S.W.A.T.X : Opération ALPHA (11)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (11)
S.W.A.T : Opération ALPHA
CHAPITRE 11
La cassette 27 réservait son lot de surprises.
Le Commandant en chef, Robert Hicks ne perdit pas de temps. Il enclencha le bouton ''PLAY'' et s'assit confortablement dans son fauteuil de cuir noir. Il avait exigé de n'être dérangé sous aucun prétexte.
« … Je l'avoue, à aucun moment je n'ai pensé me rebeller. Même quand ils ont pris ma matraque et qu'ils me l'ont introduite dans... enfin,... je,... Vous comprenez ce que je veux dire.
Miss Lindow n'insista pas. Pour elle, ce point n'était pas le plus important alors qu'il en allait tout autrement pour le haut-gradé.
''Bordel, vous auriez du insister pour qu'il précise ce qui s'était réellement passé, fulmina Hicks. Il nous faut des aveux complets pour pouvoir boucler cette affaire.''
Il poursuivit le déroulé de la séance.
« … J'ai été poussé sur la table, me retrouvant sur les genoux, la tête penché sur son... sexe. Puis, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je vous jure qu'à ce moment-là, il y avait de la luxure dans son regard. Comme un animal en rut. Heureusement qu'il était attaché, sinon...
Un silence s'ensuivit.
… Ensuite, trois de mes agresseurs m'ont maintenu de force au dessus de son bas-ventre. Ils m'ont forcé à respirer un produit dans une fiole...
''Du popers!'' pensa le Commandant.
… C'était puissant parce que ma volonté s'est volatilisée. J'ai ouvert la bouche et je l'ai... sucé. Mais je vous jure que c'était la première fois et que je ne savais pas ce que je faisais.
Nouvelle pause.
… Ils m'ont drogué, vous comprenez!
Miss Lindow sut trouver les mots appropriés afin de calmer son patient. Celui-ci reprit une respiration plus régulière avant de poursuivre.
… Mais, ce n'est pas tout. Ils m'ont forcé à ... J'ai dû...
Et là, un flot ininterrompu de paroles résonnèrent dans le bureau de Hicks. Des révélations complètes, un témoignage accablant contre le Sergent Harrelson.
… Ils m'ont redressé et positionné au bord de la table, puis ils m'ont saisi les jambes pour que je le chevauche. Ils m'ont poussé contre son visage. Ce con riait bêtement, je sentais son souffle chaud contre mon front et sa barbe grisonnante qui me piquait la joue. Il a ouvert la bouche et sorti la langue pour que je l'embrasse, mais j'ai tourné la tête. Bordel, ce type me dégoûtait. Et dire que c'était mon supérieur.
… Positionné comme je l'étais, je pouvais sentir son pénis dur comme la pierre dans le bas de mon dos. On a fini par me redresser, et sans douceur, mes trois tortionnaires m'ont obligé à regarder sa verge dressée. Je n'y avais jamais prêté attention, même si une fois dans la bouche, je me doutais bien qu'il était monté comme un cheval.
… Ils m'ont forcé à la regarder. Putain, je me souviens que sa bite était parfaitement droite, brune, avec un gros gland. Son dard était d'ailleurs beaucoup plus volumineux que sa tige. C'est ça qui m'avait déformé le palais pendant que je le...
Un sanglot dans la voix interrompit sa phrase. Miss Lindow lui proposa un mouchoir qu'il refusa.
… Je me rappelle que ce salaud était complètement rasé, avec deux grosses boules bien lisses et ramassées sur elles-mêmes. Je crois qu'on m'a forcé à les prendre en main, et sans m'en rendre compte, je me suis penché en avant pour les... gober.
Nouveau silence gênant.
… Mais, je vous jure que je n'avais plus toute ma tête. La drogue agissait comme un anesthésiant qui me laissait sans volonté. J'ai fait des choses que je regrette, mais je ne suis pas homosexuel, vous comprenez! C'est pas comme l'autre connard de chicano (La mère d'Harrelson est portoricaine) qui a pris son pied à m'humilier devant les autres.
Miss Lindow, coupa court, recentrant le débat sur le sujet essentiel. Street se calma avant de poursuivre.
… Ils n'ont pas voulu que je le suce une nouvelle fois. Non, ces enfoirés avaient d'autres projets pour moi. Enfin, surtout pour mon cul.
Hicks nota qu'à mesure qu'avançait sa confession, je jeune Officier du S.W.A.T prenait de plus en plus d'assurance, employant volontiers des termes de langage très crus.
… On m'a tiré par le bras, tout en me ramenant vers lui. J'ai compris que je devais m'asseoir entre ses cuisses. J'ai alors nettement senti son manche sous moi. Il n'avait pas débandé. Au contraire, j'ai eu l'impression qu'il avait encore grossi.
… Après, leur chef m'a mis deux pinces sur les tétons et une décharge électrique m'a parcouru le corps, m'arrachant un cris de douleur et d'excitation. Pendant ce temps, deux grosses mains sont descendues le long de mon dos et ont agrippé mes fesses qu'elles ont pétri sans ménagement.
… Puis, un doigt s'est aventuré à l'intérieur de ma raie. C'était humiliant mais je n'avais pas la force de résister. Ils se sont même foutus de moi quand l'un deux a dit que j'étais aussi mouillé qu'une chatte. Ensuite, c'est devenu un peu flou. Je me souviens juste qu'un deuxième doigt a trituré mon œillet avant de l'enfoncer dans mon fondement sans scrupule. C'était moins épais que ma matraque mais l'effet de surprise m'a fait défaillir.
… C'est en me faisant sniffer leur putain de fiole que je suis revenu à moi. Ces sauvages n'avaient pas chaumé. Je me retrouvais avec trois doigts enfoncés jusqu'à la dernière phalange. '' un rituel initiatique'' qu'ils m'ont dit. Tu parles...
… Quand ils ont retiré leurs doigts, j'ai cru que mon supplice prenait fin. Au lieu de quoi, ils m'ont soulevé et, d'un geste ferme, m'ont positionné sur le pénis de cet enculé en appuyant sur mes épaules pour me faire glisser sur toute sa longueur... J'ai senti son gourdin coulisser en moi jusqu'aux couilles.
… Ils m'ont attrapé les hanches et ont commencé à me faire rebondir sur son pieu avec force. J'étais comme un pantin désarticulé. Pendant mon viol, je le voyais, lui. Il était aux anges, les yeux mi-clos, la bouche ouverte d'où sortaient des râles de contentement. Bordel, je vous dis qu'il faisait partie de la bande, j'en suis sûr, sinon comment vous expliquez qu'il ait pris autant de plaisir.
On entendait nettement dans la bande-son que l'Officier Street luttait pour ne pas laisser éclater sa colère. Décidément, il en voulait beaucoup à ''Hondo''. (Le surnom du Sergent Harrelson)
… À un moment, ils ont cessé de me maintenir et c'est lui, malgré le fait qu'il soit attaché, qui a imprimé un rythme effréné en soulevant son bassin. Son énorme tige m'a pilonné comme si j'étais une vulgaire poupée gonflable. Il n'avait qu'une idée en tête, jouir dans mon cul. D'ailleurs quand il m'a saisi par les hanches...
Hicks stoppa l'enregistrement puis revint en arrière. Quelque chose clochait. Quand il reprit le cours de la conversation, il resta figé sur place.
Miss Lindow s'étonnait à juste titre que le Sergent Harrelson ait pu jouir librement de l'usage de ses mains alors qu'il était censé se trouver enchaîné sur la table.
… Qu'est-ce que j'en sais, moi! Peut-être qu'ils ont fini par le libérer, toujours est-il qu'il m'a fermement agrippé par les hanches et s'est déchaîné sur moi. Il m'a littéralement massacré.
… Mais dès que je le revois, JE LE BUTE. »
Ainsi s'achevait la cassette 27.
(à suivre...)
CHAPITRE 11
La cassette 27 réservait son lot de surprises.
Le Commandant en chef, Robert Hicks ne perdit pas de temps. Il enclencha le bouton ''PLAY'' et s'assit confortablement dans son fauteuil de cuir noir. Il avait exigé de n'être dérangé sous aucun prétexte.
« … Je l'avoue, à aucun moment je n'ai pensé me rebeller. Même quand ils ont pris ma matraque et qu'ils me l'ont introduite dans... enfin,... je,... Vous comprenez ce que je veux dire.
Miss Lindow n'insista pas. Pour elle, ce point n'était pas le plus important alors qu'il en allait tout autrement pour le haut-gradé.
''Bordel, vous auriez du insister pour qu'il précise ce qui s'était réellement passé, fulmina Hicks. Il nous faut des aveux complets pour pouvoir boucler cette affaire.''
Il poursuivit le déroulé de la séance.
« … J'ai été poussé sur la table, me retrouvant sur les genoux, la tête penché sur son... sexe. Puis, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je vous jure qu'à ce moment-là, il y avait de la luxure dans son regard. Comme un animal en rut. Heureusement qu'il était attaché, sinon...
Un silence s'ensuivit.
… Ensuite, trois de mes agresseurs m'ont maintenu de force au dessus de son bas-ventre. Ils m'ont forcé à respirer un produit dans une fiole...
''Du popers!'' pensa le Commandant.
… C'était puissant parce que ma volonté s'est volatilisée. J'ai ouvert la bouche et je l'ai... sucé. Mais je vous jure que c'était la première fois et que je ne savais pas ce que je faisais.
Nouvelle pause.
… Ils m'ont drogué, vous comprenez!
Miss Lindow sut trouver les mots appropriés afin de calmer son patient. Celui-ci reprit une respiration plus régulière avant de poursuivre.
… Mais, ce n'est pas tout. Ils m'ont forcé à ... J'ai dû...
Et là, un flot ininterrompu de paroles résonnèrent dans le bureau de Hicks. Des révélations complètes, un témoignage accablant contre le Sergent Harrelson.
… Ils m'ont redressé et positionné au bord de la table, puis ils m'ont saisi les jambes pour que je le chevauche. Ils m'ont poussé contre son visage. Ce con riait bêtement, je sentais son souffle chaud contre mon front et sa barbe grisonnante qui me piquait la joue. Il a ouvert la bouche et sorti la langue pour que je l'embrasse, mais j'ai tourné la tête. Bordel, ce type me dégoûtait. Et dire que c'était mon supérieur.
… Positionné comme je l'étais, je pouvais sentir son pénis dur comme la pierre dans le bas de mon dos. On a fini par me redresser, et sans douceur, mes trois tortionnaires m'ont obligé à regarder sa verge dressée. Je n'y avais jamais prêté attention, même si une fois dans la bouche, je me doutais bien qu'il était monté comme un cheval.
… Ils m'ont forcé à la regarder. Putain, je me souviens que sa bite était parfaitement droite, brune, avec un gros gland. Son dard était d'ailleurs beaucoup plus volumineux que sa tige. C'est ça qui m'avait déformé le palais pendant que je le...
Un sanglot dans la voix interrompit sa phrase. Miss Lindow lui proposa un mouchoir qu'il refusa.
… Je me rappelle que ce salaud était complètement rasé, avec deux grosses boules bien lisses et ramassées sur elles-mêmes. Je crois qu'on m'a forcé à les prendre en main, et sans m'en rendre compte, je me suis penché en avant pour les... gober.
Nouveau silence gênant.
… Mais, je vous jure que je n'avais plus toute ma tête. La drogue agissait comme un anesthésiant qui me laissait sans volonté. J'ai fait des choses que je regrette, mais je ne suis pas homosexuel, vous comprenez! C'est pas comme l'autre connard de chicano (La mère d'Harrelson est portoricaine) qui a pris son pied à m'humilier devant les autres.
Miss Lindow, coupa court, recentrant le débat sur le sujet essentiel. Street se calma avant de poursuivre.
… Ils n'ont pas voulu que je le suce une nouvelle fois. Non, ces enfoirés avaient d'autres projets pour moi. Enfin, surtout pour mon cul.
Hicks nota qu'à mesure qu'avançait sa confession, je jeune Officier du S.W.A.T prenait de plus en plus d'assurance, employant volontiers des termes de langage très crus.
… On m'a tiré par le bras, tout en me ramenant vers lui. J'ai compris que je devais m'asseoir entre ses cuisses. J'ai alors nettement senti son manche sous moi. Il n'avait pas débandé. Au contraire, j'ai eu l'impression qu'il avait encore grossi.
… Après, leur chef m'a mis deux pinces sur les tétons et une décharge électrique m'a parcouru le corps, m'arrachant un cris de douleur et d'excitation. Pendant ce temps, deux grosses mains sont descendues le long de mon dos et ont agrippé mes fesses qu'elles ont pétri sans ménagement.
… Puis, un doigt s'est aventuré à l'intérieur de ma raie. C'était humiliant mais je n'avais pas la force de résister. Ils se sont même foutus de moi quand l'un deux a dit que j'étais aussi mouillé qu'une chatte. Ensuite, c'est devenu un peu flou. Je me souviens juste qu'un deuxième doigt a trituré mon œillet avant de l'enfoncer dans mon fondement sans scrupule. C'était moins épais que ma matraque mais l'effet de surprise m'a fait défaillir.
… C'est en me faisant sniffer leur putain de fiole que je suis revenu à moi. Ces sauvages n'avaient pas chaumé. Je me retrouvais avec trois doigts enfoncés jusqu'à la dernière phalange. '' un rituel initiatique'' qu'ils m'ont dit. Tu parles...
… Quand ils ont retiré leurs doigts, j'ai cru que mon supplice prenait fin. Au lieu de quoi, ils m'ont soulevé et, d'un geste ferme, m'ont positionné sur le pénis de cet enculé en appuyant sur mes épaules pour me faire glisser sur toute sa longueur... J'ai senti son gourdin coulisser en moi jusqu'aux couilles.
… Ils m'ont attrapé les hanches et ont commencé à me faire rebondir sur son pieu avec force. J'étais comme un pantin désarticulé. Pendant mon viol, je le voyais, lui. Il était aux anges, les yeux mi-clos, la bouche ouverte d'où sortaient des râles de contentement. Bordel, je vous dis qu'il faisait partie de la bande, j'en suis sûr, sinon comment vous expliquez qu'il ait pris autant de plaisir.
On entendait nettement dans la bande-son que l'Officier Street luttait pour ne pas laisser éclater sa colère. Décidément, il en voulait beaucoup à ''Hondo''. (Le surnom du Sergent Harrelson)
… À un moment, ils ont cessé de me maintenir et c'est lui, malgré le fait qu'il soit attaché, qui a imprimé un rythme effréné en soulevant son bassin. Son énorme tige m'a pilonné comme si j'étais une vulgaire poupée gonflable. Il n'avait qu'une idée en tête, jouir dans mon cul. D'ailleurs quand il m'a saisi par les hanches...
Hicks stoppa l'enregistrement puis revint en arrière. Quelque chose clochait. Quand il reprit le cours de la conversation, il resta figé sur place.
Miss Lindow s'étonnait à juste titre que le Sergent Harrelson ait pu jouir librement de l'usage de ses mains alors qu'il était censé se trouver enchaîné sur la table.
… Qu'est-ce que j'en sais, moi! Peut-être qu'ils ont fini par le libérer, toujours est-il qu'il m'a fermement agrippé par les hanches et s'est déchaîné sur moi. Il m'a littéralement massacré.
… Mais dès que je le revois, JE LE BUTE. »
Ainsi s'achevait la cassette 27.
(à suivre...)
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