Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°771)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°771) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°771)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°771) -
Et pour accentuer encore tes sensations, tu auras les yeux bandés… Ce disant, Il se dirigea vers une commode et ouvrit le premier tiroir, en tirant un long morceau d'étoffe noir et s'approcha de moi avec un regard fort de dominateur. Il commença à me caresser le corps avec le bandeau, puis frotta doucement son visage en me léchant de sa rugueuse langue en partant de mon entre jambes jusqu'à mon visage, respirant profondément. Il s’attarda sur mon sexe au tout début, et en remontant sur mes tétons qu’il mordillait divinement. Je commençais déjà à m'émoustiller. Il posa le bandeau sur mes yeux et tout en m'offrant un baiser lent, chaud et terriblement sensuel, le Maître attacha ce bandeau derrière ma tête. Je ne pouvais plus rien apercevoir, même pas la lueur du jour. J'entendis le Maître s'éloigner, le bruit d'un tiroir qui s'ouvre puis se ferme, et Ses pas qui se rapprochent à nouveau de moi.

- Je te rappelle que tu n'as pas le droit de jouir, me murmure le Maître tout contre mon oreille.

Quelque chose d'une douceur inouïe fut passée sur tout mon corps, me chatouillant légèrement les flans, les seins, le ventre, les cuisses, pendant de longues minutes. Pour l'avoir senti sous différents angles, je supposais qu'il s'agissait d'une sorte de plumeau, dont le manche finit par titiller mon clitoris avant d'être profondément enfoncé dans ma chatte. Le Maître lui imprima un mouvement lent de va et vient tandis qu'Il se penchait pour me lécher les seins, les tétons les mordillant de nouveau, parfois subtilement, parfois plus fortement me tirant des gémissements de douleur mêlés je dois l'avouer de plaisir. Lorsque le Maître sortit le plumeau de ma chatte passablement trempée et excitée, Il le fit remonter lentement en remontant le long de mon ventre, entre mes seins, pour finir par l'appuyer contre mes lèvres. Le Maître n'eut rien à dire pour que je comprenne et ouvrit la bouche afin de lécher le manche trempé de mouille. Il le laissa ensuite tomber au sol, m'embrassa sensuellement, profondément, puis sa langue, sans jamais quitter mon corps, me lécha le visage, s'attardant délicieusement sur les points sensibles juste sous les oreilles, me mordillant au passage les lobes. Puis, elle vint titiller mes globes, tout en légèreté, provoquant l'érection de mes tétons, qu'il lécha, mordilla encore, étira avec ses dents. Je sentais au fur et à mesure ma chatte s’exciter de plus en plus, réagissant volontiers aux attouchements du Maître.

Sa langue poursuivit son chemin, traçant des cercles de plus en plus resserrés autour de mon nombril jusqu'à si enfoncer. Puis, elle descendit toujours plus bas, et là, la divine torture commença réellement lorsque le Maître me lécha, me mordilla le clitoris, les lèvres et la chatte. J'essayais de me débattre sans aucune chance d'y arriver, je sentais le plaisir monter de plus en plus fort. Je sais que ce serait difficile de me contenir, tellement le Maître était expert dans ces caresses buccales. J'haletais de plus en plus fort, de plus en plus rapidement, en même temps que les coups de langue se faisaient plus rapides. Je fermais les yeux tellement forts que j'en avais mal, essayant de trouver une pensée distrayante pour ne pas me laisser aller. Heureusement le Maître cessa cette première succulente torture, et s'éloigna à nouveau jusqu'à la commode aux sons que j'entendis. Lorsqu'Il revint près de moi, il recommença à jouer avec mes seins, les caressant de manière de plus en plus appuyée. Il s'intéressa à mes tétons, les caressant, les étirant, les pinçant, les tordant... Quand je sentis qu’Il m’installa des pinces à tétons. Cela m'excitait terriblement de nouveau ! Quand soudain je sentis une morsure vive sur un, puis sur mes deux bouts de chair si sensible me tirant des gémissements douloureux. Puis des coups réguliers se firent sentir. A mes ressentis, je devinais qu'il devait s'agir d'une règle plate, avec laquelle le Maître frappa mes seins sans toucher les tétons, ma chatte, mon clitoris, toujours régulièrement mais jamais avec la même force. L'excitation remontait comme un cheval au galop. La règle fut remplacée par un fouet, qui suivait le même chemin, au détail près que, très légèrement, il lui arrivait de toucher les pinces pendantes à mes seins, très légèrement mais assez pour raviver la douleur mais surtout l'excitation.

Lorsque le Maître cessa de jouer du fouet, il se saisit du manche pour l'enfoncer brusquement dans ma chatte que je savais dégoulinante car mon plaisir continuait à s'écouler le long de mes cuisses. Il fit quelques va et vient puissant puis sans prévenir le sortit pour le pousser aussitôt contre la rosette de mon cul qu'Il commença à baiser avec cet instrument. Je me mordais les joues au sang pour ne pas jouir, lorsque je hurlais de douleur, et malheureusement aussi de jouissance au moment où le Maître retirait les pinces de mes seins.

- Dommage petite chienne, me susurra le Maître à l'oreille. A la fin de cette punition, se rajoutera donc les 10 coups de fouet promis en cas de jouissance. Et malheureusement pour toi cette phase d'interdiction n'est pas encore finie...

Et se reculant, je sentis un gode vibrant remplacé le manche du fouet. La vibration était puissante. Il m’encula ainsi de longues minutes. Je commençais à délirer, à le supplier de me laisser jouir, en même temps que de me défoncer plus vite et plus fort. Je pleurais, complètement submergée par les différentes émotions qui m'assaillaient. J'implorais Sa pitié sans même être sûre de ce que je voulais obtenir. Lorsque le Maître me pénétra tout en continuant à m'enculer avec le gode, je perdis totalement la tête. Je Le suppliais d'arrêter, de continuer, de me laisser jouir, de faire de moi ce qu'Il voulait, de ralentir, d'accélérer... je voulais tout et son contraire, mais je me sentais bien, heureuse de n’être plus qu’un objet de plaisirs pour Lui, je me sentais soumise tout simplement… La jouissance revenait, je la sentais tenter de me submerger, de m'envahir, et je tenais tant bien que mal. Lorsque je criais du sang s'écoulait de ma bouche du à la force avec laquelle je me mordais lèvres, joues et même langue pour ne pas jouir. Et d'un coup d'un seul, mon cul et ma chatte se retrouvèrent abandonnés. Le Maître s'éloigna et me laissa tremblante, des spasmes irradiant tout mon corps, sanglotant, j’étais totalement perdue... J'étais épuisée, vidée. Je ne devais plus ressembler à grand-chose, échevelée, les yeux gonflés et rouges, les joues rouges d'excitation, de plaisir et de désir. Après plusieurs très longues minutes, pendant lesquelles je réussis lentement à me calmer et me remettre, je sentis que la main du Maître me caressait, d'une manière apaisante, doucereuse, aimante.

- La seconde partie de ta sanction va commencer. Je vais accéder à ta supplication récente, tu vas avoir droit de jouir.

J'entendais dans sa voix l'intonation ironique. Je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur, mais en étant toujours toutefois terriblement excitée. Je reconnus le bruit d'un petit moteur, peut être un vibromasseur ? La main du Maître appliqua une substance fraîche sur mon clitoris, tel un gel lubrifiant, puis je sentis quelque chose de vibrant et tournant qui s'appuyait contre. Le Maître l'y maintint avec ce qui me semblait être du gros scotch. Puis il posa plusieurs pinces sur mes lèvres. Et puis plus rien. Je ne L'entendais plus, je ne sentais que le vibro entre mes cuisses et l'étirement de mes lèvres. Encore très excitée de ce qui s'était passé, les vibrations et la tête rotative ne tardèrent pas à me faire crier ma jouissance. Que cela faisait du bien d'être libérée !!! Mais les vibrations continuaient sans répit. Je jouis deux, trois, quatre, dix fois. Cela devenait douloureux. Je commençais à sentir une sensation de brûlure. Pourtant je ne pouvais me soustraire à cet objet qui continuait à me provoquer des jouissances malgré moi. Je ne les comptais même plus ! Le Maître revenait de temps en temps et me baisait soi Lui-Même soit avec un vibromasseur. Je ne sais combien de temps je tins, mais je me mis à pleurer d'abord doucement, puis de vrais sanglots hystériques. Je criais mes supplications, espérant que le Maître était toujours présent dans la pièce. J'implorais Sa pitié. Je n'en pouvais plus. Je criai grâce !

Au bout d'un temps qui me sembla interminable, le Maître s'approcha et retira les pinces une par une, me soutirant des hurlements de douleurs mélangés à des fortes sensations de plaisirs jouissifs malgré que je pensais ne plus pouvoir avoir de jouissance. Puis il arrêta les vibrations et la tête rotative. Et tira brusquement sur le scotch, l'enlevant, ainsi sans ménagement. Il me détacha de la croix doucement, m'empêchant de m'effondrer lamentablement sur le sol. Cependant si le Maître accompagna ma chute, il me laissa prostré. Après quelques minutes de silence, pendant lesquelles mes muscles essayaient de reprendre formes et consistances, un ordre tomba.

- Position numéro 4 bis.

Péniblement, je me mis à quatre pattes la tête au sol, le derrière relevé, les reins cambrés. Et je sentis alors un premier coup de fouet cinglant.

- Compte à voix haute !

Alors je comptais les coups, qui ne tombaient jamais au même endroit, jamais au même rythme, de manière à ce que je ne puisse pas anticiper le prochain. Je subissais cette punition sans cris, mais avec de nombreuses larmes et de nombreux sanglots.

- Je te félicite pour ton courage ! Ta punition est entièrement terminée. Va t'allonger sur la table qui est contre le mur.

Sur la dite table se trouvait un fin matelas couvert d'une serviette chaude. Je m'y allongeais avec soulagement. J'entendis le Maître se poster près de moi. Puis Ses mains se posaient sur mon corps et commencèrent un délicieux massage, partant de mes pieds et remontant doucement, ne délaissant aucune parcelle de mon corps, comme mon anus, ma chatte, mes lèvres...

- Tourne-toi sur le dos !

J'obéissais promptement. Le Maître reprit son massage.

- Je vais te faire un grand honneur. Pour cette nuit, tu auras la chance de dormir dans ma chambre. Descends de la table.

Je descendis et me prosterna à Ses pieds.

- Merci Maître pour cette punition qui m'apprendra à mieux Vous satisfaire et à devenir une meilleure chienne pour Votre plaisir. Merci pour l'immense honneur que Vous me faîtes.

Le Maître ne répondit rien. Il passa une fine laisse dorée à mon collier et y donna un petit coup. Je lui suivis donc à quatre pattes, jusqu'à Sa chambre. Au pied de Son lit était un panier de chien. Il attacha ma laisse à un anneau fixé dans le montant du lit.

- Voilà ton lit pour dormir cette nuit. Il n'est pas impossible que tu sois réveillée dans la nuit pour satisfaire Mes besoins si j’ai des érections nocturnes. Mais bien sûr, tu y répondras avec enthousiasme vu que cela sera pour Me satisfaire. Maintenant aide-Moi à Me dévêtir.

J'avançais vers Lui toujours en position de chienne. Je délaçais ses chaussures, lui enlevais chausses et chaussettes, baissais son pantalon et levais les yeux en une question muette mais les rebaissant rapidement. Le Maître appuya sur ma nuque comme réponse, et je m'appliquais à le sucer du mieux que je le pouvais, avec toute ma motivation, toute mon adoration. Je ne tardais pas à sentir Sa majestueuse semence que j'avalais sans en perdre une goutte. Puis je lui nettoyais Son membre avec délice. Enfin j'entrepris de finir de le déshabiller.

- Bien, tu es une bonne chienne ! Maintenant il est l'heure de dormir. Couche-toi !

Je fis alors le tour du panier comme une vraie chienne et me couchais dedans. Le Maître s'allongea également et éteint la lumière. Avant de sombrer dans le sommeil, je repensais à cette première journée en présence du Maître. Je me sentais heureuse et enfin à ma place. Depuis trois ans que j'étais Sa soumise virtuelle, je ne rêvais que de ce jour ! Je fermais les yeux, le sourire aux lèvres, le coeur serein et joyeux…
(A suivre …)

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