S.W.A.T.X : Opération ALPHA (6)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : S.W.A.T.X : Opération ALPHA  (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (6)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 6/12)


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Dans ce chapitre, sont présents:
Le Sergent-Chef Daniel Harrelson, surnommé '' Hondo''. Un latino de quarante-cinq ans ans, de père portoricain. Il est grand, musclé et particulièrement bien entraîné pour les missions les plus périlleuses. Il s'est façonné un look de guerrier avec un visage dur, sans expression, complété d'un petit bouc sombre et un crâne complètement rasé.
Il est chargé de monter une unité spéciale qualifiée pour résoudre les crimes dans la ville de Los Angeles.

Le chef du Gang d'Ingelwood. Un afro-américain d'une soixantaine d'année, visage rond, barbe grisonnante et cheveux crépus. Il est plutôt imposant avec ses cent dix kilos et ses tatouages sur tout le corps.


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… Je le regarde reprendre lentement conscience, mais il n'ouvre pas les yeux. Pas encore.
Son cerveau est tout chamboulé par le choc reçu lors du carambolage. Il ne bouge pas et respire lentement.
Je le contemple presque émerveillé. Je serai toujours en admiration devant les capacités infinies de l'être humain à résister face à la mort.

C'est impressionnant comme cet homme est résistant, fort physiquement et pur à l'intérieur. Si je n'étais pas dans son cerveau, je serais bien incapable de l'affirmer.

- Il est temps de vous réveiller, Sergent-Chef Daniel Harrelson.

Ses yeux s'ouvrent et me regardent fixement.

… Je suis toujours dans son corps, donc je peux ressentir toutes les émotions contradictoires qui le traversent.

Il se trouve allongé sur une grande table circulaire, complètement nu. Ses pieds et ses poings sont solidement maintenus par des sangles de cuir. Il essaie de se délier tout en cherchant à savoir ce qui lui est arrivé.

- Que me voulez-vous?

Je reste là, sans répondre.

- Je vous ai posé une question, dit-il de cette voix grave d'ordinaire si intimidante. Il sait qu'il se trouve en mauvaise posture et tente de reprendre le contrôle.

- Ne vous fatiguez pas, Sergent Harrelson, je contrôle toutes vos pensées, grâce aux électrodes placées sur chacune de vos tempes. Et oui, même dans les bas-fonds de LA, on peut se payer la dernière technologie haut de gamme, pourvu qu'on y mette le prix. Et justement, je dois encore 2 millions de $ pour cette petite merveille.

Me penchant jusqu'à son oreille comme si nous étions intimes.

- Vous ne disposeriez pas par hasard de cette somme?

Sa réponse est définitive.

- Non!

- Dans ce cas, j'aurais une proposition à vous soumettre. Vous me donnez gentiment les huit chiffres du code d'accès au coffre-fort, et je vous laisse repartir vous et vos hommes.

- Qui vous dit que je les connais?

- Le jeune Cadet de votre équipe, l'Officier James Street a fini par passer à table (désignant le meuble sur lequel est allongé Harrelson), vous aussi d'ailleurs.

- Et que diable a-t-il bien pu vous dire?

- Que vous étiez le seul à connaître les huit chiffres. Vous détenez la combinaison gagnante, mon cher. Manque plus qu'à valider.

- Ne vous gênez surtout pas puisque vous pouvez lire dans mes pensées.

C'est à cette réplique, marquée au coin du bon sens, que l'on reconnaît un homme vif d'esprit. Et le sergent du S.W.A.T ne manque pas de suite dans les idées. Sous ses dehors de brute épaisse, il est ce type d'individu qu'il ne faut surtout pas mésestimer.

- Belle déduction, Sergent. Malheureusement, cette machine ne prend pas en compte les chiffres. Ni les couleurs d'ailleurs, mais ce dernier point reste anecdotique au vu de l'affaire qui nous occupe.

- Inutile d'insister, je ne dirai rien.

- Alors, je vais devoir employer la manière forte.

Il se retourna et saisit une seringue qu'il présenta à l'avant-bras d'Harrelson.

- Mais d'ici là, faites de beaux rêves. »

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Au réveil, je sais que je suis drogué.

Mon rythme cardiaque est hors de contrôle, ma respiration trop rapide... Je me sens comme groggy. J'ai la bouche pâteuse et j'entends une faible sonnerie au loin.

J'ouvre les yeux. Je suis à peine surpris de me retrouver attaché sur une table, dépouillé de mes vêtements. Des serrures d'acier à chaque extrémité de mes membres m'empêchent de bouger. On dirait qu'il y a d'autres gens dans la salle et un bruit sourd qui se rapproche. Comme un objet lourd qu'on racle sur le sol.

- Posez le coffre contre le mur.

La mémoire me revient. Je conduisais le camion blindé de l'US Army et tout se passait bien jusqu'à cet accident stupide...

- Comment vous sentez-vous, me demande une voix toute proche.

- Drogué.

Je le vois me sourire poliment. Un visage ovale et noir, avec des cheveux crépus et un nez énorme. Deux petits yeux inquisiteurs et une rangée de dents blanches qui ne me rassurent guère. Une boule se forme dans mon estomac, je m'inquiète soudain pour Deacon et Jim.

- Vos deux collègues vont bien, je vous l'assure.

Je le vois se rapprocher un peu plus.

- Je suppose que vous ne désirez toujours pas coopérer?

Mon silence acte mon refus.

- Parfait!... Alors, nous procéderons autrement.

- Vous allez me torturer, c'est ça?

Un frisson d'inquiétude parcourt ma colonne vertébrale, mais je prends sur moi pour ne rien faire paraître.

- Nullement. Vous finirez tôt ou tard par me donner les huit chiffres sans que moi où l'un de mes hommes ne vous touchent.

- Qu'avez-vous fait de mes hommes?

- Ils vont bien, je vous l'ai dit. D'ailleurs, il vous suffit de tourner la tête.

J'incline le regard vers la gauche. Ma stupéfaction n'a d'égal que la colère qui s'empare de tout mon être lorsque je découvre Kay à moitié dénudé, son pantalon d'uniforme sur les chevilles et courbé en deux en train de sucer une grosse queue noire. Il bave de désir autour de cette énorme colonne de chair qui lui pilonne la bouche pendant qu'un jeune afro se tient derrière lui, bite en main, prêt à l'embrocher.

Je détourne les yeux, complètement détruit par la scène que je viens de voir.

- Pourquoi ne pas regarder le viril Sergent David Kay, père de quatre enfants, prendre un maximum de plaisir tout en se se faisant défoncer comme la dernière des catins.

- Bordel, que lui avez-vous fait?

- Rien d'autre que de l'amener à découvrir sa vraie nature. Celle d'une chienne soumise au service de ses nouveaux Maîtres. Sous ses dehors d'hétéro macho, votre militaire n'a pas mis longtemps à se laisser dominer. Il m'obéit au doigt et à l'œil. En voulez-vous une preuve?

Je le vois s'éloigner et venir caresser la chevelure poivre-sel de Deacon. Ce dernier abandonne la queue qu'il suçait goulûment pour venir laper la main qui le flatte.

- Bon toutou. Brave bête, c'est bien. Allez, retourne ronger ton os et n'oublie pas de bien saliver autour.

Kay lèche une dernière fois les doigts de son nouveau Maître avant d 'enfourner avec gourmandise les 23 cm de saucisse noire qui se présentent à lui.

Mon tortionnaire me fait signe de tourner la tête vers la droite. Après un certain temps d'hésitation, je me résous à obéir. Je vois alors Jim en guère meilleure posture. Il est couché sur un matelas crasseux, les jambes relevées jusqu'aux épaules, le cul bien offert et un double gode enfoncé jusqu'à la garde.

- Tendez l'oreille, Sergent Harrelson. Il semblerait que le jeune Officier James Street ne soit pas insensible au traitement auquel il est soumis.

Effectivement, les gémissements poussés par mon binôme s'apparentent plus à des couinements de plaisir qu'à des cris de douleur.

Désignant le double plug qui coulisse bien profond dans son fondement.

- Nous avons doublé sa récompense après les précieuses révélations qu'il a bien voulu nous faire.

Je lui fais face, le regard noir, la voix emplie de colère.

- Arrêtez ça tout de suite!

Un sourire se dessine sur ses lèvres.

- Bordel, arrêtez tout ça. Je ne vous dirai rien.

Nouveau sourire. Je poursuis dans le but de l'intimider.

- Nous faisons partie de la Police de Los Angeles, ne l'oubliez pas, et vous risquez la chaise électrique s'il arrive quoi que ce soit à l'un d'entre nous. VOUS ENTENDEZ?!

Je sens soudain une piqûre au niveau du bras droit.

- Il est temps de vous reposer, Sergent. Nous reprendrons notre discussion un peu plus tard.

( à suivre...)

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