Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°985)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°985) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°985)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°985) -
Mais ces derniers évènements s’étaient passés plusieurs semaines après mon départ pour la villa, la fête des mères avec mes filles, et la sanction qui me faisait passer trois jours sans nouvelles du Maître Vénéré… Effectivement je n'eus pas le moindre message, pas le moindre signe qu'Il était là quelque part, un œil sur moi. Je n’eus même pas de visites d’autre Dominants, alors que Monsieur le Marquis d’Evans avait à l’origine prévu un week-end chargé pour Sa chienne. Mais j’avais mérité ma sanction, et Il ne serait pas revenu sur Sa décision. Pour ne pas léser Ses amis qu’Il avait invité et à qui Il avait promis de bons moments avec une chienne MDE à leur disposition, Il proposa aux deux couples de Dominants qui auraient du me rendre visite le vendredi et le samedi soir, un week-end au Château du vendredi soir au dimanche après-midi. C'était un week-end tout à fait improvisé. Nous étions déjà jeudi après-midi et il restait un petit peu plus de vingt-quatre heures avant que les Invités n'arrivent. Après avoir convié ces deux couples et avoir reçu la confirmation de leur présence pour le week-end, Monsieur le Marquis fit appeler Walter et Marie dans Son bureau :
- Nous avons deux couples d'Invités qui seront présents de demain soir à dimanche après-midi. Je compte sur vous deux pour que tout soit parfait ! Walter, il faut que deux des plus belles chambres soient apprêtées. Et je veux que tu prépares des réjouissances pour les deux soirées où ils seront présents. Je veux également que tout le Cheptel soit à leur disposition le reste de la journée. Que mes Invités quittent le Château dimanche aussi satisfaits que possible. Marie, je compte sur toi pour te surpasser, comme à ton habitude en cuisine. Utilisez tous les chiens et chiennes dont vous aurez besoin pour que tout soit prêt à temps…
Employés au service du Noble et complices depuis si longtemps, le Majordome et la cuisinière assurèrent au Châtelain que tout serait parfait en temps voulu, et ils sortirent de Son bureau, plus motivés que jamais. Après une rapide réunion entre eux deux dans le bureau de Walter, pour décider qui prendrai quels chiens et chiennes à son service, les deux amis se séparèrent pour répondre aux ordres de leur patron. Même si le Château était toujours maintenu propre en permanence, un soin plus particulier y fut appliqué, et nombreux furent les soumis et soumises qui furent affectés au ménage. Tout devait être fait pour que les Invités attendus pussent croire qu'ils étaient les personnes les plus importantes qui avaient été reçues dans cette ancestrale demeure. Les nombreuses fenêtres furent toutes nettoyées, les parquets furent tous briquer, tous les meubles époussetés. Les domestiques, avaient tous reçu l'ordre de faire activer les choses comme ils l'entendaient à condition de ne pas retarder les membres du Cheptel. Ils ne furent donc pas utiliser mais les coups de fouet, de badine, et de tout autre instrument pouvant les faire accélérer, se firent nombreux, sans pour autant leur faire trop mal pour ne surtout pas les ralentir.

Le vendredi soir, tout le Château étincelait. Lorsque les Invités arrivèrent, Monsieur le Marquis se tenait au haut du perron, entouré de deux de Ses chiennes les plus fidèles et les plus obéissantes, soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE, chacune de Ses mains étant posée sur leur crâne pour bien marqué Son emprise sur elles. Et sur chaque côté des marches d’escaliers, formant une haie d’honneur, des soumises-chiennes femelles et soumis-chiens mâles , tous faisant partis du Cheptel MDE, en position prosternée, leurs orifices et attributs offerts à la vue de qui montait les marches, les culs qui avaient été visiblement travaillés peu de temps auparavant restant encore ouverts. Walter se tenait quelques pas derrière le Maître des lieux, avec au bout d'une laisse qu'il tenait de sa main droite, la dernière acquisition du Maître, soumise Nééra. Monsieur et Madame De Santès et Monsieur et Madame De La Verdière, deux couples bien connus dans le monde de la Domination/soumission, furent agréablement surpris d'être ainsi reçus par leur hôte de marque.

- Eh bien, cher ami, dit Madame De Santès alors que le Châtelain lui baisait la main, quel bel accueil vous nous faîtes! Je ne pense pas que nous n'aurons pas à regretter ce que nous avions prévu de faire subir à Votre chienne fautive...
- C'était bien le but de ce week-end improvisé, chère amie! Je ne pense pas que Vous manquerez de toutous à mettre à Votre botte. Vous êtes tous Invités à profiter pleinement des festivités préparées par mon fidèle Majordome, ainsi que de tout ce qui se trouve sur mon domaine, bestioles, salles équipées, matériels en grand nombre... Absolument tout et tous sont à Votre disposition. Alors profitez-en, et prenez du bon temps sans compter !

Le Châtelain les convia poliment à entrer, et Il passa devant pour leur ouvrir la marche. Walter suivait avec la dernière arrivée, puis venaient en deux par deux, un mâle et une femelle côte à côte, les chiens et chiennes qui avaient fait une haie d'honneur. Un apéritif fut servi dans le Petit Salon pour les Invités et le Maître, les soumis furent eux emmenés dans la Grande Salle à Manger par Walter, à l'exception de soumise Laïs MDE, esclave Phryné MDE et soumise Nééra qui restèrent toutes les trois aux pieds du Maître, prosternées, culs tournés vers Lui, la dernière arrivée entre les deux autres, servant de repose-pieds au Châtelain. Celle-ci ne le savait pas encore, mais venant juste d'intégrer le Chenil, elle aurait surtout un rôle de spectatrice, restant la plus part du temps au seul service du Maître. Elle avait peu confiance en elle, mais Monsieur le Marquis voulait qu'elle puisse voir à quoi elle pouvait s'attendre si jamais elle souhaitait intégrer un jour un Cachot et le bonheur de voir accoler à son nom de soumise, choisie par Lui-même dans la mythologue grecque qu'Il aimait tant, Ses trois nobles Initiales MDE. Ainsi elle pourrait décider en toute connaissance de cause si elle désirait poursuivre son éducation aux pieds du Noble Dominant ou si elle souhaitait quitter le Château à tout jamais, sans pour autant savoir sur quel genre de Maître ou maitre, elle pourrait ensuite tomber. Il voulait donc profiter de ce week-end imprévu pour lui montrer tout ce qu'Il serait amené à attendre d'elle dans un futur plus ou moins proche… Si tout le Cheptel était à leur disposition, soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE avaient été toutes les deux désignées pour être les chiennes attitrées des Invités pour le week-end, à moins qu'ils n'en préfèrent d'autres qu'ils pourraient découvrir pendant la soirée. Sur un signe du Maître, d'une démarche en quadrupédie gracieuse et féline, elles virent se prosterner chacune devant le couple que Walter avait pris soin de leur désigner avant leurs arrivées, suivant leur préférence. Les deux binômes levèrent simultanément un regard interrogatif vers le Châtelain.

- Ces deux chiennes, qui sont les meilleurs éléments de Mon Cheptel, sont là pour satisfaire la moindre de Vos Exigences. Connaissant Vos goûts en matière de D/s, je ne pense pas trop m'avancer en pensant qu'elles devraient tenir leur rôle à merveille ! Même si vous pourrez user et abuser de qui bon vous semble, bien évidemment parmi le reste de Mon Cheptel.
- Quelle délicate attention, cher Marquis ! Nous Vous remercions pour Votre geste que nous apprécions fortement.

Et Monsieur De La Verdière, qui venait de parler, se pencha en avant vers soumise Laïs MDE, qui était à ses pieds et lui caressa longuement son dos, remontant régulièrement vers son postérieur mis en valeur par la position, pour le lui claquer soudainement. Il s'attendait au moins à un tressaillement, vu la soudaineté de son geste, mais la chienne qui avait quelques années de vécu au Château, avait vite compris que souvent les caresses doucereuses ne faisaient que précéder quelque chose de plus sec, et souvent plus douloureux. Elle n'avait donc pas fait le moindre mouvement, ayant maintenu la position comme si elle avait été statufiée, en tout cas parfaitement dressée plus exactement. Madame De Santès, pendant ce temps, de la pointe de sa chaussure à hauts talons vernie, faisait des allers-retours entre l'entrée de la caverne humide de l'esclave Phryné MDE et son entrée plus secrète, bien qu'ayant été préparée, elle ne pouvait pas vraiment se cacher à quiconque.
- Hummm cette esclave coule facilement ! Ma chaussure est toute souillée. Allons chienne, retourne-toi et nettoie-moi tes saletés sur ma chaussure de grande marque ! Et puis tant que tu y es, tu t'occuperas également de la paire complète …!

Sans un mot, l'esclave fit face à une longue paire de jambes fines, et lécha consciencieusement le cuir visiblement neuf de la paire d'escarpin haut de gamme, les faisant briller de son mieux. D'un mouvement de son pieds, la Domina l'incita à rouler sur le dos, et tandis qu'elle lui faisait sucer un talon, elle jouait avec les orteils de son autre pied, qu'elle venait de libérer de leur contrainte, sur le clitoris déjà gonflé de la chienne allongée à ses pieds. Les deux autres Invités se contentaient pour le moment de regarder, laissant trainer une main sur leur sexe, au travers du tissu de leurs vêtements, préférant se réserver pour plus tard… Une cloche tinta, annonçant que le dîner était prêt à être servi. Les trois hommes saisirent les laisses et tous se dirigèrent vers la Grande Salle à Manger. Les soumis qui avaient été désignés pour servir portaient sur eux des pinces aux tétons et à leurs lèvres intimes ou à leurs bourses dans lesquels passaient une chaîne reliée à l'anneau de leur collier. Ceux qui étaient présents sur les marches du perron étaient là également, les yeux bandés, un bâillon-boule en bouche, attachés sur des croix de St André, chacun portant un plug anal aux armoiries du Château. D'autres étaient dans des cages au sol en quadrupédie et d’autres dans des cages suspendues. L'espace était si étroit qu'à part poser leurs fesses sur leurs talons, ils ne pouvaient faire d'autre mouvement. Mais celui-ci aurait été sévèrement puni si l'un deux avait osé se reposer ainsi.

Pendant le repas, les trois hommes Dominants se firent sucer par les femelles qui étaient à leurs pieds, et les deux chiennes plus expérimentées furent également sollicitées par ces Dames pour avoir droit à un traitement équivalent. Elles avaient reçu l'ordre de lécher tant qu'elles ne recevaient pas d'ordre contraire, mais avec l'interdiction de faire jouir les deux Maîtresses. Avec leurs années d'appartenance aux pieds du Noble, aucune ne fauta. Mais cela ne plaisait pas vraiment à Madame De Santès. Elle aimait la docilité, l'obéissance, mais elle aimait également exiger des choses qui, même avec la meilleure volonté, n'était pas aisée à réaliser et lui permettait de punir le chien ou la chienne qui la servait. Elle aimait manier le fouet, mais préférait ne pas l'appliquer à un masochiste, elle aimait que ce soit une réelle sanction. Mais esclave Phryné MDE était une bonne esclave, et Monsieur le Marquis avait déjà tant exigé d'elle que trouver une chose qu'elle ne put réaliser était presque impossible. Alors à la fin du repas, elle tapa du plat de la main sur la table et dit d'un air mécontent.

- Cher ami, Votre esclave est insupportable, elle ne me satisfait pas du tout !
- J'en suis sincèrement désolé! Mais vous pouvez la sanctionner comme il vous plaira ! Vous avez carte blanche pour vous faire respecter comme il se doit.
- Je vous remercie. Puis-je l'emmener dans un de Vos donjons pour cela ?
- Evidemment, je vous l'ai dit, Ma Demeure est à Votre disposition tout le week-end !

Sur un signe du Châtelain, Walter se présenta. Alors la Domina saisit fermement la laisse de l'esclave et l'emmena sans ménagement hors de la pièce vers le Donjon, suivant le Majordome qui ouvrait la marche. Arrivée à ladite pièce, elle l'attacha sur un banc de punition sur le ventre, avec des menottes aux poignets et aux chevilles. Elle lui banda les yeux, lui mit des bouchons d'oreilles et lui mit un bâillon-boule en bouche. Elle était ainsi totalement isolée du reste du monde. La Domina attrapa alors une bougie, qu'elle laissa brûler quelques secondes, puis elle laissa la cire fondue couler sur la raie de ses fesses, faisant frémir, mais pas réellement bouger la chienne attachée. Pourtant, vu le peu de hauteur donnée à la bougie, la douleur avait du être réelle. Elle avait des ongles très longs et acérés. Elle posa ses mains sur le dos de la soumise, comme si elle avait voulu lui faire un massage, mais très vite elle courba les doigts et les enfonça dans sa peau, laissant sur son passage de longues estafilades rouges, et même quelques perles de sang. Elle n'insista pas plus, ne voulant pas trop abîmer ce qui ne lui appartenait pas, mais elle ne la détacha pas sans lui avoir infligé une bonne correction traduite par une véritable volée de fessées, qui lui rendit le cul cramoisi. Les fessées volaient à un rythme assez régulier par série de trois ou quatre fortement administrées puis par série d’une ou deux plus caressantes. Entre les séries, la main baladeuse de la Domina fouillait la vagin de l’esclave et en retirait de la mouille abondante. Les doigts trempés de Madame De Santès se portèrent ainsi plusieurs fois à la bouche de la soumise qui lécha ainsi mainte fois sa cyprine. La volée de fessées durant un bon quart d’heure de cette manière …
Nul doute que si elle n'appliquait rien dessus, elle aurait des bleus le lendemain. La sanction avait été douloureuse, mais esclave Phryné MDE l'avait subi courageusement, ne laissant échapper que quelques larmes. Si elle avait été injuste, puisqu'infligée seulement parce qu'elle n'avait justement commis aucune erreur, elle savait que le Maître Vénéré serait fier d'elle, et cette seule pensée la réconfortait et lui réchauffait le cœur. Et savoir qu'indirectement c'était à Lui qu'elle avait obéi en se laissant dominée par Madame De Santès, elle se retrouvait malgré tout excitée par la situation. Pendant ce temps dans la Grande Salle à Manger, la soirée se poursuivait et n'était pas moins excitante et chaude. Et les soumises Laïs MDE et Nééra MDE n'étaient pas laissées de côté! …
(A suivre …)

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