SOIRÉE ENTRE POTES.
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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SOIRÉE ENTRE POTES.
SOIRÉE ENTRE POTES.
Joël est mon meilleur pote. Il est autant beau, brun ténébreux, tombeur, style italien que je suis moche, blond et boutonneux. Il a vingt-cinq ans et moi trente. Je suis célibataire et PD, lui a une meuf et s'affirme hétéro. Du moins, c'est ce que je pensais...
C'est un fan de l'Olympique de Marseille et comme j'ai la chaîne cryptée, il me relance souvent le dimanche soir pour venir supporter son équipe préférée quand elle passe à la télé. Comme je suis un peu (beaucoup!) amoureux de lui, je ne peux rien lui refuser. Le foot, je m'en balance mais le savoir tout près de moi, affalé sur le canapé en train de boire sa bière tout en injuriant les joueurs adverses, ça me fait bander grave. Heureusement, je crois qu'il ne s'en est jamais aperçu.
Ce soir, c'est l'événement de la saison. LE big match de Ligue 1. Le ''Classico'', comme il dit. Pensez, l'OM contre le PSG, on ne peut rêver meilleure affiche.
Je le vois débarquer chez moi vers dix-neuf heures, t-shirt moulant et jogging OM bleu marine. Mon préféré! Celui qui moule bien son petit cul musclé (il joue au foot) et sa bite épaisse, même au repos.
Je ne peux m'empêcher de lorgner en direction de son entrejambe pendant qu'il sirote sa bière et qu'il capte les infos d'avant-match. Je ne l'ai jamais vu à poil mais je suppose qu'il est bien monté. Je meurs d'envie de lui mettre la main au paquet mais je me calme et croise les jambes pour ne pas lui mettre ma trique sous les yeux.
Il se tourne vers moi et me parle du match. Il prend une position décontractée, les cuisses largement écartées. Putain! Faut que j'arrête de fantasmer sur ce beau latino. C'est mon pote et je le kiffe trop. Je fais un gros effort pour me concentrer avant de répondre une banalité qui le fait rire.
Oui c'est vrai,... vous l'avez compris, je n'y entends rien au foot.
Lorsque la partie commence, je baisse les lumières, histoire de se mettre dans l'ambiance du match. Nous sommes côte à côte sur mon divan et le halo blafard de l'halogène met bien en relief sa bosse proéminente. Surtout qu'il est complètement avachi, jambes bien ouvertes et une main sous l'élastique du pantalon.
Bon sang, c'est la première fois qu'il me fait ça. Sans doute l'importance de l'événement. Il veut prouver la virilité du peuple phocéen face à ces ''enc...'' de parisiens.
À la première occasion de Marseille, il se touche la queue légèrement, mais dès qu'ils inscrivent leur premier but, c'est l'explosion de joie. Il me saute au cou, ivre de bonheur puis reprend sa position initiale, les deux mains bien calées dans son fûte. Je n'en perds pas une miette surtout qu'à présent, il se paluche sans retenue. Le fait que son équipe mène au score face à son pire ennemi le fait carrément bander. Et pris par l'enjeu, il a totalement zappé ma présence à ses côtés.
Ah! C'est beau, un vrai supporter de foot.
Le match arrive à son terme. Le suspense est à son comble. Lorsque l'arbitre siffle enfin le terme de la rencontre, il hurle de joie et fait le tour du salon en chantant à tue-tête:
- On a gagné, on a gagné, le doigt dans l' nez,... ils ont perdu, le doigt dans l'c...
À chaque fois qu'il passe près de moi, je peux voir sa queue bandée qui tressaute et déforme l'avant du jogging. Dans l'euphorie, il n'a pas débandé.
Il se calme un peu. Je vois bien qu'il n'a pas envie de rentrer retrouver sa grognasse. Il est bien dans cette pièce à la lumière tamisée. Je devine qu'il voudrait prolonger la soirée encore un peu.
- T'aurais pas un DVD de cul?
Je reste con... C'est la première fois en six ans qu'on se connaît, qu'il me fait une telle demande. Devant mon air ahuri, il tente de se justifier.
- C'est top bon la victoire de ce soir. Je suis dans tous mes états et Marie a ses ragnagnas, alors...
Je me lève et vais fouiller dans ma collection de films bi. J'en repère un, avec deux mecs et une nana. (cherchez pas, j'ai aucun DVD hétéro!).
J'enclenche le lecteur et nous voilà partis à mater une actrice en train de se faire doigter la foufoune par un apollon bodybuildé à la queue surdimensionnée. (Bon, le deuxième mec arrivera plus tard, histoire de ne pas effaroucher mon bel hétéro).
Il a repris sa branle sous le survêt mais ne sort pas sa queue. Je suis tout proche, pourtant je n'ose aucun geste déplacé à son encontre. Enfin, pour le moment...
Mon beau macho me chauffe un max. La braguette de mon jeans est prête à éclater. Faut que j'arrête de mettre ce vieux Levis, il est trop serré. Mais j'adore le porter pour allumer les mecs et ce soir c'est pour mon pote Joël que je l'ai mis.
Je vois qu’il s’agite sur le canapé. Il a les yeux rivés sur l'écran. La nana a pris en bouche le mandrin du gars et lui administre une turlute digne des trans du bois de Boulogne. Pas de doute à avoir, son jogging fait le chapiteau et mon pote semble prendre un pied d'enfer. Le pauvre ne planque rien, les yeux scotchés sur l’écran….
De temps à autre, il lance un regard discret dans ma direction. J'ai fait sauter les boutons de mon froc depuis longtemps déjà et me paluche franchement à travers mon slip blanc.
Je le matte à mon tour. Il vient de sortir son gland et passe le doigt sur sa fente humide. Putain, il m'excite, le salaud. Je me rapproche un peu et colle ma cuisse à la sienne. Un instant se passe sans qu'il ne bouge, puis aux légers mouvements que je perçois, je devine qu'il a repris sa branle.
Je m'enhardis en écartant les jambes. Il a une vue plongeante sur mon slibard tâché de mouille. Ma bite tressaute d’impatience et je fais exprès de me caresser le haut de la cuisse, tout proche de la sienne. Il jette un regard furtif de temps en temps mais n’ose pas bouger… Je vois qu’il transpire un peu. Il ne dit rien, tétanisé par la situation. J'ai comme l'impression que ce qui défile sur l'écran ne l'intéresse plus.
Aurait-il envie de se taper une queue? Lui, l'hétéro qui parle de meufs à longueur de journées. Je jubile intérieurement. Je ne suis pas beau c'est vrai, pourtant ce n'est pas ma gueule qui l'intéresse mais mon barreau de dix-huit centimètres. Bordel, je suis chanceux. Vive l'OM !!!
Je m’approche encore davantage et pose ma main sur sa cuisse… J’adore le contact du nylon de son survêt. Je palpe ses quadriceps musclés. Il ne bouge pas d’un pouce. C’est bon signe…
Soudain, il m’invite à poursuivre en écartant encore plus les jambes. Et là, contre toute attente, il me saisit la main et la plaque sur sa queue. Il ferme les yeux, la tête penchée en arrière et la bouche entrouverte.
Je lui masse le chibre. Ma bite est tendue comme un arc et je me paluche comme un adolescent en rut. Il accompagne mes mouvements en remuant du bassin… Il est chaud, mon pote. Un vrai régal!
- Humm,... c’est bon! Continue, vas-y!
- Tu aimes? Tu veux que je te branle?
- Oui, j’ai trop envie…
Je descends le haut de son jogging à mi-cuisses et tire sur son boxer. Une fine odeur de sueur et d’urine me monte aux narines. Pas grave! Les hétéros ne sont pas toujours regardant sur l’hygiène… Enfin! Voilà le meilleur de l’homme! Une belle bite bien tendue avec un gland tout rose où perle déjà un peu de mouille… Il est bien monté mon pote. Autour de vingt centimètres. Par contre, sa bite est fine comme un bâton de berger (la pub du saucisson… Vous voyez?). Je l’astique tranquille et observe son visage qui décolle de plaisir…
- Plus vite… C’est bon putain, hummm! C’est bon…. Vite…
- Mais c’est qu’il est gourmand, le Joël! Ça te plaît hein de te faire astiquer le pieu? Tu serais pas un peu pédé par hasard?
- Ooohh!!!... Je sais pas. Oui,... Non. J’en sais rien…
- Moi je crois que t'es un bon petit pédé! Avoue…
J'accélère mon mouvement de poignet.
- AARRGGHH !!!. Oui, Je suis un bon petit pédé qui adore la queue…
- Hé ben voilà! C’est pas difficile.
Je le chauffe à blanc. Il est tellement excité que ses dernières barrières de mec hétéro sont tombées. Même le deuxième type sur la vidéo qui encule l'autre pendant que la girl le suce ne le choque pas.
- T'es un chaud, toi, finalement. Tu cachais bien ton jeu.
- Ouiii!!!
- Fallait le dire que t'aimais la queue, j'aurais pas perdu autant de temps.
- Arrghh, putain... arrête de parler, je vais jouir...
Je suis prêt à tout tellement cette pute me chauffe! Je le branle de plus belle tout en lui fourrant un doigt dans sa jolie gueule d'ange. Il me le suce, mimant une pipe que je rêve de lui faire. Si sa meuf le voyait en ce moment, les yeux fermés, la bouche occupé à me pomper l'index et sa queue prisonnière de mes doigts experts...
Mais j'en veux plus. Je ne veux pas qu'il décharge comme ça. Il est en position vulnérable et soumise. Je dois pousser mon avantage à son maximum. Je le veux au bout de ma queue. Je veux qu’il me pompe le dard. Je veux voir comment il s'y prendra pour téter sa première teub…
Je lâche son mandrin. Il me regarde, surpris et frustré...
- Pourquoi t’arrêtes?
- Tu viens d’avouer! En bon petit pédé, tu vas me tailler une pipe. Et t’as pas intérêt à refuser. OK ?
Je baisse mon slip et fais sortir mes dix-huit cm. J’ai une trique de malade qui crie au secours! Soudain, il se bloque, pétrifié devant ma queue que je lui mets sous le nez…
- Non pas ça… Je veux pas!
- Tssss, mon pauvre Joël, tu n’as pas le choix! C'est ça où je dis tout à Marie.
Il me regarde d'un air interloqué. S'il s'attendait à se faire menacer de chantage...
- Allez, cesse de faire le con et suce moi. Je suis ton pote et entre mecs on doit s'entraider.
Il fait mine de se lever. Ce petit con commence à m’énerver sérieusement. Il m'allume puis après cherche à se barrer. Pas question!
Je lui agrippe le cou et le positionne face à mon chibre dressé. Il est comme hypnotisé par cette colonne de chair qui se dresse à quelques centimètres de ses lèvres encore vierges. Il y a longtemps que le film est terminé, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Je ferme les yeux, la tête contre le dossier du sofa. Je peux sentir le souffle chaud de son haleine sur mon gland et ses deniers instants d'hésitation avant de plonger dans le grand bain.
Je presse sa nuque vers l'avant. Ça y est, il cède...
C'est le moment que choisit sa pouffiasse pour l'appeler. Il se redresse et empoigne son portable. Elle se demande ce qu'il fout encore chez moi alors que le match est fini depuis belle lurette.
Il commençait juste à me sucer la queue, CONNASSE...
Je le vois paniqué par ce qu'il s'apprêtait à faire. Inutile d'insister, la magie est rompue. Il prend ses affaires et se tire sans même un regard dans ma direction.
Je vais devoir me taper une énième turlute en solitaire.
… Putain, fait chier sa gonzesse.
FIN
Joël est mon meilleur pote. Il est autant beau, brun ténébreux, tombeur, style italien que je suis moche, blond et boutonneux. Il a vingt-cinq ans et moi trente. Je suis célibataire et PD, lui a une meuf et s'affirme hétéro. Du moins, c'est ce que je pensais...
C'est un fan de l'Olympique de Marseille et comme j'ai la chaîne cryptée, il me relance souvent le dimanche soir pour venir supporter son équipe préférée quand elle passe à la télé. Comme je suis un peu (beaucoup!) amoureux de lui, je ne peux rien lui refuser. Le foot, je m'en balance mais le savoir tout près de moi, affalé sur le canapé en train de boire sa bière tout en injuriant les joueurs adverses, ça me fait bander grave. Heureusement, je crois qu'il ne s'en est jamais aperçu.
Ce soir, c'est l'événement de la saison. LE big match de Ligue 1. Le ''Classico'', comme il dit. Pensez, l'OM contre le PSG, on ne peut rêver meilleure affiche.
Je le vois débarquer chez moi vers dix-neuf heures, t-shirt moulant et jogging OM bleu marine. Mon préféré! Celui qui moule bien son petit cul musclé (il joue au foot) et sa bite épaisse, même au repos.
Je ne peux m'empêcher de lorgner en direction de son entrejambe pendant qu'il sirote sa bière et qu'il capte les infos d'avant-match. Je ne l'ai jamais vu à poil mais je suppose qu'il est bien monté. Je meurs d'envie de lui mettre la main au paquet mais je me calme et croise les jambes pour ne pas lui mettre ma trique sous les yeux.
Il se tourne vers moi et me parle du match. Il prend une position décontractée, les cuisses largement écartées. Putain! Faut que j'arrête de fantasmer sur ce beau latino. C'est mon pote et je le kiffe trop. Je fais un gros effort pour me concentrer avant de répondre une banalité qui le fait rire.
Oui c'est vrai,... vous l'avez compris, je n'y entends rien au foot.
Lorsque la partie commence, je baisse les lumières, histoire de se mettre dans l'ambiance du match. Nous sommes côte à côte sur mon divan et le halo blafard de l'halogène met bien en relief sa bosse proéminente. Surtout qu'il est complètement avachi, jambes bien ouvertes et une main sous l'élastique du pantalon.
Bon sang, c'est la première fois qu'il me fait ça. Sans doute l'importance de l'événement. Il veut prouver la virilité du peuple phocéen face à ces ''enc...'' de parisiens.
À la première occasion de Marseille, il se touche la queue légèrement, mais dès qu'ils inscrivent leur premier but, c'est l'explosion de joie. Il me saute au cou, ivre de bonheur puis reprend sa position initiale, les deux mains bien calées dans son fûte. Je n'en perds pas une miette surtout qu'à présent, il se paluche sans retenue. Le fait que son équipe mène au score face à son pire ennemi le fait carrément bander. Et pris par l'enjeu, il a totalement zappé ma présence à ses côtés.
Ah! C'est beau, un vrai supporter de foot.
Le match arrive à son terme. Le suspense est à son comble. Lorsque l'arbitre siffle enfin le terme de la rencontre, il hurle de joie et fait le tour du salon en chantant à tue-tête:
- On a gagné, on a gagné, le doigt dans l' nez,... ils ont perdu, le doigt dans l'c...
À chaque fois qu'il passe près de moi, je peux voir sa queue bandée qui tressaute et déforme l'avant du jogging. Dans l'euphorie, il n'a pas débandé.
Il se calme un peu. Je vois bien qu'il n'a pas envie de rentrer retrouver sa grognasse. Il est bien dans cette pièce à la lumière tamisée. Je devine qu'il voudrait prolonger la soirée encore un peu.
- T'aurais pas un DVD de cul?
Je reste con... C'est la première fois en six ans qu'on se connaît, qu'il me fait une telle demande. Devant mon air ahuri, il tente de se justifier.
- C'est top bon la victoire de ce soir. Je suis dans tous mes états et Marie a ses ragnagnas, alors...
Je me lève et vais fouiller dans ma collection de films bi. J'en repère un, avec deux mecs et une nana. (cherchez pas, j'ai aucun DVD hétéro!).
J'enclenche le lecteur et nous voilà partis à mater une actrice en train de se faire doigter la foufoune par un apollon bodybuildé à la queue surdimensionnée. (Bon, le deuxième mec arrivera plus tard, histoire de ne pas effaroucher mon bel hétéro).
Il a repris sa branle sous le survêt mais ne sort pas sa queue. Je suis tout proche, pourtant je n'ose aucun geste déplacé à son encontre. Enfin, pour le moment...
Mon beau macho me chauffe un max. La braguette de mon jeans est prête à éclater. Faut que j'arrête de mettre ce vieux Levis, il est trop serré. Mais j'adore le porter pour allumer les mecs et ce soir c'est pour mon pote Joël que je l'ai mis.
Je vois qu’il s’agite sur le canapé. Il a les yeux rivés sur l'écran. La nana a pris en bouche le mandrin du gars et lui administre une turlute digne des trans du bois de Boulogne. Pas de doute à avoir, son jogging fait le chapiteau et mon pote semble prendre un pied d'enfer. Le pauvre ne planque rien, les yeux scotchés sur l’écran….
De temps à autre, il lance un regard discret dans ma direction. J'ai fait sauter les boutons de mon froc depuis longtemps déjà et me paluche franchement à travers mon slip blanc.
Je le matte à mon tour. Il vient de sortir son gland et passe le doigt sur sa fente humide. Putain, il m'excite, le salaud. Je me rapproche un peu et colle ma cuisse à la sienne. Un instant se passe sans qu'il ne bouge, puis aux légers mouvements que je perçois, je devine qu'il a repris sa branle.
Je m'enhardis en écartant les jambes. Il a une vue plongeante sur mon slibard tâché de mouille. Ma bite tressaute d’impatience et je fais exprès de me caresser le haut de la cuisse, tout proche de la sienne. Il jette un regard furtif de temps en temps mais n’ose pas bouger… Je vois qu’il transpire un peu. Il ne dit rien, tétanisé par la situation. J'ai comme l'impression que ce qui défile sur l'écran ne l'intéresse plus.
Aurait-il envie de se taper une queue? Lui, l'hétéro qui parle de meufs à longueur de journées. Je jubile intérieurement. Je ne suis pas beau c'est vrai, pourtant ce n'est pas ma gueule qui l'intéresse mais mon barreau de dix-huit centimètres. Bordel, je suis chanceux. Vive l'OM !!!
Je m’approche encore davantage et pose ma main sur sa cuisse… J’adore le contact du nylon de son survêt. Je palpe ses quadriceps musclés. Il ne bouge pas d’un pouce. C’est bon signe…
Soudain, il m’invite à poursuivre en écartant encore plus les jambes. Et là, contre toute attente, il me saisit la main et la plaque sur sa queue. Il ferme les yeux, la tête penchée en arrière et la bouche entrouverte.
Je lui masse le chibre. Ma bite est tendue comme un arc et je me paluche comme un adolescent en rut. Il accompagne mes mouvements en remuant du bassin… Il est chaud, mon pote. Un vrai régal!
- Humm,... c’est bon! Continue, vas-y!
- Tu aimes? Tu veux que je te branle?
- Oui, j’ai trop envie…
Je descends le haut de son jogging à mi-cuisses et tire sur son boxer. Une fine odeur de sueur et d’urine me monte aux narines. Pas grave! Les hétéros ne sont pas toujours regardant sur l’hygiène… Enfin! Voilà le meilleur de l’homme! Une belle bite bien tendue avec un gland tout rose où perle déjà un peu de mouille… Il est bien monté mon pote. Autour de vingt centimètres. Par contre, sa bite est fine comme un bâton de berger (la pub du saucisson… Vous voyez?). Je l’astique tranquille et observe son visage qui décolle de plaisir…
- Plus vite… C’est bon putain, hummm! C’est bon…. Vite…
- Mais c’est qu’il est gourmand, le Joël! Ça te plaît hein de te faire astiquer le pieu? Tu serais pas un peu pédé par hasard?
- Ooohh!!!... Je sais pas. Oui,... Non. J’en sais rien…
- Moi je crois que t'es un bon petit pédé! Avoue…
J'accélère mon mouvement de poignet.
- AARRGGHH !!!. Oui, Je suis un bon petit pédé qui adore la queue…
- Hé ben voilà! C’est pas difficile.
Je le chauffe à blanc. Il est tellement excité que ses dernières barrières de mec hétéro sont tombées. Même le deuxième type sur la vidéo qui encule l'autre pendant que la girl le suce ne le choque pas.
- T'es un chaud, toi, finalement. Tu cachais bien ton jeu.
- Ouiii!!!
- Fallait le dire que t'aimais la queue, j'aurais pas perdu autant de temps.
- Arrghh, putain... arrête de parler, je vais jouir...
Je suis prêt à tout tellement cette pute me chauffe! Je le branle de plus belle tout en lui fourrant un doigt dans sa jolie gueule d'ange. Il me le suce, mimant une pipe que je rêve de lui faire. Si sa meuf le voyait en ce moment, les yeux fermés, la bouche occupé à me pomper l'index et sa queue prisonnière de mes doigts experts...
Mais j'en veux plus. Je ne veux pas qu'il décharge comme ça. Il est en position vulnérable et soumise. Je dois pousser mon avantage à son maximum. Je le veux au bout de ma queue. Je veux qu’il me pompe le dard. Je veux voir comment il s'y prendra pour téter sa première teub…
Je lâche son mandrin. Il me regarde, surpris et frustré...
- Pourquoi t’arrêtes?
- Tu viens d’avouer! En bon petit pédé, tu vas me tailler une pipe. Et t’as pas intérêt à refuser. OK ?
Je baisse mon slip et fais sortir mes dix-huit cm. J’ai une trique de malade qui crie au secours! Soudain, il se bloque, pétrifié devant ma queue que je lui mets sous le nez…
- Non pas ça… Je veux pas!
- Tssss, mon pauvre Joël, tu n’as pas le choix! C'est ça où je dis tout à Marie.
Il me regarde d'un air interloqué. S'il s'attendait à se faire menacer de chantage...
- Allez, cesse de faire le con et suce moi. Je suis ton pote et entre mecs on doit s'entraider.
Il fait mine de se lever. Ce petit con commence à m’énerver sérieusement. Il m'allume puis après cherche à se barrer. Pas question!
Je lui agrippe le cou et le positionne face à mon chibre dressé. Il est comme hypnotisé par cette colonne de chair qui se dresse à quelques centimètres de ses lèvres encore vierges. Il y a longtemps que le film est terminé, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Je ferme les yeux, la tête contre le dossier du sofa. Je peux sentir le souffle chaud de son haleine sur mon gland et ses deniers instants d'hésitation avant de plonger dans le grand bain.
Je presse sa nuque vers l'avant. Ça y est, il cède...
C'est le moment que choisit sa pouffiasse pour l'appeler. Il se redresse et empoigne son portable. Elle se demande ce qu'il fout encore chez moi alors que le match est fini depuis belle lurette.
Il commençait juste à me sucer la queue, CONNASSE...
Je le vois paniqué par ce qu'il s'apprêtait à faire. Inutile d'insister, la magie est rompue. Il prend ses affaires et se tire sans même un regard dans ma direction.
Je vais devoir me taper une énième turlute en solitaire.
… Putain, fait chier sa gonzesse.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire est assez frustrante comme on va pas au bout des choses avec Joel , se faire interrompre au meilleur moment c'est ce qu'il y a de pire mais en même temps on y retire un certain plaisir , l'envie et le fantasme qui était sur le point de se réaliser sans la dite copine. Je me demande si suite à ça Joel a ressenti de nouvelles envies ou si malheureusement ça n'a pas donné suite .