S.W.A.T.X : Opération ALPHA (5)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
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Auteur homme.
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Récit libertin : S.W.A.T.X : Opération ALPHA  (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (5)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 5/12)


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Dans ce chapitre, est présent:
L'officier de police Jim Street. 24 ans, blond, visage poupon avec deux petites fossettes, yeux bleus. Physique fin mais tonique.
Il a grandi dans un foyer après que son père, alcoolique et violent ait été tué par sa mère. Il garde en lui une colère qu'il a du mal parfois à canaliser. Le Sergent Daniel ''Hondo'' Harrelson, apprenant son passé, l'a pris en affection et a soutenu sa candidature pour cette mission.
Il a terminé sa formation militaire et vient d'être intégré dans les rangs du S.W.A.T. Il effectue sa première opération d'envergure.



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JOURNÉE DU 22 JUIN 2021


Souvenirs de l'Officier James ''Jim'' Street

… Le choc avait été rude. Il se souvenait de la rapidité avec laquelle tout cela s'était produit. Deacon (le Sergent David Kay) et lui, avaient voltigé comme des plumes dans l'habitacle sécurisé du fourgon. Sa tête avait heurté le coffre-fort métallique, le laissant inconscient. Tout juste croyait-il avoir perçu des voix masculines dans le lointain avant de sombrer dans le néant.

Une forte odeur de souffre le ramena à la réalité. Il inclina la tête puis ouvrit les yeux. Le spectacle qui s'offrait à lui était digne d'un polard de Jon Bassoff.


Il se trouvait dans une pièce sombre et humide, complètement nu, son uniforme du S.W.A.T soigneusement plié sur une chaise. De grosses chaînes rouillées le maintenaient prisonnier. Il se tenait debout, plaqué contre une grande roue en bois, jambes et bras écartés au maximum de leur possibilité.

James Street essaya de tirer sur ses liens. Un rictus de douleur lui apprit que sa démarche serait vaine. Il tentait de se remémorer le fil des événements lorsque trois individus surgirent par une porte dérobée située derrière son dos.

- Ah! Voilà notre deuxième homme revenu à lui. (lui bandant les yeux sans qu'il n'ai eu le temps de découvrir leur visage) Nous allons enfin pouvoir commencer.

Au fort accent des bidonvilles du sud de la ville, James comprit qu'il avait affaire à la pègre des quartiers sensibles de Compton ou d'Inglewood. Il écouta avec attention la prise de parole d'un deuxième complice.

- Nous te demandons simplement de nous révéler le code d'ouverture du coffre-fort. Si tu coopères, il ne t'arrivera rien à toi et aux deux autres.

James s'inquiéta soudain pour ses deux partenaires.

- Où sont les Sergents Harrelson et Kay? Qu'avez-vous fait d'eux?

Des rires à peine étouffés vinrent ponctuer la fin de sa requête.

- Le code d'abord.

- Vous savez ce qu'il encourt de s'en prendre aux forces de l'ordre.

- Le code!

- Va au diable. Je ne dirai rien.

L'un des trois acolytes lui caressa les fesses dénudées.

- Parfait. Nous avons des moyens très... approfondis pour convaincre les récalcitrants de ton espèce.

James Street se raidit en imaginant ce qui pourrait arriver. Allaient-ils le cuisiner jusqu'à ce qu'il craque ou même pratiquer la torture?!... Il était dans le S.W.A.T depuis six mois et tous savaient qu'il manquait encore d'expérience. Des trois, il ne faisait aucun doute qu'il était le maillon faible. Après l'arrestation de sa mère pour le meurtre de son père alcoolique et violent, Buck (un ancien responsable du département de police de Los Angeles) l'avait pris sous son aile et engagé sans passer par la formation réglementaire.

Il reconnaissait avoir fait preuve d'amateurisme au tout début. L'équipe lui reprochait son imprudence et son impulsivité pendant les interventions. Aussi, la surprise s'était lue sur son visage lorsqu'il avait été choisi pour cette mission du Trésor Américain. Transporter deux millions de $ à travers les zones les moins sûres du pays l'avait rempli de fierté. Lui, le garçon battu, humilié devant ses camarades d'école, orphelin à l'âge de 12 ans, se retrouvait l'égal des ''Hondo'' et des ''Deacon'', ses héros de toujours.

Cette marque de confiance lui redonna un surplus de courage. Il chercha à détendre ses muscles le plus possible. Il se doutait, malgré son bandeau sur les yeux, que les autres l'observaient. Sa nudité le gênait un peu, même s'il n'avait jamais eu honte de son corps. Ses multiples conquêtes féminines le complimentaient souvent sur sa plastique. Il était particulièrement fier de sa musculature ferme et mobile, de ses cuisses nerveuses qui moulaient bien le pantalon d'uniforme et de sa fine pilosité sur ses pectoraux gonflés.

Il sentit soudain un doigt glisser entre ses fesses.

- Humm! Je parie que ce cul n'a encore jamais servi.

- Pour sûr, ça va être sa fête, renchérit un autre.

Son tortionnaire lui tritura l'œillet sans ménagement. De son autre main, il alla chercher son paquet entre les jambes et ramena la bite et les couilles vers l'arrière. Il tira si fort que James ne put s'empêcher de crier.

Un silence glacial s'ensuivit, puis un premier coup de fouet zébra le haut de son dos, suivi d'un deuxième et d'un troisième qui ciblèrent plus précisément ses fesses rebondies.

Le jeune Officier serra les dents. Il subit son supplice héroïquement. Ses pensées allèrent à Hondo et à Deacon qui devaient sans doute endurer le même châtiment. Il importait de tenir bon. Il le fallait, coûte que coûte. La réussite de leur mission en dépendait. Il se mordit les lèvres jusqu'au sang au quatrième coup de lanière.

Il ne serait pas dit que ce serait lui qui les trahirait...

La roue se mit à craquer. Il sentit qu'il prenait de la hauteur, toujours écartelé à la verticale. Soudain, une forme dure, longue et arrondie à son extrémité remplaça le doigt dans son anus.

« Un plug! » pensa l'Officier. Il connaissait parfaitement cet objet pour l'utiliser assez souvent lors de ses ébats amoureux. Il aimait s'en servir en pénétration simultanée, se demandant à chaque fois ce que ses maîtresses pouvaient bien ressentir avec un sexe fiché dans chaque orifice.

Comme si son persécuteur avait lu dans ses pensées, il lui souffla dans le creux de l'oreille.

- Détends-toi, tu vas adorer...

L'un des trois protagonistes graissa le phallus de petite taille puis l'enfonça dans le cul vierge, y mettant toute sa force. Le beau militaire défendit sa virginité anale avec force car il avait maintenant bien saisi que c'était par le viol qu'on comptait le faire capituler.

À force de patience, l'objet finit par se caler tout au fond de son boyau. la résistance de l'Officier fut mise à rude épreuve, surtout lorsque l'un des gardiens entreprit de le faire coulisser. La douleur lui arracha un hurlement, mais très vite James comprit que c'était le but qu'ils recherchaient. Faire comprendre que l'un des trois prisonniers craquait pour amener les deux autres à coopérer.

Puis, un nouveau sexe en caoutchouc plus gros et plus long fut présenté à l'entrée de ses fesses. On le lui enfonça d'un coup sec. Le jeune Cadet se mit à pleurer doucement sous l'attaque, mais finit par prendre le gode dans toute sa longueur.

- Putain les mecs, regardez cette bonne salope. Elle a le cul bien ouvert.

- Ouai, une belle carrière de pute l'attend.

- Sauf si elle nous révèle le code.

Un nouveau phallus, énorme celui-là, s'immisça jusqu'à l'entrée de sa rondelle. Il était taillé en forme de pointe si bien qu'il n'eut aucune difficulté à forcer le premier barrage, d'autant que le cul du malheureux policier avait bien été dilaté.

Après une demi-heure de travail intense, les parois s'ouvrirent au maximum. James voguait au rythme des va-et-vient, partiellement inconscient. Parfois, son cul réagissait malgré lui lorsqu'on ressortait la bite géante. Il se cambrait loin derrière pour la retenir.

Ça faisait marrer les trois racailles d'Inglewood.

Ensuite, ce fut le calme plat. James revint peu à peu à lui. Il crut son calvaire terminé lorsque deux, puis trois doigts remplacèrent le gode. Les lèvres gonflées du cul cédèrent assez facilement. Une pression ferme permirent aux deux derniers doigts de se frayer à leur tour un chemin à l'intérieur du conduit anal. Le poignet finit par passer, accompagné de hurlements de frayeur plus que de douleur car la main n'était pas très grosse. James essaya de serrer ses sphincters sans parvenir à reprendre le contrôle de son cul.

Après un court répit, les doigts s'agitèrent à l'intérieur, massant la prostate du militaire qui grogna bien malgré lui, donnant l'impression d'y prendre un certain plaisir.

La main se retira mais une autre plus massive prit le relais.

- Coriace le jeunot. Bon, fini la plaisanterie. Cette fois, soit tu craches le morceau soit tu porteras des couches toute ta vie.

Devant le silence obstiné de son prisonnier, il mit sa menace à exécution. Il plaça d'abord trois doigts dans l'axe des fesses, pénétra un peu pour élargir, puis poussa d'un coup bref. La douleur fit beugler à nouveau le jeune Officier. Il savait que cette fois, ça se jouerait à quitte ou double. Il avait cru mourir lorsque la main l'avait pénétré, mais à sa grande surprise, il avait bien encaissé le coup. Par contre, là, il s'agissait d'une paluche énorme, une pogne de géant.

Il respira un grand coup et chercha à se détendre. Les doigts commencèrent leur travail de sape, défonçant méthodiquement ce cul pourtant bien ouvert.

- Non, non... Arrêtez, c'est trop gros...

- Ta gueule, sale flicaille. Fallait réfléchir avant. Maintenant, c'est trop tard.

La main s'engouffra inexorablement, comme au ralenti. James semblait bien cassé. Il râlait à chaque poussée mais n'offrait guère de résistance. Lorsque le poignet progressa à l'intérieur, le policier tenta un dernier effort pour se déprendre, mais rien n'y fit. Résigné, le cul du militaire semblait ne plus réagir beaucoup...

Mais quand les doigts se déployèrent dans sa cavité, menaçant de faire éclater la fine membrane, il supplia et demanda grâce.

- Pitié, pitié, ça fait trop mal...

- Ferme-là.

- Ooohhh, non, arrêtez, je vous dirai tout, arrêtez...



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Quelques instants plus tard, les trois caïds rappliquèrent dans la pièce où se tenait le Sergent David Kay, la tête appuyée sur les genoux de l'un de ses bourreaux.

- Quoi de neuf, demanda ce dernier, tout en caressant la chevelure argenté du haut gradé.

- Le jeune vient d'avouer.


( à suivre...)

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