Clytia avilie et Hélène aux bains grecs

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Clytia avilie et Hélène aux bains grecs Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Clytia avilie et Hélène aux bains grecs
L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia avilie et Hélène aux bains grecs –
Tandis que Thaïs, la ravissante esclave du bordel, guidait Hélène dans la Cité éphémère dressée autour du site Sacré d'Olympie, la jeune et belle esclave Clytia demeurait la captive des Sages de la Cité qui usaient et abusaient d'elle tout au long des jours et des nuits qui leur étaient accordés, avant que, l’hétaire de luxe devenue fortunée, la belle Phryné, et son amant, le fameux et riche sculpteur Praxitèle, n'en prennent possession à leur tour comme sujet de leur projet artistique de faire de Clytia un sublime modèle pour réaliser une sublime sculpture telle l’Aphrodite de Cnide. Réduite à l'état de chienne, l'accès à l'enceinte sacrée des jeux Olympiques étant formellement interdit aux femmes, Clytia subissait donc quotidiennement les assauts de plusieurs anciens, venant assouvir sur elle et en elle, tous leurs désirs les plus inavouables... pressés par le temps, car Phryné, la courtisane si influente ne tarderait plus à venir réclamer son dû, ils se montraient chaque jour un peu plus pervers, plus avides de satisfaire leurs plus bas instincts... D'autant que la période consacrée aux Jeux Sacrés approchait à grands pas et qu'ils devraient donc bientôt se purifier de leurs actes afin de se présenter immaculés pour arbitrer les épreuves dont Clytia serait d'ailleurs l'une des plus glorieuses et savoureuses récompenses. Ainsi, tandis qu’Hélène et Thaïs recueillaient des informations, complémentaires à celles données par le maquereau, sur cette magnifique femelle esclave au crâne rasé qui avait été vendue voici peu de temps sur l'estrade la plus prestigieuse du marché, Clytia au même instant été menée en laisse dans la cour où elle était autorisée à passer un moment deux fois par jour, après les longues heures passées enchaînée sur la couche où elle était en permanence à disposition des Sages…
C'était l'un des esclaves mâles au corps entièrement lisse et aux parties intimes enserrées dans de minuscules sacs de cuir qui tenait la laisse et la guidait. C'est lui, ne prononçant jamais le moindre mot, qui faisait rapidement la toilette de l'esclave, frottant avec une éponge naturelle et humide son corps souillé, plongée dans une eau parfumée. Puis il faisait tourner l'esclave en rond dans cet espace réduit, où elle n'avançait bien sûr qu'à quatre pattes et où il était fréquent qu'un ou plusieurs Sages vinssent la contempler, en particulier lorsqu'elle s'accroupissait pour faire ses besoins, obligée de toujours se tenir alors les cuisses bien ouvertes, afin de ne rien cacher de son intimité dans ce moment qui excitait tant une poignée des vieux pervers dépravés... Durant le temps qu'elle passa ainsi entre les griffes des Sages d'Olympie, Clytia fut soumise à un formidable catalogue de pratiques. Les zébrures sur son dos et sa croupe montraient combien certains appréciaient de lui faire subir de longues séances de flagellation, en prenant bien garde cependant de ne pas l'abîmer. Justement, un Sage muni d'un court fouet tressé avait ordonné que l'on ramène Clytia dans ses chaînes. L'esclave mâle qui la menait en laisse avait immédiatement obéi, tirant sur la courte laisse et forçant la jeune femme à presser le pas sous la menace de l'instrument que le Sage maniait avec fébrilité, donnant de petits coups secs sur le cul du mâle afin de l'inciter à se presser, sans tenir compte de la difficulté pour Clytia de suivre, à quatre pattes...

Enfin ils arrivèrent dans la salle où était installée la couche de la jeune femme. Lorsqu'elle fut enchaînée par ses poignets, le Sage lui intima l'ordre de le regarder et sous ses yeux, il fit s'abattre son court fouet sur le mâle servile. Ce dernier recevait les coups sans esquisser le moindre geste de défense. Son corps se marquait des traces en traînées rouges d'abord, puis bleuissant... les zébrures s'inscrivaient partout sur son corps nu qui se tordait et se pliait lentement. Le vieux Sage frappait méthodiquement. Lentement, durement... Il ne prononçait pas un mot, n'apportait aucune justification à ce cruel déchaînement, ne semblait même pas courroucé. Il ne cessa que lorsque, enfin, l'esclave mâle fut recroquevillé sur le sol, gémissant de façon presque imperceptible. Alors le bras du Sage retomba :
- Disparais, chien ! Tu ne m'es plus d'aucune utilité, cracha-t-il…
En rampant à demi, l'esclave s'éloigna humblement... Tandis que le vieux s'approchait de Clytia...

- Voilà comment j'aime traiter les créatures inférieures…, lui souffla-t-il au visage, imposant son haleine chargée d'oignons et de vin rance, - … Toi je suis malheureusement obligé de te ménager afin de ne pas l’abîmer... Dommage ! Il faut que je fatigue un peu mon bras sur ces mâles insignifiants, avant de pouvoir me consacrer à toi, poursuivit-il en pressant un sein au creux de sa main...

Il sortit une langue épaisse et la passa lentement sur le visage de Clytia en la léchant tel un pervers gourmand, avant de l'embrasser à pleine bouche, obtenant de la part de la jeune femme un baiser tout aussi débridé, alors qu'il pétrissait encore ce sein si doux et ferme... Sans cesser de la peloter et de l'embrasser, le vieil homme plaça le manche de son fouet entre les cuisses de l'esclave et poussa dans un vagin déjà fort trempé, l'enfonçant telle une verge artificielle entre les chairs frémissantes de Clytia qui feula doucement...

- Salope ! Chienne ! Putain, et t’aime ça en plus !… cracha l'homme en poussant le fouet au plus profond qu'il put... - Garde le en toi et qu'il ne tombe pas ou il t'en cuira !

Clytia resserra ses cuisses afin de conserver le fouet bien planté en elle... Ses deux mains libres le Sage pouvait maintenant tripoter la moindre parcelle de ce jeune corps aux courbes délicieuses. Il saisit le visage, le serrant entre ses mains afin de l'immobiliser pour le lécher, poussant sa vicieuse langue baladeuse sur les joues, dans le cou, jusque dans les narines et les oreilles de la jeune femme, avant de revenir à sa bouche, de lui mordiller les lèvres, de laisser couler un épais filet de bave dans la bouche docilement offerte. Clytia serrait les cuisses afin de ne pas laisser échapper le fouet... car elle mouillait maintenant abondamment et craignait que l'objet ne glisse malencontreusement... Elle subissait avec un plaisir difficilement explicable ces attouchements vicieux qui n'épargnaient rien de sa douce anatomie. Les mains avaient maintenant délaissé son visage et pétrissaient brutalement sa généreuse poitrine. Le vieil homme giflait ses seins, prenant un peu de recul pour apprécier le balancement de ces deux globes à chacun de ses coups... Il appréciait l'attitude inélégante qu'il était parvenu à imposer, l'esclave avait les bras levés afin de dégager la poitrine qui rougissait sous les claques, elle les gardait ainsi, ses poignets joints par les chaînes qui la reliaient à la colonne de marbre... et elle se tenait légèrement courbée et déhanchée, afin de pouvoir garder ses cuisses serrées avec le fouet bien enfoncé dans son sexe... Il giflait les seins avec délectation et sentait monter en lui la sève du plaisir ! Il glissa une main sous sa tunique et saisit sa queue pour se branler, sans cesser pour autant de frapper de l'autre ces seins dont le lourd balancement l'excitait au plus haut point !

- Aah ! Salope ! Salope ! marmonnait-il tout en se branlant maintenant frénétiquement. Il cessa un instant de se masturber pour frapper des deux mains. Oh que cette femelle était excitante ! Et ses seins ! qui portaient maintenant la trace de ses doigts... La femelle était si bandante ! Dans cette position aussi humiliante qu'inconfortable... soumise à ses caprices. Il s'avança et la poussa soudain. Elle tomba de dos sur sa couche, en conservant le fouet planté entre ses cuisses et les bras levés par la chaîne qui les emprisonnaient. Il vint au-dessus d'elle, contemplant ce visage si fin, ces yeux d'un bleu légèrement délavés où se mêlaient la dévotion et le plaisir... Cette femelle semblait toujours tout subir en y prenant plaisir, ce qui avait sur lui un effet particulièrement énervant. Se branlant d'une main, il saisit de l'autre le fouet toujours bien emmanché et commença à le faire aller et venir, brutalement. Clytia se cambra légèrement, lui facilitant ainsi les choses et il la vit se mordre les lèvres de plaisir, ses yeux se révulser d’excitation... Sur un rythme frénétique, il se branlait et la branlait à l'aide du manche du fouet... Et si elle laissait échapper de brefs soupirs, il râlait maintenant de la plus bruyante des façons, jusqu'au moment où dans un ultime râle de jouissance, il éjacula sur le ventre de la femelle. La souillant de sa semence trop fluide... Il tentait de reprendre son souffle, contemplant la femelle alanguie, le fouet dépassant toujours de sa chatte humide... il s'assit sur le bord de la couche, sans un regard de plus. Un autre de ses coreligionnaires entra dans la salle et approcha.

- La chienne semble t'avoir donné satisfaction, constata-t-il.
- Jamais nous n'avons disposé d'une telle putain, confirma l'autre, elle mouille dès qu’on la touche et trouve du plaisir à son avilissement…
La poitrine de Clytia se soulevait au rythme de son souffle, elle récupérait après les assauts qu'elle venait de subir, violents mais qui ne lui avaient pas permis d'atteindre la jouissance. Cuisses serrées, elle avait abondamment mouillé mais éprouvait encore ce pincement au fond de son ventre, ce manque d’orgasme entre ses cuisses... elle bougeait doucement le bassin, rongée par le désir, par le besoin de jouissance qui était monté en elle sans être libéré... Le nouvel arrivant remarqua sa détresse, perçut son regard voilé...

- Oui c’est vrai, regarde ! La salope semble en demander encore, s'amusa-t-il - J'ai joui d'elle, mais cette putain n'a pas encore mérité qu'on laisse son plaisir s'exprimer..., répondit celui qui venait de se vider les couilles.

Sans un mot de plus, il se pencha vers elle, saisit la partie encore visible du fouet et le retira d'un coup sec... Le manche épais était poisseux de la mouille de Clytia qui sursauta.

- Vois cela…, dit le Sage à son compère, … vois comme cette chienne en chaleur a souillé mon instrument. Pour commencer, il faut qu'elle nettoie, poursuivit-il.

Et c’est ainsi, en joignant le geste à la parole, qu’il porta du bout des doigts son fouet pour l'amener au-dessus du visage de l'esclave et le laissant lentement descendre vers les lèvres ... bouche entrouverte, la jeune femme reçut le manche dégoulinant et le lécha, le suça longuement comme s'il s'était agi d'une queue bien ferme... Satisfait, le premier Sage récupéra son instrument. L'autre avait apprécié la scène. Il força Clytia à se mettre à quatre pattes sur la couche, (les chaînes étaient suffisamment longues pour le lui permettre) amenant son visage à la hauteur de son entrejambe et fit jaillir sa verge, dure et tendue, qu'il poussa d’un coup de reins entre les lèvres encore humides, investissant ainsi la bouche docile, son gland heurtant le fond du palais jusqu'à la gorge... Le sexe tendu possédait maintenant la bouche de Clytia par des vas-et-viens rapides, et l'autre Sage, que l'âge avait privé de certaine vigueur, regrettant sa verge maintenant molle de s'être vidangée, promenait la lanière tressée de son fouet sur la croupe offerte... Ainsi, tandis qu'elle suçait l'un, Clytia dut subir les coups de fouet énervés de son précédent tourmenteur... Le nouveau venu se vida prématurément, trop excité par la situation... Les deux hommes, échangèrent un sourire pervers avant de quitter la salle, repus de plaisir, délaissant l'esclave dont les fesses cuisaient, dont les lèvres laissaient échapper un mince filet de semence, trop plein qu'elle n'était pas parvenue à avaler lorsqu'avait jailli le plaisir en un flot abondant...

Bientôt elle serait loin d'ici ... Bientôt Phryné et Praxitèle viendraient la réclamer... Sans doute serait-elle à nouveau l'objet de bien des caprices, mais elle savait que cette nouvelle épreuve la rapprocherait de sa Maîtresse Vénérée, de La Belle Hélène à Laquelle elle avait sciemment choisi de vouer son insignifiante existence !...

Dehors, justement, Hélène et Thaïs poursuivaient leur enquête. Les deux femmes avaient pu reconstituer les étapes du destin de l'esclave car son parcours n’était pas passé inaperçu tant on parlait ci-et-là de la fameuse vente laquelle Clytia en fut l’objet. Vendue par les brigands à un marchand d'esclaves, puis mise aux enchères et si disputée que le plus célèbre des sculpteurs de l'Attique et les Sages des Jeux Sacrés avaient choisi de se la partager... Ainsi, avaient-elles appris que Clytia était désormais entre les mains de la Cité d'Olympie, destinée à être offerte en récompense à l'un des vainqueurs des prochains Jeux... C'était donc avant les Jeux qu'il faudrait agir, car ensuite, accéder à l'esclave deviendrait impossible ! Chez Praxitèle, c'est là qu'il faudrait intervenir. Thaïs savait où trouver le riche et réputé sculpteur, elle dit à La Belle Hélène qu'elle l'y mènerait dès le lendemain et qu'elles pourraient ainsi établir une surveillance... Depuis qu'elle guidait Hélène à travers l'incroyable dédale de cette cité provisoire, Thaïs s'était montrée efficace, dévouée, attentive... Et Hélène n'avait pas manqué de percevoir une lueur de désir dans les yeux de celle qui l'accompagnait. Elles s'étaient un peu éloignées de la multitude grouillante et se reposaient à l'ombre d'une tonnelle, savourant un verre de vin épicé coupé d'eau. Assises à l'écart, elles contemplaient l'activité incessante... Hélène posa nonchalamment la main sur la cuisse de Thaïs qui se raidit et dont la main trembla légèrement, laissant échapper deux gouttes de vin qui vinrent salir la tunique de la putain...

Elles restèrent ainsi un moment, silencieuses, Hélène affermissant sa prise sur la cuisse ferme et lisse, Thaïs retenant son souffle, s'efforçant de maîtriser le tremblement de sa main. La main d’Hélène caressait maintenant la peau bistre de sa compagne, cette cuisse fort agréable sous ses doigts... Hélène la fixait, mais Thaïs n'osait croiser son regard. La Belle Hélène enleva sa main et se leva, faisant face à la belle putain brune qu'elle dominait de sa taille... Elle se pencha et sans s'inquiéter d'être vue ou pas, caressa le sein de Thaïs à travers la tunique...

- Tu as fait des tâches, là, dit Hélène en pointant les deux éclats de vin à hauteur du sein qu'elle avait saisi au creux de sa main, sentant le téton durcir...

La Belle s'amusait de percevoir la gêne chez cette belle femme brune pourtant habituée à vendre ses charmes et qui, maintenant rougissait comme une vierge effarouchée.

- Debout ! dit-elle, et Thaïs obéit sans même sembler envisager de la contredire. Hélène se saisit de la main de la putain :
- Mène-moi donc jusqu'à des bains convenables, nous avons bien mérité un moment de détente et ton péplos est sali, nous le ferons nettoyer…, dit Hélène qui entraîna Thaïs, abasourdie, séduite. - … Allons ! Souris !, s'amusa Hélène...

Aux bains choisis par Thaïs, on leur promit de nettoyer leurs tenues tandis qu'elles profiteraient des eaux thermales de la montagne, naturellement fraîches et vivifiantes dans l'un des bains frais et réchauffées dans un autre... Nues, les deux femmes pénétrèrent d'abord dans le bain chaud et Hélène se saisit d'une brosse à long manche, désignant le bord du bassin à Thaïs...

- Appuis-toi là, dit-Elle d'un ton sans réplique.

La putain s'exécuta et Hélène commença à lui brosser le dos avec ardeur, faisant rougir la peau pourtant bien brune... puis descendant sur les fesses, avant de s'immiscer entre les cuisses, faisant sursauter Thaïs
- Eh bien !, s'enquit Hélène, - ... Serais tu donc la plus timide des putains ?
- Non, bredouilla Thaïs, obtenant un sourire d’Hélène
Celle-ci s'approcha d'elle et la poussa contre le rebord du bassin, se collant à elle... Hélène avait posé sa main sur la hanche de la femme brune, caressant doucement l'arrondi charnu
- J'ai surpris tes regards... et tu ne me déplais pas... j'ai envie de toi et je prends toujours ce dont j'ai envie, quand j'en ai envie... Tu peux demander à ton ancien patron (s'amusa-t-Elle) ... Alors, auras-tu l'audace de te refuser à ta bienfaitrice ?

Thaïs qui s'était raidie inspira un grand coup... et se détendit devant les avances de la Belle Hélène, avances qui n’avaient pas l’air de lui déplaire…
- Non ! Oh non... je sais ce que je vous dois et je suis toute à vous, murmura-t-elle ...
- Bien, dit Hélène dans un sourire, en caressant encore cette hanche si douce et charnue......

(A suivre…)

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