officier de police a un mouvement de recul.
- N'aie crainte, tu vas adorer.
Son visage sombre est tout proche de Kay. Ce dernier est assis sur le matelas, le dos appuyé contre le mur... et les mains solidement attachées.
Il serre les dents mais ne dit rien lorsque le truand commence à lui pincer les seins. Il sent un léger picotement l'envahir là où les doigts s'attardent. L'autre main caresse sa barbe poivre-sel, remonte jusqu'aux lèvres pour en dessiner le contour. Puis elle redescend jusqu'à la gorge qu'elle agrippe pour enfin serrer le plus fort possible.
Le sergent ne peut retenir un cri de douleur, alors que ses yeux se ferment. Il vient de sentir comme une piqûre dans le bras gauche. Son corps est lourd, tout à coup. Les mots s'entrechoquent dans sa tête, résonnent comme un écho, alors qu'il lutte pour rester conscient.
- Tu vas adorer, je suis sûr, tu vas adorer. Tu vas ad...
Et soudain,... le néant.
Quand il se réveille, Il est couché sur le dos, bras et jambes solidement attachés par de grosses chaînes rouillées. Plusieurs mains s'attardent sur son anatomie. Il constate qu'il est toujours revêtu de son uniforme de combat.
Il essaie de ne pas réagir. Avoir une main qui effleure sa braguette n'est pas commun, surtout celle d'un homme. Lui, l'hétéro marié, n'est pas préparé à ce genre de situation. Personne n'a poussé sa formation militaire aussi loin. Il craint de perdre pied.
- Écoutez, on peut parler...
- Ah! Enfin tu te décides. Alors, ce code?
- Je ne le connais pas, je le jure sur la tête de mes gosses. Je l'ignore.
- C'est faux. Arrête de nous prendre pour des billes. En cas de coup dur, vous devez pouvoir sauver le butin. Par conséquent, vous DEVEZ connaître la combinaison des huit chiffres.
Devant le mutisme du sergent, le chef des trois homme lève la main.
- Couteau!
L'un des voyous lui donne un long cran-d'arrêt qu'il ouvre d'une simple pression. Une lame fine et pointue jaillit. Kay la voit scintiller dans la semi-obscurité. Il comprend dés lors que les choses sérieuses vont commencer.
- Maintenant, ne bouge pas, (lui compressant sa queue à travers le pantalon). À moins que tu ne préfères passer d'étalon reproducteur à cheval hongre?!
À nouveau, la pièce s'emplit de rires bruyants.
Le sergent ne connaît pas grand chose aux chevaux mais il a entendu parler de tous ces équidés castrés comme l'âne, le mulet, le bardot... (non, ce n'est pas celle à qui vous pensez! )
Il retient son souffle quand l'afro-américain entreprend de découper son pantalon d'uniforme. La fine toile ne résiste pas à la lame aiguisée. Il tranche près du sexe et il se fige en sentant le métal frais sur ses testicules. Il tente de cacher sa panique lorsque le couteau remonte jusqu'au gland.
Son agresseur libère enfin une queue de belle facture, même au repos. De grosses veines bleues parcourent la hampe jusqu'au champignon qui commence à mouiller. Il recueille un peu de liquide sur la pointe de la lame. Le froid de l'acier fait frissonner le policier d'élite.
L'homme de couleur noire saisit son regard de terreur et pour toute réponse lui crache au visage. La première salve vient s'écraser sur les cheveux argentés, coupés courts en brosse. La salive s'écoule ensuite sur son front, sa bouche, sa barbe...
- Non, je ne vais pas te tuer, mais après ce que tu vas subir, tu souhaiteras mourir, crois-moi.
David Kay N'a pas peur de la mort. Il compte plus de 18 ans de métier dans les forces spéciales. Il est considéré comme un soldat d'élite. L'un des plus sûrs. On les a entraînés aux situations les plus extrêmes. Aussi, il est à la fois curieux et anxieux de savoir comment ils vont s'y prendre pour lui faire cracher le morceau.
Un des trois acolytes lui présente une pilule verte.
- Avale!!!
Il refuse, mais des mains puissantes lui pincent le nez, l'obligeant à ouvrir la bouche pour respirer. Ils lui bloquent la mâchoire et font glisser le cachet dans le gosier.
- Qu'est-ce-que c'est??? Putain, c'est quoi cette merde?
- Tu vas bientôt le savoir.
Le sergent Kay sent une douce chaleur envahir son corps. Il est parcouru de spasmes puissants qui le projettent vers le haut. Comme une décharge électrique qui traverserait toute son enveloppe charnelle.
- Hurrgggh.
Il s'entend gémir, puis les soubresauts diminuent jusqu'à ce que son corps retombe sur le matelas.
Une main chaude vient harponner sa queue.
- Humm! Elle est bien dure. T'es un chaud, toi. D'habitude, il faut demi-heure pour que ça agisse.
- Oh... Arggghh!!!
- Tu vois, est-ce que c'est pas mieux maintenant?
Le sergent hoche la tête. Bon sang, qu'est-ce qu'ils lui ont donné pour qu'il bande comme ça. Il soupire malgré lui sous les caresses de son bourreau. Il tente de se concentrer mais son esprit ne suit pas. Tout son corps se réchauffe alors que de nouvelles mains agrippent ses tétons, perdus dans une forêt de poils noirs, et les pincent méchamment.
À nouveau, son bassin décolle du matelas. Il se mord les lèvres pour ne pas crier. Un orgasme dévastateur gronde dans son ventre.
- Ouai... T'aimes ça, en fait. Regarde comme tu bandes.
Il active sa masturbation tout en griffant ses abdominaux.
- T'en veux plus?
Le policier ferme les yeux. Il transpire à grosses gouttes et tente de lutter contre ce désir pervers qui peu à peu prend possession de tout son être. Il doit puiser dans des réserves insoupçonnées pour rester concentrer sur sa mission.
« Je ne me soumettrai pas, je ne me soumettrai pas, je ne...»
Il tente de trouver un moyen pour s'en sortir. Il doit exister une solution... Ce n'est pas possible autrement...
Soudain, la voix du malfrat est proche de lui. Son souffle chaud le ramène à la réalité.
- Allez, donne moi le code, je te jure qu'après on te laisse tranquille.
- Non, non,...
Ses hanches accompagnent chaque mouvement de poignet. Ils sont violents, rapides et agissent comme un fourreau dans lequel son membre coulisse. Chaque pression lui arrache un gémissement de bien être tant la sensation est délicieuse.
Soudain, les gestes cessent. Le poignet s'immobilise si bien qu'il finit par se branler lui-même dans cette main inerte.
- Non...Je,... Oh, non, pitié...continue. T'arrête pas...
- Putain, mais t'es une vraie chienne.
La bouche du jeune caïd effleure son cou puis remonte jusqu'à la commissure des lèvres.
- Allez, sergent, donne-moi ces huit chiffres.
L'homme de loi serre les dents. Il ne veut pas parler. Il doit préserver Jim et Daniel. Il connaît trop bien les conséquences d'un tel acte si jamais il cède. Ils finiront la gorge tranchée ou pire encore, utilisés comme esclaves sexuels dans les bas-fonds de la ville.
Non, il doit résister...
- OK! Le chef se redresse et déboutonne son jeans. Tu l'auras voulu.
Le Sergent Davis Kay, membre des forces du redoutable S.W.A.T, a juste le temps d'apercevoir un sexe d'une longueur incroyable pendre entre les jambes noires et velues de son tortionnaire.
Une nouvelle piqûre dans le bras gauche lui fait perdre connaissance.
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- DEUXIÈME PARTIE -
[ RAPPORT du Sergent II David ''Deacon'' Kay : october, 11th, 2021 ]
(Document classé TOP SECRET par le département de la défense américaine)
« … Quand j'ai repris connaissance, j'étais allongé sur le ventre, complètement nu. Les jambes et les bras écartelés par de grosses chaînes...
Des genoux sont plaqués contre mes omoplates, m'empêchant de bouger. Une main s'aventure entre mes fesses dénudées. Je tente d'esquiver, en vain.
… J'entends une voix derrière moi me dire qu'il adore les culs de mecs poilus. Surtout les culs d'hétéros. Je sens un truc dur contre ma cuisse. Je me demande ce que c'est. Je commence à paniquer, mais je ne le montre pas. Face contre terre, je serre les dents, attendant la suite avec anxiété.
Soudain, le truc dur frappe l'intérieur de ma cuisse. C'est chaud, c'est long et visqueux. Je comprends enfin ce que c'est. Bordel! Ils vont quand même pas...
Je tente de replier mes jambes mais les lourdes chaînes m'en empêchent.
- Putain, les gars, arrêtez vos conneries. Je suis flic, vous risquez gros à vous en prendre à un représentant des forces de l'ordre.
Loin de les calmer, je ne reçois en retour que moqueries et injures. Je sens des mains me caresser les fesses puis un doigt titiller ma pastille.
Bon sang! Qu'est-ce qu'ils font. Je resserre mon œillet, mais la première phalange finit par passer.
Cette pénétration sauvage m'arrache un cri animal que je regrette aussitôt. Je ne voudrais pas effrayer Jim ou Daniel. S'ils m'entendent gueuler, ils pourraient croire que je craque et sentir leur vie en danger.
Un deuxième doigt entre en moi. Je me mords les lèvres jusqu'au sang. Je ne veux pas leur donner le plaisir de ma souffrance. La douleur est insoutenable dans mon cul. Je me cabre puis retombe lourdement sur le matelas.
- Vous faîtes quoi, hein? Vous faîtes quoi????
Sa réponse me glace le sang.
- Je vais te faire le cul, sale bâtard.
Je revois soudain le monstre qui pendait entre les cuisses du meneur. C'était énorme et bien épais. Putain, non! Ils ne vont pas me violer, tout de même.
Je commence à les supplier. Bien entendu, ils ne m'écoutent pas. Je sens l'un d'eux se redresser et s'agenouiller derrière moi. Je prie pour que ce ne soit pas le chef.
Je sens son truc destructeur se positionner à l'entrée de mes fesses qu'il écartèle. Je devine son gland contre mon anus. Je suis un homme mâture, la fine fleur de l'élite militaire, je dois pouvoir gérer tout ça. Je repense à mes deux collègues prisonniers. Sont-ils dans la même situation que moi? Et comment régissent-ils? J'ai soudain un doute. Jim est novice dans le métier, il n'a pas l'expérience de Daniel ou de moi. Je ne suis pas certain qu'il résiste à un tel traitement de choc, il ne faudrait pas qu'il...
- AARRRGGH !!!
… On vient de me pénétrer. Mon tortionnaire, derrière moi, force comme un malade. Je comprends alors que rien ne peut empêcher une bite d'entrer dans l'orifice qu'elle convoite. Je serre mon trou de toutes mes forces mais mon sphincter perd la partie. Son gland entre inexorablement en moi. Je respire bruyamment. La douleur est indescriptible. Ça irradie dans tout mon corps, je peux sentir chaque espace de mon boyau se remplir au fur et à mesure de sa progression. J'ai l'impression que mon trou du cul est grand ouvert. Que je suis écartelé en deux par une queue chauffée à blanc.
Un second coup de reins me fait crier. Je n'ai pu m'en empêcher. Je crois mon supplice terminé quand mon violeur m'annonce qu'il n'a rentré que la moitié de son gourdin. On dirait que c'est une batte qui vient me fouiller. Ça me brûle tellement que je ne peux retenir mes hurlements.
Il donne un ultime coup de queue en braillant: ''ACAB, ACAB''!!! ( ''All Cops Are Bastards'' ). Je sais que c'est leur cri de guerre, leur signe de ralliement tagué sur les murs de la ville pour terrifier l'adversaire. Même les policiers les plus aguerris de L.A finissent par en avoir peur. Surtout lorsqu'ils patrouillent dans ces quartiers hostiles.
Je sens son ventre frapper violemment contre mes fesses. Tout mon corps est projeté sur le sol. La douleur est atroce. Je sais que je saigne. Il va me tuer avec son mandrin, s'il continue. J'ai la tête relevée, la bouche grande ouverte et mes cris roques emplissent la pièce.
Une main passe sous mon ventre et s'empare de mon sexe.
- Putain, mais c'est qu'il bande, le salaud.
Mon violeur me saisit par les cheveux et tire ma tête en arrière. Il me chuchote à l'oreille.
- Ça te plaît de te faire humilier, hein? T'avais baisé que des femmes jusqu'à présent... Tu vois l'effet que ça fait d'être traité d'enculé par nos frères noirs.
Je gémis de douleur mais aussi de soumission.
- T'es un mec plutôt viril, un bon flic bien macho et pourtant t'aimes te faire enfiler par une grosse queue de black. Regarde comme tu couines de bonheur.
Et la vérité, c'est que je commence à prendre un réel plaisir à me faire pistonner par cette racaille.
- Finalement, tu t'en fous du code. Tout ce qui t'intéresse, c'est soumettre ton cul à toutes ces bites noires. Tu vas plus pouvoir t'en passer, à présent.
Il m'écrase le front contre le matelas.
- Mais t'es pas là pour prendre ton plaisir, je vais réussir à te faire parler, crois-moi. Sache que tu viens juste d'avoir un avant-goût de ce qui t'attend...»
(à suivre...)
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Cette histoire reprend les personnages de la série américaine S.W.A.T. Il s'agit ici des trois acteurs principaux masculins:
Le Sergent-Chef Daniel Harrelson, surnommé '' Hondo''. 45 ans, grand, musclé, de père Portoricain, visage ovale, petit bouc, crâne rasé.
Il est chargé de monter une unité spéciale qualifiée pour résoudre les crimes dans la ville de Los Angeles.
Le Sergent David Kay, surnommé ''Deacon''. 41 ans, grand, musclé, type caucasien, cheveux coupés courts en brosse et barbe poivre-sel, mâchoires carrées, yeux marron foncés.
L'officier de police Jim Street. 24 ans, blond, visage poupon avec deux petites fossettes, yeux bleus. Physique fin mais tonique.
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- PREMIÈRE PARTIE -
Le Sergent-Chef Daniel Harrelson conduisait le fourgon du Trésor Fédéral.
Il jeta un œil dans le rétroviseur, l'air inquiet. La voiture de police chargée de les escorter suivait sagement derrière. Il tenta de se détendre en tambourinant des doigts sur le volant.
Ce n'était pas à proprement parler dans les attributions du SWAT de convoyer 2 millions de $ à travers les rues de Los Angeles, mais les autorités de la ville, après mure réflexion, s'étaient résolues à faire appel à eux. Ils formaient l'unité d'élite de la ville et le maire comptait sur leur professionnalisme pour mener à bien cette périlleuse mission.
La nervosité d'Harrelson reprit le dessus. Ils allaient bientôt traverser Inglewood, situé au sud de la ville. La réputation de ce quartier n'était plus à faire. Trafic de drogues, prostitution, violence de ses gangs, rien ne semblait pouvoir arrêter les délinquants de cette zone.
Il se souvenait avoir monté des opérations ''coup-de-poing'' dans ce secteur. Chaque intervention s'apparentait à une guérilla urbaine. Il avait même perdu un officier de réserve au cours de ces missions.
Il se saisit du talky-walky posé sur le siège passager.
- Allô, Jim, David,... vous m'entendez?!
- Affirmatif. Tout se passe bien à l'intérieur, les billets sont entre de bonnes mains. Mais par contre, on se les caille, ici.
Harrelson sourit malgré lui.
- Ben avec vos uniformes aussi épais qu'un papier à cigarette, ça va pas aider, les gars. Bon, je vais voir si je trouve le bouton de chauffage, peut-être que l'intérieur du fourgon est chauffé.
Il quitta la route du regard quelques secondes, à la recherche d'un hypothétique thermostat. Lorsqu'il reporta les yeux sur l'avenue, il constata que la voiture derrière eux ne suivait plus. Il voulut prévenir ses deux partenaires lorsqu'un énorme poids-lourd déboucha d'une rue parallèle et vint s'encastrer dans la carcasse métallique du fourgon blindé.
La puissance du choc lui fit perdre connaissance.
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( Quelque part dans Inglewood. )
- Alors?!
- Mission accomplie, chef. Ils sont sains et sauf. Enfin,... le conducteur est dans un sale état.
- Et le coffre?
- Nous avons réussi à l'extraire du fourgon. Il est dans le hangar.
- Parfait. Nous pouvons passer à la phase 2 de l'opération ''ALPHA''.
( État des lieux. )
Une pièce vide, sans fenêtres, uniquement éclairée par un néon. le sergent David Kay (41 ans) est allongé sur un matelas, sans connaissance.
Quatre hommes afro-américains pénètrent dans la pièce.
- Nous allons le cuisiner un peu.
- Sauf s'il nous livre le code d'accès au coffre.
- N'y compte pas trop! Regarde ses trois barrettes sur son uniforme, ça veut dire qu'il est dans les SWAT depuis plus de 15 ans. C'est un dur à cuire, je te dis.
Le plus costaud des trois s'approche du sergent et lui passe une fiole sous le nez. Petit à petit, l'officier retrouve ses esprits.
- Allez, réveille-toi. Tu vas pas dormir pendant qu'on te donnera du plaisir.
Alors que les trois autres rigolent, le beau quadragénaire redresse la tête. Mille pensées traversent son esprit. Il revoit le choc, le bruit assourdissant... Il les dévisage attentivement avant de demander.
- Qui êtes-vous?
- Peu importe. Mais tu as quelque chose qui nous intéresse.
- …
- Les huit chiffres du coffre-fort.
Soudain, Kay réalise la gravité de la situation. Il se retrouve prisonnier d'un Gang qui en veut aux 2 millions de $ du Trésor Fédéral.
- Où sont mes collègues? Qu'est-ce que vous avez fait à Daniel et Jim???
- C'est du donnant-donnant. Tu nous livres le code et on te dit où ils sont.
Après un moment d'hésitation.
- Allez vous faire voir, je ne dirai rien.
Quatre bras puissants le saisissent et lui lient les mains derrière le dos.
- Tu vois, tu as bien fait d'amener tes menottes. Tu pensais pas qu'elles serviraient à te ficeler comme un... poulet.
Nouveaux rires dans la pièce. Celui qui semble être le meneur s'approche et laisse ses mains parcourir le torse puissant du policier. Le T-shirt de Kay est moulant, il met bien en valeur ses pectoraux musclés ou pointent deux petits tétons. Il est fier de son physique. Surtout pour un gars de 41 ans.
Le chef du Gang passe ensuite ses gosses paluches noires sous le vêtement et s'attarde sur les abdominaux qu'il caresse avec gourmandise. Il les délaisse pour prendre possession des deux tétines perdues dans une forêt de poils drus.
- Humm! Comme je les aime.
L'officier de police a un mouvement de recul.
- N'aie crainte, tu vas adorer.
Son visage sombre est tout proche de Kay. Ce dernier est assis sur le matelas, le dos appuyé contre le mur... et les mains solidement attachées.
Il serre les dents mais ne dit rien lorsque le truand commence à lui pincer les seins. Il sent un léger picotement l'envahir là où les doigts s'attardent. L'autre main caresse sa barbe poivre-sel, remonte jusqu'aux lèvres pour en dessiner le contour. Puis elle redescend jusqu'à la gorge qu'elle agrippe pour enfin serrer le plus fort possible.
Le sergent ne peut retenir un cri de douleur, alors que ses yeux se ferment. Il vient de sentir comme une piqûre dans le bras gauche. Son corps est lourd, tout à coup. Les mots s'entrechoquent dans sa tête, résonnent comme un écho, alors qu'il lutte pour rester conscient.
- Tu vas adorer, je suis sûr, tu vas adorer. Tu vas ad...
Et soudain,... le néant.
Quand il se réveille, Il est couché sur le dos, bras et jambes solidement attachés par de grosses chaînes rouillées. Plusieurs mains s'attardent sur son anatomie. Il constate qu'il est toujours revêtu de son uniforme de combat.
Il essaie de ne pas réagir. Avoir une main qui effleure sa braguette n'est pas commun, surtout celle d'un homme. Lui, l'hétéro marié, n'est pas préparé à ce genre de situation. Personne n'a poussé sa formation militaire aussi loin. Il craint de perdre pied.
- Écoutez, on peut parler...
- Ah! Enfin tu te décides. Alors, ce code?
- Je ne le connais pas, je le jure sur la tête de mes gosses. Je l'ignore.
- C'est faux. Arrête de nous prendre pour des billes. En cas de coup dur, vous devez pouvoir sauver le butin. Par conséquent, vous DEVEZ connaître la combinaison des huit chiffres.
Devant le mutisme du sergent, le chef des trois homme lève la main.
- Couteau!
L'un des voyous lui donne un long cran-d'arrêt qu'il ouvre d'une simple pression. Une lame fine et pointue jaillit. Kay la voit scintiller dans la semi-obscurité. Il comprend dés lors que les choses sérieuses vont commencer.
- Maintenant, ne bouge pas, (lui compressant sa queue à travers le pantalon). À moins que tu ne préfères passer d'étalon reproducteur à cheval hongre?!
À nouveau, la pièce s'emplit de rires bruyants.
Le sergent ne connaît pas grand chose aux chevaux mais il a entendu parler de tous ces équidés castrés comme l'âne, le mulet, le bardot... (non, ce n'est pas celle à qui vous pensez! )
Il retient son souffle quand l'afro-américain entreprend de découper son pantalon d'uniforme. La fine toile ne résiste pas à la lame aiguisée. Il tranche près du sexe et il se fige en sentant le métal frais sur ses testicules. Il tente de cacher sa panique lorsque le couteau remonte jusqu'au gland.
Son agresseur libère enfin une queue de belle facture, même au repos. De grosses veines bleues parcourent la hampe jusqu'au champignon qui commence à mouiller. Il recueille un peu de liquide sur la pointe de la lame. Le froid de l'acier fait frissonner le policier d'élite.
L'homme de couleur noire saisit son regard de terreur et pour toute réponse lui crache au visage. La première salve vient s'écraser sur les cheveux argentés, coupés courts en brosse. La salive s'écoule ensuite sur son front, sa bouche, sa barbe...
- Non, je ne vais pas te tuer, mais après ce que tu vas subir, tu souhaiteras mourir, crois-moi.
David Kay N'a pas peur de la mort. Il compte plus de 18 ans de métier dans les forces spéciales. Il est considéré comme un soldat d'élite. L'un des plus sûrs. On les a entraînés aux situations les plus extrêmes. Aussi, il est à la fois curieux et anxieux de savoir comment ils vont s'y prendre pour lui faire cracher le morceau.
Un des trois acolytes lui présente une pilule verte.
- Avale!!!
Il refuse, mais des mains puissantes lui pincent le nez, l'obligeant à ouvrir la bouche pour respirer. Ils lui bloquent la mâchoire et font glisser le cachet dans le gosier.
- Qu'est-ce-que c'est??? Putain, c'est quoi cette merde?
- Tu vas bientôt le savoir.
Le sergent Kay sent une douce chaleur envahir son corps. Il est parcouru de spasmes puissants qui le projettent vers le haut. Comme une décharge électrique qui traverserait toute son enveloppe charnelle.
- Hurrgggh.
Il s'entend gémir, puis les soubresauts diminuent jusqu'à ce que son corps retombe sur le matelas.
Une main chaude vient harponner sa queue.
- Humm! Elle est bien dure. T'es un chaud, toi. D'habitude, il faut demi-heure pour que ça agisse.
- Oh... Arggghh!!!
- Tu vois, est-ce que c'est pas mieux maintenant?
Le sergent hoche la tête. Bon sang, qu'est-ce qu'ils lui ont donné pour qu'il bande comme ça. Il soupire malgré lui sous les caresses de son bourreau. Il tente de se concentrer mais son esprit ne suit pas. Tout son corps se réchauffe alors que de nouvelles mains agrippent ses tétons, perdus dans une forêt de poils noirs, et les pincent méchamment.
À nouveau, son bassin décolle du matelas. Il se mord les lèvres pour ne pas crier. Un orgasme dévastateur gronde dans son ventre.
- Ouai... T'aimes ça, en fait. Regarde comme tu bandes.
Il active sa masturbation tout en griffant ses abdominaux.
- T'en veux plus?
Le policier ferme les yeux. Il transpire à grosses gouttes et tente de lutter contre ce désir pervers qui peu à peu prend possession de tout son être. Il doit puiser dans des réserves insoupçonnées pour rester concentrer sur sa mission.
« Je ne me soumettrai pas, je ne me soumettrai pas, je ne...»
Il tente de trouver un moyen pour s'en sortir. Il doit exister une solution... Ce n'est pas possible autrement...
Soudain, la voix du malfrat est proche de lui. Son souffle chaud le ramène à la réalité.
- Allez, donne moi le code, je te jure qu'après on te laisse tranquille.
- Non, non,...
Ses hanches accompagnent chaque mouvement de poignet. Ils sont violents, rapides et agissent comme un fourreau dans lequel son membre coulisse. Chaque pression lui arrache un gémissement de bien être tant la sensation est délicieuse.
Soudain, les gestes cessent. Le poignet s'immobilise si bien qu'il finit par se branler lui-même dans cette main inerte.
- Non...Je,... Oh, non, pitié...continue. T'arrête pas...
- Putain, mais t'es une vraie chienne.
La bouche du jeune caïd effleure son cou puis remonte jusqu'à la commissure des lèvres.
- Allez, sergent, donne-moi ces huit chiffres.
L'homme de loi serre les dents. Il ne veut pas parler. Il doit préserver Jim et Daniel. Il connaît trop bien les conséquences d'un tel acte si jamais il cède. Ils finiront la gorge tranchée ou pire encore, utilisés comme esclaves sexuels dans les bas-fonds de la ville.
Non, il doit résister...
- OK! Le chef se redresse et déboutonne son jeans. Tu l'auras voulu.
Le Sergent Davis Kay, membre des forces du redoutable S.W.A.T, a juste le temps d'apercevoir un sexe d'une longueur incroyable pendre entre les jambes noires et velues de son tortionnaire.
Une nouvelle piqûre dans le bras gauche lui fait perdre connaissance.
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- DEUXIÈME PARTIE -
[ RAPPORT du Sergent II David ''Deacon'' Kay : october, 11th, 2021 ]
(Document classé TOP SECRET par le département de la défense américaine)
« … Quand j'ai repris connaissance, j'étais allongé sur le ventre, complètement nu. Les jambes et les bras écartelés par de grosses chaînes...
Des genoux sont plaqués contre mes omoplates, m'empêchant de bouger. Une main s'aventure entre mes fesses dénudées. Je tente d'esquiver, en vain.
… J'entends une voix derrière moi me dire qu'il adore les culs de mecs poilus. Surtout les culs d'hétéros. Je sens un truc dur contre ma cuisse. Je me demande ce que c'est. Je commence à paniquer, mais je ne le montre pas. Face contre terre, je serre les dents, attendant la suite avec anxiété.
Soudain, le truc dur frappe l'intérieur de ma cuisse. C'est chaud, c'est long et visqueux. Je comprends enfin ce que c'est. Bordel! Ils vont quand même pas...
Je tente de replier mes jambes mais les lourdes chaînes m'en empêchent.
- Putain, les gars, arrêtez vos conneries. Je suis flic, vous risquez gros à vous en prendre à un représentant des forces de l'ordre.
Loin de les calmer, je ne reçois en retour que moqueries et injures. Je sens des mains me caresser les fesses puis un doigt titiller ma pastille.
Bon sang! Qu'est-ce qu'ils font. Je resserre mon œillet, mais la première phalange finit par passer.
Cette pénétration sauvage m'arrache un cri animal que je regrette aussitôt. Je ne voudrais pas effrayer Jim ou Daniel. S'ils m'entendent gueuler, ils pourraient croire que je craque et sentir leur vie en danger.
Un deuxième doigt entre en moi. Je me mords les lèvres jusqu'au sang. Je ne veux pas leur donner le plaisir de ma souffrance. La douleur est insoutenable dans mon cul. Je me cabre puis retombe lourdement sur le matelas.
- Vous faîtes quoi, hein? Vous faîtes quoi????
Sa réponse me glace le sang.
- Je vais te faire le cul, sale bâtard.
Je revois soudain le monstre qui pendait entre les cuisses du meneur. C'était énorme et bien épais. Putain, non! Ils ne vont pas me violer, tout de même.
Je commence à les supplier. Bien entendu, ils ne m'écoutent pas. Je sens l'un d'eux se redresser et s'agenouiller derrière moi. Je prie pour que ce ne soit pas le chef.
Je sens son truc destructeur se positionner à l'entrée de mes fesses qu'il écartèle. Je devine son gland contre mon anus. Je suis un homme mâture, la fine fleur de l'élite militaire, je dois pouvoir gérer tout ça. Je repense à mes deux collègues prisonniers. Sont-ils dans la même situation que moi? Et comment régissent-ils? J'ai soudain un doute. Jim est novice dans le métier, il n'a pas l'expérience de Daniel ou de moi. Je ne suis pas certain qu'il résiste à un tel traitement de choc, il ne faudrait pas qu'il...
- AARRRGGH !!!
… On vient de me pénétrer. Mon tortionnaire, derrière moi, force comme un malade. Je comprends alors que rien ne peut empêcher une bite d'entrer dans l'orifice qu'elle convoite. Je serre mon trou de toutes mes forces mais mon sphincter perd la partie. Son gland entre inexorablement en moi. Je respire bruyamment. La douleur est indescriptible. Ça irradie dans tout mon corps, je peux sentir chaque espace de mon boyau se remplir au fur et à mesure de sa progression. J'ai l'impression que mon trou du cul est grand ouvert. Que je suis écartelé en deux par une queue chauffée à blanc.
Un second coup de reins me fait crier. Je n'ai pu m'en empêcher. Je crois mon supplice terminé quand mon violeur m'annonce qu'il n'a rentré que la moitié de son gourdin. On dirait que c'est une batte qui vient me fouiller. Ça me brûle tellement que je ne peux retenir mes hurlements.
Il donne un ultime coup de queue en braillant: ''ACAB, ACAB''!!! ( ''All Cops Are Bastards'' ). Je sais que c'est leur cri de guerre, leur signe de ralliement tagué sur les murs de la ville pour terrifier l'adversaire. Même les policiers les plus aguerris de L.A finissent par en avoir peur. Surtout lorsqu'ils patrouillent dans ces quartiers hostiles.
Je sens son ventre frapper violemment contre mes fesses. Tout mon corps est projeté sur le sol. La douleur est atroce. Je sais que je saigne. Il va me tuer avec son mandrin, s'il continue. J'ai la tête relevée, la bouche grande ouverte et mes cris roques emplissent la pièce.
Une main passe sous mon ventre et s'empare de mon sexe.
- Putain, mais c'est qu'il bande, le salaud.
Mon violeur me saisit par les cheveux et tire ma tête en arrière. Il me chuchote à l'oreille.
- Ça te plaît de te faire humilier, hein? T'avais baisé que des femmes jusqu'à présent... Tu vois l'effet que ça fait d'être traité d'enculé par nos frères noirs.
Je gémis de douleur mais aussi de soumission.
- T'es un mec plutôt viril, un bon flic bien macho et pourtant t'aimes te faire enfiler par une grosse queue de black. Regarde comme tu couines de bonheur.
Et la vérité, c'est que je commence à prendre un réel plaisir à me faire pistonner par cette racaille.
- Finalement, tu t'en fous du code. Tout ce qui t'intéresse, c'est soumettre ton cul à toutes ces bites noires. Tu vas plus pouvoir t'en passer, à présent.
Il m'écrase le front contre le matelas.
- Mais t'es pas là pour prendre ton plaisir, je vais réussir à te faire parler, crois-moi. Sache que tu viens juste d'avoir un avant-goût de ce qui t'attend...»
(à suivre...)
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