son voyage et son arrivée en Espagne
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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son voyage et son arrivée en Espagne
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°463 - son voyage et son arrivée en Espagne -
soumis compelled MDE n’en menait pas large dans cette voiture. Il était silencieux, dans ses pensées, ses craintes, il regardait défiler le paysage avec une inquiétude grandissante… Qu’allait-on lui faire subir ? Allait-il être à la hauteur des exigences de Monsieur le Marquis d’Evans ?, Le Vénéré Maître ! Allait-il pouvoir supporter les difficiles et sadiques traitements qu’on lui infligerait ? Ses craintes portaient bien sur des pratiques Sadomasochistes annoncées… Rien que ce mot là lui faisait peur ! Ni le Maître, ni les deux Majordomes ne s’adressèrent à lui pendant ce trajet le conduisant à l’aéroport. Il resta tranquillement assis, cuisses largement écartées, mains croisées dans le dos, obéissant aux ordres reçus au moment du départ. Une fois sur place, soumis compelled MDE fut chargé de s’occuper des bagages. Il porta les deux lourdes valises jusqu’à l’aérogare toujours deux pas derrière le Maître. On lui désigna un lieu où il dut attendre, tout près d’un point Relais. Il reçut l’ordre de rester debout, bagages en main, pendant que Monsieur le Marquis d’Evans et les deux Majordomes prenaient au comptoir d'un bar juste en face, un petit café. Ainsi positionné, soumis compelled MDE eut l’impression qu’il se donnait en spectacle. Un grand nombre de personnes en transit le dévisagèrent ! Etait-ce sa tenue vestimentaire ? Sans doute… son jean étriqué laissait apparaitre une protubérance sans équivoque au niveau de son entrejambes, à cause de cette cage de chasteté comprimée sous ce pantalon trop étroit. Une fois les bagages de soute enregistrés, le Maître, Monsieur Felipe suivit du chien se présentèrent au poste d’inspection filtrage. Ils durent quitter leurs chaussures et ceinture puis passer sous le portique. Enfin, un agent de sécurité les contrôla avec un appareil de détection de masses métallique mobile… Inutile de dire que soumis compelled MDE craignait de subir une palpation ou une fouille approfondie ? Il n’en fut rien, mais l’esclave comprit pourquoi le cadenas métallique de sa cage de chasteté avait été remplacé par un plomb plastique. Assis près du Maître, à côté du hublot, le chien appréhendait le décollage. Il n’aimait pas ça… Il redoutait toujours ce moment.
- Qu’as-tu mon chien ! S’inquiéta le Maître en posant une main sur une cuisse de l’esclave.
- J’ai peur Maître. Lui répondit soumis compelled MDE- Ne t’inquiète pas Mon chien, tout va bien se passer ! Reprit le Maître en faisant glisser et remonter sa main sur la cuisse du chien jusqu’à son sexe encagé.
soumis compelled MDE écarta un peu plus les jambes pour que le Maître puisse disposer de lui comme il l’entendait. Sans se préoccuper des regards éventuels, Monsieur le Marquis d’Evans tenait fermement les couilles de Son esclave, comme pour le rassurer. Et ce n’est qu’une fois que l’avion ait atteint son altitude de vol qu’il relâcha les attributs mâles de Son chien. En cours de vol, le Maître somma soumis compelled MDE à le suivre jusqu’aux toilettes. Ils s’y enfermèrent tous les deux.
- Baisse ton froc chien et présente-moi ton cul ! Ordonna le Maître.
Sans se poser la moindre question, le chien exécuta, mit son pantalon aux chevilles, attrapa la cuvette des toilettes, cambra ses reins et présenta son trou. Monsieur le Marquis posa un peu de salive sur ses doigts, puis badigeonna le trou de l’esclave de cette bave et glissa dans sa fente un petit plug sorti de la poche de sa veste.
- Tu finiras ton voyage avec ce plug en t’imaginant que c’est la queue du Maître qui te laboure les entrailles, ma bonne pute, tâche à bien garder cet objet en toi. Maintenant tourne toi et assieds toi sur le siège des toilettes en ouvrant en grand ta bouche de lope.
Le Maître avait sorti son sexe de son pantalon de toile. Il le posa sur les lèvres de l’esclave puis par saccades urina :
- Désaltère toi Mon chien, prends à la source ce divin liquide que le Maître te donne…
Et soumis compelled MDE but. Quelques gouttes s’échappèrent de sa bouche et tombèrent sur son tee-shirt. Le Maître rabroua Son chien en lui claquant par deux fois le visage.
- Espèce d’incapable ! Tu me le paieras…
Le Maître et Son esclave aux joues rouges, avait repris leur place. Le voyage se passa sans encombre quand Madrid était en vue, l’avion commençait à amorcer sa descente. A la sortie de l’avion, soumis compelled MDE contracta ses sphincters afin que le plug ne tombât point. Le Maître et lui retrouvèrent Monsieur Felipe déjà descendu. Ils passèrent la douane sans problème et soumis compelled MDE fut chargé d’attendre et de récupérer les bagages, pendant que Monsieur le Marquis et Monsieur le Majordome prenaient une bonne bière bien fraiche au bar dans le hall d’accueil. Il faisait chaud à Madrid, une chaleur accablante, plus de 40 degrés à l’ombre. Les deux Dominants suivis de l’esclave pressèrent le pas pour gagner la sortie de l’aérogare. Là, ils y trouvèrent leur hôte, Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso qui les attendait bien à l’ombre d’un palmier d’ornement.
- Oh très cher ami, mon vieil ami, combien je suis heureux de vous revoir Monsieur le Marquis d’Evans.
- Moi aussi, très Cher, vraiment ! Comment allez-vous Monsieur le Comte !
Les deux Maîtres se congratulèrent, laissant de côté le Majordome et plus encore l’esclave. Monsieur le Comte était quelqu’un d’élégant, racé, avec un port de tête altier, des cheveux courts grisonnants, des yeux noirs charbon. Il était grand et mince et s’exprimait dans un français parfait, sans le moindre accent.
- Avez-vous fait bon voyage, Monsieur le Marquis ?
- Excellent ! Je vous en remercie !
- Allons, ne perdons pas de temps ici, il fait trop chaud pour s’attarder, Felipe voici les clés de l’automobile, je suis garé au moins trois.
Monsieur le Comte fit trop pas en avant, puis se retourna soudainement vers le Maître !
- El perros ? heu … pardonnez-moi très cher, c’est le chien ! ?
- Oui, je vous présente Mon chien soumis compelled MDE, Monsieur le Comte.
Monsieur le Comte s’approcha de l’esclave, lui souleva le menton pour le regarder droit dans les yeux. Son autre main, passa sur son entrejambes et s’arrêta sur la braguette du chien
- Nous allons faire de toi une bonne pute, je te le promets.
- Merci Monsieur le Comte, répondit maladroitement soumis compelled MDE, très embarrassé par la présence d’un tas de voyageurs, dont certains s’étaient arrêtés quelques secondes, pour voir la scène.
Les deux Maîtres et le Majordome avaient pris l’ascenseur pour regagner le troisième sous-sol, soumis compelled MDE, toujours valises en main, reçut l’ordre de descendre par les escaliers. Il retrouva les trois protagonistes près d’un gros LANGE ROVER. Le coffre était ouvert !
- Installe les bagages dans un coin et fous-toi à poil ! Dicta le Maître à Son chien.
soumis compelled MDE hésita quelques secondes, le sous-sol semblait vide, mais quelqu’un pouvait arriver à tout moment.
- Dépêche-toi si tu ne veux pas te faire punir…
Alors soumis compelled MDE s’exécuta, quitta en hâte ses vêtements et chaussures et les posa dans le coffre de la voiture. Le Maître attrapa l’esclave par un bras pour le faire pencher vers l’avant, puis il coinça la tête du chien entre ses jambes et lui écarta les fesses de ses deux mains.
- Regardez Juan Antonio, je l’ai plugé dans l’avion…- Oh délicieux ! répondit-il avec un rire raisonnant
L’esclave n’avait qu’une hâte : monter au plus vite dans la voiture, que cette humiliation cesse rapidement, surtout qu’il entendait des crissements de pneus tout près. Mais les Maîtres prenaient leur temps, il n’en avait pas fini avec le chien. Monsieur le Comte fit mettre à genoux l’esclave, sortit son sexe de son pantalon et l’enfila dans la bouche de soumis compelled MDE.
- Montre-moi comment tu sais te servir de ta langue, pompe-moi chien MDE.
Avec avidité, soumis compelled MDE, avala le sexe semi tendu et exécuta l’ordre donné. Quelle infamie pourtant… là dans un garage public en sous-sol, entre deux voitures, il pompait parce qu’obligé, une queue, telle une pute ! Il était tombé bien bas ce soumis compelled MDE !
- Veuillez me pardonnez Monsieur le Comte, un couple vient en notre direction ! informa Monsieur Felipe - Peut-être serait-il intéressé par les services de ce chien ! reprit Monsieur le Comte en rigolant et en prenant son temps… Quel dommage, j’étais sur le point de lui gicler sur sa face de dog !
Monsieur le Comte se réajusta, soumis compelled MDE reçut l’ordre de se glisser dans le coffre. Les portières claquèrent, la voiture démarrait, l’aventure espagnole allait commencer….
(A suivre…)
soumis compelled MDE n’en menait pas large dans cette voiture. Il était silencieux, dans ses pensées, ses craintes, il regardait défiler le paysage avec une inquiétude grandissante… Qu’allait-on lui faire subir ? Allait-il être à la hauteur des exigences de Monsieur le Marquis d’Evans ?, Le Vénéré Maître ! Allait-il pouvoir supporter les difficiles et sadiques traitements qu’on lui infligerait ? Ses craintes portaient bien sur des pratiques Sadomasochistes annoncées… Rien que ce mot là lui faisait peur ! Ni le Maître, ni les deux Majordomes ne s’adressèrent à lui pendant ce trajet le conduisant à l’aéroport. Il resta tranquillement assis, cuisses largement écartées, mains croisées dans le dos, obéissant aux ordres reçus au moment du départ. Une fois sur place, soumis compelled MDE fut chargé de s’occuper des bagages. Il porta les deux lourdes valises jusqu’à l’aérogare toujours deux pas derrière le Maître. On lui désigna un lieu où il dut attendre, tout près d’un point Relais. Il reçut l’ordre de rester debout, bagages en main, pendant que Monsieur le Marquis d’Evans et les deux Majordomes prenaient au comptoir d'un bar juste en face, un petit café. Ainsi positionné, soumis compelled MDE eut l’impression qu’il se donnait en spectacle. Un grand nombre de personnes en transit le dévisagèrent ! Etait-ce sa tenue vestimentaire ? Sans doute… son jean étriqué laissait apparaitre une protubérance sans équivoque au niveau de son entrejambes, à cause de cette cage de chasteté comprimée sous ce pantalon trop étroit. Une fois les bagages de soute enregistrés, le Maître, Monsieur Felipe suivit du chien se présentèrent au poste d’inspection filtrage. Ils durent quitter leurs chaussures et ceinture puis passer sous le portique. Enfin, un agent de sécurité les contrôla avec un appareil de détection de masses métallique mobile… Inutile de dire que soumis compelled MDE craignait de subir une palpation ou une fouille approfondie ? Il n’en fut rien, mais l’esclave comprit pourquoi le cadenas métallique de sa cage de chasteté avait été remplacé par un plomb plastique. Assis près du Maître, à côté du hublot, le chien appréhendait le décollage. Il n’aimait pas ça… Il redoutait toujours ce moment.
- Qu’as-tu mon chien ! S’inquiéta le Maître en posant une main sur une cuisse de l’esclave.
- J’ai peur Maître. Lui répondit soumis compelled MDE- Ne t’inquiète pas Mon chien, tout va bien se passer ! Reprit le Maître en faisant glisser et remonter sa main sur la cuisse du chien jusqu’à son sexe encagé.
soumis compelled MDE écarta un peu plus les jambes pour que le Maître puisse disposer de lui comme il l’entendait. Sans se préoccuper des regards éventuels, Monsieur le Marquis d’Evans tenait fermement les couilles de Son esclave, comme pour le rassurer. Et ce n’est qu’une fois que l’avion ait atteint son altitude de vol qu’il relâcha les attributs mâles de Son chien. En cours de vol, le Maître somma soumis compelled MDE à le suivre jusqu’aux toilettes. Ils s’y enfermèrent tous les deux.
- Baisse ton froc chien et présente-moi ton cul ! Ordonna le Maître.
Sans se poser la moindre question, le chien exécuta, mit son pantalon aux chevilles, attrapa la cuvette des toilettes, cambra ses reins et présenta son trou. Monsieur le Marquis posa un peu de salive sur ses doigts, puis badigeonna le trou de l’esclave de cette bave et glissa dans sa fente un petit plug sorti de la poche de sa veste.
- Tu finiras ton voyage avec ce plug en t’imaginant que c’est la queue du Maître qui te laboure les entrailles, ma bonne pute, tâche à bien garder cet objet en toi. Maintenant tourne toi et assieds toi sur le siège des toilettes en ouvrant en grand ta bouche de lope.
Le Maître avait sorti son sexe de son pantalon de toile. Il le posa sur les lèvres de l’esclave puis par saccades urina :
- Désaltère toi Mon chien, prends à la source ce divin liquide que le Maître te donne…
Et soumis compelled MDE but. Quelques gouttes s’échappèrent de sa bouche et tombèrent sur son tee-shirt. Le Maître rabroua Son chien en lui claquant par deux fois le visage.
- Espèce d’incapable ! Tu me le paieras…
Le Maître et Son esclave aux joues rouges, avait repris leur place. Le voyage se passa sans encombre quand Madrid était en vue, l’avion commençait à amorcer sa descente. A la sortie de l’avion, soumis compelled MDE contracta ses sphincters afin que le plug ne tombât point. Le Maître et lui retrouvèrent Monsieur Felipe déjà descendu. Ils passèrent la douane sans problème et soumis compelled MDE fut chargé d’attendre et de récupérer les bagages, pendant que Monsieur le Marquis et Monsieur le Majordome prenaient une bonne bière bien fraiche au bar dans le hall d’accueil. Il faisait chaud à Madrid, une chaleur accablante, plus de 40 degrés à l’ombre. Les deux Dominants suivis de l’esclave pressèrent le pas pour gagner la sortie de l’aérogare. Là, ils y trouvèrent leur hôte, Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso qui les attendait bien à l’ombre d’un palmier d’ornement.
- Oh très cher ami, mon vieil ami, combien je suis heureux de vous revoir Monsieur le Marquis d’Evans.
- Moi aussi, très Cher, vraiment ! Comment allez-vous Monsieur le Comte !
Les deux Maîtres se congratulèrent, laissant de côté le Majordome et plus encore l’esclave. Monsieur le Comte était quelqu’un d’élégant, racé, avec un port de tête altier, des cheveux courts grisonnants, des yeux noirs charbon. Il était grand et mince et s’exprimait dans un français parfait, sans le moindre accent.
- Avez-vous fait bon voyage, Monsieur le Marquis ?
- Excellent ! Je vous en remercie !
- Allons, ne perdons pas de temps ici, il fait trop chaud pour s’attarder, Felipe voici les clés de l’automobile, je suis garé au moins trois.
Monsieur le Comte fit trop pas en avant, puis se retourna soudainement vers le Maître !
- El perros ? heu … pardonnez-moi très cher, c’est le chien ! ?
- Oui, je vous présente Mon chien soumis compelled MDE, Monsieur le Comte.
Monsieur le Comte s’approcha de l’esclave, lui souleva le menton pour le regarder droit dans les yeux. Son autre main, passa sur son entrejambes et s’arrêta sur la braguette du chien
- Nous allons faire de toi une bonne pute, je te le promets.
- Merci Monsieur le Comte, répondit maladroitement soumis compelled MDE, très embarrassé par la présence d’un tas de voyageurs, dont certains s’étaient arrêtés quelques secondes, pour voir la scène.
Les deux Maîtres et le Majordome avaient pris l’ascenseur pour regagner le troisième sous-sol, soumis compelled MDE, toujours valises en main, reçut l’ordre de descendre par les escaliers. Il retrouva les trois protagonistes près d’un gros LANGE ROVER. Le coffre était ouvert !
- Installe les bagages dans un coin et fous-toi à poil ! Dicta le Maître à Son chien.
soumis compelled MDE hésita quelques secondes, le sous-sol semblait vide, mais quelqu’un pouvait arriver à tout moment.
- Dépêche-toi si tu ne veux pas te faire punir…
Alors soumis compelled MDE s’exécuta, quitta en hâte ses vêtements et chaussures et les posa dans le coffre de la voiture. Le Maître attrapa l’esclave par un bras pour le faire pencher vers l’avant, puis il coinça la tête du chien entre ses jambes et lui écarta les fesses de ses deux mains.
- Regardez Juan Antonio, je l’ai plugé dans l’avion…- Oh délicieux ! répondit-il avec un rire raisonnant
L’esclave n’avait qu’une hâte : monter au plus vite dans la voiture, que cette humiliation cesse rapidement, surtout qu’il entendait des crissements de pneus tout près. Mais les Maîtres prenaient leur temps, il n’en avait pas fini avec le chien. Monsieur le Comte fit mettre à genoux l’esclave, sortit son sexe de son pantalon et l’enfila dans la bouche de soumis compelled MDE.
- Montre-moi comment tu sais te servir de ta langue, pompe-moi chien MDE.
Avec avidité, soumis compelled MDE, avala le sexe semi tendu et exécuta l’ordre donné. Quelle infamie pourtant… là dans un garage public en sous-sol, entre deux voitures, il pompait parce qu’obligé, une queue, telle une pute ! Il était tombé bien bas ce soumis compelled MDE !
- Veuillez me pardonnez Monsieur le Comte, un couple vient en notre direction ! informa Monsieur Felipe - Peut-être serait-il intéressé par les services de ce chien ! reprit Monsieur le Comte en rigolant et en prenant son temps… Quel dommage, j’étais sur le point de lui gicler sur sa face de dog !
Monsieur le Comte se réajusta, soumis compelled MDE reçut l’ordre de se glisser dans le coffre. Les portières claquèrent, la voiture démarrait, l’aventure espagnole allait commencer….
(A suivre…)
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