La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 399)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 399) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 399)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°391 -

Monsieur le Marquis d’Evans vient de laisser le quatuor formé des deux Dominants Sir RightHand et Master Gé accompagnés de leurs soumises respectives FrenchPussy et Gémienne, en pleine séance d’épilation pubienne à la pince à épiler, qui a été imposée à titre de punition à celle qui avait cru pouvoir s’exonérer d’un rendez-vous chez l’esthéticienne profitant de l’absence du Maître en déplacement à l’étranger. Le Châtelain repense à ce qui vient de se passer un peu étonné cependant de constater la réaction de la soumise FrenchPussy qui avait l’air de ne pas apprécier et supporter les épilations intégrales, que ce soit par pur plaisir féminin de sentir sa peau douce au toucher, débarrassée de tous les poils superflus et devenue plus sensible et sensuelle, ou même par simple plaisir de soumission par obéissance et respect des exigences du Dominant, qu’une soumise digne de ce nom souhaite avant tout satisfaire en tous points. Mais il ne Lui appartient pas vraiment, se dit-IL après tout, de connaître et de juger de toutes les réactions et motivations de celles qui ne sont pas sous Son Joug, mais sous celui d’un autre Dominant, qui a d’ailleurs su trouver une punition très adaptée qui a fait son petit effet. Le but recherché étant de lui faire comprendre à quel point Sir RightHand appréciait de trouver une féminité glabre sous ses caresses charnelles et combien il tenait en premier à ce que ses ordres soient respectés en sa présence, tout comme en son absence, parce qu’une relation D/s est avant tout basée sur la confiance et la soumission volontaire.

Le Noble en s’éloignant, regarde ses deux amis et la soumise écartelée sur le fauteuil gynécologique aux mains de ses deux esclaves N°6 MDE & N°18 MDE devenues « épilatrices » pour la soirée. IL pense à toutes Ses chiennes-soumises MDE dont IL exige d’elles lorsqu’IL décide de les accepter à Ses pieds qu’elles soient en permanence propres et nettes, débarrassée de leurs fourrures intimes. IL sait que tous les Maîtres n’ont pas la même exigence mais on ne discute pas des gouts et des couleurs de chacun, Hommes et Femmes vanille ayant également des approches différentes sur le sujet, parfois conditionnés par la société et les effets de mode, parfois pour des raisons plus charnelles, sensuelles ou esthétiques. Les uns, ou les unes également, préférant les toisons fournies naturelles, ou plus ou moins proprement taillées, tandis que certaines se préfèrent vis-à-vis de leur partenaire glabre comme au premier jour de leur naissance, n’ayant aucune appréhension et ressentant bien peu la douleur ou la gêne lors des séances d’épilation. IL lui revient en mémoire une anecdote qui s’était passée au château quelques temps auparavant (lire l’histoire de Mary au Château), lorsque Hervé, l’époux de soumise Mary MDE, accueilli à son tour dans la Noble demeure et découvrant que sa femme était devenue la soumise du Marquis d’Evans avait été plus que surpris et sûrement déçu en son for intérieur et blessé dans son égo d’apprendre que cette dernière s’était un jour épilée intégralement sur la demande expresse du Dominant dont elle était devenue l’esclave, alors même qu’il avait naïvement pu croire que c’était vis-à-vis de lui qu’elle avait consentie à ce geste.

Le Marquis d’Evans émerge de ses pensées pour reprendre le tour de Ses Invités et s’approche de celui qu’IL reconnaît même de dos, à sa tenue particulière qu’il arbore régulièrement dans les soirées D/s. MagisterDU porte une redingote trois-quarts cintrée à l’arrière, resserrée par un long laçage dans le bas du dos, qui est un mélange entre les vêtements gothiques actuels et certaines tenues du grand siècle lorsque les Marquis portaient perruques et plumes. Le devant de la veste en velours est constitué de dentelles noires qui surplombent une chemise toute noire à jabots. Dépassant des deux manches très évasées de la redingote qui sont fermées par des boutons de manchettes en or représentant des soumises agenouillées, les poignets de la chemise, constitués de froufrous de dentelle noire également, recouvrent en partie les deux paumes et dessus de la main. Pour compléter son costume, le Dominant porte un chapeau de feutre en tricornes et une canne droite sur laquelle il s’appuie pour se donner une allure encore plus flatteuse, qui serait presque jugée pompeuse en d’autres lieux vanille, mais qui en ce donjon D/s pour cette soirée festive ajoute à sa prestance de Maître. La redingote semble faire une bosse vers l’arrière, mais de loin le Châtelain habitué aux tenues si particulières de Son cher ami n’y prête pas plus que cela attention et IL s’approche afin de le saluer.

A ses pieds, toute menue et frêle se tient sa soumise, agenouillée et prosternée, la croupe très relevée à la verticale et le dos cambré à l’extrême. Elle a le visage face contre terre et les bras tendus posés devant elle avec les paumes de mains à plat sur le légendaire parquet ancien de chêne qui autrefois avait été foulé par le Marquis de Sade en personne. Chaque fois qu’elle a le malheur de bouger d’un millimètre, le pied de MagisterDU vient se poser sur ses épaules ou le creux de ses reins pour la forcer à reprendre la position imposée, quand ce n’est pas sur la tête même qu’il appuie obligeant sa soumise à carrément embrasser le sol, lui permettant à peine de respirer tant elle a le nez écrasé. Ses fesses sont déjà rouges presque cramoisies, signe que le début de la soirée orgiaque a dû être pour elle très cinglant et que de multiples instruments D/s ont du faire venir le sang à fleur de peau sur le haut de son dos, ses cuisses et tout son postérieur. Sur les fesses et l’arrière des cuisses, se démarquent de fines rayures horizontales plus foncées, presque régulières, car MagisterDU est un vrai adepte du cannage qu’il apprécie autant que sa soumise masochiste. Le Dominant étant de dos n’a pas vu arriver le Châtelain qui le salue très amicalement.

- Très Cher Ami, votre soirée se passe-t-elle à votre gré et trouvez-vous ici de quoi satisfaire tous les plaisirs D/s dont vous auriez pu rêver ?
- Monsieur le Marquis d’Evans, pardonnez-moi, je ne Vous avais pas aperçu… Oui merci, très cher, très belle soirée ! Votre soirée est merveilleuse avec tous les raffinements habituels dont Vous seul savez autant régaler Vos amis. Cela fait plaisir de revoir tant d’habitués de notre communauté, mais surtout de pouvoir se livrer sans retenue aux plaisirs D/s et à la débauche, sans souci du monde extérieur qui ne comprendrait pas nos passions intimes et même la noirceur de certains de nos fantasmes, si ce n’est qu’ici nous pouvons les partager et les vivre avec perversité et volupté, sans pudeur pudibonde.
- Vous avez le mot juste, Cher MagisterDu. C’est d’ailleurs ce qui me motive à organiser des soirées festives et orgiaques pour mes ami(e)s intimes, pour leur permettre de vivre pleinement, avec leurs dominé(e)s à leurs pieds, leur passions de Domination pour les Un(e)s et de soumission pour les autres, passions complémentaires qui les ont souvent rapprochés dans de saines relations D/s excitantes et palpitantes pour les deux.
- Je regardais avec intérêt la belle statue que voilà tandis que Votre esclave N°22 MDE est fourrée sous les basques de ma redingote pour me lécher l’anus, car la soirée avançant, j’ai besoin de petits remontants pour me redonner un peu de vitalité. Je ne Vous cache pas que c’est un petit plaisir anal dont je suis particulièrement friand de sentir leur langue de chienne se tendre pour tenter de forcer l’étroite corolle de mon anatomie la plus intime. Il m’arrive parfois de permettre à ma soumise de glisser le bout d’un doigt délicatement pour la sentir me masser de l’intérieur la prostate et de se promener dans mon étroit petit trou qui n’a jamais été forcé, car le Dominant que je suis ne s’abaisserait jamais à se laisser sodomiser, d’autant plus que je ne suis guère portée sur l’homosexualité, même si je pense que d’autres peuvent y trouver de quoi assouvir leurs désirs actifs ou passifs. Je laisse aux femelles bonnes à se faire enculer les plaisirs d’une vraie intromission anale lorsque leur conduit étroit et chaud se dilate pour se remplir amplement de notre belle queue de Mâle phallique pénétrant et possédant.
- De loin, je n’avais pas compris pourquoi votre redingote avait cette forme « ventrue » sur l’arrière, mais tout s’explique maintenant malgré la pénombre qui règne dans ce lieu avec les éclairages indirects. La langue de ma chienne-esclave N°22 MDE qui est entre vos cuisses vous donne-t-elle toute satisfaction ? Vous savez à quel point je tiens à ce que Mes invités puissent trouver en Ma demeure tout le plaisir qu’ils souhaitent et que pour se faire, mes esclaves fassent honneur au Maître Vénéré que Je suis et au savant dressage qu’ils et elles ont reçus ici même dans le Château de mes Nobles ancêtres.
- Soyez rassuré, Monsieur le Marquis, celle qui me lèche le cul à l’instant même m’a donné toute satisfaction depuis le début de la soirée. Et si ma queue reste encore pendante et molle malgré cet annulingus de rêve, c’est d’avoir trop baisé et vidé tout ce que mes couilles pouvait contenir de succulent. Mais je ne doute pas que ce n’est que passager, car la nuitée n’est pas encore terminée. Votre statue de licorne me fascine, un merveilleux objet sculpté en bois dans la masse et une corne phallique fièrement dressée sur la tête que je regardais presque avec jalousie, car même si je me considère comme un mâle gâté par la nature et bien membré, mon phallus, et ceux des autres tout autant y compris ceux des acteurs porno célèbres, n’arrivent pas à la cheville des longues cornes pointues de ces animaux fabuleux. C’est à se demander si dans les temps anciens les licornes n’ont pas vraiment existé, tant elles étaient déjà présentes dans les légendes bien avant les représentations que l’on peut en trouver dans le bestiaire médiéval, en particulier la merveilleuse tapisserie de la Dame à la Licorne dont l’érotisme symbolique n’est pas à nier. .…. (puis reprenant sur le ton de la plaisanterie avec un petit sourire au coin des lèvres) …. A Votre avis, Monsieur le Marquis, croyez-vous que les licornes faisaient l’amour en se servant de leur queue ou de leur corne ?
- Très cher ami, Je ne saurais vous répondre. J’ai acquis cette pièce magnifique en cadeau par une de mes amies qui avait amassé au fil des années une collection impressionnante de ces splendides bêtes à cornes phalliques qui devait dépasser les 2000 pièces dont certaines vraiment très rares et précieuses. L’idée m’est venue très vite de la faire transformer en véritable objet de plaisir, tant la corne torsadée me semblait attirante et excitante, bien qu’effectivement démesurée. Ce n’est donc pas une simple statue décorative mais bel et bien un appareil conçu pour des plaisirs pénétrants, à manipuler avec quelques précautions cependant, car il n’est pas question que la corne deviennent l’un de ses pals du moyen-âge, piques sur lesquelles on embrochait les condamnés à mort qui se voyaient forcés par l’anus mais dont le pieu suivant la longueur traversaient organes et entrailles pour ressortir par le ventre ou parfois même par la gorge. Ici, en ce lieu, pas question de torture barbare, mais des plaisirs D/s sécurisés car en tant que Dominant nous sommes avant tout responsables de ceux qui sont entre nos mains et suffisamment consciencieux pour ne pas mettre leur vie et leur santé en péril…

MagisterDU pose sa canne sur celle qui est à ses pieds immobile et silencieuse pour ajouter le geste à la parole

- « darkchose », redresse-toi légèrement pour baiser les pieds de l’Hôte de très grande renommée qui me reçoit et dont c’est l’anniversaire, qui, s’il n’est pas le « Divin Marquis », n’est est pas moins Divin et Marquis de surcroît. Et tâche de ne pas baver dessus Ses chaussures de marque pour ne pas risquer de les salir car je pense que tu dois avoir encore la bouche et les lèvres souillées de ma succulente semence.

La frêle soumise s’incline à nouveau, n’ayant pas eu l’audace de lever la tête, mais ayant aperçu les chaussures en cuir noir lustrées de neuf de celui qui se tient aux côtés du Dominant auquel elle appartient. Elle s’approche délicatement et dans un geste plus symbolique que réel, n’osant pas toucher Le Noble Maître des Lieux dépose sur chaque chaussure un baiser qui affleure à peine du bout des lèvres. Et elle se remet immédiatement en position de prosternation aux pieds de MagisterDU qui lui tape alors sur la raie des fesses du pommeau de la canne. Laquelle canne de connotation très érotique est faite dans un bois de rose qui a été creusé tout du long pour que l’on puisse y glisser une vraie canne anglaise souple et fine très adaptées pour des jeux D/s. L’écrin précieux est décoré par une chainette incrustée qui serpente en volutes multiples enlacées tout du long et permet de renforcer sa fragilité de bois creux et d’en renforcer l’aspect hautement symbolique surtout avec la référence à la rose qui mêle la douceur de son parfum et la douleur de ses épines. La canne se termine par un pommeau en bois massif lisse qui a une forme phallique ce qui permet de l’utiliser aisément comme un gode à long manche. Le système d’ouverture se fait par le bas de l’écrin de bois de rose duquel on peut sortir l’instrument D/s que MagisterDU affectionne et qu’il manie à la perfection, pouvant même dessiner sur le corps de sa soumise les marques dont il est friand et dont elle est si fière également.

- darchose, debout, tout de suite ! Je n’aime pas avoir à t’attendre !

La soumise se redresse, se tenant droite mais ayant gardé la tête baissée en signe d’humilité et de respect face aux deux Dominants qui la toisent. Monsieur le Marquis d’Evans détaille le corps de la soumise qui porte un corset qui s’arrête au nombril et qui part de dessous la poitrine lui faisant encore plus redresser les seins. Il se termine en bas par une large ceinture de cuir renforcée d’un cercle de métal qui enserre et creuse la taille si menue de la soumise chétive qui semble n’avoir que la peau sur les os. Le corset fait de cuir noir et de métal d’un acier très foncé se termine par deux arceaux métalliques qui enserrent et servent de bondage permanent pour les deux petits seins pointus de darkchose. Sa poitrine est également rougie intensément, signe que les plaisirs cinglants ne se sont pas limités au côté pile. Elle est annelée au niveau des deux mamelons qui sont percés de deux gros anneaux de métal qui les traversent juste à la base des tétons. Ces deux anneaux sont reliés à deux autres identiques qui lui percent les grandes lèvres vaginales, tandis qu’un troisième perce carrément le capuchon de son clitoris. Ses cuisses portent sur le devant tout comme à l’arrière de fines zébrures foncées régulières qui lui strient la peau dans plusieurs sens, lui faisant presque comme des bas-résille « naturels ».

Comme atours, elle porte autour des poignets de larges bracelets de cuir bordés de dentelle noire et fermés par un gros cadenas chacun. Son collier de soumise est également en cuir bordé de la même dentelle qui vient jusque sous le menton et tombe en corolle sur sa gorge, avec au centre un très gros anneau en O. La soumise porte deux grands écarteurs d’oreille qui lui percent les deux lobes. Elle a aussi un piercing traversant sur la langue, un plus petit sur la paroi nasale interne et deux autres sur chaque paupière dans lesquels ont été insérés de petits anneaux noirs. Le Châtelain regarde MagisterDU et sa darkchose avec une part de curiosité, n’étant pas spécialement attiré par cet aspect des choses, mais suffisamment tolérant pour accepter que d’autres aient des envies, des goûts, des fantasmes qu’IL ne partage pas. Il est manifeste que cette relation D/s particulière s’inscrit dans un contexte de fascination pour le gothique en vogue chez bon nombre de jeunes mais beaucoup moins assumée lorsque les crises rebelles de l’adolescence sont terminées. Mais là, visiblement, tous les deux, Dominant et dominée, se sont bien trouvés pour partager à deux la part d’ombre qui les habite, ayant même été jusqu’à se choisir de « noirs » pseudos, puisque « DU » n’est autre que la traduction de « noir » en breton ou en gallois.

- Monsieur le Marquis d’Evans, voici ma chose, ma darkchose, je devrais dire, qui a désiré me servir et m’aimer pour vivre et partager nos passions communes. Elle n’a pas l’allure de Vos belles chiennes-esclaves toutes sublimes peintes en doré pour la soirée et qui sont là pour illuminer et faire scintiller Votre Dominance, mais c’est ainsi en noir si « dark » que je l’aime ma chose à moi et que j’aime autant qu’elle la faire vibrer sous mon Joug sévère et la faire souffrir à en jouir.
- Cher Ami MagisterDU, je vois bien là votre empreinte que je connais bien maintenant. Mais je sais aussi combien votre soumise apprécie tout à fait d’être devenue votre darkchose, votre soumise gothique, même si elle a toujours cette allure tristement nostalgique de ces personnes qui intériorisent les plaisirs masochistes qui sont les leurs, et aussi son corps si fluet et un teint naturel presque blafard qui la caractérisent et tranche avec les rougeurs de sa peau savamment marquée par vos soins.
- Très Cher Marquis, revenons-en à Votre belle licorne que j’admirais lorsque Vous Vous êtes approché. Je me demande si mon esprit ne vagabondait pas déjà dans quelques fantasmes extrêmes, imaginant ma chose empalée sur cette corne phallique, que je trouvais sublime à contempler.

MagisterDU attrape le menton de sa soumise pour lui relever la tête.

- Regarde, ma darkchose, il y a dans ce château des objets de collection de très grande valeur et que tu ne verras nulle part ailleurs. Ne trouves-tu pas que cette licorne est tentante et qu’elle pourrait t’enculer encore plus profondément que je ne le fais, puisqu’il paraît qu’elle a été transformée pour être utilisée à des fins sodomites ?...

(A suivre …)

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