S.W.A.T.X : Opération ALPHA (2)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : S.W.A.T.X : Opération ALPHA  (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (2)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 2/12)


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Dans ce chapitre, sont présents:
Le Commandant Robert ''Bob'' Hicks, soixante-trois ans, grand, mince, visage allongé, yeux bleus, mâchoires volontaires et calvitie naissante. Il occupe le poste d'officier supérieur du Bureau des opérations spéciales du département de police de Los Angeles.


Le Sergent David Kay, surnommé ''Deacon''. 41 ans, grand, musclé, type caucasien, cheveux coupés courts en brosse et barbe poivre-sel, mâchoires carrées, yeux marron foncés. Marié à Annie Jening, ils ont quatre enfants.
Il est dans les forces spéciales depuis dix-huit ans. Il a été enlevé avec le Sergent Dan Harrelson et le cadet Jim Street au cours d'une mission. Il a subi des sévices sexuels qu'il raconte à son supérieur hiérarchique, le Commandant Robert Hicks.


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PARTIE II (suite)

''RAPPORT du Sergent David Kay.''

Le Commandant Robert Hicks regarda le Sergent resté prudemment debout. Ils étaient enfermés dans son bureau et il venait d'écouter la première partie de son compte-rendu sans broncher.

Cependant, en tant que responsable du département de la police de Los Angeles, il se devait d'éclaircir certains points.

- Avant de poursuivre, je voudrais comprendre quelque chose, Sergent Kay. Vous dites que malgré les violences sexuelles dont vous avez été victime, vous... enfin, vous avez eu une érection. C'est bien cela?

Le Sergent Kay secoua sa grande carcasse. Le rouge lui monta aux joues. Il tapota nerveusement son arme de service.

- Je... Je ne sais pas ce qui m'a pris. Peut-être une réaction d'auto-défense.

- Je vois...

- Mais surtout, Commandant, ne croyez pas que j'ai viré de bord. J'aime Annie, ma femme, et je suis père de quatre enfants, ne l'oubliez pas. Franchement… (il respira profondément avant de poursuivre), remettre en cause mon orientation sexuelle n'aurait aucun sens.

- Sergent Kay, j'ai besoin d'avoir une confiance absolue en mes hommes. Vous découvrir bisexuel n'est pas une tare en soi. Cependant, je dois être mis au courant. Vous comprenez?

- Absolument.

- Poursuivez votre rapport, je vous prie.

- … Je me souviens de cette impression affreuse que j'avais. Le visage déformé par la douleur tant j'avais mal.

Marquant un temps d'arrêt, il se racla la gorge puis enchaîna.

- … Je le revois me chevaucher de toute sa force virile. Il s'enfonçait brutalement en moi, me claquait les fesses pour m'humilier devant ses potes. Il savait que se farcir un flic le mettrait sur un piédestal. Il serait encore plus respecté dans le quartier. D'ailleurs, pour marquer le coup, Je ne serais guère surpris qu'ils aient filmé leurs ébats sexuels.

- Dans ce cas, il faut vite mettre la main sur cette vidéo.

Kay regarda le Commandant d'un air suspicieux. Bordel, il voulait en faire quoi ce cet enregistrement???

- Pour détruire toute preuve compromettante, poursuivit son supérieur comme s'il avait saisi les doutes du Sergent.

Il lui fit signe de poursuivre.

- ... Entre les mains de mon bourreau, je n'étais plus un représentant des forces de l'ordre, tout juste un captif bon à humilier. Je me souviens avoir crié lorsqu'il commença à me pénétrer. Je sentais chaque centimètre de son sexe coulisser en moi. Il me perforait avec son gland énorme.

Il s'interrompit un instant et respira profondément pour se donner meilleure contenance.

- ... C'était horrible ce qu'ils m'infligeaient. Je n'osais imaginer comment réagiraient Dan et Jim s'ils subissaient la même chose...

Le commandant Robert Hicks se garda bien d'émettre un avis. Il savait trop bien ce qu'il était advenu des deux autres agents.

- Concentrez-vous sur ce qui s'est réellement passé et tentez de faire abstraction de vos peurs du moment.

- Je vais essayer.

… Je hurlais de plus en plus fort. Ainsi, j'avais le fol espoir que mon violeur arrête, mais il n'en fit rien. Au contraire, il replongea d'un coup sec. Il me lacérait comme un animal, me broyait les entrailles. Il restait plusieurs minutes immobile, savourant sa victoire. Je le sentais dans mon corps, il était en moi comme la banderille enfoncée dans le dos du taureau. J'étais dévasté par la honte et pourtant mon bas-ventre me lançait, écrasé contre le matelas. Je crois bien qu'à cet instant, je...

- Vous ressentiez du plaisir à vous faire violenter?

- ... Je ne dirais pas cela, mon Commandant, mais c'est comme si mon sexe ne m'obéissait plus. Je me sentais soudain sa chose avec son pieu enfoncé en moi. Je me soumettais à sa loi.

Il marqua un temps d'arrêt.

- … Je sais, je ne devrais pas parler ainsi, je suis un soldat, j'ai connu des situations bien plus coriaces, mais là...

Le Sergent David Kay, caressa sa barbe poivre-sel. Il semblait ailleurs, tout à coup. Les souvenirs affluaient, de plus en plus précis. Ses yeux s'humectaient de larmes et son pantalon militaire bleu-marine commençait à se tendre.

Bon sang! Ça n'allait pas recommencer...

- Puis-je m'asseoir, mon Commandant?

- Faites.

Une fois assis, il remit un peu d'ordre dans sa tenue. Il croisa les jambes pour dissimuler la bosse involontaire qui pointait au niveau du bas-ventre.

- Où en étais-je?

- Aux sensations que vous éprouviez à vous faire, disons,... pénétrer.

- ... C'est cela. Je sentais mon sexe grossir. Pourtant, ce n'était pas du plaisir que je ressentais, je peux vous l'affirmer. Ce salaud me pilonnait depuis un bon quart d'heure, déjà. J'avais cessé de lutter. Je subissais passivement.

- … Et puis, j'ai senti qu'il accélérait. Il respirait de plus en plus fort. J'ai su plus tard qu'il avait pris du plaisir à me posséder. Il s'est retiré après avoir joui en moi. C'est idiot à dire, mais j'étais à la fois soulagé et frustré que ça s'arrête...

Le commandant ôta ses lunettes de vue et fixa longuement son subordonné.

- Je vois, finit-il par dire. Je vais vous recommander à un spécialiste.


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PARTIE III


Le soir même, le Sergent David Kay eut un sommeil agité. Il tournait, retournait dans son lit, tordait les draps tout en prononçant une litanie de mots incompréhensibles.

« Arrgghh,... urrgghhh,... Oui, encore,... plus fort, ourrgghh... »
Il se revoyait allongé sur ce matelas miteux, les pieds et les mains écartelées. Son cul offert aux quatre voyous. Il tortillait des fesses tout en haletant de désir.

À côté de lui, Annie sa femme, dormait paisiblement.

Il bavait des litres de salive sur l'oreiller et en demandait toujours plus. Dans son délire, il exigeait d'être baisé par les quatre caïds en même temps. Aussitôt, deux glands énormes pressaient contre sa bouche. Il écartait les mâchoires le plus possible pour enfourner les deux sexes. On lui appuyait sur la nuque pour qu'il les avale en entier. Petit à petit, ils relâchaient la pression afin qu'il puisse reprendre son souffle. Il commençait à lécher et sucer le membre de ses agresseurs tout en prenant soin de ne pas y porter les dents.

Il s'appliquait du mieux qu'il pouvait malgré son manque d'expérience. Il augmentait le rythme de sa pipe si bien qu'il sentait le plaisir des deux complices grimper rapidement. Il les entendait souffler et gémir de plus en plus fort et il était fier de leur procurer autant de bonheur.

Dans son rêve, le meneur lui tirait les cheveux pour le forcer à le regarder dans les yeux. Il l'humiliait en lui balançant une flopée de mots obscènes.

« Putain, on aime la bite dans la police. T'es une vraie pute de flic avec une bonne bouche de suceuse. Et tu sais ce que font les pipeuses de ton espèce, elles avalent bien sagement...»
On lui maintenait la tête de force, la bouche remplie par deux grosses queues noires. Le Sergent râlait dans son sommeil, il savait parfaitement ce qu'il avait à faire. Il aspirait les deux dards qui finissaient par rendre grâce et explosaient dans sa gorge avec force. Un bouillonnement de jus crémeux qu'il avalait avec délectation...

Pendant ce temps, les deux autres malfrats s'activaient sur ses fesses. Ils crachaient dans son anus avant d'enfoncer leur chibre de concert. Cette double pénétration, loin de lui arracher un cri de douleur, le faisait râler de plaisir et il soulevait ses hanches le plus loin possible pour une meilleure position.

Ils entamaient alors des va-et-vient timides dans ce conduit étroit, plus par souci de synchronisation que pour le confort de leur prisonnier. Ensuite, leurs coups de reins devenaient violents. Ils s'enfonçaient jusqu'à la garde en le traitant d'enculé et leur excitation grandissait à mesure que le quadra grisonnant soufflait contre le matelas. Ils pilonnaient en règle ce cul vierge, ce trou d'hétéro qui découvrait la queue. Ils forçaient la violence de leurs coups et la profondeur de leur pilonnage si bien que le fier militaire sentait son conduit inondé par une vingtaine de giclées bien chaude et bien grasse. Un torrent de foutre qui n'en finissait plus, qui le remplissait, le brûlait, débordait de ses fesses et ruisselait à l'intérieur des cuisses jusqu'aux couilles...

Il n'en pouvait plus de bander comme un jeune puceau. Il hurlait qu'il en voulait toujours plus. Il se débattait pour se libérer de ses chaînes. Il implorait qu'on le prenne à nouveau, qu'on le soumette à toutes ces queues de blacks. Il ouvrait la bouche et sortait la langue dans l'espoir d'être entendu mais eux se contentaient de le secouer. À tour de bras...

Des bras insistants qui l'agitaient dans tous les sens...

- Chéri, réveille-toi. Qu'est-ce qui t'arrive, tu n'arrêtes pas de crier.

C'est Annie qui lui agrippait les épaules et le remuait pour l'obliger à ouvrir les yeux.

- Je... Je crois que j'ai fait un cauchemar.

Il porta machinalement la main sous les draps. Il bandait comme un âne. Un liquide chaud et visqueux mouillait les poils drus de ses abdominaux.

''Merde, j'ai joui.''

( à suivre...)

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