Soirée machine
Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soirée machine
Cette soirée-là, Marc, mon Maître avait décidé qu’Il la passerait tranquille, devant la télé.
Et moi ?
Pour moi, Il avait prévu de m’installer dans son « échafaudage », un ensemble de tubes métalliques sécurisés aux extrémités par des joints permettant de construire toutes sortes de formes. Le tout fixé à un plateau recouvert d’une moquette noire.
En l’occurrence, quand la soumise est à quatre pattes, une barre passe sous le ventre, une sur les reins, une sous la tête et une sur les chevilles. Ainsi maintenue, elle ne peut bouger la tête car son collier est relié à la barre supérieure, elle ne peut bouger le bassin car pris en étau et ne peut relever les jambes car ses chevilles sont plaquées au sol.
Marc avait pris soin de me bâillonner avant de m’enfiler une cagoule.
Je savais ce qui m’attendais et m’en réjouissais car ce n’était pas la première fois. C’était une sorte de récompense pour avoir été une bonne soumise les jours précédents et un repos bien mérité pour Lui.
Il me lubrifia abondamment, plaça la fucking machine au bon endroit, c’est-à-dire à l’entrée de mon anus, et démarra la machine.
Puis Il s’installa tranquillement devant la télé avec un verre, comme Il le fait d’habitude.
Certains font des soirées karaoké, moi, je fais des soirées-défonces. Ou plutôt, mon Maître me soumet à des soirées-défonces.
La machine est impitoyable, insensible à vos cris, à vos suppliques, à vos gémissements. Elle vous bourre le cul à un rythme de métronome, très lentement ou très vite, suivant l’humeur de qui la contrôle.
En l’occurrence, ce soir-là, mon Maître avait réglé la vitesse sur moyen-rapide et avait laissé la télécommande dans un coin.
Et moi, quoi que je ressente, quoi que je manifeste, je savais qu’Il ne s’en préoccuperait pas pour les deux ou trois heures à venir.
Tandis que la machine entamait son incessante sodomie, avançant et reculant à son rythme de croisière, je me concentrais sur mes sensations, le gode m’emplissant le cul par intermittence sur toute sa longueur, entrant et sortant sans sentiment, massant ma prostate et me faisant jouir sans que je lui en donne l’autorisation, sans que je le veuille, sans que je m’y attende, même si je n’étais pas d’accord de jouir aussi vite, même si je me concentrais sur autre chose pour ne pas « ressentir » le bien qu’elle me faisait.
La première heure, j’étais fatiguée de jouir, je n’avais plus de sperme à éjaculer.
La deuxième heure, j’étais épuisée de crier à travers mon bâillon et ma cagoule. Mes orgasmes se succédaient comme pour une femme multi-orgasmique. Mon anus était devenu insensible. Je me sentais comme une flaque béante et obscène, sans volonté, sans plus avoir conscience de la réalité.
Heureusement pour moi, le film s’est terminé, et mon Maître m’a libérée.
Il a le chic pour faire de moi une bonne lope soumise.
Et ce film L’avait excité. Pas celui qu’Il avait vu à la télé, celui qui s’était déroulé « à côté » de la télé.
Comme d’habitude, je tremblais et ne tenais plus sur mes jambes.
Il m’a fait mettre à genoux pour le sucer.
Ce que j’ai fait goulûment, longuement, profondément, langoureusement, amoureusement. Pour Le remercier de si bien s’occuper de moi.
Ce qui fait qu’à la fin de la soirée, je ne sentais plus ni mon cul ni ma mâchoire 😊.
Mais n’est-ce pas le lot de toute bonne lope qui se respecte ?
Et moi ?
Pour moi, Il avait prévu de m’installer dans son « échafaudage », un ensemble de tubes métalliques sécurisés aux extrémités par des joints permettant de construire toutes sortes de formes. Le tout fixé à un plateau recouvert d’une moquette noire.
En l’occurrence, quand la soumise est à quatre pattes, une barre passe sous le ventre, une sur les reins, une sous la tête et une sur les chevilles. Ainsi maintenue, elle ne peut bouger la tête car son collier est relié à la barre supérieure, elle ne peut bouger le bassin car pris en étau et ne peut relever les jambes car ses chevilles sont plaquées au sol.
Marc avait pris soin de me bâillonner avant de m’enfiler une cagoule.
Je savais ce qui m’attendais et m’en réjouissais car ce n’était pas la première fois. C’était une sorte de récompense pour avoir été une bonne soumise les jours précédents et un repos bien mérité pour Lui.
Il me lubrifia abondamment, plaça la fucking machine au bon endroit, c’est-à-dire à l’entrée de mon anus, et démarra la machine.
Puis Il s’installa tranquillement devant la télé avec un verre, comme Il le fait d’habitude.
Certains font des soirées karaoké, moi, je fais des soirées-défonces. Ou plutôt, mon Maître me soumet à des soirées-défonces.
La machine est impitoyable, insensible à vos cris, à vos suppliques, à vos gémissements. Elle vous bourre le cul à un rythme de métronome, très lentement ou très vite, suivant l’humeur de qui la contrôle.
En l’occurrence, ce soir-là, mon Maître avait réglé la vitesse sur moyen-rapide et avait laissé la télécommande dans un coin.
Et moi, quoi que je ressente, quoi que je manifeste, je savais qu’Il ne s’en préoccuperait pas pour les deux ou trois heures à venir.
Tandis que la machine entamait son incessante sodomie, avançant et reculant à son rythme de croisière, je me concentrais sur mes sensations, le gode m’emplissant le cul par intermittence sur toute sa longueur, entrant et sortant sans sentiment, massant ma prostate et me faisant jouir sans que je lui en donne l’autorisation, sans que je le veuille, sans que je m’y attende, même si je n’étais pas d’accord de jouir aussi vite, même si je me concentrais sur autre chose pour ne pas « ressentir » le bien qu’elle me faisait.
La première heure, j’étais fatiguée de jouir, je n’avais plus de sperme à éjaculer.
La deuxième heure, j’étais épuisée de crier à travers mon bâillon et ma cagoule. Mes orgasmes se succédaient comme pour une femme multi-orgasmique. Mon anus était devenu insensible. Je me sentais comme une flaque béante et obscène, sans volonté, sans plus avoir conscience de la réalité.
Heureusement pour moi, le film s’est terminé, et mon Maître m’a libérée.
Il a le chic pour faire de moi une bonne lope soumise.
Et ce film L’avait excité. Pas celui qu’Il avait vu à la télé, celui qui s’était déroulé « à côté » de la télé.
Comme d’habitude, je tremblais et ne tenais plus sur mes jambes.
Il m’a fait mettre à genoux pour le sucer.
Ce que j’ai fait goulûment, longuement, profondément, langoureusement, amoureusement. Pour Le remercier de si bien s’occuper de moi.
Ce qui fait qu’à la fin de la soirée, je ne sentais plus ni mon cul ni ma mâchoire 😊.
Mais n’est-ce pas le lot de toute bonne lope qui se respecte ?
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